Tout ce qui change au 1er septembre 2022

Prime de rentrée, tickets restaurants, prix des carburants, etc

Ce jeudi 1er septembre 2022 est marqué par la rentrée des classes, mais aussi par l’inflation due à la prise de mauvaises décisions, comme celles contre le nucléaire, ou des mesures reportées, voire non prises. « Les mesures d’aide à la consommation entretiennent l’inflation », explique même Sébastien Laye

Ce jeudi s’accompagne également de nombreux changements dans le quotidien des Français et, en particulier, sur leur pouvoir d’achat déjà très entamé.

 REMISE SUR LE CARBURANT

Face à l’envolée des prix du carburant, le gouvernement a mis en place, pour certains, en avril dernier une remise de 18 centimes à la pompe pour le gazole dont les prix décolent, l’essence et le gaz de pétrole. Cette aide évolue à partir du 1er septembre. A partir de cette date, et jusqu’au 31 octobre, la remise est majorée à 30 centimes par litre de carburant.

Cette remise à la pompe passera ensuite de 30 à 10 centimes à partir du 1er novembre et jusqu’au 31 décembre.

 PRIME EXCEPTIONNELLE DE RENTRÉE

Autre mesure pour soutenir le pouvoir d’achat des Français : la prime exceptionnelle de rentrée. Elle a été votée le 4 août dernier par les députés. Cette prime, d’un montant de 100 euros, sera versée dans le courant du mois de septembre aux bénéficiaires des minimas sociaux, comme le RSA, des allocations logement et aux étudiants boursiers. Elle sera majorée de 50 euros supplémentaires par enfant à charge.

 TICKETS RESTAURANT 

Après avoir été redescendu à 19 euros par jour au mois de juillet, le montant journalier des tickets restaurant, qui avait été doublé pendant la crise sanitaire, est réévalué ce jeudi 1er septembre. En effet, le gouvernement a décidé de remonter son plafond à 25 euros par jour.

Par ailleurs, depuis le 18 août et jusqu’au 31 décembre, les tickets restaurant pourront servir à l’achat de tous types de produits alimentaires, même ceux qui ne sont pas directement consommables, comme de la farine, des œufs ou des pâtes.

 REEVALUATION DES MINIMAS SOCIAUX 

En raison de l’inflation record, les calculs de plusieurs prestations sociales vont être réévalués à partir du 1er septembre. Il est donc prévu que les pensions de retraite, les bourses étudiantes, le RSA, l’allocation adulte handicapé, la prime d’activité et les allocations familiales soient rehaussés de 4% avec effet rétroactif au 1er juillet 2022. L’aide personnalisée au logement (APL) sera aussi revalorisée de 3,5% pour compenser l’augmentation des loyers.

 PMA : LEVÉE PARTIELLE DE L’ANONYMAT POUR LES DONNEURS

C’est l’une des mesures de la dernière loi bioéthique. A partir de ce jeudi 1er septembre, les donneurs et donneuses de gamètes (spermatozoïdes et ovocytes) devront consentir à la communication de certaines de leurs informations : nom, prénom, âge au moment du don, date de naissance, situation socioprofessionnelle… En cas de refus, le don ne pourra pas être accepté.

Grâce à cette nouvelle disposition, les enfants nés de ces dons pourront, s’ils le désirent, accéder à ces informations à partir de leur majorité.

Borne annonce des coupures de gaz et d’électricité cet hiver

Comment l’exécutif organise la pénurie

Economies de bouts de chandelle:
les écologistes décroissants auront-ils gain de cause
auprès de Macron?

Macron nie le risque de black-out avant 2023. Plus de la moitié des réacteurs nucléaires français sont pourtant à l’arrêt. Face au risque de pénurie d’électricité cet hiver, une série de moyens palliatifs est programmée avant les probables coupures. Exemple: retirer sans délai les coffres de toit de voitures au retour des vacances…

Face au risque de pénurie, les foyers ne seront pas privés d’électricité. Encore que… Ou seulement deux (?) heures par jour (demi-journée ?). Et quartier par quartier (les plus riches d’abord?). Ou ville après ville (les mal-pensantes d’abord ?) En même temps, la chasse au gaspi va s’ouvrir. « En cas de conjugaison de mauvaises circonstances », nous devrons couper la télévision à 23h00. Et enfiler nos anoraks dans nos salons?

Les délestages frapperont les entreprises qui consomment le plus. Devrons-nous couper la télévision à 23h00? Et enfiler nos anoraks dans nos salons? Elles seront les premières à qui des efforts économies de consommation seront demandées. Et le chômage ?

Après avoir assuré la semaine dernière que la France a des stocks suffisants (70 et 80% des besoins) pour l’hiver, ce sont 100% désormais, pour finir l’année…

Les approvisionnements d’électricité pour la fin d’année 2022 pourraient manquer. L’Hexagone en produit nettement moins, avec plus de la moitié (trente-deux nucléaires sur cinquante-six) de son parc nucléaire à l’arrêt. Macron en a même fermés deux à Fessenheim pour capter l’électorat EELV ! Jusqu’alors premier exportateur net européen, la France, qui se flattait de son excellence dans le secteur nucléaire, importe désormais plus d’électricité qu’elle n’en livre à ses voisins.

Symptôme des tensions du marché : pour livraison en France, en novembre 2022, le prix d’un mégawattheure d’électricité dépasse désormais les 2.000 €. Plus de vingt fois plus cher qu’il y a un an. Face au risque de pénurie en cas d’hiver froid, en plus de l’incapacité des ménages de payer les factures, la France ne se retrouvera pas dans le noir, assure le gestionnaire du réseau de transport d’électricité RTE. Plusieurs moyens – lesquels ? – sont prévus pour faire tenir le réseau avant d’éventuelles coupures. Elles arriveront donc, et plus tôt que prévus, une fois les esprits formatés à la fatalité et à l’idée que les Français seraient moins à plzindre que d’autres.

Les entreprises, premières ciblées

La crise énergétique bientôt accusée de la hausse du chômage. Fortes consommatrices d’électricité, bientôt pointées pour gloutonnerie, les entreprises sont les premières visées lorsqu’il s’agit de réaliser des économies d’énergie. Au détriment de la productivité et au risque de provoquer des licenciements, ce que Borne, ex-ministre du Travail ne peut sous-estimer.

Conformément à des contrats d’interruptibilité, RTE peut interrompre un ou plusieurs gros consommateurs industriels, en échange d’une indemnisation, en moins de cinq secondes. « Au total, 1 131 MW sont ainsi économisés sur l’année 2022 », affirme RTE, à peu près la consommation de la ville de Marseille. A condition que l’indemnisation des entreprises soit symbolique. Mais elles sont dans le flou, déjà dans le noir : le grand mou aux yeux de myope avance à tâtons dans la crise..

L’Etat demande à certaines entreprises de réduire leur consommation d’énergie en périodes de pics, via des contrats d’effacement, assurant une réduction de tarif. Le gouvernement veut développer ce type d’offres chez tous les énergéticiens, afin que cela s’adresse autant aux entreprises qu’aux particuliers. En échange de tarifs réduits toute l’année, les ménages et les entreprises s’engagent à réduire leur consommation, notamment aux heures de pointe. En cas de besoin, le fournisseur notifie ses clients par message. Ainsi, aujourd’hui existe-t-il déjà une offre nommée Tempo, proposée par EDF. L’appel d’offres se termine au début de l’automne, date à laquelle les offres des énergéticiens devraient être connues.

Baisse de consommation chez les ménages

Avant d’en arriver à des coupures d’électricité, RTE prévoit une baisse de tension de 5 % sur l’ensemble du réseau électrique français, en cas de besoin. L’impact sera quasiment imperceptible pour les particuliers, assure Réseau de Transport Electrique. Les plaques chaufferaient un peu moins, l’ampoule éclairerait légèrement moins, mais cela permettrait d’économiser l’équivalent de la production de plusieurs réacteurs.

Ensuite, les citoyens seraient appelés aux écogestes. RTE demanderait aux Français de réduire leurs consommations pendant les heures de pointe, dans la matinée et en soirée. Il s’agirait notamment de décaler le moment de consommation : brancher sa voiture électrique ou lancer sa machine à laver à un autre moment par exemple. Dans ce cadre, RTE a lancé l’application Ecowatt. « Lorsque la consommation des Français est trop élevée, une alerte sms « vigilance coupure » est envoyée pour inciter chaque citoyen à réduire ou décaler sa consommation », explique RTE.

Des coupures de courant localisées

Mais en cas de vague de froid, des coupures sont à prévoir. Selon RTE, lorsque l’on perd un degré de température, la consommation augmente de 2 400 MW. C’est l’équivalent de la consommation de la ville de Paris. Pas de black out total en vue, promis-juré, mais des « coupures localisées, temporaires et réparties sur le territoire », appelées « délestages ». Il s’agit du « levier en dernier recours que peut activer RTE pour faire baisser la consommation et éviter une coupure de grande ampleur en France » . Après la garantie proclamée de stocks d’électricité tutoyant les 100%, on s’interroge sur la fiabilité des propos de RTE, fusible voyant des membres du gouvernement …

L’électricité serait alors coupée pendant une période pouvant aller jusqu’à deux heures dans une partie des foyers. La coupure a lieu alors sur une même portion du territoire, à l’échelle d’une ville ou d’un quartier, selon les besoins, regroupant environ l’équivalent de 200 MW de consommation. Pour autant qu’on sache pour l’heure. C’est ensuite la ville ou le quartier d’à côté qui serait coupé. Les Français ne sont pas prévenus, mais peuvent auquel cas se tenir informés d’un tel risque via l’application Ecowatt.

