Des collectifs antifa provoquent des heurts lors d’une dédicace de Zemmour à Brest

Zemmour dénonce des « hordes de barbares »

Le préfet a-t-il favorisé ces atteintes neo-fascites à la liberté d’expression ? Les faits semblent le prouver. Et BFMTV d’écrire que « des scènes violentes  ont suscité l’ire [railleur] d’Eric Zemmour »: la chaîne gouvernementale d’information en continu considère ainsi que les Français ne seraient pas des démocrates et ne s’associeraient pas à l’indignation contre cette régression des libertés, celle de l’auteur et celle de ses lecteurs. Faut-il mettre au pilon le publications du journaliste ? L’extrême gauche préconise-t-elle un autodafé 2023, anniversaire de mai 1933, quand le chancelier Adolf Hitler lança une « action contre l’esprit non allemand » visant les écrivains juifs, marxistes ou pacifistes.

Plusieurs dizaines d’activistes ont fait irruption samedi 17 juin à Brest devant l’hôtel qui accueillait une séance de dédicaces du patron de Reconquête. Des vociférations se sont élevées et des bousculades ont alors éclaté entre attaquants opposés à sa venue et soutiens de l’essayiste.

« Imaginez que vous veniez vous faire dédicacer un livre d’un auteur que vous aimez particulièrement. Soudain des hordes de barbares se jettent sur vous, vous frappent, vous insultent. C’est très grave », a souligné l’ancien candidat à la présidentielle ce lundi sur BFMTV.

Au cours de l’attaque de la séance de dédicace du polémiste, deux personnes (!) ont été interpelées par les forces de l’ordre et placées en garde-à-vue ce samedi à Brest. En début d’après-midi, environ 300 personnes, dont une soixantaine de membres de l’ultragauche, se sont réunies pour agresser les participants.

Les forces de l’ordre ont dû intervenir pour disperser les attaquants. Un manifestant a été blessé avec du verre en donnant un coup de pied à une vitrine et un sympathisant de Reconquête a été blessé au visage, selon la sous-préfecture de Brest. D’après la conseillère presse de l’écrivain, Diane Ouvry, « les black blocs ont jeté des projectiles » et « ont fracassé la tête d’un pauvre jeune homme qui a été emmené par les pompiers ».

Eric Zemmour pointe l’inaction des autorités

« Quand je suis arrivé à 13h, les premiers antifas ont commencé à m’insulter et à me menacer, la police n’est pas intervenue », affirme Eric Zemmour auprès de l’AFP. « Ils ont attendu 15h que les antifas chargent avec une violence sauvage », poursuit-il, dénonçant des « agressions délibérées, violentes, sauvages, contre des enfants, des jeunes, des vieux, des mamies ».

L’ancien candidat à l’élection présidentielle accuse les autorités d’avoir fait preuve d’attentisme face aux contestataires opposés à sa venue. Selon lui, la sous-préfecture « n’a pas fait son travail » et s’est montrée « indigne » dans sa gestion du maintien de l’ordre. « Soit c’est politique, par hostilité. Soit c’est de la négligence et de la médiocrité », déclare-t-il, demandant « des explications et des sanctions ».

« Gérald Darmanin doit prendre des sanctions »

La sous-préfecture « n’a pas fait son travail » et s’est montrée « indigne » dans sa gestion du maintien de l’ordre. « Soit c’est politique, par hostilité. Soit c’est de la négligence et de la médiocrité », déclare-t-il, demandant « des explications et des sanctions ».

Les antifa fascisés partagent avec le Black bloc la stratégie du retrait éclair après leur forfait perpétré:

Etat des lieux après le passage de la horde d’extrême gauche :

« Ça s’appelle le fascisme », tonne Eric Naulleau

Invité de la « Libre antenne week-end » d’Europe 1, le polémiste Éric Naulleau a évoqué au micro de Yann Moix les heurts qui ont éclaté à Brest, en marge d’une séance de dédicace d’Éric Zemmour. « J’ai échangé avec lui, il m’a dit que c’était une dinguerie, ça avait été d’une extraordinaire violence », a-t-il affirmé.

« A partir du moment où l’on considère que tous les moyens sont bons, pourquoi ne pas s’en prendre physiquement à un auteur dont on ne partage pas les idées ? », a regretté Eric Naulleau sur Europe 1, disant qu' »on n’était pas obligé d’acheter le livre » de l’ancien candidat à la présidentielle. « Et parmi les gens qui venaient se faire signer un livre par Eric Zemmour, il y avait pas mal de personnes âgées, même des gens en famille. Donc, ils ont attaqué des êtres vulnérables parce qu’ils voulaient un livre d’Eric Zemmour, mais ça s’appelle le fascisme« , a-t-il tonné.

Des sympathisants ressortis sous protection policière

D’après Diane Ouvry, conseillère presse d’Eric Zemmour, « environ 70 personnes attendaient calmement devant l’hôtel le début de la dédicace prévu vers 15 heures », quand « les manifestants ont avancé vers l’hôtel ». « On a donc fait rentrer les gens qui attendaient la dédicace pour les protéger », a-t-elle témoigné.

