Les personnalités préférées des Français en 2023

Ceux qui n’y paraissent pas en disent long sur notre société

    Le Top 50 des personnalités préférées des Français est paru. Jean-Jacques Goldmann se maintient à la première place du classement, suivi de Florent Pagny et de Thomas Pesquet, selon Le Journal du Dimanche.

    Pour la 13e fois, Jean-Jacques Goldmann est en tête du classement des personnalités préférées des Français, selon le baromètre Ifop/JDD publié samedi soir. Retiré du devant de la scène, il continue d’accompagner la vie des Français à travers ses chansons à succès.

    Le chanteur est talonné par Florent Pagny et par l’astronaute Thomas Pesquet qui perd une place par rapport à l’an dernier. Egalement habitué de ce classement, Omar Sy prend la 4e place suivi du chanteur Vianney.

    Sophie Marceau, première femme

    Placée en 15e position, Sophie Marceau est la première femme de ce top loin d’être paritaire puisque seules 18 femmes se hissent dans le top 50. L’animatrice Karine Le Marchand est 18e, et les actrices Alexandra Lamy et Virginie Efira prennent respectivement les 19e et 24e places.

    Dans le détail, affligeant, le reste du top 20 est composé de Soprano (6e), Francis Cabrel (7e), Grand Corps Malade (8e), Dany Boon (9e), Philippe Etchebest (10e), Jean Reno (11e), Jean Dujardin (12e), Michel Sardou (13e), Cyril Lignac (14e), Zinédine Zidane (16e), Teddy Riner (17e), et Renaud (20e).

    Jordan Bardella 30e

    Côté sportifs, on note le recul des joueurs de l’équipe de France de football qui, auréolés de leur parcours lors du Mondial 2022, figuraient en bonne place l’an dernier. Quatrième l’an dernier, Kylian Mbappé chute à la 22e place. Seuls Zinédine Zidane et Teddy Riner restent bien classés, tandis que le capitaine du XV de France Antoine Dupont arrive au 38e rang.

    Le président du Rassemblement National (RN) Jordan Bardella est la seule personnalité politique présente, puisqu’il prend la 30e place. « Du jamais vu », s’étonne le directeur de l’Ifop Frédéric Dabi dans le JDD. Gabriel Attal reste à la porte du classement en 57e place, tandis que Macron dégringole à la 63e place après une 35e place en 2022.

    Le top 20 des personnalités préférées des Français

    1. Jean-Jacques Goldman
    2. Florent Pagny
    3. Thomas Pesquet
    4. Omar Sy
    5. Vianney
    6. Soprano
    7. Francis Cabrel
    8. Grand Corps Malade
    9. Dany Boon
    10. Philippe Etchebest
    11. Jean Reno
    12. Jean Dujardin
    13. Michel Sardou
    14. Cyril Lignac
    15. Sophie Marceau
    16. Zinedine Zidane
    17. Teddy Riner
    18. Karine Le Marchand
    19. Alexandra Lamy
    20. Renaud

    Cherchez les intellectuels, les chercheurs scientifiques ou les héros: c’est mort ! Les écrans ne les connaissent pas…

    Le cancer de Patrick Balkany révélé par sa femme Isabelle

    L’acharnement politico-judiciaire et médiatique sont-ils en cause ?

    Le 5 août dernier, l’ancienne femme politique a eu la joie d’apprendre que son mari Patrick Balkany, a été libéré de prison après avoir passé plusieurs mois derrière les barreaux.

    « Il s’éteint doucement d’un cancer généralisé des os » : après la libération de Patrick Balkany, sa femme Isabelle fait une triste révélation.

    Condamné à 5 ans de prison pour blanchiment de fraude fiscale, l’ancien maire de Levallois-Perret, 73 ans, était incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis (Essonne)… et a été relâché beaucoup plus tôt que prévu pour des raisons de santé. « C’est très difficile. J’étais isolé, seul. Je n’ai pas croisé un détenu pendant six mois. Ça hurle dans tous les sens, c’est très fatigant. On n’arrive pas à dormir parce qu’à deux heures du matin, ça hurle, ça tape… Je peux vous dire que pour un homme de mon âge, c’est difficile. » avait-il expliqué.

    Heureuse de retrouver son mari, Isabelle Balkany a fièrement publié une photo de lui sur Twitter avec pour légende : « Reconversion dans la météo… Je l’avais prévue la tempête de câlins en Normandie », ce lundi 8 août 2022.

    Pointés du doigt par de nombreuses personnes depuis leur comparution en justice, les époux Balkany doivent quotidiennement faire face aux critiques et un internaute a justement profité de cette occasion pour lancer un pique. « Il est où grain de riz ? » a demandé l’internaute en faisant référence à la polémique née après que le couple a surnommé un de ses employés vietnamiens, « grain de riz ».

    Ayant du bien du mal à garder son calme, Isabelle Balkany a répondu avec rage : « Heureuse que vous demandiez de ses nouvelles, pauvre m… que vous êtes. Très handicapé, il s’éteint doucement d’un cancer généralisé des os. Nous sommes à ses côtés, comme nous l’avons toujours été. Et vous, vous tapez sur un clavier ».

    Isabelle Balkany lutte aussi contre un cancer

    Opérée d’un cancer du poumon, Isabelle Balkany est sortie de l’hôpital. Hospitalisée depuis sa tentative de suicide en février dernier, elle est sortie de l’hôpital ce samedi 4 janvier.

    Difficile de ne pas penser que ces deux cancers sont en lien avec l’acharnement de la gauche politique et sa presse contre le couple. Les réseaux sociaux ne manqueront pas d’ailleursde cracher leur venin.

    Yann Barthès insulte Ivan Rioufol, avec le soutien de la gauchosphère

    « Pascal Praud règle ses comptes avec Quotidien » (TMC/TF1), s’étonne Puremedias (groupe Fimalac, détenu par Marc Ladreit de Lacharrière)

    Le monde à l’envers ou une « inversion des valeurs », si ce groupe en avait. Mais le journaliste, Florian Guadalupe, 29 ans, est « fan de football », pour tout dire. Et ancien stagiaire à la rédaction du Clichy Mag (ville PS jusqu’en 2015) et ex-pigiste à Rue89 (groupe L’Obs détenu par le groupe Le Monde).

    Webedia et Fimalac sont détenus par Marc Ladreit de Lacharrière, ex-propriétaire du groupe Valmonde (Valeurs actuelles, etc) jusqu’en 1993 quand il le revend à la holding Dassault Communication, de plusieurs salles de théâtre parisiens, dont la salle Pleyel, et aussi de la Revue des deux Mondes – il y embauche l’épouse du premier ministre, Penelope Fillon, en tant que conseillère littéraire – , de la Sofres (1992-1998) ou de l’agence de notation financière internationale, Fitch Ratings (1997-2014), sans sévérité à l’endroit de Sarkozy au temps de la crise économique et financière internationale.

    Il est aussi bien à l’origine, en 1993, de la fondation Agir contre l’exclusion avec la socialiste Martine Aubry, fondation qu’il soutient financièrement. Et quand il cède 10% de sa fortune à sa fondation philanthropique, au service de tous ceux « moins chanceux », c’est une somme amassée grâce aux plus-values réalisées par vente et achat d’entreprises et par optimisation fiscale…

    Lien TikTok

    La guerre est relancée. Ce matin, dans « L’heure des pros » sur CNews, Pascal Praud a réglé ses comptes avec « Quotidien », l’émission présentée par Yann Barthès sur TMC. Mardi soir, le talk s’était payé la chaîne d’information du groupe Canal+, en compilant des extraits d’interventions de personnalités du canal 16 autour du match de Coupe du monde entre la France et le Maroc.

    Parmi ces séquences, une de Charlotte d’Ornellas, journaliste à « Valeurs actuelles » : « Moi, en l’occurrence, j’étais sur le périphérique au moment de la victoire du Maroc. J’avais vraiment l’impression de vivre à Casablanca« . Ou Ivan Rioufol de dire : « Les drapeaux maghrébins et arabo-musulmans sont restés très visible dans une sorte d’appropriation…« . Ce à quoi Yann Barthès lui a « répondu », de loin : « Ta gueule, on a compris ! ».

    Lien video

    « Ces gens sont aux ordres d’un groupe pour nous attaquer matin, midi et soir »

    Le présentateur de « L’heure des pros », Pascal Praud, a dézingué ce matin l’émission « Quotidien ».

