« Leur haine, notre aveuglement » analysés par Yves Thréard

Répulsion sous-estimée et inconscience ravie

Macron a reçu le président de l’Autorité palestinienne
Mahmoud Abbas à l’Elysée,
dès septembre 2018

Combien d’autres fanatiques, profitant de nos faiblesses pour s’introduire chez nous, ont déjà frappé ou s’apprêtent à le faire?

Le terroriste d’Arras a-t-il voulu répondre à l’appel au djihad lancé par le chef du Hamas pour le vendredi 13 octobre? Entendait-il «célébrer» dans le sang, trois ans après – presque jour pour jour -, la décapitation de Samuel Paty par l’un de ses compatriotes tchétchènes [qu’à toute fin France 2 et Radio France veulent faire un Russe, éventuellement un Caucasien, ou, à la rigueur un Ingouche, pour ne pas impliquer a nouveau un Tchétchène]? Les autorités françaises étaient sur leurs gardes [soit !]. L’«importation» de la guerre israélo-palestinienne était sur toutes les lèvres ; le tragique anniversaire de l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, aussi. Pourtant, ce contexte, comme on dit, n’explique pas l’essentiel, voire détourne l’attention. L’invoquer revient même à chercher des justifications à l’injustifiable, à faire le jeu de cette gauche indigne, toujours prête à manifester et à pactiser avec les intégristes musulmans pour quelques [misérables] gains électoraux dans les banlieues.

La réalité est ailleurs. Elle saute aux yeux.  Mohammed Mogouchkov [que la presse sus-nommée s’entête à appeler Mohammed M., bien que la famille entière soit suspecte et déjà en délicatesse avec la justice], 20 ans, l’assassin du professeur de la cité scolaire Gambetta, n’aurait jamais dû se trouver en France. Ni lui, ni sa famille, débarquée en 2009. C’est à la bruyante mobilisation des traditionnelles associations militantes [Parti communiste de Rennes Métropole, où résidaient alors ces Tchétchènes, la Cimade, RESF (Réseau éducation sans frontières) ou le MRAP] pour les migrants que ces Caucasiens doivent de n’avoir pas été expulsés en 2014 [mais aussi aux aveugles de l’Opfra, l’Office français de protection des réfugiés et apatrides].

Au pays des droits de l’homme, l’affaire Leonarda était passée par là: donc pas question de refouler des enfants scolarisés. Lesquels se sont distingués depuis: fiché S, radicalisé, Mohammed était suivi de près par la police ; son frère de 17 ans a été arrêté hier, rôdant autour d’un autre lycée d’Arras (avec les mêmes intentions meurtrières?) ; un autre frère [l’aîné], qui projetait [avait projeté] un attentat contre l’Elysée, dort actuellement en prison… Bref, de jeunes islamistes qui n’ont eu besoin de rien pour exprimer leur haine de la France [qui se targue depuis 1789 d’être la « patrie des dtoits de l’homme » !] , sauf de notre aveuglement, de notre naïveté, de notre générosité pour mieux nous planter un poignard dans le dos. Combien d’autres fanatiques, profitant de nos faiblesses pour s’introduire chez nous, ont déjà frappé ou s’apprêtent à le faire?

Depuis Arras, Emmanuel Macron a dénoncé la “barbarie du terrorisme islamiste”, “sauvage et lâche”. Certes, mais l’urgence n’est pas dans les mots, elle commande de mettre fin à une politique migratoire inacceptable [le moment et venu: le même Macron prépare une loi immigration qu’il traîne depuis le début de son second quinquennat…]. Trop d’innocents ont payé de leur vie ce coupable laisser-faire.

© Yves Thréard

Ukraine: en affaiblissant la Russie, l’OTAN renforce les Tchétchènes et l’Afghanistan

Après avoir étêté la Libye, l’Irak ou la Syrie, les Américains déstabilisent l’Europe

Le Drian, le ravi
de la diplomatie française

Qui sont les manifestants hostiles à Poutine?

Les pacifistes se mobilisent.

Ils criaient simplement «non à la guerre», ils se sont fait embarquer. Près de 800 personnes qui manifestaient en Russie contre l’invasion de l’Ukraine par Poutine ont été arrêtées ce jeudi. Dans l’après-midi, à Moscou, un gros millier de personnes ont bravé l’interdiction de se rassembler décrétée par les autorités. Avant les rassemblements sur la place Pouchkine de la capitale russe, des piquets solitaires anti-guerre ont surgi dans plusieurs villes de Russie. Ils ont, à chaque fois été interpellés immédiatement.

https://twitter.com/Andrew__Roth/status/1496876568093904902?t=SvScwRUMSqp-kZ8mKh5rVA&s=19

Au total, selon l’ONG spécialisée OVD-Info, au moins 788 personnes ont été interpellées dans 42 villes de Russie, dont près de la moitié à Moscou. Plus tôt dans la journée, les autorités avaient promis, de réprimer toute manifestation «non autorisée». Comprendre : toute manifestation dénonçant l’invasion russe en Ukraine, où Moscou a lancé une opération militaire d’ampleur dans la matinée.

En prévision, la place Pouchkine, dans le centre de Moscou, où la manifestation était prévue dans la soirée selon un appel sur des réseaux sociaux, avait été quadrillée par un important cordon de police. Bien avant le rassemblement, l’ONG spécialisée OVD-Info avait déjà comptabilisé au moins 60 arrestations de personnes ayant manifesté en solitaire avec des pancartes contre la guerre à travers le pays ce jeudi. Les manifestants se sont tout de même mobilisés dans l’après-midi.

«De graves conséquences judiciaires»

Histoire que le message soit bien reçu par la population, le ministère de l’Intérieur, le parquet et le Comité d’enquête de la Fédération de Russie ont tous mis en garde les citoyens contre toute action de protestation. Le Comité d’enquête a par exemple souligné que les participants à des rassemblements au sujet de «la situation tendue en matière de politique étrangère» ou à des heurts s’exposaient à des poursuites. «Nous vous rappelons que les appels à participer et la participation directe à de telles actions non autorisées entraînent de graves conséquences judiciaires», a-t-il averti.

De son côté, le parquet a lui expliqué avoir envoyé des «avertissements» aux personnes incitant à participer aux manifestations de protestation. Le ministère de l’Intérieur a lui prévenu que les rassemblements seraient jugés «illégaux» et que la police «prendra toutes les mesures nécessaires pour assurer l’ordre public». Dans un autre avertissement, il a promis de «prendre toutes les mesures nécessaires pour maintenir l’ordre»«Toute provocation, agression contre les policiers, non-respect de leurs exigences légales seront immédiatement réprimées. Les auteurs de ces infractions seront arrêtés et traduits en justice», a développé le ministère.

Certains comptes sur les réseaux sociaux ont appelé les Russes à se rassembler jeudi soir à Moscou et à Saint-Pétersbourg pour protester contre la guerre. L’opposition russe a toutefois été décimée ces deux dernières années et ses meneurs emprisonnés ou poussés à l’exil. Le principal opposant au Kremlin, Alexeï Navalny – qui s’est dit opposé jeudi à la guerre en Ukraine – est actuellement emprisonné dans une affaire qu’il juge politique et fait face à de nouvelles accusations dans un procès commencé il y a plusieurs jours et dans lequel il encourt dix ans de réclusion supplémentaires. Pour se simplifier la vie, Moscou n’a jamais levé ses restrictions sanitaires aux manifestations, liées au Covid. Excepté les rassemblements pro-pouvoir. Pragmatique.

L’Etat islamique conquérant dispose de 2.000 hommes en Afghanistan

L’IE s’apprête à s’étendre en Asie centrale, alerte Poutine.

Le nord de l’Afghanistan abrite au moins 2.000 combattants du groupe djihadiste Etat islamique, qui a l’ambition de s’étendre en Asie centrale, la zone d’influence de la Russie, a déclaré Vladimir Poutine, le 15 octobre 2021.