« Les black blocs ont jeté des projectiles, ont fracassé la tête d’un pauvre jeune homme qui a été emmené par les pompiers. Ils ont détruit des vitres de l’hôtel, ils ont lancé des fumigènes à l’intérieur. Les forces de l’ordre sont maintenant devant l’hôtel« , a-t-elle déclaré, en précisant qu’un « dispositif de sécurité » était prévu au regard des appels à manifester.

La séance de dédicaces de l’ancien polémiste du Figaro et de CNews était terminée samedi à 19 heures. De 100 à 150 sympathisants ont pu entrer et sortir de l’hôtel sous la protection des forces de l’ordre, a indiqué la sous-préfecture. « Tous les gens qui étaient venus pour assister à la dédicace ont pu le faire », a indiqué la préfecture. Eric Zemmour, dont la tournée de dédicaces depuis trois mois est accompagnée de manifestations, a assuré vouloir continuer « jusqu’aux vacances ».

Un candidat RN aux législatives tabassé par des antifa fascisés de Bordeaux

Une agression occultée par le service public

« De jeunes antifas »…
Récit au conditionnelet suspicieux (« Si la victime mentionne une quarantaine d’agresseurs, la police en annonce une trentaine. ») !
(publié le 11/07/2022 à 11:40),
soit deux jours plus tard

Pierre Le Camus, le candidat du Rassemblement National (RN) à la 2e circonscription de Gironde aux dernières législatives, a été violemment agressé dans la nuit de vendredi à samedi 9 juillet dans le centre-ville de Bordeaux par une bande «de trente à quarante» activistes qu’il identifie d’extrême gauche antifasciste.

Méthodes fascistes des antifascistes. Ils déshumanisent leurs cibles. Les faits se sont déroulés vers 1h du matin, à la terrasse d’un café où le jeune homme de 22 ans passait la soirée avec son frère et un petit groupe d’amis, près de la place Gambetta. «J’étais debout en train de boire une bière avec mon frère et un ami tandis que le reste de notre groupe était attablé. Deux personnes se sont approchées et ont commencé à avoir une attitude menaçante à notre égard, disant ‘vous ne savez pas qui on est mais nous, on sait très bien qui vous êtes’», explique-t-il au Figaro. Et la situation dégénère aussitôt.

«On n’a pas eu le temps de dire quoi que ce soit, les coups sont partis direct», poursuit Pierre Le Camus, qui pense avoir été «reconnu» et pris dans un guet-apens. De part et d’autre de la rue, toute une bande fait alors irruption, visage masqué ou capuche sur la tête et passe à tabac le jeune responsable RN ainsi que son frère et son ami. «C’était d’une grande violence. Il y avait une vraie volonté de faire mal. Ils ont retourné la terrasse, des chaises ont été jetées, j’ai même été frappé à la tête avec une bouteille en verreMon frère s’est retrouvé au sol et ils ont continué à le frapper.»

Technique de la guérilla urbaine: agression éclair et duspersion rapide. La scène ne dure pas longtemps, pas plus de deux minutes. Suffisamment tout de même pour blesser sérieusement les trois amis. «Ils sont partis aussi vite qu’ils sont arrivés en criant ‘Bordeaux Antifa’. Comme les terroristes islamistes criant ‘Allah Akbar’.

Bordeaux est à nous’,»  est aussi un slogan commun avec celui des anti-républicains des quartiers affirmant Prévenus, pompiers et policiers arrivent rapidement sur place et prennent en charge les trois victimes. Pierre Le Camus est soigné sur place tandis que son frère est conduit à l’hôpital. «J’ai très certainement la cloison nasale éclatée, des douleurs à la mâchoire, des douleurs à l’arrière du crâne et des hématomes. Mon frère a le nez cassé ainsi qu’une dent, un traumatisme crânien et une déchirure osseuse à la main droite», détaille le jeune homme qui a immédiatement porté plainte.

Le 12/01/2015 à 21h17

Pierre Le Camus déplore aujourd’hui « l’absence totale de réaction des politiques bordelais, de gauche comme de droite. Tous sont restés étrangement silencieux, eux qui s’insurgent en général sans tarder». Le jeune homme a malgré tout reçu le soutien de nombreux membres de sa famille politique tels que Marine Le Pen ou Jordan Bardella, le président du RN, qui lui ont envoyé des messages. «Qu’attendez-vous @Gdarmanin @PierreHurmicG pour mettre fin à l’impunité de ces factieux ultra-violents ?», s’est de son côté insurgée la présidente du groupe RN en Nouvelle-Aquitaine, Edwige Diaz, sur Twitter.

Plusieurs membres de Reconquête!, le parti d’Eric Zemmour, lui ont également fait part de leur soutien, à l’instar du président de Génération Z, Stanislas Rigault.