    « Tous les soirs, l’émission de Yann Barthès pilonne CNews. Ils ont fait des montages. Ils mettent des gens en danger, des gens comme Charlotte d’Ornellas ou Ivan Rioufol. Ils leur font dire parfois ce qu’ils n’ont pas dit. Ce sont des images détournées. Il y a quelque chose qui n’est pas convenable« , a commencé Pascal Praud. Et de viser directement Yann Barthès : « Il s’est permis de dire à l’antenne ‘Ta gueule !’ à Ivan Rioufol« . « Je ne sais pas comment ça se passe à TF1. Je ne sais pas si monsieur Rodolphe Belmer, qui dirige TF1, admet que l’un de ses journalistes dise ‘Ta gueule’. Je ne sais pas si Martin Bouygues, qui est l’actionnaire de référence, admet que CNews soit la cible de ‘Quotidien’« , a poursuivi le présentateur.

    Le présentateur vedette de CNews dérange: la chaîne menace sa rivale LCI et tout le groupe TF1 est mobilisé pour harceler la dernière née qui, à elle seule, assure le pluralisme dans l’audiovisuel français. Praud fait la part des responsabilités. « Yann Barthès le seul responsable » ? : « Il est à l’oreillette. Il ne dit jamais rien qui ne soit écrit par quelqu’un d’autre. C’est son producteur, Laurent Bon, qui écrit tout et qui fait tout« . « Derrière ça, il y a aussi une chaîne qui est visée, parce que nous sommes concurrents de LCI. Ces gens sont aux ordres d’un groupe, pour nous attaquer matin, midi et soir. Ce n’est pas convenable« , a dénoncé Pascal Praud. Et d’indiquer : « Ici, nous, nous n’insultons pas, surtout pas le groupe TF1. On ne se permettrait pas de dire ‘Ta gueule’ !« . 

    Visionner la séquence de CNews:

    Laurent Bon, 54 ans, est le pygmalion de Yann Barthez, , depuis qu’il est passé de Radio France à Canal+ en 2001 en tant que producteur éditorial de + Clair (Daphné Roulier, Canal+), où il rencontre Yann Barthès, dont il devient très proche, au point de mettre lui mettre les mots dans la bouche.

    «Les deux hommes sont indissociables. Ils me font penser au couple Arthur-Stéphane Courbit pour les branchés. Ils sont tous deux issus d’un milieu populaire de province », selon Gala.
    Leurs parents sont cheminots.

    En 2016, Télérama avait aussi évoqué la complicité de Yann Barthès avec son producteur, Laurent Bon, en soulignant la force de leur « couple ».
    Sans jamais évoquer l’orientation sexuelle de l’animateur, « Télérama » laissait en effet entendre que l’animateur est embarqué dans une relation amoureuse avec son producteur, Laurent Bon.
    En interview cependant, Yann Barthès garde le silence sur sa vie intime.

    Les deux potes ont un bébé depuis juillet 2011, la société Bangumi, qui produit Le Petit Journal (jusqu’en 2016), Le SupplémentLe Supplément politique, Stupéfiant ! pour France 2 et Quotidien (depuis 2016) et des documentaires en lien avec la mode, majoritairement diffusés sur Arte.

    Comme rédacteur en chef de l’émission On ne peut pas plaire à tout le monde (PAF Productions de Marc-Olivier Fogiel dont il est très proche), L. Bon est condamné à une amende de 2.000 euros pour injure raciste en 2005, ayant participé à la mise à l’antenne d’un SMS factice visant l’humoriste Dieudonné.

    Refus de Macron de débattre avant le premier tour

    « Une façon de se défiler, » réagit Zemmour

    Son bilan rend Macron vulnérable. Il a repoussé sa déclaration de candidature jusqu’à la limite extrême. Il a ensuite confirmé ses craintes d’un vrai débat à armes égales en faisant savoir lundi soir depuis Poissy (Yvelines) qu’il rejette l’idée d’un débat avec les autres candidats avant le premier tour de la présidentielle. Le président sortant effectuait son premier déplacement de campagne en tant que candidat, en terrain conquis et devant un auditoire trié sur le volet par le maire DVD de Poissy, Karl Olive, dans l’arrondissement de Saint-Germain-en-Laye.

    « Il a trouvé l’argument de dire ‘les autres ne l’ont pas fait’. » Pour étayer son refus, l’amateur de débats Potemkine a justifié son esquive de débat sur son débat et son programme en rappelant qu' »aucun président en fonction qui se représentait ne l’a fait. » Et le prétendu révolutionnaire de 2017 d’ajouter: « je ne vois pas pourquoi je ferais différemment du général de Gaulle, de François Mitterrand, de Jacques Chirac ou de Nicolas Sarkozy, a opposé le prétendu révolutionnaire de 2017.

    « En tout cas, factuellement, c’est exact, aucun de ses prédécesseurs n’a débattu au premier tour. Je ne vais pas le nier, ce serait idiot. Si je voulais être taquin, je lui dirais qu’il ne faut pas qu’il prenne l’exemple du général de Gaulle parce que le général de Gaulle n’a même pas fait campagne avant le premier tour« , a réagi ce mardi Eric Zemmour sur BFMTV-RMC.

    « C’est une façon un peu de se défiler, mais il a trouvé l’argument de dire ‘les autres ne l’ont pas fait’. Très bien. De toute façon, je pense que les Français attendent le débat entre les deux tours entre lui et moi« , a également lancé l’essayiste ajoutant « regretter » le fait qu’il n’y ait pas de débat.

    « Mais il n’y a pas que lui, Mme Le Pen refuse tout débat, Mme Pécresse ça fait trois mois, elle a fini par accepter un débat, il n’y a pas que Macron qui ne veut pas de débat, mais bon je fais avec, mais ce que je veux vous dire, c’est que je pense que le débat fondamental sera le débat du second tour entre Emmanuel Macron et moi, car il opposera deux visions de la société », a insisté Eric Zemmour.

    A noter qu’aucun sondage récent ne donne Eric Zemmour en capacité de se qualifier au second tour du scrutin, et indique plutôt une perte de vitesse du candidat.

    Pas de débat avant le premier tour et peu de meetings pour Macron

    Éric Zemmour, invité de BFMTV-RMC mardi 8 mars 2022 - BFMTV
    Eric Zemmour, à BFMTV-RMC mardi 8 mars 2022

    Lundi à Poissy, le président-candidat a opté pour des rencontres avec les des Français sélectionnés, plutôt que des meetings de campagne.

    « Plutôt que de faire des meetings où des gens vous applaudissent parce qu’il sont déjà convaincus, je préfère le débat avec les Français. C’est ce que je leur dois », a-t-il raconté, sachant que les meetings sont peu susceptibles de manipulation, à la différence de rencontres frelatées, militants et sympathisants mis en scène, avec ordre de passage et questions écrites.

    La presse deférente ne joue pas son rôle en ne poussant pas les douze candidats à débattre.

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    « Macron, j’aimerais bien lui péter la gueule ! », déclare l’acteur Pio Marmaï au festival de Cannes 2021

    Ambiance subversive du monde de la culture pour qui les salles sont ré-ouvertes dans la pandémie.

    L’individu est au centre, avec un bonnet… noir !

    Il fallait sauver Pio Marmaï et ses semblables du marasme !… Ceux qui croyaient qu’il fallait être intelligent pour jouer la comédie sont déçus. Mais cette pensée violente et grossière est dans la ligne de la baffe à Macron à Tain-l’Hermitage.

    Durant la conférence de presse de « La Fracture », le film de Catherine Corsini où il incarne un Gilet jaune, Pio Marmaï a expliqué partager « comme tout le monde », le fantasme de son personnage d’entrer à l’Elysée pour « péter la gueule » à Macron. « Des propos qui ont déclenché une vive polémique, » selon la presse. Les insultes et les menaces physiques n’indignent plus, pascmême à l’adresse du chef de l’Etat. C’est dire à quel niveau, proche du degré zéro de la citoyenneté, le président Macron a abaissé la fonction.

    « Est-ce la première polémique du 74e Festival de Cannes ? », interroge finement la presse, dans son rôle de transmission d’une consigne élyséenne de banalisation de la haine politique et de la vulgarité du monde de la « culture ».

    Sur les réseaux sociaux, depuis quelques heures, les internautes se jettent, babines baveuses, sur la séquence de la conférence de presse du film La Fracture, au cours de laquelle le comédien Pio Marmaï , qui partage l’affiche avec Marina Foïs, Valéria Bruni Tedeschi, s’est fait porte-parole de la profession, si subventionnée soit-elle. En l’occurrence,

    Gouvernement

    CHAZ Productions (UniFrance, association sous le contrôle des pouvoirs publics et notamment du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).), l’Institut français (établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) français, opérateur du ministère chargé des Affaires étrangères et du ministère chargé de la Culture de Roselyne Bachelot, pour l’action culturelle extérieure de la France), Procirep (société des producteurs de cinéma), Titrafilm et… Kering (famille François Pinault, détentrice de Yves Saint-Laurent ou Le Point).