Le président russe a relevé qu’une multitude de groupes «extrémistes et terroristes» sont actifs dans le Nord afghan, y compris l’EI, Al-Qaida et le Mouvement islamique d’Ouzbékistan. «Selon nos informations, le nombre de combattants de l’EI est d’environ 2.000, leurs chefs préparent des plans pour étendre leur influence dans les pays d’Asie centrale et des régions russes en attisant les conflits éthno-confessionnels et la haine religieuse», a-t-il dit, lors d’un sommet virtuel des pays de la CEI, organisation de pays ex-soviétiques.

Si le verrou Poutine saute, toute la région sera déstabilisée

L’Etat islamique – Khorasan (EI-K), le groupe islamiste armé le plus radical d’Afghanistan, a revendiqué une série d’attentats destinés à déstabiliser «l’émirat» proclamé par les talibans. La Russie s’inquiète de l’escalade des attaques, craignant que toute la région, située sur son flanc sud, puisse être déstabilisée.

Poutine a exprimé sa préoccupation une première fois cette semaine, relevant que des djihadistes endurcis venus de Syrie et d’Irak arrivaient en Afghanistan. Moscou considère les talibans comme une organisation extrémiste mais entretient néanmoins des relations avec eux depuis de longues années.

L’Iran ne laissera pas s’installer l’Etat islamique à sa frontière afghane

Ses émissaires doivent participer à une première réunion internationale en Russie le 20 octobre. Des représentants de la Chine, de l’Iran, du Pakistan et de l’Inde sont également attendus, et l’émissaire du Kremlin Zamir Kaboulov, qui sera à la tête de la délégation russe, a assuré que les États-Unis étaient «invités».

«Normaliser la situation » en Afghanistan et contenir les Talibans

Il y sera notamment question des moyens de «normaliser la situation» en Afghanistan, selon le président russe. La Russie sans Poutine et sa volonté que les talibans ouvrent leur gouvernement à d’autres forces et l’Afghanistan sera infichue de faciliter le combat contre des groupes comme l’EI.

Vingt ans après avoir été chassés du pouvoir par les Etats-Unis, les talibans ont fait un retour spectaculaire aux commandes du pays en août, dans la foulée du retrait militaire américain. La Russie s’intéresse de près à la situation en Afghanistan, pays que les forces soviétiques ont occupé pendant 10 ans jusqu’à leur retrait en 1989, au terme d’une guerre sanglante.

La Tchétchénie choisit Poutine contre les coalisés occidentaux

Dans la guerre contre l’Ukraine, Vladimir Poutine peut compter sur le soutien logistique de la Tchétchénie. Son dirigeant, Ramzan Kadyrov, a annoncé, samedi, avoir envoyé des combattants sur le terrain pour aider les soldats russes. Ces hommes peuvent-ils avoir un rôle déterminant dans le conflit ? 

Alors que la communauté internationale continue de durcir le ton et de renforcer son soutien à l’Ukraine face à l’invasion russe, Moscou peut compter sur certains alliés. Parmi eux, la Biélorussie, mais aussi la Tchétchénie. L’homme fort de cette petite République du Caucase, Ramzan Kadyrov, proche allié de Vladimir Poutine, a décidé l’envoi de troupes en Ukraine pour venir en aide à l’armée russe.

L’annonce a été faite vendredi, dans la capitale de la Tchétchénie, Grozny. « Ramzan Kadyrov s’est adonné à une grande mise en scène, avec des milliers de combattants », explique Wassim Nasr.

« Je saisis l’occasion pour conseiller au président Zelensky, jusqu’à ce qu’il soit l’ancien président de l’Ukraine, d’appeler notre président, le commandant en chef Vladimir Vladimirovitch Poutine, et de lui présenter ses excuses », a-t-il notamment déclaré à la tribune, selon des vidéos et des propos rapportés par plusieurs médias internationaux.

Un rôle psychologique ?

Quatre jours plus tard, des soldats ont en effet été déployés sur le territoire ukrainien. « Ils ont eux-mêmes diffusé des images de leur déploiement », détaille Wassim Nasr. « Selon les vidéos diffusées, ils sont majoritairement présents dans le nord du pays, dans la zone d’exclusion de Pripiat où se trouve la centrale nucléaire de Tchernobyl, et au nord de la Crimée. »

« La Tchétchénie fait partie de la Fédération de Russie. Les combattants tchétchènes participent donc à l’effort de guerre dans leur pays en servant de supplétifs à l’armée russe », analyse Wassim Nasr, qui rappelle que des forces tchétchènes avaient déjà participé à plusieurs opérations militaires russes, notamment en Syrie, sous la forme d’une police militaire.

Si « leur rôle militaire exact est pour le moment inconnu », ces hommes, connus pour commettre des exactions dans leur pays « pourraient jouer un rôle psychologique dans le conflit », estime-t-il.

A croire que les autorités tchétchènes seraient toutes pro-russes et sans réserves. La très large autonomie dont a bénéficié de 2004 à 2015 cette république, dirigée d’une main de fer par Ramzan Kadyrov, dans la conduite de sa politique interne, montre parfois les limites du pacte originel conclu entre Moscou et Grozny. La Tchétchénie est d’ailleurs qualifiée par certains observateurs d’« étranger de l’intérieur », et ses dirigeants semblent à certains égards vouloir s’affranchir des limites dans lesquelles son démiurge espérait la cantonner.

Le modèle de la « tchétchénisation », pensé par Moscou comme gestion « idéale » de la situation de « post-guerre », résistera-t-il dans le contexte de déstabilisation créé par l’OTAN qui a en toute occasion méprisé et humilié Poutine ? La perception de la Tchétchénie comme menace potentielle pour la sécurité russe a recommencé à poindre à partir de 2015. Alors que la société tchétchène est réduite au silence par les traumatismes des deux guerres et la violence de l’après-guerre, de nouveaux fronts conflictuels peuvent fournir autant d’occasions de réengagement pour les individus dans l’action armée. La police en Tchétchénie remplit déjà des fonctions régaliennes relevant de l’Etat russe. 

Du 23 au 26 octobre 2002, une quarantaine de terroristes tchétchènes a pris en otage 912 spectateurs du théâtre de Moscou sur le territoire russe, à environ quatre kilomètres au sud-est du Kremlin.

Biden edt-il conscient de la menace de terrorisme islamiste dans le Caucase du Nord ?

Les autorités russes affirment  disposer de preuves de liens des groupes djihadistes tchétchènes avec des réseaux terroristes étrangers, notamment Al-Qaïda. Le juge Jean-Louis Bruguière, patron du pôle antiterroriste français et le Rapport d’information de la Commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale française sur la coopération internationale pour lutter contre le terrorisme affirment, entre autres, qu’« en termes de formation des terroristes, à l’abri du sanctuaire afghan, s’est développée une nébuleuse (Al-Qaida) avec des relais dans le monde entier (Algérie, Tchétchénie, Balkans…) Vers ce sanctuaire ont convergé des centaines de djihadistes. Ainsi, pendant cinq à sept ans, des centaines de combattants ont été formés dans les camps afghans, avant de retourner en Europe, aux Etats-Unis ou dans leurs pays d’origine où ils avaient à la fois la légitimité et la compétence pour diriger des cellules terroristes, n’ayant d’ailleurs plus nécessairement de liens directs avec Al-Qaida ». En cas de chute de Poutine et de montée de l’islamisme, Von der Leyen et Macron seront tenus pour coresponsables devant l’Histoire.

L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe affirme en novembre 2002 que dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, devenue une importante priorité internationale, on constate une concordance de vues entre les États-Unis d’une part, et la Russie et la Géorgie d’autre part, sur la lutte contre les combattants tchétchènes et leurs alliés mercenaires, dits « les arabes du Pankissi », cachés de l’autre côté de la frontière russe et soupçonnés d’être liés au réseau Al-Qaida. En octobre 2002, le parquet de Paris ouvrit une instruction sur la préparation d’un attentat contre l’ambassade russe dans la capitale française. Cette enquête a été présentée par les médias sous le nom générique de l’« affaire des filières tchétchènes ». En effet, le dénominateur commun des terroristes consistait dans le fait qu’ils étaient tous passés par la Tchétchénie, en 1999-2000 et étaient liés à l’imam Benchelali, lui-même proche des combattants d’Al Qaïda.