Selon RTL, une « milice qui aurait [doute] prononcé plusieurs slogans « antifas » lors de cette attaque: RTL ne les cite pas…

Impunité totale de Macron-Darmanin pour l’ultra-gauche. Bien que non-violent ‘Génération identitaire’ a été dissout: deux poids, deux mesures républicain…

Voile islamique dans le sport : la préfecture de Paris interdit une manifestation de «Hijabeuses»

Ces sportives veulent imposer leur particularisme religieux communautariste

Instrumentalisation du sport
et détournement
faussement féministe

Leur communautarisme religieux leur avait valu des interdictions de compétition par plusieurs fédérations sportives françaises, mais des activistes musulmanes ont voulu s’élever contre ces décisions de leurs autorités fédérales qui s’opposent à tout prosélytisme religieux, dans le respect de la législation. Elles avaient prévu de manifester mercredi après-midi devant l’Assemblée nationale pour protester contre un amendement interdisant le port de signes religieux ostensibles dans le sport.

Le défi au Parlement n’aura pas lieu. Ces françaises avaient prévu de provoquer les représentants du peuple républicain en jouant au football devant l’Assemblée nationale La manifestation a été interdite par la préfecture de police de Paris, ce mardi, et les séparatistes devront choisir entre leur voile et le football.

« Il est à craindre que cette manifestation n’attire, outre les personnes qui la soutiennent, des personnes hostiles à la cause défendue et susceptibles d’en découdre avec les premiers », justifie dans un communiqué le préfet, qui « a pris un arrêté d’interdiction de cette manifestation ».

« Les arguments avancés par le préfet sont scandaleux »

Politisation du sport

Dans l’arrêté publié, la préfecture de police évoque également une revendication « qui fait l’objet d’un vif débat et d’un clivage important dans la société entre partisans de l’affirmation d’un islam politique, qui prône le port du voile par les femmes, et partisans des valeurs républicaines d’égalité entre les femmes et les hommes », ainsi que le « contexte électoral actuel », la situation des femmes « dans certains pays musulmans tels que l’Iran ou l’Afghanistan » ou encore le reportage de « Zone interdite » consacré au « danger de l’islam radical ».

« Les arguments avancés par le préfet sont scandaleux et ne reposent sur rien d’autre que des préjugés racistes et une confusion politique délibérément entretenue », a réagi l’association « Les Hijabeuses » dans un communiqué, qui annonce avoir « saisi le tribunal pour contester cette décision arbitraire, injuste et complètement disproportionnée ».

Une première mobilisation devant le Sénat

Les Hijabeuses, ici devant le Sénat, pour protester contre l’activité législative des élus. 

La semaine dernière, le collectif avait manifesté devant le Sénat en jouant au football avant d’être invité à partir par les gendarmes, au moment où les sénateurs débattaient de plusieurs amendements dont celui qui interdit le port du voile lors des compétitions sportives, dans le cadre de la discussion au Parlement de la proposition de loi visant à démocratiser le sport – le texte doit être rediscuté mercredi à l’Assemblée nationale.

Dans la sphère de l’association Alliance citoyenne, membre d’ACORN international et constitue une des principales formes d’importation des méthodes dite de community organizing (syndicats de citoyens) en France, les « Hijabeuses » mènent une campagne pour que toutes les femmes, et en particulier les femmes musulmanes, puissent pratiquer leur sport en compétition et porter le voile. La Fédération française de football interdit toujours le port du voile au sein de ses championnats, alors que la FIFA l’autorise depuis 2014.

L’association ReAct Transnational, qui travaille à l’organisation de syndicats de travailleurs, est devenu un partenaire fort d’ACORN sur l’organisation des syndicats en France.

Cette… association – membre actif de la campagne  Stop Impunité  – « appuie l’organisation des travailleurs.ses [sic] et communautés affectées par des abus à travers le monde, afin de construire un pouvoir social à même de défendre les droits et intérêts du plus grand nombre. ONG (illégitime) basée en France, ReAct Transnational est un réseau de militants et professionnels, organisateurs, « campaigners » [militants], présents sur plusieurs continents. De Douala à Paris, ils.elles [sic] soutiennent les personnes affectées par les abus de multinationales via la construction d’alliances transnationales. » Autre chose ?

La FIFA est une association à but non lucratif, rassemblant 211 fédérations, nationales ou non. La dernière adhésion en date (2016) est celle du Kosovo, où les lieux de culte orthodoxe sont pillés, saccagés par des Albanais, à 80% musulmans. On parle aussi de nettoyage éthnique.

Et qui soutient les footballeuses islamistes ?

Le mal est intérieur :

Cantona, Thuram, ô la surprise: footballeurs bas de plafond,
pour qui interdire le hijab, c’est
interdire de taper dans un ballon!
Touche pas à mon hijab !
(un produit toxique importé)

Les antifa, anti-fascistes fascisés, pro-palestiniens, des islamo-ultra-gauchistes, révolutionnaires.

Le « grand remplacement » est-il un mythe populiste ?