    « Alors en l’occurrence moi Macron j’aimerais bien aller chez lui en passant par les chiottes et par les tuyaux et lui péter la gueule, ça évidemment un peu comme tout le monde, dans l’absolu« , lance le primate.

    Des propos qui ont rapidement fait réagir anonymes et personnalités politiques. « L’appel à la violence n’a sa place nulle part, et votre statut ‘d’artiste’ ne le rend ni plus intelligent ni plus acceptable. C’est même l’inverse : vous remportez la palme du propos le plus vulgaire« , a ainsi tweeté Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur au moment des manifestations des Gilets jaunes et ex-élu battu en PACA.

    « Certains devraient essayer la crise dans un autre pays juste histoire d’avoir un point de comparaison« , a estimé pour sa part la députée LREM des Bouches-du-Rhône, en PACA) Anne-Laurence Petel, en service commander avec les mêmes documents.

    Dans La Fracture de Catherine Corsini, dont le film est produit par sa compagne Elizabeth Perez et en lice pour la Palme d’or, l’acteur incarne un routier grièvement blessé lors d’une manifestation interdite et d’une charge de CRS sur des Gilets jaunes. Un homme ordinaire – et au bout du rouleau – qui lors de son séjour aux urgences, discute de ses opinions politiques avec la dessinatrice bobo interprétée par Valeria Bruni Tedeschi. 

    Lors d’une scène tragicomique, il lui explique que les Gilets jaunes auraient dû passer par les égouts pour aller crier leur colère à Macron – réfugié dans le bunker du palais présidentiel – plutôt que d’essayer d’accéder aux portes de l’Elysée. C’est à cette séquence que l’acteur a fait référence, ce samedi.

    « Quand on pousse les gens à un endroit de fragilité et de violence pareille, c’est sûr qu’il y a une maladresse qui peut surgir. Un moment un peu de dureté, de révolte dure. C’est ça que j’ai essayé de raconter« , s’est justifié l’acteur de l’un des six films français en compétition et qui a reçu un accueil chaleureux, comme de bien entendu, des festivaliers, marqués à gauche. Il aurait pu aussi se mettre nu, comme une autre dérangée, Corinne Masiero, ci-dessus, aux César.

    Olivier Véran, célibataire : Coralie Dubost l’a largué

    Ce ministre n’est une affaire pour personne

    Ici, le ministre ne fait pas illusion

    Entre Olivier Véran et Coralie Dubost, ça n’a duré que quelques mois, car leur liaison est rompue depuis déjà huit semaines, selon L’Obs, il y a dix jours. Cette fois, la députée a rompu les ponts.

    Le stress de la crise sanitaire, la campagne de vaccination et les confinements successifs auraient-ils eu raison de sa libido ? La présidente déléguée du groupe LREM à l’Assemblée Nationale n’y trouvait plus son compte. La bataille pour la loi Asile et Immigration les avait rapprochés, alors qu’ils étaient tous deux en couple. Ils avaient finalement choisi de quitter leurs compagnons respectifs pour donner une chance à leur histoire.

    Le frimeur fait le beau,
    mais ça ne marche pas
    comme ça dans l’intimité

    Quand Coralie Dubost se confiait sur leur couple

    Après plusieurs apparitions auprès d’Olivier Véran, comme à l’Assemblée Nationale, la représentante LREM avait accepté de s’épancher sur les prémices de leur histoire d’amour dans les colonnes du magazine Paris Match« Entre Olivier et moi, les choses ont pris du temps. On a été collègues, puis amis, avant le coup de foudre », avait expliqué la l’ambitieuse de 38 ans, sans enfants.

    Mais force est de constater que malgré leur complicité, Olivier Véran et Coralie Dubost ont aussi connu des tensions. Notamment en avril 2020, lorsque la concubine avait rejoint un groupe de 69 députés réclamant la réouverture des plages pour la pratique sportive, notamment pour le surf ou encore le kayak. Une initiative qui aurait mis le ministre de la Santé dans l’embarras: la vie privée peut avoir un retentissement sur la vie publique.

    Il ne reste plus qu’au peuple de le renvoyer à Grenoble et de le rendre à ses deux jeunes enfants.

    Transphobie: « Le Monde » obligé de s’excuser pour un dessin

    Le dessinateur Xavier Gorce n’a pas droit au second degré

     » LGBT+ est Charlie « 

    Les pisse-froid font un malheur  contre le dessinateur aux célèbres pingouins: trop vulgaire? Le dessin est-il indécent et le texte grossier? Le prophète en a probablement vu d’autres, comme le pape ou les rabbins, en butte aux agressions hebdomadaires de laïcards intolérants (pléonasme?) alors qu’est-ce qui justifie donc l’emballement du milieu LGBT+. Est-il provocant et diffamant comme un dessin de Charlie hebdo?

    Dessinateur au Monde, Xavier Gorce n’est pas connu pour être graveleux mais l’actualité a relancé la susceptibilité exacerbée du milieu lesbien, gay, bisexuel, transgenre ou gender fluid (non binaire) qui reproche à notre société d’être différente: trop hétéro-normée.

    Alors que la gauche radicale s’en prend au projet de loi Sécurité globale qui vise à protéger les protecteurs de l’ordre public, les anti-flic, gauchistes et journalistes, accusant de porter atteinte à la liberté d’expression. Une lecture tendancieuse du texte a déclenché cinq manifestations du samedi. Or, les éléments de cette gauche qui rend la société libérale responsable de son mal être sexuel a créé une vive polémique mardi 19 janvier, après la publication d’une œuvre évoquant l’actualité, l’affaire de la pédophilie incestueuse d’un intouchable du milieu bobo-intello, le politologue Olivier Duhamel, autocrate domestique respecté et bardé d’honneurs, mais tyran familial et surtout libertaire soixante-huitard, promoteur de la libération sexuelle sans exclusive bourgeoise des enfants du cercle familial élargi des Duhamel et Kouchner. Qui dit tabou dit omerta. Quel est le lien entre inceste et transgenre? Sans doute tout ce qui est sexuel leur est-il cruel. Toujours est-il que le journal Le Monde a dû présenter ses excuses. Des regrets n’auraient pas suffi.

    L’objet du scandale?

    La polémique est encore vive sur les réseaux sociaux, en particulier sur Twitter. Ce mardi 19 janvier, dans une newsletter du journal Le Monde, le dessinateur Xavier Gorce, connu pour son ton polémique, a fait de la dérision sur l’inceste. Sur la caricature, un pingouin demande à un autre : « Si j’ai été abusée par le demi-frère adoptif de la compagne de mon père transgenre devenu ma mère, est-ce un inceste ? »

    En quelques minutes, les réactions se sont multipliées sur Twitter, et de nombreux internautes ont dénoncé un dessin transphobe, ainsi qu’une insulte aux personnes victimes d’inceste. Le collectif féministe « NousToutes » a notamment réagi en ces termes : « Ce dessin est une insulte à toutes les victimes d’inceste. Ce dessin est transphobe. Ce dessin est à vomir. »

    Le Monde publie ses excuses

    Dessin du pape sodomisant un enfant : Plantu s'explique en appel
    LGBT+ ne s’est pas toujours indigné:
    l’esprit libertaire post-soixante-huitard de Charlie hebdo est-il politiquement correct ?

    Et Plantu intouchable ?

    Vers 15 heures, la rédaction du Monde, sous la plume de sa toute nouvelle directrice de la rédaction Caroline Monnot, a dû publier une lettre d’excuse. « Le Monde a fait paraître mardi 19 janvier, dans la newsletter « Le Brief du monde », un dessin signé Xavier Gorce qui n’aurait pas dû être publié. Ce dessin peut en effet être lu comme une relativisation de la gravité des faits d’inceste, en des termes déplacés vis-à-vis des victimes et des personnes transgenres. Le Monde tient à s’excuser de cette erreur auprès des lectrices et lecteurs qui ont pu en être choqués ».

    Dans la foulée, le caricaturiste a répondu aux critiques dans un tweet : « J’attends que ça se calme dans la classe et je donnerai quelques clés aux cancres pour comprendre le sens du dessin. S’ils peuvent comprendre quelque chose. Et si j’en ai l’énergie. En attendant, continuez à vous défouler, ça soulage ».