Entraînés dans les camps existants en Tchétchénie et en Afghanistan dans les années 1990, et financés par les capitaux terroristes internationaux, de nombreux groupes djihadistes tchétchènes ont fait régulièrement recours aux actes de terreur dans le cadre de leur lutte armée contre le pouvoir central.

C’est seulement en France qu’un musulman tchétchène peut assassiner un cochon de professeur par égorgement, pour avoir tenté de développer l’esprit critique de ses élèves.

Et le Mali, pour lequel 53 jeunes militaires français ont donné leur vie, se porte au côte de Poutine. Depuis début janvier 2022, la junte désormais au pouvoir à Bamako fait face à une batterie de …sanctions de l’organisation des 16 Etats ouest-africains, la Cedéao, parce que les militaires arrivés au pouvoir à la faveur d’un putsch en août 2020 entendent s’y maintenir encore plusieurs années sans élections. Poutine n’est pas seul.

L’Histoire est en train de se répéter: après le « printemps arabe », le printemps de la zone russe.

L’apologie du terrorisme n’est pas incompatible avec le statut de réfugié

C’est en France et selon la justice française…

Les gauches approuvent qu’un réfugié condamné pour apologie du terrorisme puisse conserver son statut

Des personnalités de droite ont en revanche dénoncé la décision du Conseil d’Etat de laisser un réfugié tchétchène conserver son statut malgré sa condamnation pour apologie du terrorisme.

Dans une décision du 12 février 2021, rendue publique une semaine plus tard, le 19 février, le Conseil d’Etat a estimé qu’un réfugié tchétchène condamné pour apologie du terrorisme peut conserver son statut de réfugié.

La plus haute juridiction administrative a ainsi désavoué l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides) pour qui il représente une «menace grave pour la société». L’Ofpra avait motivé sa décision en faisant valoir que sa présence sur le territoire français  «constituait une menace grave pour la société». La CNDA (Cour nationale du droit d’asile) avait ensuite annulé cette décision, soulignant que les faits d’apologie publique «ne constituaient pas un acte de terrorisme», l’un des motifs nécessaires pour enclencher la révocation du statut de réfugié. Mais pour une partie de la droite, le maintien du statut de réfugié pour un individu inculpé pour ces motifs ne peut être concevable. 

Issue de la Commission des recours des réfugiés (loi du 25 juillet 1952 et code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile lequel dispose :« La Cour nationale du droit d’asile est une juridiction administrative, placée sous l’autorité d’un président [Dominique Kimmerlin], membre du… Conseil d’Rtat, désigné par le vice-président du… Conseil d’Etat. »

Elle statue sur des recours formés ontre des décisions rendues par… l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) en matière d’asile.

Elle est située au 35 de la rue Cuvier, à Montreuil, en Seine-Saint-Denis (93)…

«Le Conseil d’Etat considère désormais que faire l’apologie du terrorisme ne suffit pas pour remettre en cause le statut d’un réfugié», a déploré le numéro deux du RN Jordan Bardella sur Sud Radio. «La France est devenue un gigantesque hall de gare dans lequel tout le monde entre et plus personne ne sort», a-t-il ajouté le 24 février sur Twitter.

Mise en cause par des mouvements citoyens dans l’assassinat du professeur Samuel Paty par un réfugié tchétchène, la CNDA a porté plainte, arguant qu’à l’époque où sa juridiction a accordé l’asile à sa famille, le terroriste avait 9 ans.

La présidente de la Cour nationale du droit d’asile (CNDA), Dominique Kimmerlin, a porté plainte mercredi 21 octobre pour injures et menaces envers certains de ses membres, après la décision de la CNDA en 2011 d’octroyer le statut de réfugié à la famille tchétchène de l’assassin de l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, Abdouallakh Anzorov.

La juridiction chargée d’examiner en dernier recours les demandes d’asile en France, a suscité incompréhension et colère pour complicité d’assassinat de la victime égorgée, puis décapitée, un contrat passé par un agitateur islamiste, le professeur d’histoire-géographie Samuel Paty.

La veille, Marine Le Pen avait regretté sur Twitter une «stupéfiante décision», estimant que «la liberté d’expression et l’asile sont garantis en France… pour les soutiens du terrorisme».

Le député LR des Alpes -Maritimes Eric Ciotti a lui évoqué une décision «incroyable» en estimant qu’«une telle naïveté coupable nous condamne».

De son côté, le président du groupe Les Républicains au Sénat, Bruno Retailleau, a annoncé qu’il déposera une proposition de loi pour suspendre ce statut aux individus condamnés pour ce type de délit.

Le refugié tchétchène au cœur de cette affaire a fait l’objet de quatre condamnations pénales dont une, le 18 février 2015 à Nice, «pour des faits d’apologie publique d’un acte de terrorisme».

« Le délit d’apologie publique d’acte de terrorisme n’est pas un acte de terrorisme. Il ne justifie pas, à lui seul, qu’il soit mis fin au statut de réfugié. » Cette prise de position n’est pas issue d’un parti d’extrême gauche, mais bien une Cour présidée par une conseillère d’Etat. Elle a d’ailleurs été approuvée par le Conseil d’Etat le 12 février 2021, Il n’aurait plus manqué que le Conseil d’Etat invalidât une décision de sa succursale!

Une décision juridiquement justifiée

Le millefeuilles judiciaire fonctionne à plein régime en Absurdie. Petit rappel chronologique des faits. L’intéressé – un assassin – a été condamné par le tribunal correctionnel de Nice pour des faits d’apologie publique d’un acte barbare de terrorisme le 18 février 2015, en plus de trois autres condamnations pénales antérieures. L’OFPRA se saisit alors de son dossier et met fin à son statut de réfugié le 20 février 2017, estimant que sa présence sur le territoire français constitue une menace grave. Sauf que le ressortissant tchétchène – soutenu par des associations et leurs avocats, militants politiques – fait valoir ses droits et dépose un recours à la CNDA, qui annule cette décision le 2 avril 2019. Pour justifier sa décision, la Cour estime que les délits ayant donné lieu aux condamnations du réfugié tchétchène, et notamment celui d’apologie publique du terrorisme, ne sont pas « suffisants » (décision subjective) pour le priver de ses droits en France. Selon la CNDA, pour mettre fin au statut de réfugié, « la personne doit avoir été condamnée pour un crime ou un délit constituant un acte de terrorisme ». La CNADA n’est chargée ni de protection des Français, ni de prévention… Mieux, pour retirer le droit d’asile à un ressortissant étranger sa présence doit être jugée comme une menace grave pour la société une fois condamné pour des actes de terrorisme, comme l’a fait l’OFPRA en 2017. Clairement, l’apologie du terrorisme n’est pas reconnue comme un acte de terrorisme… Et l’incitation à la haine raciale?

Ce qu’a donc confirmé le Conseil d’Etat le 12 février 2021, après que l’OFPRA a provoqué un pourvoi en cassation contre la décision de la CNDA : « La Cour n’a pas commis d’erreur de droit […]  l’OFPRA n’est pas fondé à demander l’annulation de la décision de la Cour nationale du droit d’asile qu’il attaque. » Permettant de rétablir définitivement le réfugié tchétchène dans ses droits de réfugié. « La Cour a raison juridiquement… Mais le Conseil d’Etat s’est livré à une interprétation restrictive du droit, qui en effet ne dit pas que l’apologie du terrorisme est un acte terroriste

Il faut modifier la loi en passant par le Parlement afin qu’une condamnation pour apologie du terrorisme soit suffisante pour mettre fin au droit d’asile  ! », affirme l’avocat Régis de Castelnau.

Pour lui, l’idéologie des magistrats a été confortée par les textes juridiques. Au mépris des victimes et de leurs familles Et des morts à venir.