Une journaliste, frappée par des fascistes antifa à coups de casque, à Marseille

Violence politique sur femme active: ça en touche une à Alice Coffin sans faire bouger l’autre

Femme photoreporter

A deux, des individus en noir – décrits par le directeur du medium comme des «antifas» – ont agressé une personne au genre non-déterminé, selon l’idéologie woke. Pas de tabou en revanche pour indiquer que la femme (oops) caméraman (comment doit-on dire, sous la dictature anti-binaire? Au secours, le Robert ?) travaille pour la chaîne Youtube Livre Noir: c’est son seul défaut, mais il suffit pour se faire tabasser, un vendredi à Marseille. Et ce n’est pas une pulsion, ni un doigt d’honneur, mais simplement la justice politique de rue en action, telle que l’ultra gauche conçoit la démocratie populaire, modèle 1793. Celle que décrit Zemmour pour la combattre.

Méthodes musclées d’islamo-gauchistes dans le silence complice de la presse institutionnelle sectaire

BFM préfère ne plus envoyer ses photoreporters sur le terrain, laissant la place à la chienlit anarcho- révolutionnaire. Les faits de violences physiques et de censure politique se seraient déroulés en pleine enquête sur le déplacement d’Eric Zemmour à Marseille. Selon Erik Tegner, de Livre Noir, la journaliste aurait reçu «des coups de casque» par une première personne, avant d’être forcée par une autre «à supprimer ses rushs (les images filmées, ndlr)».

Notre caméraman de Livre Noir @MaudPK s’est fait violemment agresser [pléonasme] aujourd’hui à #Marseille par un antifas, qui lui a asséné des coups de casque, avant qu’un autre l’oblige à supprimer ses rushs (encore!). Il est vraiment temps que la peur change de camp.

— Erik Tegnér (@tegnererik) November 26, 2021

La victime présumée, Maud Koffler, a publié elle aussi un message sur les réseaux sociaux, affirmant que «les antifas détestent la liberté. Leur seul but est de mettre leurs adversaires hors d’état de nuire. Pour cela, ils sont prêts à tout. Jusqu’à vous frapper à coups de casque devant vos confrères».

Les antifas détestent la liberté. Leur seul but est de mettre leurs adversaires hors d’état de nuire. Pour cela, ils sont prêts à tout. Jusqu’à vous frapper à coups de casque devant vos confrères. Ce qu’ils ignorent, c’est que dans cette bataille, nous serons toujours vainqueurs. https://t.co/H4XAwIDGJU

— Maud Koffler (@MaudPK) November 26, 2021

De quoi faire réagir l’eurodéputé du Rassemblement national, Gilbert Collard, qui a visé directement le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, estimant que s’il «continue à se taire, c’est qu’il profite des antifas. Dissolution ou démission», a-t-il estimé.

Un journaliste de Livre Noir agressé par un antifa à Marseille : « qui ne dit mot consent », si #Darmanin continue à se taire, c’est qu’il profite des #antifas ! Dissolution ou démission !

Src : @tegnererik pic.twitter.com/oYJJOxn2Au

— Gilbert Collard (@GilbertCollard) November 27, 2021

Quant à la douce écologiste féministe Alice Coffin, elle légitime les violences faites aux femmes, si elles sont idéologiques ! Il ne semble pas que cette journaliste ait été envoyée un peu se former en Afghanistan.

L’ayatollah écologiste Coffin est cofondatrice de la Conférence européenne lesbienne et membre de … l’Association des journalistes LGBT (AJL). La sororité s’arrête où commence le sectarisme…  Cerise sur le gâteau, « iel » a enseigné le journalisme à l’Institut catholique de Paris. Pour le Dieu des catholiques aussi , il est devenu un peu dur d’être aimé par des « c*ns« …

Erik Tegnér

Slate vient d’accuser Livre noir de « faire reluire l’extrême droite ». Livre noir, nouveau medium lancé en février dernier et aussitôt diabolisé parce que de droite suscite sur YouTube un engouement que peuvent lui envier les haineux de Slate. Tout ce qui est à droite de ce magazine en ligne créé à l’imitation de sa version originale américaine est nécessairement à l’extrême. Car, en six mois, Livre noir a obtenu plus de 80.000 abonnés et totalise 2.600.000 vues. Outre ceux de ténors de la droite, on y trouve le témoignage de la députée LREM Aurore Bergé, celui du journaliste de Libération Jean Quatremer ou du politologue Thomas Guénolé (ancien cadre de La France Insoumise et ex-conseiller d’Arnaud Montebourg). Il n’en fallait pas tant pour faire persifler les progressistes de Slate  : “Autant dire peau de chagrin si on compare (…) aux vidéos les plus regardées de la chaîne avec, dans l’ordre, Éric Zemmour (700.000 vues), Marion Maréchal (200.000), Charlotte d’Ornellas (140.000) et Florian Philippot (120.000). Ce qui dessine un contour assez précis des attentes du public de Livre Noir”… Et de l’électorat.