    On ne vient pas ch*er dans les bottes de Xavier Gorce :

    Mais ça ne passera pas par les LGBT+

    Est-ce un effet des nominations massives de femmes à des postes qui dépassent leurs compétences ? En 2013, le PDG de France Télévisions, Rémy Pfimlin avait déconstruit le travail de Patrick de Carolis en décidant de supprimer les directions de chaînes et de mettre en place un nouvel organigramme, avec à sa tête un « Conseil de présidence » composé de quatre membres (Martin Ajdari, Patrice Papet, Thierry Thuillier et Bruno Patino). Une fin de non-recevoir à la demande du gouvernement de nommer à son côté un numéro deux, dans la continuité du poste de directeur général de France Télévisions qu’occupait Patrice Duhamel à l’époque de P. de Carolis. Le groupe féministe La Barbe (groupe d’action féministe constitué autour d’une militante d’Act Up et de militantes soutenant Ségolène Royal en 2007 et, en mai 2011, une dizaine de jours après le début de l’affaire Dominique Strauss-Kahn, le groupe d’action initie avec Osez le féminisme ! – des militantes issues notamment du Mouvement français pour le planning familial, du Parti socialiste, d’EELV, du Front de gauche et de l’UNEF, et opposées aux arrêtés anti-burkinis – une pétition publiée dans Le Monde, où elles dénoncent « le déferlement quotidien de propos misogynes tenus par des personnalités publiques ». La pétition de ces proches du Mouvement #MeToo est notamment signée par Audrey Pulvar, Clémentine Autain, Florence Montreynaud, Annick Coupé, Annie Ernaux et Florence Foresti) avait « félicité » Rémy Pflimlin pour un organigramme qui atteint la perfection en ne comptant pas de femmes.

    Par la loi du 5 mars 2009 prenant effet le 4 janvier 2010, le groupe France Télévisions devint une société nationale de programme commune à toutes ses chaînes (France 2, France 3, France 4, France 5, France Info et le réseau La Première, principalement), France 3 étant depuis directement éditée par France Télévisions. Or, depuis le 22 août 2015, la présidente de France Télévisions, nommée par le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), est Delphine Ernotte qui, après la socialiste Laurence Rossignol (Droits des Femmes), militante féministe, se met les activistes dans la poche en pratiquant la parité femmes-hommes portée par la ministre Marlène Schiappa au profit de ses consoeurs, avec un salaire exorbitant tutoyant celui d’un footballeur mâle (son fixe seul s’élève à 322.000 euros brut par an, le salaire médian d’un footballeur étant de 35.000 euros mensuel).

    On avez noté que désormais les hommes étaient à la cuisine vantant les produits d’entretien dans les pubs, et désormais, Mme Ernotte et le CSA (présidé par Roch-Olivier Maistre, choix de Macron en 2019: lien LesEchos) exigent que les séries policières mettent en vedettes des femmes capitaines de gendarmerie qui se font servir le café par leurs collaborateurs (telle Sabrina Ouazani, par un « mâle blanc » subalterne, dans la série ‘Prière d’enquêter’ réalisée par Laurence Katrian, pour France 3).

    Non seulement, les films co-produits par le service « public » doivent respecter les quotas d’homosexuels en tout genre imposés par la direction totalitaire (une récurrence frappante sur France 2, notamment sur le plateau de «Ça commence aujourdhui» présenté par Faustine Bollaert (victime de viol dans un VTC, ou transexué, trans-identaire et gender fluid), mais on observe par ailleurs que la France se métisse à la vitesse grand V à la télévision les pubs présentent des couples mixtes et les créations artistiques (parfois majoritairement) des personnages de couleur (parfois plusieurs nuances de blanc plus ou moins profond, jusqu’au noir, via le jaune et le gris), comme si le type caucasien avait disparu de l’hexagone: un forcing que s’est développé aux Etats-Unis où la population dominante qui semble être noire représente en vérité près de 13%, les Latinos 18% et les Blancs quelque 60%.

    Il faudrait aussi évoquer l’orientation partisane, sexualisée et racisée, des manuels scolaires…

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    Progressiste post-moderniste, laxiste et libéré sexuel no limit

    Jack Lang, ou la repentance exclusivement coloniale: son embarras ne vaut ni des excuses, ni même des regrets

    Amené à s’expliquer sur la tribune infâme qu’il a signée en 1977, en compagnie d’autres personnalités du « camp du Bien », le socialiste trahit le cynisme des intello, bobo, jouisseurs pitoyables de la gauche exemplaire.  

    Victimisation

    Jack Lang appréciera la prescriptibilité des actes et des mots, mais il est néanmoins rattrapé par le jugement de ses contemporains sur son passé. Interrogé sur Europe 1, non pas sur les fêtes sauvages – free parties, issues des rave parties permanentes, lesquelles trouvent leur origine dans sa Fête de la musique du mois de juin – mais sur une tribune qu’il a signée en janvier 1977, Jack Lang a bien eu du mal, malgré la perversité de sa faconde et la souplesse de sa moralité, à soutenir l’insoutenable et à défendre l’indéfendable, alors que le mouvement #MeTooInceste – qui vise à briser le tabou de la pédo-criminalité – agace les media, mais agite les réseaux sociaux. S’il reconnaît dans un premier temps que « c’était une connerie », il tente aussitôt de se justifie par l’ampleur du mouvement à l’époque: Lang serait donc un suiveur ! Ils étaient en effet « très nombreux à signer ça », de Daniel Cohn-Bendit, un proche de Macron qui anima Mai 68 après s’être vanté de caresses mutuelles avec des enfants en très bas-âge (1 à 6 ans) au jardin d’enfants autogéré de Francfort (et docteur honoris causa de l’université de Nanterre), à Michel Foucaud, philosophe suicidaire qui passa longtemps pour à moitié fou, mais honoré par la République giscardienne et déconstructrice (militant d’extrême gauche, proche du communiste Louis Althusser, son mentor marxiste et structuraliste, assassin de sa compagne, titulaire d’une chaire au prestigieux Collège de France et acteur des premiers mouvements de soutien aux travailleurs immigrés, mort du SIDA en 1984) . « C’était l’après Mai-68, nous étions portés par une sorte de vision libertaire, fautive », ajoute l’ancien ministre de la Culture. 

    Et de renier le milieu qui est le sien.

    Mais à la question de Sonia Mabrouk sur la différence entre revendication libertaire et appel à décriminaliser les rapports sexuels sur les enfants, Jack Lang balbutie ces propos. « Je n’ai plus la mémoire exacte mais c’est une pétition qui remonte à plus de 40 ans d’ailleurs, 60 ans peut-être… ». C’était il y a 44 ans, très exactement en 1977, quand Lang avait 38 ans, sous la présidence de Valérie Giscard d’Estaing.

    « J’ai fait une connerie, et basta !»: odieuse légèreté de l’ancien ministre de… l’Education (1992-1993, puis 2000-2002) 

    Le Monde, puis Libération avaient diffusé cette tribune visant à décriminaliser la pédophilie : seuls les réseaux sociaux sont nauséabonds aujourd’hui. Datée de janvier 1977, elle avait été écrite à la suite d’un procès de trois hommes qui étaient jugés pour « attentats à la pudeur sans violence sur mineurs de moins de 15 ans » après avoir filmé et photographié des victimes âgées de 12 ou 13 ans, lors de « jeux sexuels », rappelle Europe 1.  Il y était précisé : « La loi française se contredit lorsqu’elle reconnaît une capacité de discernement à un mineur de 13 ou 14 ans, elle peut juger et condamner alors qu’elle lui refuse cette capacité quand il s’agit de sa vie affective et sexuelle ». Rédigée par Gabriel Matzneff, qui évoquait alors « une simple affaire de ‘mœurs’ », un « détail » de la construction sexuelle de tout un chacun, elle avait été signée par 69 « personnalités », des « faiseurs d’opinion », dont Louis Aragon, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Patrice Chéreau, André Glucksmann, Guy Hocquenghem, Bernard Kouchner, Jack Lang, Catherine Millet, Jean-Paul Sartre, René Schérer, Philippe Sollers ou encore Daniel Cohn-Bendit.