Supranationales, les ONG nous font la leçon sur l’accueil des clandestins

« Il faut protéger plus que jamais les droits des migrants »

Elles ne sont pas élues, mais leurs activistes veulent s’imposer à nos représentants.

Nos élus sont-ils inconscients ou complices de cette menace sur la démocratie? Les associations Amnesty International France, La Cimade, Médecins du monde, Médecins sans frontières et Secours catholique-Caritas France appellent à mettre en place « une politique d’accueil des personnes migrantes à même de préserver les libertés et les droits fondamentaux de tous ».

Des tentes installées place de l'Hôtel de ville à Paris, le 1er septembre 2020.
Alignement de tentes neuves devant l’Hôtel de ville de Paris:

clandestins instrumentalisés par des ONG factieuses, le 1er septembre 2020.

Une tribune de plus: « Ce 18 décembre était célébrée par l’ONU la Journée internationale des migrants. Nos associations, Amnesty International France, La Cimade, Médecins du monde, Médecins sans frontières, Secours catholique-Caritas France, appellent les responsables politiques et les élus à s’engager dans une approche constructive et non défensive afin que la politique d’accueil des personnes exilées en France soit respectueuse de la dignité de ces personnes. »

Vivant de dons et de subventions, elles ne représentent qu’elles-mêmes

« La crise sanitaire a été un événement brutal qui a exacerbé les profondes inégalités de nos sociétés européennes. Les personnes précaires ont été à la fois les « premières de corvée » et les plus durement frappées du fait de leurs conditions de vie – ou de survie -, de logement, de la raréfaction voire de l’absence de ressources et de leur éloignement des soins. Parmi les plus démunies, les personnes étrangères ont vu leur précarité souvent aggravée. [Ces associations internationales ne prennent pas en compte la traite des êtres humains par les passeurs: lien

« En France, depuis des années, nous voyons se déployer une politique qui tend à dissuader les personnes exilées [quel motif: liens culturel avec la Tchétchénie , historique avec l’Afghanistan?] de venir sur notre territoire. »

« Aux frontières de l’Union européenne [où ces organisations illégitimes ont-elles vu des frontières à Menton?], des hommes, des femmes et des enfants en quête d’asile [à quel titre quand on est Marocain: social?] ont dû faire face à des conditions sanitaires exécrables [arrivés à 60.000 morts, les indigènes de France sont-ils outrageusement privilégiés?]. En pleine pandémie, ces personnes [dans l’illégalité] ont été tantôt enfermées dans des camps surpeuplés (nourries, logées soignées dans les îles grecques ou en Bosnie), tantôt laissées à la rue sans possibilité de se protéger [dans des pays qui ont déjà des sans-abri laissés pour compte], lorsqu’elles n’ont pas été abandonnées à leur mort en mer, faute d’organisation volontaire des secours par les Etats européens. » [intolérable accusation]

Au travers de sa charte des droits fondamentaux, l’Union européenne, est promotrice des droits des migrants. Elle a créé deux conventions internationales : la convention internationale pour la sauvegarde de la vie humaine en mer, dite  » convention SOLAS « , et la convention de recherche et de sauvetage, dite  » convention SAR « , entrées en vigueur respectivement en 1980 et 1985.

« En France, depuis des années, nous voyons se déployer une politique qui tend à dissuader les personnes exilées de venir sur notre territoire. Celle-ci se traduit par des pratiques administratives et policières condamnables et par un dispositif d’accueil dégradé qui porte atteinte au respect des droits humains : graves manquements au devoir de protection des mineurs isolés, entraves au droit à l’asile, carences et dysfonctionnements des dispositifs de prise en charge sanitaire et sociale, comportements intimidants voire brutaux de la part des forces de l’ordre, limitation de l’accès aux soins. [Insupportable accusation: debut avril, le Secours catholique a fermé ses lieux d’accueil collectif, afin d’endiguer la propagation de la pandémie: lien]

Malgré cette pandémie brandie par les ONG manipulatrices de la vérité et de l’opinion et selon les chiffres du Haut-commissariat des Nations unies aux réfugiés (HCR), les tentatives au départ de la Tunisie durant le premier semestre de 2020 ont augmenté de 462%. Or, les pays d’émigration ne souhaitent pas une fuite de leur jeunesse, dont les mineurs isolés marocains. Ils passent des accords avec les membres de l’UE ciblés pour leur maintien au pays. Ainsi le Maroc et la Tunisie sont-ils tombés d’accord avec Darmanin pour ralentir leur émigration vers la France: lien

« Cette politique assumée du déni des droits ne peut plus durer », bavent ces ONG [cf. supra]

Sur certains territoires (à Menton, sur le littoral nord ou encore en Ile-de-France), les réponses apportées par les autorités nationales sont particulièrement répressives [la vallée de la Roya est un lieu d’activisme « no border » au détriment des citoyens français]: évacuations policières quotidiennes des lieux de (sur-)vie, privations arbitraires de liberté, refoulements en cascade, et poursuites pénales [l’illégalité est punie par la loi!] à l’encontre des personnes [ces « personnes » sont des réseaux et des réseaux séditieux] venant apporter une simple aide humanitaire [illégale, puisqu’elle contrevient à la volonté populaire qui s’exprime dans la loi].

« Cette politique assumée du déni des droits ne peut plus durer. » [nul n’est censé ignorer la loi et elle s’applique à tous, y compris aux ONG, « simples » associations, usurpatrices de titres creux]

« L’expérience de ces dernières années fait la preuve, selon cette tribune, que la répétition permanente des mêmes réponses déshumanisantes est sans issue. La politique visant à dissuader ces personnes et à les rendre invisibles, en les empêchant d’accéder à leurs besoins essentiels, en les chassant du moindre campement constitué, en les enfermant, en les renvoyant de l’autre côté de la frontière, en détruisant leurs affaires n’a jamais apporté aucune solution, sinon des souffrances supplémentaires. [victimisation classique et culpabilisation insupportable de « personnes » qui ont pourtant déjà tant oeuvré pour faire face à des vagues incessantes de clandestins indécents, ne manifestant en retour aucune reconnaissance]

« Il est plus que temps de changer de paradigme et de s’engager dans une approche résolument constructive, basée sur le dialogue » [un référendum et l’inscriptipn à l’article 1 de la Constitution que ces billes de Français doivent partager avec les pays du sud ?].

« Nous appelons à la mise en place d’un espace de concertation pour concevoir au plus tôt une politique d’accueil des personnes migrantes » [un « Branly de la misère du monde » ?]

« Nous appelons donc à la mise en place d’un espace de concertation pour concevoir au plus tôt une politique d’accueil des personnes migrantes à même de préserver les libertés et les droits fondamentaux de tous » [une égalité migrant.e.s et accessoirement mécréants?] .

« Cet espace gagnerait [gagnant-gagnant?] à rassembler, aux côtés des personnes concernées, l’ensemble des acteurs : l’Etat, les collectivités territoriales, les parlementaires, les acteurs économiques, les organisations syndicales, les associations, les chercheurs. » [tiens, les ONG n’ont d’existence légale qu’associative…]

Le Parlement n’a pas d’autre priorité? « La création d’une commission d’enquête parlementaire – commission que nous appelons de nos vœux depuis dix-huit mois – est [une autre exigence des assos factieuses] l’un des outils [armes: mortier et/ou hachoir ?] que les parlementaires peuvent saisir afin de vérifier la réalité des violations des droits fondamentaux des personnes migrantes [et si on parlait de leurs devoirs ?] puis de proposer des mesures concrètes afin d’y remédier. D’autres instances pourraient sans doute remplir des visées semblables.

Il est temps de sortir du cycle délétère et sans fin de l’inhospitalité élevée au rang de politique. » [c’est le confinement qui est à l’ordre du jour]

Que ces associations reviennent nous voir quand elles seront auto-suffisantes et représentatives: en attendant qu’elles se déploient, non en littérature, mais au service des mal-logés et des sans-abri qui, toute leur vie, ont cotisé.