Eric Zemmour, déclaration officielle de candidature

Les entretiens sont des formats longs et Livre Noir en met en ligne un nouveau chaque dimanche à 18h, ainsi qu’un autre avec un expert chaque mercredi soir. Pour le moment, le tournage se fait dans une chambre de 12m2 dans le 15e arrondissement avec un rideau noir pour seul décor, un fauteuil rouge confortable et trois caméras. « Son objectif : apporter un regard différent sur les grands thèmes de société contemporains en rupture avec la culture du zapping occupationnel, de la censure et du résiduel » poursuit la présentation. Or, on qualifie communément de « livre noir » un ouvrage à portée politique qui dévoile des mensonges en se basant sur des documents inédits et des témoignages. Livre noir entendrait-il occuper le fameux créneau de la “réinformation” ? Notons aussi qu’en 1998 Eric Zemmour avait lui-même publié chez Grasset Le Livre noir de la droite. Coïncidence ? Quant à Erik Tegnér, son cofondateur, il est passé par l’école de Marion Maréchal. Pour ce qui est de Livre noir, il ressemble beaucoup à la chaîne Thinkerview. François de Voyer confirme d’ailleurs s’être inspiré de ce modèle, même s’il reconnaît, lui, offrir une atmosphère plus détendue et confortable à ses invités. Voyez la photo jointe de Erik Tegnér et demandez-vous si elle n’évoque pas le cadre et l’atmosphère de la déclaration officielle de candidature d’Eric Zemmour à la présidentielle.

La chaîne Livre Noir s’est déjà retrouvée au cœur la cible des islamo-gauchistes il y a peu, puisque deux membres de son équipe accusent l’humoriste Yassine Belattar de séquestration et de menaces dans le théâtre où il se produisait, le 19 novembre. Des faits que ce dernier dément, en indiquant que les deux jeunes hommes avaient filmé des images «illégalement». Une plainte aurait été déposée.

Entre Sandrine Rousseau et Alice Coffin, le candidat Yannick Jadot est dans de sales mains. A l’Elysée, ce candidat EELV n’en mènerait pas large; Et nous, donc ! Hidalgo à Matignon, Rousseau à l’Intérieur et Coffin aux Armées ?

Des « antifascistes fascisés » attaquent des flics lors d’une marche contre la « violence d’Etat »

Violence systémique des « antifa », milices d’émeutiers anarchistes « anti-flic »

Vêtus de noir et cachant leur visage avec des masques et des foulards ou des cagoules, des milices de manifestants « antifa » de gauche se sont rassemblés samedi à Paris, pour donner des leçons de démocratie, lors d’un rassemblement que la propagande promettait d’être « contre la violence d’Etat et l’extrême droite ».

Action antifasciste est un réseau informel (comparable au ‘Black bloc’) de « collectifs » autonomes d’extrême gauche radicaux, principalement anarchistes, qui se réclament de l’antifascisme et promeuvent l’action directe violente contre toutes les formes dites d’extrême droite.

Des heurts ont rapidement éclaté entre les activistes et les forces de l’ordre républicain qui s’y trouvaient pour maintenir protéger les citoyens respectueux des libertés et du vivre-ensemble. Une séquence vidéo publiée sur Twitter par un officier de police montre des éléments de l’ultra-gauche lançant des projectiles sur un groupe de policiers en retraite, puis ramassant des barrières métalliques pour les projeter sur les fonctionnaires de l’Etat. Le porte-parole du SICP Commissaire – Syndicat Indépendant des Commissaires de Police – qui a posté la vidéo affirme que « des voyous en noir » ont frappé les premiers.

Une autre vidéo tournée par un « journaliste indépendant » autoproclamé – Marc-Olivier Chataignier (Code rouge) – montre un petit groupe de policiers « pris à partie » par les révolutionnaires, qui ont démoli les clôtures et s’en sont servi pour attaquer les policiers qui se retiraient.

Des images prises plus tôt dans l’après-midi montrent des « antifa » – plus fascistes qu’anti – démantelant des barricades et tirant des fusées éclairantes, ce qui a apparemment donné le signal du début des violences de rues. La police a riposté avec des gaz lacrymogènes. On ne sait pas combien de personnes, le cas échéant, ont été arrêtées.

Islamo-fascistes en action… « non violente », « pacifiste » et « citoyenne »…

Des scènes similaires se sont déroulées vendredi à Marseille, où les hordes de miliciens antifa ont mis en action leur stratégie de guérilla urbaine pour empêcher Eric Zemmour d’entrer en contact avec la population. Zemmour a décrit Marseille comme « une ville submergée par l’immigration et en partie islamisée ».

La manifestation de samedi 27 novembre s’est déroulée sur fond de manifestations plus larges contre les restrictions gouvernementales face à la Covid-19 et contre le système strict de carte de santé français – qui exigera que tous les adultes aient reçu des doses de rappel de vaccin d’ici la mi-janvier pour entrer dans les bars et restaurants et utiliser les transports en commun . Les masques sanitaires sont devenus obligatoires vendredi pour tous les environnements intérieurs, quel que soit le statut vaccinal du porteur, et sont obligatoires même sur les marchés de Noël en plein air.

Macron et Darmanin n’ont toujours dissous ‘Action anti-fasciste‘…

Faut-il rétablir le service militaire obligatoire prioritairement pour ces guerriers assoiffés de violence ?