Des exceptions à prévoir

Certains sites prioritaires sont exclus des risques de coupure. C’est le cas des hôpitaux, des cliniques, de la Défense nationale, de l’industrie à risque ou des installations d’éclairage de la voie publique indispensables à la sécurité. Gageons que les restaurants obtiendront une dérogation pour établissements stratégiques, autour des organes de presse et des tribunaux, comme au temps de l’épidémie de covid… Les préfets établissent des listes complémentaires en fonction des spécificités de chaque collectivité. Les personnes hospitalisées à domicile ne font pas exception, mais reçoivent une notification avec un délai de prévenance.

Il est à noter que le plan de délestage serait organisé à l’échelle nationale avec un effort réparti sur l’ensemble du territoire, si bien qu’une région de France n’aurait pas plus de « chance » qu’une autre de se voir couper le courant, en cas d’hiver froid ou de stocks insuffisants de gaz ou d’ékectricité. Toyt le monde garde à l’esprit la pénurie de masques sanitaires…. A suivre : c’est encore une question de confiance et les sondages indiquent une pénurie de crédit à la macronie.

L’imam Iquioussen a filé entre les doigts de Darmanin

Indifférence, incompétence ou complaisance ?

Le professeur Hassan Iquioussen avec le chanteur Medine
au gala pour la Palestine
(août 2014)

Macron est le dindon de la farce: Darmanin a laissé échapper l’islamiste, plus que jamais séparatiste et ils ont donc matière à discussion au « grand » séminaire gouvernemental qui a précisément lieu ce jour.

Le domicile de l’imam Hassan Iquioussen, dont l’expulsion a été validée mardi 30 août par le Conseil d’Etat, a été perquisitionné dans l’après-midi à Lourches (Nord), rapporte France Bleu Nord. L’imam marocain reste introuvable, malgré une importante présence policière dans sa commune.

Paradoxalement, son avocate, Me Lucie Simon, dénonce « des interférences extérieures dans ce dossier, une pression sans précédent de l’exécutif sur le judiciaire ». En France, plus la pression policière est grande, mieux les délinquants s’échappent… Selon elle, la décision du Conseil d’Etat « relance véritablement le débat sur l’indépendance » de la plus haute juridiction. Elle y voit « un terrible précédent sur le droit des étrangers » car « ce que disent les juges, c’est qu’un homme né en France [mais qui a rejeté la nationnalité française !] peut, du jour au lendemain, être expulsé du territoire français pour des propos. » Mais quels propos ? Antisémites, homophobes et sexistes ! Mais aussi complotistes et anti-républicains, puisqu’ il a qualifié de pseudo-attentats les tueries islamistes des 13 et 14 novembre 2015 en France…

Elle pointe « une procédure totalement disproportionnée » pour des propos « parfois anciens, parfois récents », mais qui, selon elle, « ne sont pas des appels à la violence ».

De son côté Anne-Lise Dufour-Tonini, la maire PS de la ville voisine de Denain, où est né Hassan Iquioussen, craint les conséquences de cette affaire : « Cela fait de la publicité et j’espère que chaque fois que l’on cite son nom, il n’y a pas de nouveaux gamins [sic] qui se retrouvent devant ses vidéos, à l’écouter ! »

L’imam Hassan Iquioussen est inscrit au FPR, le fichier des personnes recherchées, mais ni sa famille, ni son avocate ne précisent sa localisation, indique France Bleu Nord.

Mardi, Géraldeux Darmanin a assuré qu’il « sera expulsé du territoire national dès son interpellation ». S’il l’attrape… S’il est en Europe, la Belgique, par exemple, dispose des armes juridiques pour l’interpeller et le remettre à Macron.

Proche des Frères musulmans, l’imam « sera placé en centre de rétention administrative et nous continuerons nos actions contre les discours séparatistes », a ajouté le ministre de l’Intérieur.

Gazprom ferme son robinet vers la France

Macron, mauvais payeur, sanctionné par Poutine

Gazprom suspendra « complètement » ses livraisons de gaz au groupe français Engie dès jeudi, annonce le géant russe mardi 30 août, du fait du non-paiement par la France de l’intégralité des livraisons effectuées en juillet. Bercy a-t-il asséché la vache à lait du pouvoir?

« Gazprom Export a notifié Engie d’une suspension complète des livraisons de gaz à partir du 1er septembre 2022 jusqu’à la réception en intégralité des sommes financières dues pour les livraisons », a déclaré le groupe russe dans un communiqué publié mardi soir sur son compte Telegram. 

Gazprom avait tiré l’oreille à Engie. Le fournisseur français avait annoncé mardi matin qu’il avait été informé de réductions supplémentaires et immédiates de ses livraisons de gaz auprès de lui. La version d’Engie – « en raison d’un désaccord entre les parties sur l’application de contrats » – dissimule mal un ďéfaut de paiement… Le mauvais payeur est l’Etat français, actionnaire principal (34,4%) d’Engie, et sa patronne, Catherine MacGregor, est un choix de Macron !

Les livraisons de gaz russe à Engie avaient déjà considérablement diminué depuis le début du conflit en Ukraine, passant récemment à seulement 1,5 TWh par mois, a précisé le groupe français dans un communiqué. Ce chiffre est à rapporter à des approvisionnements « totaux annuels en Europe supérieurs à 400 TWh », ajoute le principal fournisseur de gaz en France, dont l’Etat français détient près de 24%.

Des stocks pour l’hiver déjà sécurisés

Le groupe a rappelé avoir déjà mis en place des mesures pour pouvoir fournir ses clients, même en cas d’interruption des flux de Gazprom. « Engie avait d’ores et déjà sécurisé les volumes nécessaires pour assurer l’approvisionnement de ses clients et pour ses propres besoins », précise le communiqué.

Jeudi dernier, les stocks de gaz de la France ont dépassé le seuil de 90% de remplissage pour l’hiver, selon la plateforme européenne Agregated Gas Storage Inventory (AGSI) et la France est en bonne route pour tenir son objectif de 100% d’ici novembre. Le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, a confirmé mardi sur franceinfo que l’objectif serait atteint « d’ici à la fin de l’été » mais, a-t-il averti mardi sur franceinfo, cela ne signifie pas que la France aura « suffisamment de gaz pour passer l’hiver si les Russes le coupent et si on en consomme beaucoup ». Le gouvernement d’Elisabeth Borne est défiant des Français qu’il culpabilise par avance…

Un machiste adipeux irrite Clara Luciani chez les vertueux de C à vous

Le conservatisme patriarcal de Patrick Cohen passe crème sur France 5

Tout n’est pas permis aux sectaires du service public et Clara Luciani l’a rappelé au journaliste Patrick Cohen, archétype luisant de l’odieux intégral, politiquement comme humainement. L’artiste était la première invitée de C à vous, lundi 29 août 2022 et, pour le retour de l’émission, la chanteuse ne s’est pas laissée voiler lorsque Patrick Cohen a énuméré les trois raisons de l’aimer, établissant un parallèle d’un autre âge que la jeune femme a démonté, bâchant le ringard machiste, rond de cuir de 59 ans à France Télévisions, dont dix à C à Vous… Delphine Ernotte maintient certains au faciès idéologique…

Après avoir fait danser des milliers de festivaliers tout l’été, Clara Luciani faisait la promotion de ses nouveaux morceaux et répondait à toutes les questions des membres de l’équipe du programme de l’émission diffusée sur France 5. Patrick Cohen s’est plu à énumérer les trois raisons d’aimer Clara Luciani. « Enfin, il y a plus que trois raisons, mais c’est la formule« , a-t-il lancé dans un premier temps d’un air égrillard de frustré du calbut, avant d’évoquer la première raison : le culot et l’audace (trouvez la différence, genre OK, d’accord !….° « Vous nous aviez goupillé un premier tube avec une grenade sous la poitrine (…) et vous avez dégoupillé le deuxième. Le reste avec le souvenir ému du corps nu d’un amour qui n’est plu« , a-t-il expliqué. Rien de subversif encore.

Seulement, c’est sa référence à son statut de père qui n’a pas semblé plaire à la jeune femme. « C’est drôlement gonflé parce qu’on dit souvent que les chansons d’amour ou de rupture ont toutes déjà été faites, mais je ne crois pas déjà avoir entendu ma fille chanter que c’était fini, que c’est de ma faute mais que je regrette que ton cul. » Le père-la-pudeur est-il plus coincé qu’un rabbin traditionnaliste ou qu’un imam salafiste ?

Clara Luciani régle ses comptes personnels avec son ex

Clara Luciani
Clara Luciani sur le plateau de C à vous, lundi 29 août 2022.
Le râteau est passé, évitant les cheveux

Etrangement peu féministe dans l’air du temps, Patrick Cohen a souligné que si c’était un mec qui avait chanté ça d’une fille, ce serait peut-être moins bien passé auprès des féministes en tout genre. Ce à quoi la chanteuse déçue des hommes, mais non du sexe, a répliqué au bientôt sexagénaire:

« Il ne restait que ça à regretter, vraiment« , a taclé Clara Luciani, femme libérée, mais désabusée.

Et d’ajouter ensuite, cette fois sur la forme: « Je crois qu’au contraire, le mot ‘cul’ a été entendu de nombreuses fois dans la bouche d’un homme. Je suis certaine et même regretter que son cul a déjà été chanté plein de fois« , a-t-elle taclé. Allusion au concert de Marc Rebillet sur les terres de Macron au Touquet ?

LIENS PaSiDupes 1PaSiDupes 2

Fermer les portes des magasins pour pallier les fautes de la gauche

Pannier-Runacher n’a pas de pétrole, mais des idées

En 1971 puis en 1994, Mitterrand avait accepté des fermetures de centrales nucléaires en échange du vote écolo pour un plat de lentilles: le mouvement écologiste n’a qu’un impact limité, mais la France signe la Convention internationale sur la sûreté nucléaire le 20 septembre 1994. En 2017, Macron remet la table pour se débarrasser de l’écologie en la confiant à Nicolas Hulot qui promit l’arrêt de …14 centrales ! En 2022, cinq ans plus tard, Macron bloque le processus anti-nucléaire qu’il a endossé et réouvre des centrales thermiques au …charbon. Le caboteur macronard navigue à vue et le « capitaine de pédalo », c’est lui, qu’il se fasse filmer en hélitreuillage ou en canoé un jour, mais au débotté en jet-ski, le lendemain !