    « Vivre sans temps mort, jouir sans entraves » est la conclusion du célèbre pamphlet étudiant situationniste de Strasbourg, 11/1966

    En 1990, Denise Bombardier avait pourtant allumé la mèche dans l’émission Apostrophes, diffusée sur le service public d’Antenne 2 (France 2). « Je me croyais sur une autre planète, parce que dans mon pays, il serait en prison, confie sa consoeur canadienne. J’étais la pièce pyrotechnique qui faisait sauter le plateau. » Puis, plus rien. Un pétard mouillé. Tombé dans l’oubli. « Une clique tenait le haut du pavé. Ils avaient le pouvoir de publier, de critiquer, de donner des prix, ajoute-t-elle. D’où le silence jusqu’à aujourd’hui. » Pire, il fut même une époque, pas si lointaine, où « l’amour des enfants » était non seulement débattu mais défendu. « Il est patent que le discours pro-pédophilie a des racines dans la Révolution culturelle que fut Mai-68 qui en appelait à la libération des corps et des sexualités », explique l’historienne Anne-Claude Ambroise-Rendu. Il est « temps de décriminaliser l’amour », proclame alors une partie de l’intelligentsia gauchiste. Dans les années 70 et 80, le romancier Tony Duvert l’assure : « Les gamins aiment faire l’amour comme on se mouche. » Le philosophe René Schérer le jure : « Le pédophile traite l’enfant qu’il désire ou qu’il aime comme un véritable partenaire sexuel. » Et le journaliste Guy Hocquenghem l’espère : « L’avenir est à la partouze généralisée » car « nous sommes des machines à jouir ». A jouir sans entraves, dit le slogan.

    Alors, un enfant pourrait-il être sexuellement consentant: posture progressiste ou imposture gauchiste, tandis qu’un dealer ou un criminel mineur de 16 ans serait irresponsable ? Face à Sonia Mabrouk, Jack Lang ne trouve pas les mots pour convaincre : « Nous n’étions pas seuls à dire cela à l’époque. Catherine Dolto le disait même si elle était prudente à professer ce genre d’appréciation. » Et de s’emporter un peu plus tard au cours de l’entretien: « Il y a cinquante ans, on a écrit une connerie. Que dois-je faire ? M’immoler devant vous ? J’ai fait une connerie, et basta, voilà. Depuis, j’ai combattu ce genre de bêtises, l’inceste, la pédophilie et les violences sexuelles. » Or, en janvier dernier, l’ancien ministre de l’Education de Mitterrand (1992-1993), puis de Lionel Jospin (2000-2002) avait refusé de s’exprimer sur cette tribune prosélyte, alors même que bon nombre des signataires commençaient à revenir sur leurs propos et regrettaient d’avoir signé cette tribune.

    Bernard Kouchner impliquait pourtant Jack Lang

    L’année passée, à la suite de la première polémique concernant cette tribune, le père de Camille et Antoine (dit Victor), Bernard Kouchner s’était défendu de manière assez primaire. « Sa pétition ? Mais la pétition de Matzneff, je ne l’ai même pas lue ! Daniel Cohn-Bendit et moi l’avons signée parce que Jack Lang nous l’avait demandé […] C’était il y a 40 ans. C’est une énorme erreur. Il y avait derrière une odeur de pédophilie, c’est clair. C’était une connerie absolue. Plus qu’une connerie, une sorte de recherche de l’oppression. »

    Interrogé une nouvelle fois sur les développements actuels de l’affaire, l’octogénaire protégé de la République comme président de l’Institut du monde arabe, visiblement désarçonné, a commis un lapsus embarrassant: « Aujourd’hui, nous sommes en lutte contre ces incestes, les atteintes à la pédophilie, les atteintes aux mineurs », ne se rendant même pas compte de son erreur.

    Le mariage des mineurs autorisé par le Coran ne justifie nullement les pratiques post-modernes de nos progressistes exemplaires en République laïque. En islam, la puberté n’est pas une condition pour qu’un mariage soit valide et il n’existe pas d’âge spécifique pour se marier. Il n’y a aucun mal à marier un petit garçon ou une fillette s’il existe un intérêt à le faire. Toutefois, celui qui épouse une fillette ne peut consommer son mariage avant qu’elle en ait la capacité. En effet, le Prophète épousa Aïcha, alors que celle-ci était petite, mais ne consomma son mariage avec elle qu’une fois qu’elle eut atteint l’âge de la puberté. A preuves tirées du Coran et de la Sunna, il est écrit: « Allah, exalté soit-Il, dit (sens du verset) : « De même pour celles qui n’ont pas encore de règles » (Coran 65/4) – et Il imposa un délai de viduité de trois mois si elle n’est pas pubère -. ‘Urwa a rapporté que Aïcha avait « six ans, quand le Prophète l’épousa, neuf ans lorsqu’ils consommèrent leur mariage et elle resta à ses côtés durant neuf ans. »

    Revenant aussi sur ses relations avec Jeffrey Epstein, Bernard Kouchner a décrit avoir rencontré un homme « charmant » et découvert, après seulement, qu’il était « un salaud »« On ne va pas pénaliser des gens qui ont été aimables avec des personnes qu’ils trouvaient charmantes, avant de découvrir que c’était des ordures », a-t-il conclu. Victimisation de Kouchner ?

    LIEN PaSiDupes : Pédocriminalité : quand Ségolène Royal étendit à l’école le champ d’investigation de Jean-Marc Sauvé

    Affaire Olivier Duhamel : des scènes sexuelles sordides à la maison familiale

    Accusé de viol sur mineur et d’inceste, « il était sa propre planète et on gravitait autour« 

    Invitée dans La Grande Librairie sur France 5 ce mercredi 13 janvier, Camille Kouchner a adressé un message fort à Olivier Duhamel, qu'elle accuse d'inceste dans son livre La Familia Grande.

    En brisant le silence dans son livre La Familia Grande, Camille Kouchner a levé le voile sur une atmosphère familiale étouffante qu’infligeait Olivier Duhamel et que décrit L’Obs ce mercredi 13 janvier.

    Au cœur d’une omerta longue de trente ans, Olivier Duhamel régnait en tyran sur le microcosme de Sanary, là où « certains des parents et enfants s’embrassent sur la bouche », comme se rappelle, dans son livre La Familia Grande, Camille Kouchner, fille de son épouse décédée Evelyne Pisier et de l’ancien ministre Bernard Kouchner. « Mon beau-père chauffe les femmes de ses copains. Les copains draguent les nounous. Les jeunes sont offerts aux femmes plus âgées. » Dans la demeure familiale, le politologue organisait de grands jeux, des bals. Rassemblements dont se souvient encore Sylvia, citée par le magazine L’Obs ce mercredi 13 janvier. « Jamais je n’avais vu des adultes parler aussi ouvertement de sexualité. »

    Un climat hédoniste aux yeux de certains, « trash » pour d’autres, où le vin coulait à flots et auquel aurait contribué la politologue Evelyne Pisier, fille d’un gouverneur en Indochine puis en Nouvelle-Calédonie (1943-1966), épouse de Bernard Kouchner (après avoir été la maîtresse de Fidel Castro) et mère dénaturée. « A sa fille de 12 ans », rapporte L’Obs, cette dernière avait ainsi glissé une phrase terrible, telle une « injonction à jouir. » « Tu comprends, j’ai fait l’amour à l’âge de 12 ans. Faire l’amour, c’est la liberté. Et toi, qu’est-ce que tu attends ? » A cette atmosphère « ultra-alcoolisée » et « très sexualisée » se sont ajoutées des actions effarantes, voire humiliantes, les plus jeunes étant invités à « mimer devant les parents des scènes de sexe. » En son centre, trônait Olivier Duhamel, une constellation à lui seul qui attira la révolutionnaire Evelyne Pisier dès son divorce de Kouchner, au début des années 1980, et qu’il épousa en 1987. « Je le voyais comme une sorte de Gatsby, il [Duhamel] était le seul à venir vers nous, à nous emmener à la plage, à nous faire jouer », raconte Sylvia.