Doigt d’honneur à un candidat: en ne condamnant pas, la presse participe à la montée de la violence

Un geste, un mot inapproprié à une femme est un crime, mais une obscénité à un acteur politique ?

1. Stupéfaction, 2- Riposte:
le doigt d’honneur d’une femme
à Eric Zemmour (intention de viol) ne circule pas
sur les réseaux sociaux…

Les entraves à la libre-expression d’un candidat à une élection majeure ont émaillé la visite d’Eric Zemmour à Marseille qui se termine par un échange de doigts d’honneur.

Une passante a fait samedi un doigt d’honneur à l’essayiste en rupture avec la pensée unique marxiste. Eric Zemmour, qui terminait un déplacement perturbé à Marseille a repliqué le geste par la fenêtre de sa voiture, ouvrant une nouvelle polémique stigmatisant la victime et non l’agresseuse.

Une femme s’est approchée de la voiture du polémiste, qui a accepté de baisser sa vitre. Elle lui a fait un doigt d’honneur prémédité, avant qu’Eric Zemmour ne lui retourne avec ce commentaire : « et bien profond », pendant que sa conseillère Sarah Knafo riait, selon le photographe anonyme. La scène a eu lieu à la sortie d’un restaurant à Marseille près de la mairie, après une visite à la cathédrale La Major.

Une déambulation entravée: Marseille, zone de non-droit?

Cliché de l’AFP et France Info:
choix partisan, désinformation

BFM interroge: un candidat à l’Elysée peut-il faire un doigt d’honneur? Bonne question? Mais une femme peut-elle offenser un homme d’un geste sexuel provoquant, Madame Elisabeth Moreno ?

A Non Stop, le journaliste BFMTV Damien Gourlet conclut par un jugement un entretien avec l’ex-Gilet jaune Benjamin Cauchy: « on comprend que vous banalisez ce geste »! Coupé, l’invité ne peut répliquer…

La victime, qui pourrait annoncer dans quelques jours sa candidature à la présidentielle, a effectué un déplacement que l’ultra gauche a perturbé dans la deuxième ville de France, laquelle a basculé à gauche à la suite d’un tour de passe-passe entre l’élue des Marseillais, Michèle Rubirola (EELV) et son complice, Benoît Payan (PS, allié à LFI et le PCF) élu du conseil municipal, ‘Printemps marseillais’ islamo-gauchiste évoquant le ‘printemps arabe’.

Par temps pluvieux et froid, Zemmour a déambulé vendredi, moins de quinze minutes, sans rencontrer personne, dans le quartier ancien du Panier, aux rues étroites, essentiellement piétonnes, sous les cris de quelques extrémistes qui scandaient « Zemmour casse-toi, Marseille antiraciste« . « Ce n’est pas des Marseillais, c’est des militants« , a commenté Eric Zemmour.

Le pompon de la manipulation de l’opinion est attribué au Courier picard qui complaît à la fois au président Macron, originaire d’Amiens, et à son président de région, Xavier Bertrand, candidat régional à la présidence de la République:

Vendredi matin, à bord du TGV en direction de Marseille, Eric Zemmour était descendu du train à Aix-TGV qui dessert à la fois Aix-en-Provence et le centre-ville de Marseille, où l’attendaient les manifestants de l’ultra-gauche fasciste, dite antifa, opposée à sa venue, en avaient éte pour leur haine…

Zemmour, menacé dans sa liberté d’expression à Bordeaux

Des écolo- gauchistes protestent contre la venue de l’essayiste dans la ville EELV

Environ 150 personnes se sont rassemblées ce vendredi soir à Bordeaux pour s’opposer à la tenue d’un meeting de l’essayiste et candidat présumé à la présidentielle Eric Zemmour, prévu à proximité.

La gauche anti-démocratique s’est déjà manifestée  et dans plusieurs autres villes. Bordeaux s’est ajoutée à la liste des zones sectaires décidées à intimider le probable futur candidat à la présidentielle. 

Brandissant des pancartes « Pas de fachos à Bordeaux  » et « Zemmour, casse-toi, Bordeaux est antifa« , les activistes sans candidats à la hauteur des enjeux de la présidentielle se sont réunis devant le stade Matmut Atlantique, dans le nord de la ville, situé à un kilomètre du Palais des Congrès (1300 places) où était attendu Eric Zemmour pour une conférence.

Une précédente manifestation

Eric Zemmour lors de la tournée promotionnelle de son livre
Antifa, antisémites honteux

En déplacement officiellement pour la promotion de son dernier livre « La France n’a pas dit son dernier mot », l’historien devait intervenir sur le thème de l’économie, sujet sur lequel ses contradicteurs l’attendent pourtant et sur lequel il est soupçonné de manquer de propositions.

Les manifestants, qui ont répondu à l’appel du collectif « Révolution Permanente », une ex-branche du NPA (Nouveau parti anticapitaliste), révolutionnaire trotskiste, se sont dirigés sur le Palais des Congrès, mais ont été tenus à distance, à quelques centaines de mètres, mobilisant un important dispositif policier.