« La clim porte ouverte, ce n’est plus acceptable »

Ca, ça résume l’audacieux plan de sobriété énergétique que Macron a confié à Agnès Pannier-Runnacher… Pour réduire la consommation énergétique de la France, l’Etat mise sur un effort collectif, car Macron n’a pas changé: dans l’embarras, il repasse systématiquement la patate chaude. Sa manière d’assumer, comme il dit !

Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, après avoir été ministre déléguée chargée de l’Industrie – aux antipodes – après le secteur privé dans le nettoyage, via la Caisse des Dépôts, a détaillé certaines mesures historiques du plan de sobriété de Macron.

Ni historiques, ni inédites, en fait, puisque éteindre les enseignes lumineuses, couvrir les casseroles pendant la cuisson ou fermer les portes de magasins, c’est déjà vu avec les économies d’énergie consécutives au choc pétrolier de 1973, lien, par crainte d’un épuisement des ressources matérielles, particulièrement des combustibles fossiles ; le dérèglement climatique résultant des émissions de gaz à effet de serre, les problèmes politiques et de sécurité d’approvisionnement dus à l’inégale répartition des ressources sur la planète, le coût de l’énergie que la combinaison de ces phénomènes peut faire augmenter. Les problématiques restent donc inchangées, mais cinquante années n’ont rien appris à Macron, jeune aventurier au pouvoir depuis dix ans avec Hollande, sans culture historique.

Que voulez-vous ajouter à ça ? Olivier Véran, peut-être :

Expulsion de l’imam Hassan Iquioussen validée par le Conseil d’État

Le ministre de l’Intérieur ne peut toujours pas procéder à l’expulsion…

L’imam est sous le coup d’un arrêt d’expulsion depuis fin juillet. La procédure avait été précédemment suspendue par le tribunal administratif de Paris vendredi 5 août.

Fin de partie pour Iquioussen, en république des juges ?Vendredi 26 août, le Conseil d’Etat examinait un recours du ministère de l’Intérieur contre la décision du tribunal administratif de Paris de suspendre l’expulsion de l’imam Hassan Iquioussen, réputé proche des Frères musulmans. La plus haute juridiction administrative a finalement décidé deconfirmer, ce mardi, son expulsion, souhaitée par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin.

« Le juge des référés du Conseil d’ÉkEtat estime que [l]es propos antisémites [d’Hassan Iquioussen], tenus depuis plusieurs années lors de nombreuses conférences largement diffusées, ainsi que son discours sur l’infériorité de la femme et sa soumission à l’homme constituent des actes de provocation explicite et délibérée à la discrimination ou à la haine justifiant la décision d’expulsion », explique le Conseil d’État dans sa décision.

Celle-ci s’inscrit dans une séquence juridico-politique commencée le 28 juillet, lorsque le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin annonçait l’éloignement du prédicateur de 57 ans, né en France mais de nationalité marocaine, en raison d’appels à la haine et à la violence contre la communauté juive notamment.

Fiché S

Dans son arrêté d’expulsion, le ministère reprochait notamment à l’imam « un discours à teneur antisémite particulièrement virulent » et de prôner la « soumission » des femmes « au profit des hommes » et dénonçait également l’encouragement « au séparatisme » et le « mépris de certaines valeurs républicaines telles que la laïcité et le fonctionnement démocratique de la société française ». Gérald Darmanin indiquait également début août que le prêcheur était fiché S par la DGSI « depuis dix-huit mois ».

La justice de France n’est pas souveraine

A la suite de l’annonce, l’avocate d’Iquioussen, Me Lucie Simon, a annonçé la saisie par son client du tribunal administratif de Paris et de la Cour européenne des droits de l’Homme pour demander la suspension de l’arrêté – demande finalement rejetée par la CEDH. Le vendredi 5 août, le tribunal administratif de Paris décidait, lui, d’accéder à la demande du prêcheur, estimant alors que la procédure d’expulsion porterait une « atteinte disproportionnée » à la « vie privée et familiale » de l’imam du Nord.

Les Français ont-ils retrouvé la droite ?

« La France de plus en plus à droite et en colère, » indique la Fondapol

Les résultats de cette analyse de Fondapol, laboratoire d’idées français créé en 2004 par Jérôme Monod et dirigé par Dominique Reynié, contredisent l’effet médiatique trompeur de l’occupation du paysage politique par la NUPES. Les vociférations de Jean-Luc Mélenchon (LFI), menaçant , et les délires de Sandrine Rousseau (EELV), condamnant les golfs ou les barbecues, sont non seulement contre-productifs et dérisoires, mais trompeurs. Ils masquent la réalité du terrain: ce sont des repoussoirs.

Les Français, dont 32% se déclarent aujourd’hui de droite contre 26% en 2017, se positionnent de plus en plus à droite politiquement, constate en janvier 2022 une étude menée par OpinionWay pour le Cevipof, centre de recherches politiques rattaché à Sciences Po, réalisée entre le 23 décembre 2021 et le 10 janvier 2022 et dévoilée lundi soir dans le Figaro. Il sont même alors 11% à l’extrême droite. L’objectif était, pensait-on, d’alarmer l’électorat de gauche à l’approche de deux scrutins, la présidentielle et les législatives censées offrir à l’élu, dans la suite logique de la première, la majorité qui lui est nécessaire. Calcul faux qui conduisit en 2022 au tripartisme.

La nouvelle enquête @Fondapol sur les résultats électoraux 2022 

L’enquête remet les pendules à l’heure et Matthieu Croissandeau (BFMTV) en livre le contenu :

Coupe du monde 2023 de rugby en France: son directeur général mis à pied 

Claude Atcher, accusé de « management brutal »

Le ministère des Sports a mis à pied Claude Atcher, directeur général du GIP ‘France 2023, à titre conservatoire avec effet immédiat, ce lundi. En juin dernier, Claude Atcher avait été mis en cause dans une enquête publiée par L’Equipe pour son management brutal.

Le 22 juin dernier, L’Equipe publiait sur trois pages un récit alarmant, porté par une quinzaine de témoins à charge, décrivant le climat social toxique et le management par la terreur ayant cours dans l’open-space du 24 de la rue Saint-Victor, en plein coeur de Paris, dans le 5e arrondissement, où sont installés les bureaux du GIP (Groupement d’intérêt public) France 2023.

« Le rapport du comité d’éthique fait état, de la part du directeur général M. Claude Atcher, de pratiques managériales alarmantes altérant le fonctionnement de la structure, et de l’état de souffrance d’un certain nombre de collaborateurs », précise le ministère des Sports dirigé depuis 2022 par Amélie Oudéa-Castéra.

Nièce des journalistes politiques Alain et Patrice Duhamel, la ministre est l’ex-directrice générale de la Fédération française de tennis. Elle est aussi l’épouse de Frédéric Oudéa, directeur général (en 2008) puis président-directeur général (en 2009) de la Société générale qui, depuis 1987, est  officiellement la « banque du rugby ». Ce partenariat lui permet aujourd’hui de déployer ses couleurs jusque sur les poteaux de but et d’associer ses valeurs à celles du ballon ovale.

Claude Atcher, qui « ne sera plus présent ni actif, directement ou indirectement au sein, au nom et pour le compte du GIP pendant toute la période de sa mise à pied conservatoire », sera remplacé provisoirement par Julien Collette, directeur général adjoint de France 2023. Un conseil d’administration exceptionnel du GIP se réunira ce vendredi pour ratifier cette décision.

Ancien joueur de rugby et titulaire d’une maîtrise de psychologie, Claude Atcher est vice-président de la société Telemundi France (Telemundi Group, une entreprise internationale axée sur le sport et la culture).

En 2007, il avait fait ses preuves comme directeur de la Coupe du monde de rugby à XV 2007, déjà en France.

En décembre 2016, le nouveau comité directeur de la Fédération française de rugby, présidé par Bernard Laporte, ancien ministre des Sports, lui confia la mission de superviser la candidature de la France à l’organisation de la Coupe du monde de rugby à XV 2023. En novembre 2017, le conseil de World Rugby attribua à la France l’organisation de la compétition. En 2018, il est nommé directeur du comité d’organisation de la Coupe du monde de rugby à XV 2023. Sa trajectoire s’inverse avec la nomination de l’épouse Oudéa au gouvernement et l’arrivée de la Société générale au ministère.

Une autre enquête administrative ouverte sur les frais de VTC

Par ailleurs, une mission conjointe de l’inspection générale des finances et de l’inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche est déclenchée par l’Etat pour analyser l’existence d’éventuels manquements à la probité économique et financière après d’autres révélations du journal L’Equipe portant notamment sur des frais jugés indus de VTC, alors que Claude Atcher disposait d’une voiture de fonction.

Dans quelques jours, du 7 au 22 septembre 2022, Claude Atcher comparaîtra devant la 32e Chambre du Tribunal correctionnel de Paris pour répondre de trois délits d’ordre financier qui lui sont reprochés par le Parquet national financier. Bernard Laporte, président de la FFR, Serge Simon, vice-président de la FFR, Mohed Altrad, président du club de Montpellier et principal soutien financier de la FFR ainsi que Benoît Rover, associé de longue date d’Atcher, seront les quatre autres prévenus dans ce procès.