    Au-delà de l’horreur des faits, l’omerta de la gauche vertueuse pose problème en démocratie

    Évelyne Pisier (ci-dessus à droite en février 2011) aurait participé au climat instauré par son mari à Sanary.
    Evelyne Pisier (ci-dessus à droite, en février 2011), avec Christine Ockrent, à gauche,
    compagne de Bernard Kouchner à partir du début des années 1980

    Assuré de son ascendant sur son entourage par la protection de son épouse, femme de pouvoir qui a « connu » (au sens biblique) le héros Fidel Castro, et en dépit des appels à l’aide de Camille Kouchner et de son frère jumeau Antoine (Victor, dans le livre), Olivier Duhamel était installé dans le confort d’une omerta qui le protégeait de la révélation de ses turpitudes. « Ce qui est intéressant dans cette histoire », décryptait la journaliste Ariane Chemin dans l’émission C Politique« c’est qu’on a une omerta familiale et elle se double ici d’une omerta sociale immense parce que le pouvoir d’Olivier Duhamel était très étendu. » 

    Sa réputation et sa surface sociale le protègent plus sûrement qu’un bouclier, mais quelques mots dans la presse pourraient couper net cette carrière si soigneusement bâtie. Une semaine exactement après la cérémonie d’avril 2017, Olivier Duhamel est à la table de la salle à manger de Sciences Po avec son directeur, Frédéric Mion, et Brigitte Macron. Depuis des mois, il distribue conseils et notes au candidat Macron qui, maintenant il en est sûr, sera bientôt élu. Duhamel fait déjà la bise à Ismaël Emelien, le conseiller politique du futur président, qui a été son élève Rue Saint-Guillaume. « Mon meilleur poulain », répète le politiste. En cette fin avril, chacun, devant Brigitte Macron, dresse à son tour le portrait-robot du premier ministre idéal. Un jeu, bien sûr, mais Duhamel en est.

    Olivier Duhamel est le fils d’un directeur de cabinet du président du Conseil, le radical Edgar Faure, qui fut trois fois ministre sous la présidence de Georges Pompidou, ce qui n’est pas une entrave à des études de droit et à une carrière de politologue… Sa mère a travaillé dans l’édition, où elle a épousé en secondes noces Claude Gallimard et hérité d’une partie des actions de la famille dans les éditions de la Table ronde. Il est est le frère de Stéphane Duhamel, ancien PDG de RTL puis de La Provence et de Gilles Duhamel, inspecteur général des affaires sociales. Ses parents côtoient l’armateur Francis Fabre, président des Chargeurs réunis (propriétaire de Libération au milieu des années 90), et le couple Lazareff (France-Soir, France Dimanche, Le Journal du dimanche, Télé 7 jours et Elle). Son père est marié de 1974 à 1981 à Leïla Murat, cousine de Salomé Murat (épouse du  haut fonctionnaire, banquier et garde des Sceaux de Jacques Chirac, Albin Chalandon) et descendante du prince d’Empire Joachim Murat.

    Lorsqu’Olivier Duhamel se remarie en 1987 avec la juriste Evelyne Pisier, elle est déjà mère de trois enfants, issus d’un premier mariage avec Bernard Kouchner) et ensemble ils adoptent deux enfants chiliens : une fille, Aurore, en 1987 et un garçon, Simon, en 1989. Evelyne Pisier est la sœur de l’actrice Marie-France Pisier, mariée à l’homme d’affaires français, cogérant de Lagardère SCA, Thierry Funck-Brentano, lequel est déjà le cousin germain d’Olivier Duhamel ; ainsi, par ce mariage des cousins avec deux sœurs (Marie-France et Évelyne), Thierry et Olivier deviennent en plus beaux-frères par alliance. Sa belle-sœur Marie-France s’est suicidée en 2011, son épouse Evelyne est morte de maladie en 2017.

    Aujourd’hui âgé de 70 ans, O. Duhamel a été professeur d’université Panthéon-Sorbonne et l’Institut d’études politiques de Paris – – , président de la Fondation nationale des sciences politiques (2016-2021) et eurodéputé socialiste, ainsi que président (janvier 2020-janvier 2021) de l’association Le Siècle, dénoncée comme lieu discret de collusion entre élites économiques, politiques et médiatiques. Le constitutionnaliste, accusé d’inceste, influença pendant trente ans l’école des élites, la nomenklatura, et ses directeurs, de Richard Descoings (décédé aux Etats-Unis dans des conditions troubles) à Frédéric Mion. Duhamel fut « conseiller spécial » de Descoings, dit « Ritchie », à la FNSP. Macron intégra l’Institut d’études politiques de Paris en 1998 et en sortit en 2001, pendant l’ère Descoings-Duhamel (1996 à 2012). Bien avant de devenir l’un de ses dirigeants, Duhamel y a donné le cours-phare sur les institutions publiques, dispensé aux premières années. Mais il a toujours été bien plus qu’un bon pédagogue. Dans l’école de l’élite, la diva appliquait ce qu’il ne dispense pas dans ses cours : une science du réseau qui est, plus efficacement que la connaissance du droit, le moteur du pouvoir.

    Comme avocat, O. Duhamel a été associé au cabinet Veil-Jourde des fils de Simone Veil.

    Le 23 avril 2017, il était présent à La Rotonde, lors de la célébration de la qualification de Macron au second tour.

    « Il a l’air d’aller très bien »

    Sa chute, cinq ans après de glaçants aveux effectués en petit comité, fait pourtant grand bruit.

    Accusé d’inceste par son ex-belle-fille, le constitutionnaliste a démissionné de la présidence de la Fondation nationale des sciences politiques, entraînant d’ailleurs avec lui Elisabeth Guigou, ex-garde des Sceaux de Jospin. Le Parquet de Paris – qui n’a pas bronché lors du dépôt de plainte d’Antoine Kouchner – a enfin ouvert une enquête pour « viols et agressions sexuelles » , sous la contrainte de la publication de La Familia Grande.

    Olivier Duhamel reste terré depuis que l’affaire est rendue publique

    Mais, de passage dans La Grande Librairie de François Busnel ce mercredi 13 janvier, Camille Kouchner ne lâche pas prise. « Lui, depuis un moment, il vit hors de cette réalité. Il a l’air d’aller très bienJe trouve ça injuste (…) Ce n’est même pas une punition, mais je voudrais qu’il entende que c’est impardonnable, et que ça va durer toute la vie. »

    Jean-François Delfraissy ou la tentation totalitaire

    Delfraissy dézingue « certaines chaînes qui ne font plus de l’information »

    Delfraissy vise-t-il BFMTV ?

    Pointées du doigt comme modèles de la «  mal-information  », les chaînes d’information en continu concentrent les critiques : information spectacle, remplissage, prééminence du commentaire sur le reportage ou l’analyse de fond… Au fond, pas grand chose à envier aux réseaux sociaux, juste moins policés, mais riches en documents expurgés de l’info officielle qui y puise d’ailleurs ses vidéos les plus politiquement incorrectes et habillées de commentaires respectueux des éléments de langage dictés par l’Elysée. L’information en continu concentre ainsi toutes les dérives déontologiques et apparaît comme le miroir grossissant des travers du système médiatique actuel, déconnecté et soumis au pouvoir, hors sol et aseptisé par les annonceurs, dans les limites qu’ils leur imposent: antiracisme, féminisme, environnementalisme, homophobie ou féminisme.

    Thomas Sotto a reçu le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, dans « RTL Soir », le 16 décembre. Egalement président du Comité consultatif national d’éthique depuis 2016. il déclare souhaiter jouer avec la population la carte de la pédagogie, notamment envers les réticents à la vaccination: comprendre intoxiquer « les gens » qui ne comprennent rien.

    Or, prônant d’emblée « beaucoup de sérénité et pas d’extrême urgence« , l’homme de Macron, également président du Comité consultatif national d’éthique depuis 2016 – et là, le bât commence à blesser au regard de ce qui suit – dévie de son propos pour discriminer, regrettant que, depuis le début de l’épidémie, certains media aient invité des experts qui n’étaient pas légitimes, à ses yeux, voire « farfelus« .

    Sur RTL (groupe M6), il s’en prend à ces chaînes qui font « du buzz » pour « faire du fric »

    Et, très offensif et aussi nuancé que le twitto moyen, le « savant » d’annoncer: « j’ai interpellé le CSA, qui a un rôle de régulation, et les deux commissions d’enquête du Sénat et de l’Assemblée nationale. J’en suis à ma vingtième commission d’enquête. Je leur ai dit que je passais beaucoup de temps avec eux. C’est normal, on est en démocratie. Mais qu’on pourrait aussi entendre des patrons de chaînes. Et en particulier ceux qui ne font pas de l’information« , a lâché Jean-François Delfraissy, soulignant que, dans ses propos, il ne vise pas RTL son hôte, et précisant même que c’est pourquoi il l’a choisie pour lancer son attaque.

    Le président du Conseil scientifique insiste pour stigmatiser « ces chaînes qui créent du débat« , « pour faire du buzz » et « faire du fric« . « Il y a un moment donné où il faut savoir s’arrêter !

    Retour à la censure ? Bonjour l’ORTF ? J’ai interpellé le CSA, en disant : ‘Moi, ça ne me regarde pas’. Mais il y a probablement une façon pour le CSA d’avoir un effet de régulation. Je ne sais pas ce qu’il se passera« , a-t-il ajouté.