Aucun incident n’était à déplorer en début de soirée. La veille, plusieurs dizaines d’extrémistes s’étaient réunis devant la mairie de Bordeaux, pour protester contre la venue du journaliste, sous des pancartes « Zemmour dégage » et « Zemmour dans nos rues, mairie que fais-tu ? », à l’appel de plusieurs associations et personnalités locales, dont Philippe Poutou, candidat du NPA à la prochaine présidentielle et conseiller municipal de Bordeaux.

La provocation politique du Carnaval de La Plaine à Marseille était annoncée sur Facebook

« Marseille Infos Autonomes » avait appelé ses activistes à défier la république

Facebook a été complice de cette action violente de subversion politique

Le grand bal masqué du Carnaval [fac-similé à l’attention de la préfecture]

A vous carnavalier.es ! [écriture inclusuve] Cette année le grand bal masqué sera de jour, ce samedi 20 mars à partir de midi sur la Plaine.

A vous carnavalier.es !
Cette année le grand bal masqué sera de jour !
Puisqu’on nous prive de la nuit, nous festoierons sous le soleil de la plaine (place Jean Jaurès) à partir de 12h.
Alors venez masqués et costumes en fluo, comme le jaune qui a embrasé nos cœurs en 2018.
Au programme de la musique des 4 coins du monde, un bar, des pizzas de folie !


A samedi 20 pour le bal et dimanche 21 à partir de 12h sur la plaine aussi CARNAVAL !!!! Lien de Mars-infos.org en date du 16 mars 2021

Il est de retour ! Rendez-vous dimanche 21 mars à midi sur la Plaine. Procès à 13h30, et départ 14h !

Un réseau de luttes

Marseille infos autonomes participe à un réseau d’échange et d’entraide avec d’autres sites : le projet Mutu.
Ce mini-portail https://reseaumutu.info/ matérialise la proximité de plusieurs sites d’infos alternatifs locaux : RebellyonIaata (Toulouse), Paris-luttes (IDF), La Rotative (Tours), Renversé (Suisse romande), Marseille infos autonomesBourrasque (Brest), Le Pressoir (Montpellier), Le Numéro zéro (Saint-Étienne), Expansive (Rennes), Manif-est (Nancy et le grand Est), À l’Ouest (Rouen), Cric-GrenobleBarrikade (Suisse Allémanique), La Bogue (Limousin), Dijoncter (Dijon), Basse chaine (Angers).

Ce réseau, appelé Mutu, correspond à un projet tout simple : la tentative de partager nos expériences et mettre en commun un certain nombre de dispositifs techniques. Une mutualisation de ressources et de pratiques qui associe pour l’instant quinze sites assez différents dans leur fonctionnement, dans la composition de leur collectif d’animation ou par l’espace dans lequel ils s’inscrivent.

Le mouvement autonome est un courant politique, culturel et social, catégorisé par la plupart des journalistes, sociologues et historiens comme étant d’extrême-gauche ou d’ultragauche, présent en Italie, en France, en Espagne et en Allemagne, et se réclamant de la lutte pour l’autonomie par rapport au capitalisme, à l’Etat, et aux syndicats, selon la notice Wikipedia. Il est inspiré à la fois par des courants léninistes, libertaires, conseillistes ou situationnistes. Issu de Mai 68, et principalement axé au départ sur la radicalisation de toutes les luttes des ouvriers, paysans, étudiants, puis des squatters, le mouvement autonome rassemble des groupes qui, en prise directe avec le mouvement ouvrier ou les nouveaux mouvements sociaux, prônent des formes d’action insurrectionnelle ou illégale. Cet aspect violent et antiétatique spectaculaire, marginal au regard de l’ensemble des problématiques concernées, est fait pour impressionner les media.

On trouve les autonomes sont sur plusieurs fronts

Les autonomes participent à de nombreuses luttes sociales :

  • manifestations anticapitalistes lors des sommets internationaux
  • mouvement étudiant
  • mouvement des squatteurs
  • lutte contre le TGV en Italie (No-TAV)
  • mouvement des précaires
  • mouvement féministe
  • mouvement LGBT
  • lutte antinucléaire
  • lutte antifasciste
  • lutte de solidarité avec les sans-papiers
  • lutte anticarcérale.

Les ‘Black Bloc’ et les TAZ (Zone autonome temporaire, visant à instaurer l’anarchie) font partie des techniques de lutte qui peuvent parfois être utilisées par certains autonomes. Les ZAD, rave parties, free parties (sauvages) et techno fests sont ainsi, pour les zadistes, les festivaliers et les carnavaliers (la génération techno de libertaires, anti-autoritaires, écologistes) , des moyens d’accès à l’anarchie.

Des altermondialistes aussi, selon Christine Tréguier : « Je crois d’ailleurs que l’on peut faire un parallèle avec ce qui s’est passé à l’Organisation mondiale du commerce (OMC) à Seattle. Ils ont utilisé des pratiques de la TAZ, entre autres ils ont utilisé le réseau pour se coordonner, pour organiser les choses pour se rassembler. » Bien que moins mobiles, les TAZ utilisent ouvertement les réseaux sociaux, ce que les services du Renseignement n’ignorent pas: les préfectures de Bretagne ou des Bouches-du-Rhône ne peuvent feindre la surprise.