En 2016, la Société générale est la principale banque française concernée par le scandale des Panama Papers. La députée PCF Marie-George Buffet demande alors la démission de Frédéric Oudéa, soupçonné d’avoir livré un faux témoignage au Sénat au sujet de sociétés offshore créées par la banque, et demande des suites judiciaires. Le sénateur PCF Eric Bocquet suit la même démarche pour faux témoignage, au sujet de ces déclarations faites sous serment lors d’une audition au Sénat. Le 27 mai, le bureau du Sénat permet à Frédéric Oudéa d’éviter le passage en justice, au grand étonnement du groupe communiste qui avait sollicité le bureau.

Des piscines non déclarées, détectées dans neuf départements, avant généralisation à tous

Macron a pu ainsi récolter près de 10 millions d’euros en 2021

Révélée le 28 août 2022, après les élections de mai et juin, l’expérimentation lancée en octobre 2021 dans neuf départements a décelé les piscines non déclarées. 20.356 bassins étaient discriminatoirement ciblés par un logiciel d’intelligence artificielle,

Les neuf départements ciblés sont : Alpes-Maritimes (département des oligarques russes), Var (le RN est-il dans le collimateur ?), Bouches-du-Rhône (pour les quartiers Nord ?), Ardèche (celui de Dussopt), Rhône (des imams suspectés ?), Haute-Savoie, Vendée, Maine-et-Loire et Morbihan (celui de Le Drian; Richard Ferrand est dans le Finistère). La Grande Aquitaine socialiste est passée au travers des mailles…

En 2019, la DGFiP avait mené une expérimentation du même type grâce à un logiciel de la société informatique Accenture en Charente-Maritime, dans la Drôme et les Alpes-Maritimes où, dans ce seul département, environ 3.000 piscines non déclarées avaient été débusquées en quelques semaines. Ce cabinet américain de conseil situé à Dublin est dirigé par l’américaine Julie Sweet depuis septembre 2019. La start-up nation est une esbroufe loin du compte ?

Plus que la méthode, ce qui a créé la polémique au moment de la révélation du projet par le Canard Enchaîné, c’est le recours à l’américain Google, GAFAM que Macron prétend combattre.

« Seules les photographies aériennes de l’IGN font l’objet d’un traitement sur le cloud de Google, à l’exclusion de toutes autres données foncières et fiscales », démine la DGFiP. Les contours du foncier bâti et des piscines, avec leurs coordonnées géographiques, sont ensuite transmis et traitées au sein de la DGFiP. « La société Google n’intervient donc à aucun moment dans les opérations de croisement avec les données topographiques et fiscales », selon la DGFiP.

« L’IA et le big data garantissent une meilleure fiabilité des bases de la fiscalité directe locale à partir des prises de vues aériennes de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) », expliquait pourtant la DGFiP.

Mais moins de 10 millions d’euros vont ainsi être récupérés cet automne, via la taxe foncière, au titre des nouvelles impositions écologiques et des redressements éventuels qui peuvent remonter jusqu’à quatre années. Et ce n’est qu’un début.

La direction générale des Finances publiques va généraliser à toute la France la traque des piscines non déclarées, a-t-elle annoncé ce lundi 29 août.

« La généralisation se fera progressivement sur l’ensemble des départements en France, à partir de septembre », a révélé le journal Le Parisien.

Agression barbare au centre ville de Toulouse

Les sauvages rouent un être humain de coups et roulent à scooter sur son corps

L’horreur dure plusieurs minutes et une caméra de surveillance a filmé cette scène de nuit. On voit deux individus qui portent des coups à un jeune homme au sol sur le pont Saint Pierre, côté place Saint Cyprien, à Toulouse, dans la nuit du vendredi au samedi 27 août 2022.

Projeté au sol et frappé à la tête

Un croche-pied projette la victime au sol. Après plusieurs coups de poing à la tête, à deux contre un, la victime reste inanimée sur la chaussée. 

Un des agresseurs se saisit alors d’un casque de moto qui se trouve à proximité du corps du jeune homme. Les deux délinquants remontent ensuite sur leur scooter et roulent à deux sur leur victime.

Une jeune femme et un cycliste tentent de s’opposer aux brutes

Selon La Dépêche du Midi, le jeune fêtard agressé aurait eu le malheur de croiser la route des deux criminels à scooter, quelques minutes avant que ces derniers le retrouvent pour lui reprocher de les avoir appelés à rouler en mettant les autres en danger dans leur rodéo.

Tout au long de l’agression, une jeune femme (en robe rouge sur les images) et des passants s’interposent physiquement. Un cycliste jette même son vélo sous les roues du scooter pour arrêter sa course.

Avertis par des passants, quatre policiers municipaux qui se trouvaient de l’autre côté du pont, près de la place Saint-Pierre, ont averti le PC Vidéo et se sont rendus sur place. « Moins de deux minutes après le premier signalement, les policiers municipaux sont présents aux côtés de la victime et la prennent en charge jusqu’à l’arrivée des secours. Dans le même temps, plusieurs équipes de la police municipale sont engagées pour la recherche du scooter, recherche qui s’avérera malheureusement infructueuse », indique la mairie de Toulouse dans un communiqué. Des images qui ont fait l’objet d’une réquisition judiciaire d’images dans le cadre de l’enquête en flagrance diligentée par la sûreté départementale.

Des images (volées) de vidéosurveillance ?

Les images de cette scène de cruauté ont été publiées sur un compte Twitter. Après vérification, le lieu (quartier Saint-Pierre), la date (samedi 27 août) et l’heure (approximativement 2 heures du matin) de la vidéo postée sur les réseaux sociaux ont été authentifiés. En revanche, son origine municipale n’est pas confirmée, mais il ne semble pas faire de doute qu’il s’agit probablement des images d’une caméra de vidéosurveillance de la ville de Toulouse. L’angle de vue (en contreplongée), ainsi que des indications sur la date et des références en blanc en haut des images, accréditent l’hypothèse d’une vidéo réalisée à partir d’une caméra de télésurveillance.

De telles images sont pourtant soumises à un régime juridique très précis. Elles ne peuvent, en aucun cas, être rendues publiques et elles sont visionnables uniquement par un officier de policier judiciaire (OPJ) dans le cadre d’une enquête judiciaire. Le fait de diffuser des images de vidéosurveillance est une infraction.

Si la vidéo de l’agression est extraite du système de vidéoprotection de la mairie de Toulouse, la « fuite » provient directement du Centre d’information et de commandement de la police municipale. Un centre qui gère, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, le flux des images des 450 caméras installées dans la ville de Toulouse. 

Une diffusion controversée justifiée par la pédagogie. Depuis leur mise en ligne, les commentaires et les réactions, y compris sur le terrain politique, se multiplient, exprimant sidération et indignation.

Emilion Esnault, adjoint au maire en charge de la sécurité, condamne fermement ces actes de violences inacceptables, ainsi que la circulation de ces images profondément choquantes sur les réseaux sociaux. Il a demandé l’ouverture d’une enquête administrative afin d’identifier l’origine de la diffusion de cette vidéo. 

S’agissant des suites judiciaires de l’agression, une enquête est ouverte. Les auteurs des faits n’ont toujours pas été retrouvés. Il reste à déterminer si les deux barbares étaient animés par de mauvais sentiments racistes.

Enc*lé: l’Elysée porte plainte pour injure contre le chanteur du Touquet Beach Music

Les organisateurs du Touquet Beach Music Festival demandent à l’artiste de rembourser son cachet

Macron s’était déjà fait traiter « d’enculé » par les Algériens:
Lien PaSiDupes
Et ça paraissat le faire jouir!…Oups ! Ces propos ne sont pas les miens. Lisez plutôt l’article  : https://wp.me/pebJCe-BQ

Invité surprise du Touquet Music Beach festival, samedi 27 août, Macron a été la cible de propos insultants de la part de Marc Rebillet, l’un des artistes sur scène. Les directeurs du festival ont demandé au chanteur de rembourser son cachet après son concert.

C’est une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux, plutôt que dans la presse subventionnée. On y voit entend le chanteur en slip Marc Rebillet insulter le président de la République en plein concert. Une agression homophobe qui a fait réagir les internautes mais aussi les organisateurs du festival.

Sur un concert d’une heure les « invectives » (insultes sexuelles) concernant (visant) Macron auraient duré au total entre 5 et 15 minutes (à 10 minutes près !)  rapporte La Voix du Nord, en toute objectivité, sans intention de minimiser l’agression homophobe. Un acte qui n’a pas plus [plu] aux organisateurs du festival et surtout à sa directrice, France Leduc, qui considère que Marc Rebillet a pris « en otage le festival pour faire le buzz« .

Aphatie en a été tout retourné: l’éditorialiste politique Jean-Michel Apathie, sic, invité d »Estelle Midi » ce lundi sur RMC et RMC Story, estime choquant que personne ne se soit indigné des insultes proférées par un artiste samedi au Touquet visant Macron. L’ « artiste » s’est lâché et a sorti quelques insultes au micro, lançant la foule sur des airs de « Macron dégage » ou encore le peu subtil : « Macron enculé ». La lèche d’Aphatie est elle-même tout en finesse…

« Ils veulent que je rembourse mon cachet alors que le concert a eu lieu »

En plein spectacle, des membres de la direction ont tenté de raisonner le chanteur. On ne sait pas ce qu’il s’est dit mais cela n’a pas empêché l’artiste de continuer à balancer ses grossièretés [LVN passe d’ « invectives » à « grossièretés »…] de plus belle. « Le festival n’est pas content, » a-t-il lancé au public. 

L’artiste a annoncé dans une vidéo sur Instagram ce dimanche 28 août, au lendemain du concert, que la directrice du festival avait « jeté un verre plein sur son agent pendant le concert sur le côté de la scène, et maintenant ils veulent que je rembourse mon cachet alors que le concert a eu lieu« , explique le chanteur depuis Barcelone, écrit France Bleu Nord. 