Nantes : une boucherie halal, cible de tags xénophobes

Si le commerçant n’est pas islamiste, le tagueur est-il islamophobe?

Le gérant d'une boucherie située dans le bas Chantenay, à Nantes, a découvert son magasin tagué et vandalisé, ce vendredi matin.
Une boucherie nantaise a été taguée et vandalisée, ce vendredi matin.

A l’ouverture du magasin, le gérant d’une boucherie de Nantes a constaté qu’une ou plusieurs personnes y sont entrées dans la nuit de jeudi à vendredi pour y inscrire des tags xénophobes, avant de casser les vitrines ou encore un téléviseur.

La boucherie, située rue Bougainville à Nantes. Lorsqu’il a levé le rideau métallique de son commerce, rue Bougainville à Nantes, vendredi 6 novembre au matin, le propriétaire d’origine turque a observé des tags politiques vengeurs et des menaces de mort à l’encontre de l’actuel président turc Recep Tayyip Erdoğan et trois mots , « Vive le porc« , inscrits à la peinture noire.

Une boucherie déjà vandalisée dans la semaine

Des tags racistes ont été découverts par le propriétaire d'une boucherie nantaise, ce vendredi matin.

A l’intérieur de la boucherie, une télévision, une balance, ainsi que des vitrines ont également été cassées. Le ou les auteurs de ces actes n’auraient pas forcé la devanture du magasin dans la nuit de jeudi à vendredi. Ils auraient profité de la porte mal fermée de l’immeuble voisin pour pénétrer par l’arrière de la boutique.

Devant la boucherie fracturée il y a deux mois et proposant des produits traditionnels et artisanaux, des membres de la famille du propriétaire se sont rassemblés en soutien au commerçant. Ne voulant « pas faire de vague« , ils ont souhaité rester silencieux – dans le contexte politique tendu avec la Turquie – et ont patienté jusqu’à ce que la police arrive sur place pour prendre des photos et réaliser les premières constatations.

Ce même commerce du quartier turc de Nantes avait déjà été la cible de dégradations deux jours auparavant: le rideau métallique avait été tagué. Des voisins avaient alors collé plusieurs mots de soutien et l’un d’entre eux avait même pris l’initiative d’effacer ces inscriptions. 

Des affrontements opposent Turcs et Arméniens en région Auvergne-Rhône-Alpes, entre Lyon et Vienne, mais jusque dans l’Est. Les Turcs ont également maille à partir avec des clandestins tchétchènes

 

Brahim Chnina est passé d’appels aux dons à des appels à l’action contre Samuel Paty

Tueur par procuration, il est passé des appels aux dons aux appels à la violence contre l’enseignant Samuel Paty

Brahim Chnina, une bonne tête d’islamiste ordinaire parmi nous

Passé judiciaire, implication et radiation d’une association musulmane d’aide aux handicapés, liens avec le terroriste Anzorov: de nouveaux éléments ont été rendus publics vendredi sur le père d’une des élèves du professeur assassiné, qui fait partie des sept personnes mises en examen dans ce dossier.

Deux semaines après l’assassinat par décapitation du professeur de collège Samuel Paty, il reste de nombreuses zones d’ombre autour de Brahim Chnina et de son association, ‘Aide-moi‘. Le 8 octobre, ce père de famille partage une vidéo sur Facebook dans laquelle il met en cause face caméra le comportement du professeur d’histoire-géographie de sa fille, scolarisée au collège de Conflans-Sainte-Honorine. Il raconte que l’enseignant a demandé à ses élèves musulmans de sortir de la classe avant de leur montrer l’image d’«un homme tout nu en leur disant que c’était le prophète des musulmans». On saura que sa fille était absente et que son témoignage est un faux. On apprendra aussi que le professeur a en fait mis en garde ses élèves et proposé aux élèves sensibles sur le sujet de sortir du cours le temps de l’exposition d’une caricature de Charlie hebdo, aussi obscène que puisse l’être un dessin Les jours suivants, il continue de partager sa version des faits dans plusieurs messages sur Facebook.

Le 16 octobre, Samuel Paty est assassiné à sa sortie du collège du Bois-d’Aulne par Abdoullakh Anzorov, un jeune migrant d’origine russe tchétchène, sans lien historique avec la France, âgé de 18 ans, dont quinze passées dans l’enseignement public laïc et obligatoire . Brahim Chnina fait partie des sept personnes qui ont été déférées devant la justice dans le cadre de cette affaire.

Ce n’est pas la première fois que ce Marocain de 48 ans a affaire aux services de police. Paris Match révèle ce vendredi qu’il n’a pas 20 ans quand il se fait interpeller pour la première fois. Il est ensuite cité dans diverses affaires pour vol, menaces ou importations de stupéfiants. En 2003, il refait parler de lui dans une affaire de violences sur sa concubine et d’escroquerie, toujours selon Paris Match.

Ces dernières années, il semble avoir adopté un autre mode de vie. En 2012, le décès de son frère handicapé le conduit à s’investir dans des associations caritatives musulmanes. Trois ans plus tard, il fonde l’antenne du Val-d’Oise d’Aide-moi, une structure qui vient en aide aux personnes en situation de handicap. Selon le statut de l’association, son but est d’organiser et de financer les voyages de «personnes dépendantes, handicapées, malades ou à motricité réduite». Aide-moi les accompagne notamment à faire un pèlerinage à La Mecque, la «oumra» en arabe.

Radié de l’association

Sur Facebook, Brahim Chnina partage de très nombreuses publications demandant de l’aide à des financements vertueux divers, de médicaments, de dispositifs médicaux ou d’activités de loisirs pour des personnes handicapées, à grand renfort de photos: on est en droit de penser que le produit de ces collectes va droit et intégralement aux bonnes oeuvres indiquées.

Mais ces multiples collectes de fonds ne sont pas du goût de la seconde antenne d’Aide-moi, située dans le Nord. D’après son avocat Damien Legrand, les fondateurs de l’association «se sont aperçus qu’il y avait de l’argent sur plusieurs comptes sans savoir de quoi il s’agissait, ni quels projets étaient financés», a-t-il indiqué à Paris Match. Toujours selon l’hebdomadaire, Chnina est alors radié de l’association et aurait dû passer devant le conseil de discipline de cette dernière le 19 octobre.

Il poursuit pourtant son activité d’appels aux dons sur les réseaux sociaux. Puis, le 7 octobre, le Marocain publie un premier message sur son compte Facebook à propos du professeur qui montre des images représentant le prophète Mahomet nu à la classe de sa fille, en son absence. Il appelle alors à «virer ce professeur d’histoire du collège», Samuel Paty, qu’Abdelhakim Sefrioui, l’activiste islamiste fiché S depuis des années traite de « voyou ». Depuis samedi, cet homme fiché S depuis des années ». En réalité, le service de fact-checking de Libération, Check News, a pu prouver que la fille de Brahim Chnina n’était pas présente lors du cours où Samuel Paty a montré des caricatures tirées de Charlie Hebdo, dont une représentait le prophète nu.

L’analyse de la téléphonie d’Abdoullakh Anzorov a montré qu’il avait appelé et échangé des messages sur WhatsApp (groupe Facebook) avec Brahim Chnina, sans que l’on connaisse le détail de leurs discussions. Les deux hommes se sont contactés à plusieurs reprises entre le 9 et le 13 octobre, ce qui interroge à la fois sur l’hypothèse d’un acte d’un fanatique isolé et sur la préméditation du projet criminel d’Anzorov, homme de main d’une mafia islamiste.

Chnina a également été en contact avec Abdelhakim Sefrioui, un militant islamiste bien connu des services de renseignements. Ensemble, ils se sont filmés devant le collège du Bois-d’Aulne, dénonçant une nouvelle fois ce qui s’était passé dans la classe de Samuel Paty. Ni le Renseignement, ni Facebook n’a réagi à cette action d’incitation à la haine et à la violence.