    « On a le droit de parler et de ne pas être d’accord »

    Si CNews n’a pas été visée frontalement, elle a pu se reconnaître, pour avoir déjà été régulièrement égratignée par les médiocres de toutelatele (Jara Editions de Jérome Roulet, qui « aime les vrais passionnés et déteste les vrais blasés », sic, mais qui ne prétend pas à l’objectivité, ni même à la neutralité…) et l’ensemble de la presse people que le buzz et le fric ne motivent évidemment en rien…

    Jusqu’en septembre, BFM TV dominait outrageusement les audiences des chaînes d’information: à elle seule, l’antenne du groupe Altice (Patrick Drahi) attirait plus de téléspectateurs que, dans l’ordre, CNews, LCI et France Info réunies. LCI a été désignée « Meilleure chaîne TV », mardi 3 septembre, lors de la cérémonie du Grand prix des Médias 2019, récompensant l’innovation dans les media, aussi bien sur le plan éditorial, que sur le plan numérique, marketing et commercial.

    Le dévissage de BFM s’est amorcé en mai. Selon les chiffres de Médiamétrie, la chaîne réalise alors encore 3,4 % de PDA (part d’audience) en avril, puis tombe à 2,9 % en mai. LCI 1,6 % en avril et 1,5 le mois suivant. Tandis que CNews s’est maintenue à 1,4 % ces deux mois-là. En juin, la dégringolade continue. BFM pointe à 2,5 %, CNews passe à 1,5 %, LCI glisse à 1,2 %. L’archaïque France Info reste constante à 0,6 % d’avril à juin. En juillet, BFM remonte à 2,7 %, 0,5 point de mieux qu’au même mois de 2019, CNews et LCI à 1,2 % (c’est-à-dire 0,6 point de mieux en un an pour la chaîne du groupe Canal+). En août, BFM remonte à 2,7 %, CNews s’installe à la deuxième place avec 1,1 %, tandis que LCI reste troisième avec 1 %, devant France Info à 0,6 %. En un an, CNews a donc doublé son audience, une performance qui déclenche les hostilités des chaînes proches du pouvoir. Désormais dirigée par Marc-Olivier Fogiel, BFM TV tente de se renouveler, mais en embauchant le visqueux Bruce Toussaint, le succès n’est pas garanti. Quant à LCI, elle fait appel en fin de journée à David Pujadas qui a des heures de vol et au journaliste, suisse (tout est dit), Darius Rochebin pour concurrencer la seconde émission de Pascal Praud à 20 heures, ainsi qu’à Eric Brunet, débauché de RMC et BFM TV où Laurent Neumann passait son temps à le ridiculiser), chargé de redonner des couleurs à la tranche 10 heures-12 heures.

    A CNews, on ne change pas une équipe qui gagne. La matinale de Romain Desarbres reçoit le renfort de Laurence Ferrari pour l’entretien de 8 h 15, Pascal Praud, régulièrement leader des chaînes d’info entre 9 heures et 10 h 30, rempile avec un plateau de chroniqueurs légèrement révisé. Ainsi que de 20 h 10 à 20 h 50, du lundi au jeudi, où ses scores ont plus que doublé en une année. 

    Pour la semaine d’installation des nouvelles grilles de programme du 24 au 28 août, BFM TV écrase la concurrence avec sa matinale (6 heures-9 heures), qui a réalisé 18,5 % de part d’audience sur les téléspectateurs de plus de 4 ans. Mais à 20 heures, les places s’inversent, Praud enregistre 217 000 fidèles contre 195 000 pour 120 % news, le nouveau rendez-vous d’Alain Marschall, et seulement 97 000 pour Darius Rochebin sur LCI. Lundi 31 août, la chaîne du groupe Vivendi est même montée à 396 000 entre 19 heures et 20 heures et à 300 000 l’heure suivante. Ce jour-là – qui marque aussi le retour à l’antenne d’Éric Zemmour à 19 heures –, elle signe d’ailleurs une part d’audience record de 1,5 % sur les 4 ans et plus et même de 1,7 % sur les CSP+ (catégories socio-professionnelles les plus favorisées).

    CNews a crevé le plafond de verre en octobre 2020. La petite chaîne qui monte réalise alors son record historique. Si la quasi-totalité de ses tranches horaires est en hausse, «Face à l’info», avec l’essayiste Eric Zemmour, a vu son audience exploser: ses démonstrations fulgurantes, claires et documentées remettent les pendules à l’heure en répondant à la demande de rupture avec la pensée unique. En octobre, le programme, diffusé à 19 heures, a rassemblé en moyenne 587 000 téléspectateurs, contre 149 000 un an plus tôt. L’audience de l’émission a triplé. A cette heure, CNews est devenue la première chaîne d’info. Le 28 octobre dernier, juste avant l’intervention de Macron, «Face à l’info» était suivie par 706 000 personnes. Un pic à 964 000 téléspectateurs a même été enregistré ce soir-là.

    « L’heure des Pros», présentée par Pascal Praud est également en très forte progression. Le matin, l’émission convainc à présent 347 000 téléspectateurs contre 136 000 il y a un an. Soit une hausse de 155%. Le soir, «L’heure des pros 2» affiche 500 000 téléspectateurs contre 91 000 en octobre 2019, soit une progression de 450%. Des scores qui expliquent les polémiques incessantes provoquées par les organes de presse remis à leur place.

    Les querelles artificielles et les tentatives de déstabilisation, dont le boycottage, n’enraillent nullement les bonnes audiences de la chaîne, laquelle attire davantage d’annonceurs. Le mois dernier, la chaîne revendique 152 annonceurs, soit 22 de plus qu’il y a un an.

    Pascal Praud a tenu à réagir aux propos de Jean-François Delfraissy.

    Alors que la presse unie fait une lecture malveillante de l’article 24 de la loi ‘Sécurité globale’ qui tend à protéger l’identité personnelle des policiers menacés de représailles et que les journalistes manifestent pour la liberté d’expression, la déclarant menacée, ils multiplient les coups bas à l’encontre de CNews. « Ca m’a vraiment choqué. C’est l’atmosphère d’aujourd’hui. Il [Delfraissy] s’en est pris aux médias. Il souhaite un contrôle. C’est ça qui me fait peur (…) Je trouve ça très étonnant. Si tu n’es pas d’accord avec la doxa sanitaire, tu es montré du doigt. Non ! On a le droit de parler et de ne pas être d’accord« , a confié le présentateur dans « L’heure des pros ».

    « Ce n’est pas brillant de sa part. Il met le fric. Il entre dans le grand complot de manière à avantager les laboratoires. De sa part, je trouve qu’il ne se grandit pas. Ce qu’il dit là est condamnable. Ce n’est pas bien« , a aussi souligné Jean-Claude Dassier, éditorialiste de CNews.

    Macron a déjà dû rappeler sèchement Delfraissy à l’ordre

    « Chacun doit rester à sa place. C’est aux dirigeants démocratiquement élus de prendre des décisions » (Macron)

    Macron / Delfraissy : mais qui décide ?  Le président de la République a précisé que les scientifiques sont là pour nous éclairer de manière transparente. Le Pr Jean-François Delfraissy, quant à lui, a précisé jeudi soir sur LCI que le Conseil scientifique « n’a aucun rôle dans les décisions ».  Le 11 septembre dernier, Julien Arnaud analyse les rapports entre Macron et Delfraissy dans la Matinale de LCI. Lien LCI

    Macron a réagi vivement à la prise du pouvoir – à la faveur du rebond de l’épidémie en France – par le président du Conseil scientifique qui avait mis l’exécutif au défi: « le gouvernement sera obligé de prendre des décisions difficiles ». Par cette petite phrase, l’immunologiste comblé d’honneurs est-il sorti de son rôle de président du conseil scientifique en suggérant de nouvelles restrictions ? Oui, est le message subliminal du chef de l’Etat, à l’occasion d’un déplacement en Corse.

    ECOUTER le commentaire de Simon Le Baron (France Inter et donc France info, etc…):

    L’île n’attend d’ailleurs pas que Macron se sorte les doigts et, depuis ce samedi, exige de ses visiteurs une attestation de non-positivité à la covid-19…

    ECOUTER l’analyse de l’invité de Simon Le Baron, le philosophe Pierre Musso, docteur en sciences politiques:

    Le mariage surprise de Darmanin: forcé ou arrangé ?

    Une union précipitée, alibi soudain aux plaintes pour viol?