Selon Marc Rebillet et les informations du Parisien, les organisateurs ont tenté de couper le micro du musicien pendant son concert. Censure ! Atteinte à la liberté d’expression ! LIEN Instagram

« L’affaire a déjà été récupérée politiquement par Daniel Fasquelle, » maire du Touquet qui condamne le show sur Twitter et appelle le festival à ne plus inviter le musicien. Marc Rebillet lui a répondu que « de toute façon il n’accepterait pas ». 

Les mensonges de la presse

La presse agenouillée avait assuré que les insultes avaient plu AVANT l’arrivée de Macron.  Elle tentait de protéger notre « protecteur » autoproclamé.

Mais un tweet affirme que le couple était bien présent au moment de l’agression homophobe:

La presse avait dissimulé que la foule avait repris en choeur « Macron enc*lé « . Mais une vidéo atteste de la désinformation (Checknews ou le Vrai du Faux, puisque les services de désintox (fact checking) jouent aux singes qui « ne voient rien, n’ entendent rien et ne disent rien ».

https://www.tiktok.com/@fertaxfer/video/7136725891064909062?_t=8VF58dwjpcj&_r=1

« Macron dégage »

@fanmnilotique2

#letouque #Macron #MarcRebillet #impolis#concert 🤨🤔 Ce samedi soir, au #Touquet Music Beach, l’artiste Marc Rebillet a insulté le président #Macron d’ « enc*lé » et a fait insulter le chef d’État, qui a assisté au concert quelques minutes après depuis l’espace VIP. #MarcRebillet

♬ son original – Figaro 🇭🇹🇲🇫🇻🇪🇬🇳

https://www.tiktok.com/@fanmnilotique2/video/7137151390299835654?_t=8VF5CxE5ucP&_r=1

« Enc*lé, dégage » :

Macron encaisse bien

Rappelons-nous aussi la vidéo incroyable où Alexis du Réau de la Gaignionnière se vantait d’avoir sodomisé le poudré et disait tout le bien qu’il pensait du banquier (source, article du 17 mai 2019)

Attention:

langage ordurier

Un acteur porno affirme avoir sodomisé Emmanuel Macron dans une soirée libertine en 2013
par Andreas pagnatosquit

Attention : très bizarrement, la kommandantur Youtube a restreint l’accès à cette vidéo qui existait depuis des années, le 11 janvier, date de parution de cet article sur ‘Profession gendarme’. Je l’ai retrouvée sur un autre compte Youtube, comme quoi c’est bien la surveillance de Profession gendarme qui a entraîné cette censure partielle, puis elle a été à nouveau supprimée et je l’ai retrouvée ailleurs…
Or, de façon étonnante par rapport à ce qui est dit dans l’article (« seconde partie de la vidéo, publiée le jour même de l’élection de l’emmerdeur »), ce même Alexis de Réau semble être l’auteur de photos de l’emmerdeur à la Rotonde (fête du soir du 1er tour, voir les n° 3, 4, 5, 8) créditées Alexis Réau / SEPA… L’emmerdeur se faisait photographier, avec toute la jet set par son enc*leur ! Qui avait peut-être enfilé la moitié des invités, si l’on suit ses propos. Ce qui me frappe surtout c’est que le produit présidentiel sur ces photos ne ressemble pas du tout à ce qu’on nous vend actuellement sous la même marque. Et si le Pr Fourtillan avait raison quand il prétend que le chef de l’Etron est mort et remplacé par un sosie ?Quant à la perruque de #brigibitte, il a nettement amélioré le modèle depuis ! Voici d’ailleurs ce couple de diaboliques tentant de désamorcer une enième boule puante lancée par « l’extrême drouâte ».

Conseil de défense entre Manu et Jean-Mi. © L’année Canard 2021, dessin détourné (anonyme).

Plaisanterie mise à part, l’Elysée n’ayant pas plus porté plainte contre Alexis de Réau que contre Faits & Documents, et étant dans une situation de légitime défense depuis que cet emmerdeur nous a insultés, il est donc licite de proclamer Urbi & orbi « le chef de l’Etron est un enculé ».
Ne vous inquiétez pas, vous êtes sur le site « altersexualite.com », qui n’a rien contre la sodomie, bien au contraire, et considère plutôt le terme « enc*lé » comme une flatterie, de même qu’à l’heure des « greffes fécales » vantées par le Pr Raoult, être « emmerdé », au sens propre, n’aurait rien que de très positif ! Au passage, si ce bel Alexis n’a rien à faire ce soir, il peut m’envoyer son 06 !

Cette expression est donc à prendre comme un simple parallèle, une réponse du berger à la bergère, ou plutôt de la chèvre au légionnaire. Certes, ce sera l’occasion d’être traité de « complotiste », « antivax » ou autre flatterie par ce genre de journalistes gourmands qui nettoient la crème laissée par Alexis de Réau.

Journaliste mainstream en pleine investigation.

Macron agacé par les journalistes

Rappelons-nous les éléments de langage que Victor Fabius a délicatement sélectionnés pour la prochaine campagne de Macronescu, à la tête du cabinet McKinsey qui administre la France, en lieu et place des instances démocratiques dézinguées par ce dictateur.

Programme de campagne Macronescu © McKinsey

Pour ceux qui ne seraient pas au courant de ces affaires qualifiées par une presse aux ordres de « rumeurs absurdes », lire cette interview de M. Xavier Poussard, le rédacteur de Faits & Documents. Voici une excellente vidéo de « Chanteur à gages » sur l’Emmerdeur.Lecture

Macron l’emmerdeur professionnel (parodie)
par Chanteur à Gages

Attention, pour ceux qui auraient raté le 1er épisode, rappelons encore et toujours que Macresse et Pécron sont les roux & combaluzier de l’ascenseur mafieux, qui se tiennent par les c*uilles de #jeanmicheltrogneux. La réélection de l’un quelconque les garantirait de 5 années de plus d’immunité.
(Extrait de altersexualite.com, site de Lionel Labosse

Le barbecue enflamme Sandrine Rousseau et les féministes barrées

« Le barbecue, symbole de virilité, » selon la Verte, haineuse des hommes

Les stéréotypes archaïques tournent la tête
des féministes écervelées

En voulant rééduquer les hommes, les féministes totalitaires commettent un crime contre l’esprit. Avec un décalage de soixante années, des intellectuel(le)s français –  qui ont laissé coloniser leurs esprits stériles aux divagations féministes d’universités américaines désorientées – veulent nous soumettre à notre tour, comme des musulmanes au voile islamique.

Professeur d’université à Lille mais députée EELV de Paris, Sandrine Rousseau a estimé ce samedi qu’un « changement de mentalité » est nécessaire « pour que manger une entrecôte cuite sur un barbecue ne soit plus un symbole de virilité« . Une réflexion que la droite accueille d’un air goguenard à la limite de  l’exaspération, face à ce retour de flamme anti « mâle blanc hétéro », tandis que la gauche  ouvre le débat.

La remarque peut surprendre mais elle résonne comme la rencontre du politique et de la sociologie, voire de la sémiologie – ces disciplines universitaires qui visent notamment à interroger des pratiques anodines pour en extraire la signification collective. Samedi, lors d’une table ronde organisée à l’occasion des Universités d’été de sa formation politique à Grenoble, la députée Europe Ecologie – Les Verts, Sandrine Rousseau, a lâché une observation qui a rapidement fait son chemin sur Twitter :

La droite fustige un « délire »

Le député des Alpes-Maritimes et candidat à la présidence des Républicains Eric Ciotti s’est ainsi étranglé dimanche sur Twitter.

Il a été épaulé par sa consoeur, émargeant pour sa part au Parlement européen, Nadine Morano, qui s’en est elle aussi prise aux « délires de Rousseau », au moment de commenter un article évoquant le nouveau livre de la députée parisienne.

Florian Philippot, fondateur des Patriotes, a quant à lui jugé le débat dérisoire : « On a à la tête du pays un fou furieux qui veut nous couper le chauffage cet hiver et nous entraîner dans une guerre, mais nous on débat…de viande au barbecue ! »

D’autres, au contraire, ont pris des accents jugés tragiques à gauche. La presse de gauche les désigne ad hominem, telle l’intellectuelle, essayiste et journaliste équilibrée du Figaro, Eugénie Bastié : « Il ne reste en effet peut-être plus que le barbecue comme petit rituel résiduel d’une virilité impitoyablement pulvérisée partout dans la culture et, même ça, elles veulent leur enlever ».

Charles Consigny a réagi:

Une nouvelle divagation clivante

Réduire le sexe de l’homme à une pièce de viande est-il sexiste et dégradant ? A Libération, ils ne se sentent pas castrés !

Cette pensée profonde excitant les « peinent à jouir » de  Libération – expérimentateurs blasés mais épuisés de toutes les turpitudes – n’est rien d’autre  qu’une divagation américaine importée et ensemencée dans le terreau accueillant mais improductif de Sandrine Rousseau.

Cette universitaire est inféconde: elle ne pense pas par elle-même. La féministe dispose de relais tout aussi improductifs. Elle a pu compter sur le soutien de la gauche. Ainsi, la députée insoumise, donc anti-républicaine, Clémentine Autain a repris la réflexion. « La sociologie [américaine] nous explique qu’il y a une différence très forte entre les sexes » dans le rapport à la viande, a fait valoir la féministe, au risque de se couper de son électorat musulman de Seine-Saint-Denis qui ne marche pas dans ces divagations d’intellectuelles sans repères.

Et Autain d’asséner : « Les femmes mangent deux fois moins de viande rouge que les hommes. Les personnes décidant de devenir vegan ou végétariens [végétariennes] sont majoritairement des femmes ». Aymeric Caron, entends-tu?

Deux dernières observations tirées du travail de la journaliste – à Slate, Mediapart ou Libération – et autrice (!) Kabyle de Steaksisme, Nora Bouazzouni, qui a elle-même réagi sur les réseaux sociaux, si pourris soient-ils.