L’employeur de Chnina, CLE’O Group (Cergy, PS, dans le Val-d’Oise, 95), une agence de (cinq) service d’aide à domicile« service à la personne qui vous ressemble » ! [sic] – , a annoncé dans un communiqué avoir suspendu son contrat de travail, en attendant de prendre en charge son licenciement. L’agence – dont le gérant-fondateur est Zouhir Khoubani – a précisé que le père de famille est salarié chez eux depuis 2015, comme auxiliaire de vie sociale et chauffeur accompagnateur. Le secteur de l’aide à domicile, comme celui de l’aide au devoir, est suspecté d’activisme islamo-gauchiste et va devoir faire son ménage à domicile.

BFM avait fait la promotion de Zouheir Khoubani, dirigeant de la société ‘Vivre Avec Vous’ (Clichy, 92), placée sous statut privé et membre du groupe CLE’O…

Dijon: une manifestation de Turcs, interrompue par les forces de l’ordre 

Des tirs de gaz lacrymogène pour repousser des membres de la communauté turque dans le centre de la ville.

« Il s’agit d’une manifestation, rien de plus »,
a fait savoir la préfecture. (Illustration) 

Au lendemain d’une démonstration de force similaire près de Lyon, une « grosse soixantaine » de membres de la communauté turque a manifesté à Dijon, jeudi 29 octobre au soir. 

« Il s’agit d’une manifestation, rien de plus », a précisé la préfecture, après la diffusion de vidéos sur Twitter montrant des dizaines de manifestants brandissant des drapeaux turcs et criant « Allah akbar » (« Dieu est le plus grand », en arabe) dans le centre de Dijon. Filmés le poing levé, les manifestants ont été repoussés par des tirs de gaz lacrymogène vers la gare.

Des affrontements à Décines-Charpieu mercredi

Mercredi soir, les forces de l’ordre étaient déjà intervenues pour empêcher « plusieurs dizaines » de membres de la communauté turque d’en « découdre » avec des Arméniens à Décines-Charpieu, ville de la banlieue lyonnaise qui abrite le mémorial du génocide arménien, avait indiqué la préfecture du Rhône. Il faut signaler aussi que cette commune – prise au Parti socialiste par LR en 2014 – possède un important « centre culturel » recélant une mosquée et son école coranique, mais aussi une école privée musulmane.

Cette manifestation était intervenue après une tentative de blocage, mercredi matin, du péage de Vienne (Isère), au sud de Lyon, par des militants pro-Arménie qui avait dégénéré, faisant quatre blessés, dont l’un frappé à coups de marteau. Si la préfecture de l’Isère avait simplement évoqué des « échauffourées » avec des automobilistes, la presse locale a mis en cause la communauté turque dans ces affrontements.

Dijon avait été secouée à la mi-juin par une démonstration de force de centaines de membres de la communauté tchétchène qui avaient défilé en pleine ville plusieurs nuits durant pour se venger de l’agression de l’un des leurs qu’ils disaient être le fait de membres de la communauté maghrébine. Les images de personnes brandissant des armes, factices ou non, et de violences urbaines avaient été largement diffusées, en France et à l’étranger.

Mélenchon attaque la communauté tchétchène, mais défend les Ouïghours

Alors, tous les Musulmans ne sont plus aussi « bons » que des Palestiniens ?

Mélenchon, lanceur d’alerte, au rétroviseur

Il y a «un problème avec la communauté tchétchène,» estime Mélenchon

Le chef de file de la France insoumise, LFI, a les Tchétchènes dans le colimateur: il appelle les autorités à reprendre tous les dossiers de tous les Tchétchènes présents en France.

Prenant prétexte de la décapitation d’un enseignant des Yvelines par un réfugié russe tchétchène, Mélenchon est intransigeant avec certains musulmans, appelant à «expulser» les Tchétchènes qui agissent sur le terrain de «l’islamisme politique». «Moi, je pense qu’il y a un problème avec la communauté tchétchène en France», a-t-il estimé sur LCI, condamnant toute la communauté dans son ensemble, en rappelant qu’avant cet assassinat, perpétré par ce musulman, comme la gauche en demande l’accueil et la couverture sociale sans conditions, des Tchétchènes venus de France et de Belgique avaient mené des expéditions punitives à Dijon en juin. Qui dit expédition punitive dit pourtant agression préalable: le 15 juin, la vendetta répondait à l’agression d’un Tchétchène de 19 ans par des dealers. Mais les provocateurs à l’origine des hostilités sont des musulmans que protègent Mélenchon et ses camarades partisans.

Force est de constater que les Tchétchènes règlent leurs comptes par la violence, On se souvient, notamment, d’une attaque au couteau perpétrée le 12 mai 2018 à Paris par un « Français » d’origine tchétchène affilié à Daesh, Khamzat Azimov : un passant a été tué et l’agresseur a été abattu par les forces de l’ordre. Des trajectoires de « radicalisation » islamiste, voire des départs en Syrie de Tchétchènes ont été évoqués pour certains, au même titre que de musulmans d’origine maghrébine qui ont, quant à eux, toute l’indulgence de la gauche radicale.

La fibre sécuritaire de Mélenchon

«Ils sont arrivés en France car le gouvernement français, qui était très hostile à Vladimir Poutine, les accueillait à bras ouverts», accuse Mélenchon, mais désormais, «il faut reprendre un par un tous les dossiers des Tchétchènes présents en France et tous ceux qui ont une activité sur les réseaux sociaux, comme c’était le cas de l’assassin ou d’autres, qui ont ont des activités de l’islamisme politique (…), doivent être capturés et expulsés», a estimé Jean-Luc Mélenchon, en faisant valoir que «la loi le permet».

Mélenchon met en cause la responsabilité du gouvernemnt, Nuñez nommément

«Il y a sans doute de très bonnes personnes dans cette communauté, mais c’est notre devoir national que de s’en assurer», a-t-il ajouté. Le député occasionnel des Bouches-du-Rhône s’est par ailleurs étonné qu’à Dijon, «personne n’a rien fait pendant deux jours» pour les empêcher d’agir, et que concernant l’enseignant des Yvelines, «l’assassin pendant une semaine (l’)a menacé» et «personne ne voit rien», alors qu’il existe en France la fonction de coordonnateur national du renseignement et de la lutte antiterroriste, occupée par Laurent Nuñez. «Qu’est-ce qu’ils faisaient tous ces gens qui devaient se coordonner pour se renseigner et agir ?», a-t-il demandé.

«Tous ces gens se défaussent de leurs propres responsabilités»

Interrogé par ailleurs sur les propos de l’ancien Premier ministre Manuel Valls qui considère que Mélenchon a «une très grande responsabilité dans cette lâcheté de la gauche» face à l’islamisme, le chef des Insoumis a «totalement» contesté. «Tous ces gens se défaussent de leurs propres responsabilités», a-t-il accusé à son tour, mais «je ne veux pas entrer dans une bataille de gifles avec Manuel Valls». «Ce n’est pas le moment de la dispute» et il faut «que les terroristes islamistes sachent qu’ils ne nous font pas peur et que leur manoeuvre échouera».

A gauche, lors du rassemblement place de la République à Paris dimanche, en hommage à l’enseignant victime du fanatisme religieux, le premier secrétaire du Parti socialiste a estimé qu‘«il y a des responsabilités qui sont très partagées, hélas, à droite, à gauche, au centre». Olivier Faure mouille tout le monde. Il manque simplement le « depuis des décennies » qui dédouane l’idéologie dominante de la pensée unique qui ruisselle de l’Université sur le peuple, en passant par les partis politiques et la presse,

«Trop ont joué avec l’islamisme», ose Mélenchon

«Soit pour rejeter l’ensemble des musulmans, soit pour protéger les musulmans», commente Mélenchon, sans situer sa propre responsabilité…

Et d’ajouter: « Et ils ont ainsi permis «une forme de tolérance vis-à-vis de ceux qui sont contre la République», a-t-il jugé, vierge de tout parti-pris

Sans vergogne, plus républicain vertueux que quiconque, il appelle, et pourquoi s’en priver, à «l’unité de la nation». Sans discrimination, pour les Ouïghours, mais contre les Tchétchènes.