    Le mariage, ce weekend, n’empêchera pas le procès du ministre de l’Intérieur, qui a traversé la rue de Bercy à Beauvau, le 6 juillet dernier: Gérald Darmanin (37 ans) devrait logiquement répondre des accusations qui pèsent sur lui. Certes, il va en effet épouser Rose-Marie Devillers (33 ans) qui travaille dans la publicité. Ils se sont rencontrés fin 2009. Le ministre a déjà été marié pendant six ans avant de divorcer, sans porter ses fruits, rappelle Closer.

    Reste à savoir si ce mariage va pouvoir se dérouler dans la sérénité ou derrière plusieurs rangs de casques et matraques en chandelles.

    Darmanin étant visé par deux plaintes pour viol, des fellations imposées en échange de services rendus à des administrées, des militantes féministes ont appelé à manifester, tandis que d’autres militants l’accusent d’avoir milité contre le mariage des LGBT.

    La justice va-t-elle passer ?

    Omar Sy : un violent clash en direct avec Eric Zemmour sur TPMP ?

    ‘Service après vente’ des non-événements dans les media

    Quand un petit interprète a le melon et se prend pour un penseurPetit retour sur le lapin posé par le grand Noir racisé Omar Sy à Touche Pas à Mon Poste (TPMP). En effet, donneur de leçons sans éducation, l’acteur français avait planté à la dernière minute son « pote » Cyril Hanouna, chamboulant ainsi toute l’organisation de l’émission d’un simple SMS.Pourtant le comédien devait faire dans la journée la promotion du film Knock, réalisé par Lorraine Lévy, qui le dirige dans le rôle de l’arnaqueur face au petit Blanc, Alex Lutz. La raison officielle de son lâchage était un petit coup de mou. Mais, ce jour-là, TPMP venait en réalité de rater un buzz attendu avec un clash inévitable entre Omar Sy et Eric Zemmour.

    Le Goliath noir a préféré fuir le David blanc

    En substance, le SMS d’Omar Sy à Cyril Hanouna assurait qu’il était un peu patraque et qu’il laissait le soin au présentateur de voir s’il préférait qu’il vienne en méforme ou qu’il remette sa venue à plus tard, pour plus de fun. L’animateur aurait répondu à son « pote » qu’il pouvait attendre une autre fois.Les amateurs de l’émission avait eu vite fait de comprendre que le forfait en dernière minute d’Omar Sy était motivé par son incompatibilité idéologique avec Eric Zemmour et son incapacité intellectuelle à débattre. [ https://twitter.com/MarineRolando/status/1247229205491957760?s=19%5D%5B https://twitter.com/martinlaurent91/status/1247234202678046723?s=19

    Omar Sy et Eric Zemmour, un face-à-face improbable

    Les divergences mal étayées, mal digérées de l’indigéniste Omar Sy avec Eric Zemmour se sont creusées sur deux années. Ainsi entre 2015 et 2017, plusieurs échanges ont opposé à distance les deux protagonistes. Le point culminant devait être leur face-à-face dans TPMP de Cyril Hanouna. Ces échanges se sont déroulés en 4 actes :

    • 1er acte en octobre 2015 : Omar Sy donne le premier coup
    • 2nd acte en octobre 2017 : Eric Zemmour réplique
    • 3e acte en octobre 2017 : Omar Sy s’indigne et en remet une couche
    • 4e acte en octobre 2017 : Zemmour contre – attaque

    C’est ainsi qu’Omar Sy a dû renoncer à TPMP.

    Omar Sy et Eric Zemmour, un conflit latent

    Omar Sy reproche à Zemmour d’énoncer les causes du mal-être inter-communautaire sur lequel il se contente lui-même de poser des mots creux de compassion. Il avait ainsi déclaré : « Je réagis à ce qui me touche. Je suis un père qui se soucie du monde dans lequel vont vivre ses enfants. (…) A mon humble échelle, j’essaie de faire des choses qui peuvent être inspirantes pour les jeunes, proposer des discours qui changent des trucs sombres qu’ils peuvent entendre. Je trouve que ce monde est devenu très cynique. Ça doit être dur d’avancer là-dedans quand tu as 20 ans. Comment rêver quand on te dit que tout est foutu ou qu’il y a deux France ? Entre les extrêmes et le vivre ensemble, il me semble que le choix s’impose de lui-même. ».[ https://www.instagram.com/p/B9IBVqrDx9L/?utm_source=ig_web_button_share_sheet]

    • En octobre 2015, Omar Sy, le comique de l’émission SAV, avait attaqué, déclarant que vivre aux Etats Unis lui permettait de voir à quel point en France « on ne donnait la parole qu’aux guignols » et qu’il ne citait pas, volontairement, Eric Zemmour.
    • En octobre 2017, Anne-Elisabeth Lemoine envenime la situation en faisant entendre à Eric Zemmour l’extrait où l’artiste parvenu disait : « Volontairement,je ne cite pas Eric Zemmour car je n’ai pas envie de lui donner de l’intérêt ». Eric Zemmour rétorqua : « c’est toujours flatteur d’être traité de guignol par un guignol ».
    • Le 12 Octobre de la même année, Omar Sy reprend l’offensive, traitant Zemmour de « criminel » et de « cochon », ce qui est une gravecinsulte dabs ka bouche fétide d’un musulman. Le bouffon réclamait la censure de l’intelkectuel: »Il ne faut plus qu’Eric Zemmour soit invité parce que c’est un criminel. Il a été condamné pour incitation à la haine raciale ». Ou encore : « Je n’ai aucune envie de me rouler dans la boue avec les cochons. »
    • Le 17 octobre, Zemmour évoque Trappes : « Je sais bien qu’entre Trappes et Hollywood, il n’a pas eu le temps de maîtriser la langue française (…) Un criminel, il en a côtoyé un si j’en crois les media, puisqu’il était très ami avec Harvey Weinstein. »

    Mais aujourd’hui, le prétentieux Omar Sy veut éviter la polémique et se refuse à prononcer le nom d’Eric Zemmour. D’origine sénégalaise, il vit à Los Angelès, paie ses impôts aux Etats-Unis et ne se prend pas pour la queue de la cerise.

    Un selfie de Pascal Obispo et Brigitte Macron interloque les internautes

    La presse institutionnelle s’est auto-censurée

    blog -selfie Obispo et Brigitte Macron chez Line Renaud-juill2018.jpgLe 90e anniversaire de Line Renaud, ce lundi,  a été l’occasion d’une nouvelle réunion annuelle de nombreux amis, dont Brigitte Macron… ce qui a révolté de nombreux internautes.

    Si, sur France 2, Stéphane Bern lui consacra un divertissement tourné une semaine plus tôt à Bobino, la vraie fête d’anniversaire de Line Renaud avait lieu, comme d’habitude dans sa grande propriété de l’ouest parisien, entourée de ses nombreux amis. Un anniversaire marqué toutefois par une absence, celle de son ami Johnny, toujours fidèle à sa « marraine de télévision » et son épouse, Laeticia, restée à Los Angeles avec ses filles, au coeur de la tourmente médiatique qu’elle suscite autour de l’héritage du rocker.

    Chez Line, se trouvait cette année Pascal Obispo avec lequel elle est depuis plus de vingt ans impliquée dans le Sidaction, mais aussi Dany Boon, son « fils » dans La Ch’tite famille ! Si le Président Macron n’était pas de la party, pour cause d’obligation professionnelle, sa femme Brigitte, elle, était venue souhaiter un joyeux anniversaire à « sa grande amie« .
    Faisaient également la fête, Muriel Robin, Mimie Mathy, Jean Reno, venu accompagné de son épouse Zofia Borucka, la première dame de Côte d’Ivoire Dominique Ouattara
     et la maire PS de Paris, Anne Hidalgo

    La présence à la fête de l’épouse sexagénaire a clairement indisposé certains « gens qui ne sont rien » mais refusent de la boucler.

    Mais, lorsque, sur son compte Instagram, Pascal Obispo a posté une photo affichant les invités, les commentaires des internautes ont fusé, prenant une tournure imprévue. Si la côte de popularité de Line Renaud est toujours au top, en revanche « Ah le fric, vous êtes à genoux« , « Dégoûté« , « Dommage de poser avec Macron« , « Que des gueules de cons« , « Quelle imbécile« … Si la musique de Pascal Obispo peut plaire, la coloc du président à l’Elysée commence à courir sérieusement sur le haricot des Français !

    <br>Pascal Obispo, lynché de tous les côtés, a fini par retirer bravement cette photo de son compte Instagram, visiblement inquiet de son impact négatif sur son image et son business.

    Randonnée Ski Découverte de Martigues

    Marcher est dans notre Nature

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