Une étude « Panorama de la consommation végétarienne en Europe », réalisée par le CREDOC pour FranceAgriMer et l’OCHA en 2018, infirme en partie ces propos à l’emporte-pièce. 4% des femmes déclarent ne pas consommer de produits d’origine animale – véganisme -, contre 2% des hommes. Deux fois plus d’une infime minorité est-elle une indication représentative?

On peut aussi lire que 3% des femmes et seulement 1% des hommes ne mangent jamais de viande ni de poisson. Par ailleurs, les femmes sont aussi majoritaires dans les rangs des flexitariens auto-déclarés. Majoritaires aussi en matiére d’homéopathie.

Les « mâles blancs hétéros » et contribuables seront heureux d’apprendre que le CNC (Centre national du cinéma, établissement public subventionné par le ministère de la Culture) lui a financé une websérie (Badass) et une série documentaire, dont les hommes sont exclus ou maltraités.

Depuis 2019, le CNC est présidé par Dominique Boutonnat, lequel a été placé en garde à vue le 10 février 2021, puis mis en examen le 11 février 2021, à la suite d’accusations d’agression sexuelle et de tentative de viol formulées par son filleul de 22 ans, pour des faits remontant à août 2020. Proche de Macron, Dominique Boutonnat, 51 ans, nie en bloc. En juin 2022, la première préoccupation de la ministre de la Culture, franco-libanaise, avait milité pour sa reconduction malgré sa mise sa mise en examen.

En 2018 et en 2019, Franck Riester, ministre de la Culture qui vit avec un homme, et Bruno Le Maire, ministre de l’Economie et des Finances qui narre les chatouilles de sa femme dans son bain, avaient confié deux missions successives à ce célibataire endurci.

Cette féministe trentenaire a également commis Faiminisme, quand le sexisme passe à table.. Les sexistes, c’est les autres !

Une sortie « dictatoriale » pour le RN

L’Apollon du Belvédère
est-il du goût de
S. Rousseau et Rokhaya Diallo ?

Ce lundi, Xavier Iacovelli, sénateur de la majorité dans les Hauts-de-Seine, a quant à lui considéré que la sortie de la femme politique est juste contreproductive.

« Je ne pense pas que le barbecue soit un symbole de virilité. C’est un sujet qui n’a pas lieu d’être. Pour un parti politique qui prône l’égalité entre les femmes et les hommes, stigmatiser le fait que le barbecue soit forcément masculin, ce n’est pas à la hauteur du débat politique, » a déclaré ce sénateur socialiste (élu avec le soutien de Macron) qui a fait appel à l’entreprise de sa sœur (Emilie, elle-même militante socialiste à Suresnes) pour désamianter le nouveau siège du PS départemental dont il était le premier secrétaire. Sans parler du prêt de 7.000 euros contracté auprès de la fédération départementale du PS et que ses adversaires politiques relient volontiers à l’achat de deux appartements à Lacanau (Gironde).

En face de lui, Aleksandar Nikolic, président du groupe RN au Conseil régional de Centre-Val de Loire, a lancé : « Avoir cette vision politique est inquiétant. L’écologie est un sujet essentiel (…) ça devrait être son sujet plutôt que de faire la police du foyer et de la manière dont les couples s’organisent », a-t-il initié.

« Je trouve ça à la fois dangereux, dictatorial et malsain même si ça prête au sourire. Heureusement qu’elle n’est pas au pouvoir », a-t-il achevé.

Nos progressistes français ont 60 ans de retard… S’ils veulent débattre du sexe des anges, jusqu’où nous entraîneront-ils ?

Le Livre des Jubilés dit que les anges ont été créés circoncis, ce qui suppose bien qu’ils sont de sexe masculin, de même que Mahomet, autre « messager » de Dieu, qui est né circoncis). Assez pour fâcher l’islamo-gauchiste verte avec l’islam machiste? Les anges sont donc, au départ, dans la mythologie intertestamentaire, des créatures ailées de sexe masculin. Assez pour fâcher l’islamo-gauchiste verte avec l’islam machiste?

Ce n’est que tardivement que la doctrine chrétienne, pour couper court aux fameuses discussions byzantines sur le sexe des anges, a conclu qu’il fallait retirer tout organe sexuel à ces messagers, tantôt doux et merveilleusement beaux, qui semblaient plutôt féminins, mais tantôt soldats courageux combattant le Mal, qui paraissaient alors masculins. La voie était toute tracée pour des anges intersexes, gender fluide, trans ou que sais-je…

LIEN https://popmodeles.be/la-virilite-sur-le-grill/

L’humoriste suisse Marina Rollman est-elle fasciste, selon les critères des féministes radicaux? Attention, langage cru…

« Il faut se préparer au rationnement », assène Borne

La menace vise les entreprises, pour commencer

Face au patronat, la première ministre Elisabeth Borne est allée déclarer la guerre aux entreprises en les poussant à mettre en place rapidement un plan de sobriété lors de son discours de rentrée à la Rencontre des entrepreneurs de France (REF) organisée par le MEDEF. Elle a évoqué des mesures de rationnement si l’énergie venait à manquer durant l’hiver prochain, mais elle a pour l’instant écarté toute mesure coercitive.

Elisabeth Borne lors de son discours de rentrée à la Rencontre des entrepreneurs de France (REF) ce lundi 29 août.
Elisabeth Borne lors de son discours de rentrée à la Rencontre des entrepreneurs de France (REF) ce lundi 29 août.

L’exécutif prépare les esprits à un hiver difficile. Après le discours alarmiste de Macron lors du premier Conseil des ministres la semaine dernière, Elisabeth Borne a donné un discours en forme d’avertissement ce lundi à l’hippodrome de Longchamp à l’occasion de la Rencontre des entrepreneurs de France (REF) organisée par le MEDEF. Devant un parterre de patrons, ministres et syndicats, la première ministre a invité « chaque entreprise à mettre en place un plan de sobriété. »

Pour y parvenir, la cheffe du gouvernement a retenu l’idée du Medef de mettre en place un ambassadeur de la sobriété dans chaque entreprise. « Si cela ne se fait pas, nous devrons mettre en place des mesures de rationnement », a prévenu Elisabeth Borne. Autrement dit, Matignon est prêt à prendre des mesures coercitives dans son plan de sobriété qui devrait être présenté au début du mois d’octobre. Ce plan vise à réduire la consommation d’énergie de 10%. « Ce plan, c’est un pacte que nous vous proposons :préférer les économies choisies plutôt que les coupures subies », a-t-elle ajouté. « C’est la première fois que l’on a un vrai discours sur la sobriété dans les entreprises. C’est une bonne chose, explique Corentin Sivy, expert en politique énergétique interrogé par La Tribune. En revanche, on peut regretter qu’il n’y ait pas plus de mesures contraignantes, ni de contreparties demandées aux entreprises », juge-t-il.

Petit rappel de l’incompétence de l’exécutif:

Six mois jour pour jour après l’éclatement de la guerre en Ukraine, la situation géopolitique est très loin d’être réglée. L’Union européenne tente de trouver des solutions à court terme pour se fournir en énergie en dehors de la Russie, après avoir négligé les conséquences prévisibles d’une guerre et la légéreté d’un alignement sur les USA contre notre fournisseur d’énergie.

De son côté, le Kremlin continue de maintenir la pression sur les États du Vieux continent en brandissant la menace d’une coupure complète de gaz et de pétrole, à commencer par une réduction de sa fourniture de gaz. Dans ce contexte brûlant, la cheffe du gouvernement a prévenu que « si nous devions en arriver au rationnement, les entreprises seraient donc les premières touchées. » Un virage à 90° contre l’emploi…

Baisser de 10% l’énergie, un pari risqué dans certains secteurs

L’enlisement du conflit aux portes de l’Europe et les tensions persistantes sur les marchés de l’énergie vont obliger les entreprises à redoubler d’efforts pour faire des économies sur la future consommation. Pour rappel, vendredi dernier, le prix de l’électricité sur le marché de gros en France a dépassé 1.000 euros le mégawattheure (MWh), contre environ 85 euros il y a un an. Le 24 août dernier, le gaz naturel européen a dépassé les 300 euros le MWh, un record depuis mars et le début de l’invasion russe en Ukraine. Deux jours plus tôt, il culminait déjà à 295 euros le mégawattheure, soit un niveau plus de six fois supérieur aux prix observés il y a un an.

« Une baisse de 10% ne relève pas du domaine de l’impossible », estime Jacques Percebois, économiste et directeur du Centre de recherche en économie et droit de l’énergie (Creden). « Le plus grand potentiel de baisse réside dans les secteurs où l’énergie ne représente que 3 ou 4% des coûts, c’est notamment le cas dans le tertiaire », poursuit-il. Dans la restauration, l’hôtellerie, les commerces, les services financiers, l’enjeu consiste donc dès à présent à modifier les comportements, en limitant notamment le recours au chauffage dans les bâtiments dès cet automne.

« En revanche, dans les industries très énergivores, les marges de manœuvre sont beaucoup plus faibles, note Jacques Percebois. Quand l’énergie représente 30, voire 40% des coûts, vous faites forcément très attention à son utilisation,» développe-t-il. En conséquence, depuis plusieurs années, les acteurs de la chimie, de la métallurgie et de  l’agroalimentaire, notamment, ont entamé des actions pour réduire leur consommation énergétique mais ces efforts pourraient être jugés insuffisants au regard de l’ampleur de la crise énergétique en cours.

De nombreux flous sur la bataille de la planification écologique

En charge de la planification écologique, Elisabeth Borne est en première ligne sur tous les sujets de transition. Accompagnée de la ministre de l’Energie Agnès Pannier- Runacher, la première ministre a déroulé son plan de bataille pour les prochaines semaines mais de nombreuses modalités sur le calendrier et la méthode restent à préciser. « Nous allons travailler secteur par secteur, en rassemblant toutes les parties prenantes autour des ministres compétents. Chaque secteur aura des objectifs de baisse d’émissions de gaz à effet de serre et d’adaptation au changement climatique et devra définir », a-t-elle précisé.