Le pouvoir prend le parti des Arabes contre les Tchétchènes

Gérald Moussa Darmanin se porte au côté de la communauté majoritaire, fusse-t-elle l’agresseur. « Aucune communauté sur le sol de la République ne fait sa loi », tonne Gérald Darmanin à Saint-Dizier, après l’arrestation de plusieurs Tchétchènes.

L’une des trois expéditions punitives à Dijon à la mi-juin 2020

Les Arabes sont les déclencheurs des hostilités mais courent toujours…

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, était en déplacement, dimanche 16 août, à Saint-Dizier, en Haute-Marne, pour rencontrer les forces de l’ordre, qui ont procédé vendredi à des interpellations visant à empêcher un projet de vengeance après l’agression d’un ressortissant tchétchène. Il est donc admis que les Tchétchènes ne sont pas à l’origine des violences.

Seize Tchetchènes ont été arrêtés, a confirmé le ministre qui ne s’interroge pas sur l’inéquité de ses services, lors de son déplacement. Treize personnes sont encore en garde à vue et trois ont été libérées samedi, sans charges retenues contre elles.

Trois hommes, arrêtés alors qu’ils portaient des couteaux, des bâtons de bois et un sabre dans leurs véhicules, doivent être présentés dimanche à un juge d’instruction en vue de leur mise en examen, selon le Parquet de Chaumont.

Darmanin occulte le sujet de la légalité de la présence de ces Tchétchènes en France

« Des consignes ont été données à l’ensemble du ministère de l’Intérieur pour pouvoir comprendre ce phénomène d‘ultraviolence d’une certaine communauté. Aucune communauté sur le sol de la République ne fait sa loi », a déclaré Gérald Darmanin. Le ministre a rappelé que « c’est la police de la République, la gendarmerie, les forces légitimes d’intervention des forces de l’ordre qui font la loi dans notre pays ».

Une personne reconduite dans son pays

« Il y a une personne qui n’est pas tchétchène et qui a une reconduite à la frontière », a également indiqué Gérald Darmanin, qui a revendiqué avoir demandé à la préfète de procéder à la reconduite de cette personne dans son pays à la fin de la procédure judiciaire. Son origine reste ‘top secret’…

Pour « ceux qui auraient des demandes en cours de droit d’asile et qui seraient confondus par la justice du fait d’avoir des responsabilités particulières dans ce genre d’affaires », Gérald Darmanin a assuré qu’il demanderait à son administration de « regarder avec un œil différent » ces demandes d’asile. « Avoir l’asile sur le territoire national ne crée par des droits de faire le bordel, des règlements de comptes ou d’attenter à la vie des uns et des autres », a-t-il justifié.

Une information judiciaire pour « transport illégal d’armes de catégorie D » et « association de malfaiteurs » doit être ouverte pour poursuivre les investigations, notamment pour déterminer « l’ampleur » de l’appel à se venger qui a circulé entre ces personnes, a indiqué le procureur de la République de Chaumont, Frédéric Nahon.

Seulement trois Tchétchènes parmi les 16 interpellés à Saint-Dizier vendredi doivent être présentés à un juge d’instruction en vue d’une mise en examen.

Les Tchétchènes sont-ils harcelés par les Maghrébins ?

Haute-Marne: un Tchétchène a encore été agressé, jeudi, et 13 autres, âgés de 30 à 40 ans, sont maintenus en garde à vue à Saint-Dizier, pour avoir eu l’intention de venger le premier, selon le parquet de Chaumont, qui précise qu’ils n’ont pas commis de violences.

Une rixe, dont les circonstances restent à déterminer, a éclaté jeudi vers 18h dans le quartier du Vert-Bois, impliquant un Tchétchène d’une trentaine d’années.

Légèrement blessé, il était ressorti rapidement de l’hôpital. Une enquête pour violences visant cette bagarre est en cours; la victime était entendue samedi soir.

Selon la préfecture, l’homme aurait été « la victime collatérale d’un différend entre deux familles de Saint-Dizier. » Des commentaires nébuleux…

Vendredi, de nombreux policiers s’étaient positionnés aux entrées de la ville, pour éviter de possibles violences liées à des expéditions de représailles, comme celles qui s’étaient déroulées mi-juin à Dijon. Des membres de la communauté tchétchène, venus « de toute la France », avaient voulu venger un jeune qui aurait été agressé par un membre de la communauté maghrébine, dont des dealers.

[https://twitter.com/DeltaMike59/status/1272428245451931648?s=19]

L’affrontement aux abords d’un bar à chichas de la place de la République, au coeur de Dijon, a fait une dizaine de blessés.

A la mi-juin à Nice, et quelques jours seulement après une altercation qui avait déjà fait un blessé par arme blanche aux Liserons, quartier de l’Est de Nice, a été une nouvelle fois le théâtre d’une importante opération de police dimanche soir. Selon une source policière, 45 personnes appartenant à la communauté tchétchène ont été interpellées à la suite d’une rixe entre bandes rivales sur fond de trafic de drogue. Aucune arrestation n’est signalée dans la partie adverse, maghrebine.

C’est vers 22 h 40 que la police investit les lieux, après le signalement de plusieurs coups de feu. Deux Tchétchènes, âgés de 32 et 35 ans, sont retrouvés blessés, l’un grièvement à l’abdomen, l’autre touché aux jambes. Les Tchétchènes se sont-ils entretués? Un mineur de 17 ans est également découvert plus légèrement blessé, ayant reçu des coups à la tête. Leurs opposants ne sont pas inquiétés, bien que détenteurs d’armes à feu dont ils font usage.

Que sait-on de la communauté tchétchène en France?

«Une curieuse communauté, opaque, solidaire et divisée à la fois, et une situation paradoxale entre une bonne intégration et des alertes multiples.» Firmule alambiquée d’un haut fonctionnaire connaissant bien les Tchétchènes qui vivent en France, pour une communauté plutôt bien vue par des hauts fonctionnaires et des policiers peu enclins au laxisme, mais qui riposte aux agressions dont elle est la cible par des Maghrébins et qui peut se livrer, comme à Dijon, à des expéditions punitives d’une grande violence pout se faire respecter dans un contexte d’économie souterraine concurentielle…

Combien sont-ils? Les autorités ne le savent pas. Entre 20.000 et 40.000? C’est la fourchette large donnée confidentiellement en haut lieu. Pour la France en effet, point de nationalité tchétchène, mais des réfugiés russes. Et des musmans sunnites.

Au 31 décembre 2019, Macron accueillit 16.120 ressortissants russes (enfants exclus) et s’en déchargea sur l’OFPRA. Les Caucasiens, et parmi eux les Tchétchènes, sont la majorité. Encore faut-il y ajouter les mineurs (et ceux nés sur le sol français ou devenus français) et les clandestins… Darmanin les appelent tous des « demandeurs d’asile ».

Un couple islamiste interpellé en France : revient-il de Syrie avec un projet d’attentat?

Garde à vue dans les locaux de la DGSI

Un couple de Tchétchènes, soupçonné d’avoir séjourné en Syrie, a été interpellé en France par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et placé en garde à vue mardi 5 juin, selon une « source proche de l’enquête », vendredi 8 juin 2018.

Leur arrestation s’est déroulée pour l’un dans le Puy-de-Dôme et pour l’autre, en Moselle. Elle a été menée dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte par le Parquet de Paris en février dernier pour « association de malfaiteurs terroristes en vue de la préparation de crime d’atteinte aux personnes ».

Le couple est en garde à vue dans les locaux de la DGSI à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). L’enquête doit permettre de déterminer si l’un des deux mis en cause ou les deux ont séjourné en Syrie.

L’attentat de l’Opéra Garnier à Paris, commis un homme d’origine tchétchène.

La République tchétchène a fourni un grand nombre de djihadistes parmi les étrangers partis rejoindre les rangs de Daech.