Suivez le raisonnement de la polytechnicienne, si vous pouvez (1%, l’épaisseur du trait, monopolise toute l’énergie de Macron et de sa presse débateuse):

Le gouvernement a prévu de démarrer un cycle de discussions et de négociations dès le mois de septembre avec de nombreux secteurs. Des rendez-vous ont déjà été programmés avec les secteurs de la forêt, celui de l’eau, du nucléaire et des énergies renouvelables. « Au cours de l’automne, cette démarche sera engagée pour l’ensemble des secteurs, avec comme objectif d’aboutir, d’ici la fin de l’année, à une première vision complète de notre planification écologique », a-t-elle expliqué. Le suivi de cette feuille de route sera assuré par un nouveau secrétariat général en charge de la planification. Lors du précédent quinquennat, le secrétariat présidé par François Bayrou avait fait l’objet de nombreuses critiques.

Après un été marqué par des records de températures, des sécheresses historiques, des pénuries d’eau et des méga incendies, l’urgence de la transition devient impérieuse pour l’économie française. En effet, de nombreux secteurs ont subi de plein fouet les conséquences de ces canicules à répétition. Pour le gouvernement, il y a clairement urgence à agir.

LR: Virginie Calmels se dit écartée de la course à la présidence

Sa candidature ne respecte pas le réglement du parti.

Ancienne numéro 2 des Républicains, Virginie Calmels ambitionne de se présenter à la présidence du parti, mais ses adhésions par intermittence au parti la mettent en porte-à-faux avec un point de règlement. Parce qu’elle est une membre incertaine, un fait qu’elle conteste vivement, elle est pour l’instant écartée.

« Mon profil dérange,» interprète-t-elle, alors que la Haute autorité des Républicains lui oppose ce lundi 29 août le motif u’elle a repris sa carte trop tard pour se mettre  sur les rangs.

L’intéressée a dénoncé des « manœuvres » visant à « éviter » qu’elle puisse participer. Elle annonce qu’elle travaille avec son avocat à une réponse juridique.

En mars 2019, elle avait décidé de quitter la mairie de Bordeaux, en même temps qu’Alain Juppé, et de retourner dans le privé.

Entre 2017 et 2018, elle était première vice-présidente des Républicains et vice-présidente déléguée (« numéro 2 »), mais après avoir annoncé en septembre 2017 son ralliement à Laurent Wauquiez pour l’élection à la présidence du pariti, elle avait été limogée en raison de son opposition véhémente à Laurent Wauquiez.

Quand elle avait étét investie par Les Républicains pour les élections législatives de 2017 en Gironde, elle avait finalement fait savoir qu’elle ne serait pas candidate pour se consacrer à la mairie de Bordeaux. Le Point révéla que Virginie Calmels avait été approchée en 2021 par l’équipe de l’ancien ministre socialiste Arnaud Montebourg pour rejoindre sa campagne présidentielle. D’abord intéressée, elle s’en retira finalement.

Le Point révéla que Virginie Calmels avait été approchée en 2021 par l’équipe de l’ancien ministre socialiste Arnaud Montebourg pour rejoindre sa campagne présidentielle. D’abord intéressée, elle s’en retira finalement.

Le plus grand bénéficiaire des super profits, c’est l’Etat, souligne le président du Medef

S’agit-il de renforcer l’impôt sur les grandes fortunes, en commençant par l’Etat ?

Concession à l’extrême gauche,
un impôt maquillé en taxe

« Qui est le plus grand super profiteur, si j’ose, qui fait les plus grands super profits: c’est l’Etat », a affirmé le président du Medef, lundi sur France Inter. Geoffroy Roux de Bézieux s’est d’ailleurs dit opposé à ce que ces bénéfices soient taxés comme le réclame la gauche.

« Les recettes fiscales du premier semestre 2022 ont augmenté de 27 milliards d’euros, », a-t-il rappelé, expliquant que c’est « grâce aux super profits des entreprises« .

« Donc, c’est une bonne nouvelle pour ces entreprises, pour leurs salariés, mais aussi pour les Français, pour l’Etat », selon le président de la première organisation patronale française.

La première ministre Elisabeth Borne ne ferme pas la porte à une taxation des super-profits, a-t-elle indiqué samedi dans un entretien avec Le Parisien. Mais d’ajouter qu’elle préférait que chaque entreprise fasse le job en « baissant les prix pour le consommateur et en donnant du pouvoir d’achat à ses salariés ».

Interrogé sur le fait que la Grande-Bretagne a mis en place une taxe exceptionnelle et provisoire sur les profits des pétroliers, le président du Medef a répondu que « la Grande-Bretagne a un taux d’impôt qui est 10% inférieur au nôtre ».

« La force de la fiscalité française depuis 7 ans maintenant c’est d’être stable et d’avoir un signal clair d’attractivité », a mis en avant Geoffroy Roux de Bézieux, qui doit tenir un discours en début d’après-midi devant la REF (université d’été du Medef).

« On a une situation économique qui est moins mauvaise qu’ailleurs, n’augmentons pas les impôts », a-t-il encore plaidé.

Mouvement « Don’t pay » UK

Cette association britannique appelle manifester la colère face aux prix élevés de l’énergie.

Apparu en juin, le mouvement « Don’t pay UK » appelle les Britanniques à cesser de payer leurs factures de gaz et d’électricité si elles ne redescendent pas à un niveau jugé raisonnable d’ici le 1er octobre. Plus de 100.000 personnes ont déjà apporté leur soutien à cette campagne et de nouvelles manifestations sont prévues ce vendredi 26.

De 1.657 € à près de… 4.500 €

Selon les estimations, le coût annuel des factures de gaz et d’électricité au Royaume-Uni pourrait passer de 1 657 € en octobre 2021 à près de 4 500 € cet automne. « J’ai 57 ans et je ne me souviens pas d’une telle menace sur notre société. Ces entreprises font actuellement des profits records et en plus, elles polluent. Nous ne pouvons pas rester les bras croisés et les laisser détruire notre qualité de vie et notre planète », explique Glyn.

Depuis, il distribue les tracts « Don’t pay » dans les rues de son quartier de l’Est londonien, en compagnie d’autres adhérents locaux pour convaincre le maximum de Britanniques d’arrêter de payer leurs factures d’énergie si rien n’est fait pour les ramener à un tarif jugé raisonnable d’ici au 1er octobre.

Dans sa ville de Sheffield, au nord de l’Angleterre, une adhérente de la première heure à la campagne « Don’t pay » est très préoccupée : « Des bibliothécaires nous disent que déjà, cet hiver, des gens venaient chez eux se réchauffer. Des parents préparent des sandwichs à leurs enfants le soir au lieu de cuisiner pour économiser le gaz ; des restaurants ferment car ils ne peuvent plus faire face à l’augmentation des coûts de l’énergie… ».

Cette autoentrepreneuse s’inquiète aussi de perdre des clients si cette crise les affecte. « Avec mon partenaire, même si nous pourrons éventuellement faire face à une nouvelle hausse des prix, nous ne pourrons plus faire aucune économie », ajoute-t-elle. Mais elle ne redoute pas les conséquences d’un arrêt de payer ses factures. « On entend que les fournisseurs pourraient nous couper le gaz et l’électricité ou que nous nous retrouverons aux tribunaux, mais je n’y crois pas ».

« Don’t pay » ? C’est un mouvement de solidarité citoyenne pour mieux se défendre

Comme de nombreux autres adhérents du mouvement, elle n’est pas une habituée des manifestations et ne se définit pas comme une « activiste ». « Ce terme est trop politique. Je ne suis qu’une simple citoyenne qui demande une chose précise : que les prix de l’énergie soient mieux régulés. Pour moi, « Don’t pay » n’a rien de politique, c’est un mouvement de solidarité entre citoyens pour mieux se défendre », fait-elle remarquer.

« Notre campagne ne laisse pas les autorités indifférentes »

Ce vendredi, Glyn, lui, compte se rendre à une manifestation organisée devant le siège d’ Ofgem, le régulateur britannique de l’énergie, dans le cadre d’une journée d’action nationale du mouvement « Don’t pay ». Et il se veut optimiste : « Notre campagne ne laisse pas les autorités indifférentes. Je suis confiant que d’ici le 1er octobre, le gouvernement ou les fournisseurs d’énergie régleront le problème ».

François Bayrou, Haut-commissaire au Plan ou Cassandre?

La pythie de Macron voit arriver «la crise la plus grave que la France ait connue depuis la guerre»

Le président du MoDem, François Bayrou estime, dans un entretien au Point publié mercredi 24 août, que la France «va vers la crise la plus grave» qu’elle ait connue «depuis la guerre», et qui ne pourra être surmontée «sans un immense effort national», augure-t-il dans un entretien avec Le Point publié mercredi 24 août.

Cette prise de parole intervient le jour du Conseil des ministres de rentrée en écho aux propos de Macron qui a une nouvelle fois insisté sur la gravité des enjeux face à la «série de crises graves» sur le plan mondial, du conflit en Ukraine au dérèglement climatique.

La Voix de son Maître a parlé

«Mon sentiment profond est que nous allons vers la crise la plus grave que la France ait connue depuis la guerre», «peut-être pire même que la guerre d’Algérie» (1954-1962), estime François Bayrou auprès du Point. « Je ne crois pas qu’une telle crise puisse être surmontée sans un immense effort national. Or, l’idée même d’un effort national semble souvent s’être effacée», juge le responsable centriste, également Haut-Commissaire au Plan.