En France, le dernier attentat djihadiste a été commis par un Franco-russe d’origine tchétchène de 20 ans suivi pour radicalisation, Khamzat Azimov. Armé d’un couteau, il a tué un passant de 29 ans et blessé cinq autres personnes dans le quartier de l’Opéra Garnier à Paris.

Un ami de ce dernier, Abdoul Hakim Anaiev, a été mis en examen et incarcéré pour « association de malfaiteurs terroriste en vue de préparer des crimes d’atteintes aux personnes ». L’attaque a été revendiquée par le groupe islamiste.

Le tueur islamiste de l’Opéra est encore un exemple de ‘taqîya’, art du mensonge islamique

Il n’est rien de pire que l’eau qui dort

blog -islam religion de haine-preceptes vieux TalibanLes voisins l’assurent : c’était un gars sans histoires, serviable ou taciturne, mais toujours discret.  Même pas barbu, il ne buvait, ni ne fumait, et ne fréquentait pas les filles.  Le mec bien sous tout rapport, dans le quartier…

Prenez donc le tueur islamiste au couteau du quartier de l’Opéra: la famille du Tchétchène Khamzat Azimov, le fils assassin de 20 ans, avait demandé le statut de réfugié politique et la France avait ouvert les bras à ce citoyen de la fédération de Russie, dans le Caucase, où entre 100.000 à 300.000 civils – à 80% musulmans sunnites –  ont péri lors des luttes sécessionnistes de 1994 à 2000, du fait de leur opposition indépendantiste. Naturalisé français en 2010. à l’âge de 12 ans, ‘il est fiché S’ depuis 2016,  à sa majorité. 

Ce Français a tué un passant et en a blessés quatre autres. Quand le pouvoir français et sa presse « libre et indépendante » nient la réalité du terrorisme islamiste intérieur, ils parlent d’ « assaillant » au couteau, crime perpétré à Paris, samedi 12 mai en début de soirée dans le quartier de l’Opéra. Le fanatique a été rapidement abattu – à sa demande insistante de martyr de la cause – par les forces de police, avant d’être identifié dans la nuit.

La presse a sélectionné quelques éléments concernant le terroriste islamiste

blog -Azimov K-terroriste islamiste tchetchene_mai2018L' »auteur – non qualifié – de l’attentat – non qualifié- » qui ne portait pas de papiers sur lui au moment de l’ « agression’ (sic), a été identifié comme étant un « jeune homme » de 20 ans, nommé Khamzat Azimov. Né en 1997 en Tchétchénie (Russie), il avait – sans problème – obtenu la nationalité française en 2010, après la naturalisation de sa mère, a précisé dimanche le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux. Et le père ?

Selon plusieurs sources, K. Azimov a grandi dans une famille de réfugiés à Strasbourg, dans le quartier populaire d’Elsau où vit une importante communauté tchétchène – car la France organise elle-même les regroupements ethniques, les ghettos – et où il a obtenu son baccalauréat. Depuis quelques mois, il vivait dans le 18e arrondissement  – multi-culturel – de Paris avec ses parents. Donc, avec le père ?

Etait-il suivi par les services de renseignement ?

Il n’avait pas d’antécédents judiciaires, mais « avait attiré l’attention des services de renseignement« , selon une source judiciaire. Proche du mari [français ?) d’une femme (française ?) partie en Syrie, Khamzat Azimov faisait l’objet d’une fiche S depuis 2016. Pour cette raison, il avait d’ailleurs été entendu il y a environ un an, par la section antiterroriste de la brigade criminelle. SDAT (Sous-Direction Anti-Terroriste de la Direction Centrale de la Police Judiciaire), AT/PP (Section Anti Terroriste de la Préfecture de Police de Paris) ou DGSI: Direction Générale de la Sécurité Intérieure) ? Simple contrôle de routine ? 
Résultat de recherche d'images pour "Khamzat Azimov"En effet, il était également inscrit au Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT). Ils sont près de 20.000 dans ce fichier, selon le dernier décompte de Matignon, publié en février dernier, dont plus de moitié seraient actuellement sous haute surveillance. A l’inverse des fameuses ‘fiches S’, qui recensent les personnes susceptibles de menacer la « sûreté de l’Etat » et dont les profils peuvent être très variés – des militants d’extrême-gauche aux hooligans -, ce fichier recense exclusivement des individus radicalisés, comme ce fut le cas de l’islamiste Radouane Lakdim, sans qu’il ait pu l’empêcher de perpétrer la prise d’otages survenue le 23 mars 2018 à Trèbes près de Carcassonne (Aude), dans laquelle le Colonel Beltrame a donné sa vie.

Quelles étaient ses motivations ? 
L’enquête doit encore investiguer plus avant : les faits ne seraient pas suffisamment clairs ! Les motivations exactes de l’islamiste – pardon, « l’auteur de l’agression » –  le mode opératoire et le fait que l’ « assaillant » ait crié « Allah Akbar«  durant l' »attaque » – nous oserons dire l' »attentat » et même « l’attentat politique par un réfugié politique« – ont toutefois conduit à la saisine de la section antiterroriste du Parquet de Paris, a annoncé le procureur de Paris, François Molins. 

Tard dans la soirée, le groupe Etat islamique a revendiqué l’attaque via son agence de propagande. « L’auteur de cette attaque au couteau à Paris est un soldat de l’Etat islamique [entité politique] et l’opération a été menée en représailles envers les Etats de la coalition » internationale antidjihadiste en Irak et en Syrie, a déclaré une « source sécuritaire » à l’agence Amaq.

Le jeune réfugié politique pratiquait la ‘taqîya’

C’est une tRésultat de recherche d'images pour "taqîya"olérance coranique en milieu ennemi : le réfugié politique tchétchène se sentait en milieu hostile en France. Or, le Coran autorise la tromperie et la dissimulation,  la ‘taqîya’ (ou ‘taqqiya’). Il  encourage les musulmans à tromper des non-musulmans, les mécréants, pour faire avancer la cause de l’islam. Les groupes musulmans aujourd’hui en occident la pratiquent pour créer l’illusion que l’islam est une ‘religion de paix ». 

La « tromperie » ou la simple « omission »  trouve son origine dans la sourate 3:28 qui enseigne clairement qu’un croyant « ne doit pas prendre pour alliés des infidèles » …à moins que ce soit pour « se protéger d’eux ». Ou les combattre. 

Il est écrit : « La tromperie est autorisée quand les musulmans sont vulnérables ou en position de faiblesse. Ils peuvent tromper les infidèles, faire semblant d’être amis avec eux ». Et  Ibn Kathir, l’un des grands commentateurs du Coran, de citer la tradition : « Nous leur sourions par devant, mais par derrière, nous les maudissons. »

La presse qui prétend nous informer ne laisse rien filtrer sur une possible filière tchétchène.

Béziers : préparation d’un attentat déjouée

Interpellation de cinq Tchétchènes soupçonnés de préparer un attentat

Les cinq suspects russes ont été interpellés lundi soir à Béziers dans le Sud-Est de la France, a fait savoir le procureur de la ville, Yvon Calvet, ce mardi 20 janvier. Ils ont été placés en garde à vue et des perquisitions ont eu lieu. Il n’était pas possible dans l’immédiat de préciser le lieu présumé de l’attentat.

A noter que les Tchétchènes sont des Russes musulmans du Caucase du Nord et que les autorités russes affirment disposer de preuves de liens des groupes djihadistes tchétchènes avec des réseaux terroristes étrangers, notamment al-Qaida.

« Des produits ont été retrouvés lors de ces perquisitions », a expliqué le représentant du ministère de la Justice, sans préciser leur nature. L’une des personnes interpellées habite Béziers et une autre « probablement » à Montpellier.

Les enquêteurs s’efforcent en outre de trouver les adresses des trois autres suspects placés en garde à vue. L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Montpellier.

Il apparaît que les informations dans la presse vont plus vite que les enquêtes

Les annonces de menaces déjouées se bousculent
Ainsi, un drone aurait survolé l’Elysée dans la nuit de jeudi à vendredi: lien PaSiDupes
Et des soldats auraient été menacés devant une école juive :lien PaSiDupes