«J’ai parfois l’impression que le monde politique lui-même ne se rend pas compte de ce qui vient, vu les hurlements et les insultes qui polluent les débats à l’Assemblée nationale», juge le patron du MoDem, allié au parti présidentiel au sein d’une majorité relative à l’Assemblée. Sur le plan international, François Bayrou cite le conflit en Ukraine, le risque de crise alimentaire notamment en Afrique, les tensions raciales aux États-Unis, la situation en Chine ou encore les élections en Italie, où la cheffe du parti d’extrême droite Fratelli d’Italia Giorgia Meloni est en tête des sondages en vue des législatives du 25 septembre.

«Nécessité d’une mutation»

Il évoque également les problématiques liées à la transition énergétique, la «très forte inflation» et la question du «déséquilibre de nos finances», dont «plus personne dans l’opinion publique ne paraît avoir vraiment conscience». Macron, assure François Bayrou, «n’éludera aucune des questions cruciales de notre avenir». «Il se situe d’avantage dans la question du moyen et du long terme que dans la gestion de l’immédiat».

François Bayrou réaffirme par ailleurs le rôle «politique, plus indépendant et à l’initiative» que doit avoir selon lui le premier ministre dans cette nouvelle configuration politique, comme il l’avait fait au lendemain des législatives, ce qui avait été perçu comme une critique du profil d’Élisabeth Borne. «Je crois qu’Elisabeth Borne, intelligente et volontaire, l’a compris et qu’elle expérimente la nécessité de cette mutation», a-t-il dit.

Un élu de Saint-Etienne, piégé et filmé avec un ‘escort boy’, va porter plainte

Un élu de Saint-Etienne, piégé et filmé avec un ‘escort boy’, va porter plainte

Un élu de Saint-Etienne, piégé et filmé avec un ‘escort boy’, va porter plainte

Professeur de mathématiques de 57 ans et membre de la campagne présidentielle de François Bayrou en 2007, Gilles Artigues est premier adjoint de Gaël Perdriau, maire LR.

Le site Mediapart livre une enquête accablante révélant un complot sordide organisé contre l’ex-premier adjoint de la ville.

La cible du complot est Gilles Artigues et il implique, selon les révélations de Mediapart, Samy Kéfi-Jérôme, un élu de la majorité municipale (LR), et Gilles Rossary-Lenglet, son ex-compagnon.

Toujours selon le site trotskiste révolutilnnaire, l’actuel maire de la ville, Gaël Perdriau, était au courant de guet-apens visant à contrecarrer les ambitions politiques du centriste.

Tout commence après les élections municipales de 2014 quand Gilles Artigues, à la faveur d’un accord électoral, se retrouve premier adjoint de Gaël Perdriau ainsi qu’à la tête d’un groupe conséquent et autonome au conseil municipal de Saint-Etienne.

Une position stratégique et un potentiel pouvoir de nuisance qu’il était question de maîtriser pour la majorité LR. Et c’est là qu’un piège est tendu. Samy Kéfi-Jérôme, adjoint à la mairie de Saint-Etienne, aurait organisé, avec son compagnon de l’époque Gilles Rossary-Lenglet, une machination visant à faire chanter l’élu centriste.

Filmé à son insu

Le coup monté est organisé fin 2014, à Paris. Une caméra est placée dans la chambre d’hôtel du premier adjoint. Dans la vidéo obtenue par Mediapart, trois personnes apparaissent à l’écran : Gilles Artigues, un escort gay et Samy Kéfi-Jérôme « à la manœuvre ».

Ce dernier « fait comme si l’escort était une de ses connaissances, met à l’aise Gilles Artigues en animant la conversation, baisse la lumière, allume la musique et sert un verre, avant de partir sur la pointe des pieds ».

La suite ? Un « massage érotique » pratiqué sur l’élu centriste et filmé par une caméra cachée, dans le but de faire chanter la victime, en menaçant de faire sortir cette vidéo qui entamerait la crédibilité morale de Gilles Artigues, connu pour ses positions conservatrices.

À la suite des révélations de ce montage, l’avocat de la victime a fait savoir qu’une plainte sera déposée contre X et contre Samy Kéfi-Jérôme pour « guet-apens en bande organisée financé par des fonds publics », « non-dénonciation de délit ou crime », menaces et chantage.

Au journal Le Monde, l’avocat affirme que la victime dispose d’éléments attestant de menaces et il pense avoir été drogué lors de cette soirée.

« Il connaît M. Kéfi-Jérôme qui l’a amené dans sa chambre pour un motif futile et l’a fait boire. Il ne se souvient ensuite de pas grand-chose », affirme André Buffard, avocat de Gilles Artigues. Auprès de Mediapart, Gilles Rossary-Lenglet affirme avoir fait partie de l’opération.

« J’ai tout géré depuis Saint-Etienne. Samy a payé sur place l’escort », assure l’ex-compagnon de Samy Kéfi-Jérôme, qui précise que le maire de Saint-Etienne et son chef de cabinet « ont mandaté Samy pour montrer la courte vidéo » à Gilles Artigues.

Mais Libération, partisan, voire malveillant, écrit : «Le conseiller municipal centriste, père de famille très impliqué dans la communauté catholique, a ensuite subi un chantage pour que cette vidéo compromettante ne soit pas divulguée», écrit Mediapart. En parallèle, Samy Kéfi-Jérôme s’est fait une carrière politique : «adjoint chargé de l’éducation et de la jeunesse à la mairie de Saint-Etienne, mais aussi conseiller régional délégué dans l’exécutif de Laurent Wauquiez, après en avoir été le vice-président, à la tête de la région Auvergne-Rhône-Alpes.» La méthode est inspirée de celle du KGB appelée kompromat.

Selon Me André Buffard, Gilles Artigues aurait été invité dans la chambre de Samy Kéfi-Jérôme «pour un motif futile. […] Il ne se souvient ensuite de pas grand-chose». Sur la bande vidéo, on peut voir Samy Kéfi-Jérôme présenter l’escort boy à Gilles Artigues avant de s’éclipser.

Conséquences politiques

Libération poursuit dans la même veine: « le maire de Saint-Etienne nie être au courant. L’implication du maire (LR) de Saint-Etienne, Gaël Perdriau, dans cette affaire est en question. Gilles Rossary-Lenglet affirme que l’édile ainsi que son directeur de cabinet «ont mandaté Samy pour montrer la courte vidéo». «Gilles Artigues, 57 ans, militant chrétien-démocrate passé par le MoDem et l’UDI, et Gaël Perdriau, 50 ans, pur produit de la droite UMP (LR aujourd’hui), travaillent ensemble depuis 2014 mais n’ont jamais été proches. Les deux hommes, mus par la même ambition de diriger la ville de Saint-Etienne, sont en réalité liés par une alliance de circonstance, marquée par la défaite de la droite aux municipales de 2008», explique Mediapart, avec la sympathie dont l’extrême gauche pour le centre.

Sans surprise, ces révélations ont fait l’effet d’une bombe à Saint-Etienne et au-delà, puisque Samy Kéfi-Jérôme compte parmi les élus de la majorité LR de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, qui n’a pas tardé à lâcher le mis en cause.

« A la suite des informations parues dans la presse le mettant en cause, les fonctions de conseiller délégué de Samy Kéfi-Jérôme au sein de l’exécutif de la Région Auvergne-Rhône-Alpes sont suspendues à dater de ce jour. Dans l’attente de plus amples éléments, cette mise en retrait lui permettra de pleinement assurer sa défense », a réagi la région dans un communiqué relayé par la presse locale.

De son côté, le maire de Saint-Etienne, Gaël Perdriau, assure qu’il n’est pas impliqué dans le dossier, ce dont Libération doute sans étayer ses soupçons. « Je souhaite comprendre tous les tenants et aboutissants de cette affaire. Et par ailleurs, je conteste fermement toute notion de chantage qui serait lié aux décisions qu’il a prises au sein de l’exécutif », a expliqué devant la presse l’édile LR.

Ce dernier maintient n’avoir jamais vu la vidéo compromettante. Mais était-il au fait de cette histoire ? C’est ce qu’affirme Mediapart, site d’extrême gauche mais ce que pense aussi l’avocat de Gilles Artigues. « Mon client a révélé les faits au maire très peu de temps après » assure André Buffard, affirmant que « Gaël Perdriau était au courant depuis le début ». Comme si Artigues était la cible secondaire et Perdriau, la principale.

En Algérie, Macron fait humilier la France

La réconciliation mémorielle est mal engagée

La presse hexagonale occulte l’agression sexuelle.

Les images, sans le son,
comme un fait exprès !

Europe 1 écrit à propos de la foule algérienne haineuse:

Côté presse algérienne, 24hdz commente: « L’ambiance, qui semblait bon enfant au départ s’est tendue rapidement après des insultes proférées par un passant. Une partie des habitants présents sur placent [sic] a repris alors en choeur les « One-two-three viva l’Algérie! » et « Vive l’Algérie! » « Allah yarham Al Chouhada » [gloire à nos martyrs] et « Tahya al Jazayer » (pour célébrer une victoire).

Ce slogan est une référence
au départ des Français d’Algérie en …1963

Bain de foule écourté, vidéo expurgée des cris xénophobes et insultants: lien

A aucun moment Europe1 ne rapporte les mots insultants exprimant l’hostilité de la foule.

https://www.tiktok.com/@wildrivercarpfishing/video/7136517437511437573?_t=8VBlsFSagVR&_r=1

A la Grande mosqeée d’Alger, Macron déambule en pantoufles:

Voici le son intelligible offert aux Français par YouTube, pour pallier la désinformation de la presse soumise:

Exalté, Macron semble trouver naturel que la foule soit déchaînée sur son passage. Il faut lui dire d’arrêter d’envoyer des « merci » et le faire remonter de force dans sa voiture officielle où son entourage lui fera comprendre que ses admirateurs si enthousiastes l’ont insulté et humilié…

Le ridicule ne l’a encore pas tué