Loi Sécurité globale : une aide-soignante était aussi Black bloc

Masquée de blanc, la nuit, mais encagoulée de noir, le jour…

Cette femme menait une double vie et faisait double journée. Et, alors qu’une nouvelle journée de manifestations se prépare ce samedi contre le projet de loi Sécurité globale, revu et interprété par les gauchistes, la presse a déniché une aide-soignante de l’Oise, âgée de 36 ans, qui milite depuis son adolescence, sur tous les sujets.

 Toute la vie d’Elodie (le prénom a été modifié) tourne autour de son militantisme dans un collectif antifasciste féministe.

Toute la vie de cette soignante qu’on imagine éreintée par son combat contre la covid, est en fait dirigée par son militantisme dans un collectif qualifié d’antifasciste et féministe, pour justifier un extrémisme violent, mais pour « la bonne cause », fût-elle ultra. 

Au pied de l’immense tour blanche et bleue, à quinze minutes de route de la gare de Creil (Oise), l’interphone se met à crachoter. « Le code d’entrée, c’est ACAB [All cops are bastards, en français « Tous les flics sont des salauds »] »: les anti-flics se reconnaîtront. Au onzième étage, l’entrée de son appartement est tapissé de stickers antifascistes : ambiance conviviale…

Dans le salon, pas non plus de blanc qui rappelerait son dévouement aux malades, un gagne-pain, mais un drapeau noir et rouge de l’action anarcho-révolutionnaire au mur et, au sol, un chemin de taches rouges qui feraient passer les béo-fascistes pour des bisounours. « C’est là qu’on confectionne les banderoles », précise cette force du Bien, en pantalon ample et sweat à capuche noir. « Mon appartement ressemble à un squat autogéré », reconnaît-elle. Un blockhaus, de peu…

Cette « anarchiste insurrectionnaliste » de la première heure, qui « lutte depuis [ses] 14 ans », est aujourd’hui très active dans un collectif antifasciste féministe queer: du lourd! Toute sa vie tourne autour de son engagement militant: avec l’affect d’un Khmer rouge. Ou presque. La nuit, elle travaille comme aide-soignante dans un Ehpad de l’Oise. On a une pensée pour chacun, singulièrement les hommes. « Mes patients ignorent tout de ma vie. Je leur diffuse de temps en temps le Chant des partisans ou le Temps des cerises. Ils pensent que je suis communiste », s’amuse-t-elle. Ils ont payé pour ça?

«Eviter la cagoule»

Elodie le reconnaît, quand elle casse, elle ressent « une décharge d’adrénaline ». Pour elle, c’est même « un peu une addiction ». LP/Arnaud Dumontier

Cette inquiétante femme est une mère isolée d’un garçon de douze ans dont le père a préféré changer d’air. A la maison, l’ado voit sa maman mettre sa blouse au placard, pour se vêtir de noir de pied en cap dans le cortège de tête. L’assistante sociale n’a reçu aucun signalement… « Je pars en manifestation habillée normalement, avec des vêtements noirs dans le sac », précise-t-elle. « L’astuce, c’est de se couvrir le visage avec un t-shirt noir. Ça permet d’éviter la cagoule, qui pourrait être retenue comme élément à charge en cas d’interpellation ».

La schizophrène ne se rend en manifestation qu’en meute. Jamais seule: féministe, oui, mais avec gardes-du-corps testéronés. « Ça sauve la vie en cas de problème. » Dans le cortège, elle attend le bon moment pour se changer et se fondre dans le Black bloc. « On n’a pas vraiment besoin de s’organiser. Chacun connaît instinctivement les codes », explique-t-elle. Elle ne dit pas que nombre d’entre eux stockent leur matos sur le trajet du cortège, à des adresses amies.

Elle ne casse que si elle se sent « suffisamment sécure ». « Il faut une bonne masse compacte de gens. J’évalue la situation, et je n’hésite pas à renoncer si je ne le sens pas », prévient-elle.

Autre règle, dans le cortège de tête : ne jamais s’attarder. « Les vrais bloqueurs [activistes du Black bloc] ne passent à l’action que pendant quelques secondes, puis ils se replient et se font oublier », résume la jeune anarchiste révolutionnaire. « C’est débile de rester jusqu’en fin de manif ».

Ses outils de prédilection : des « brise-glace chourés à la SNCF » [un bien public] ou des « marteaux », dissimulés dans son sac… sous des protections périodiques. Dans les quartiers, les voyous portent sur eux des tourne-vis.

« J’ai déjà fait rougir des gendarmes avec mes serviettes hygiéniques », s’amuse une féministe de 26 ans et ultra dans le même collectif que la soignante au marteau, chez qui elle « squatte » en ce moment. La maman le reconnaît, quand elle casse, elle ressent « une décharge d’adrénaline ». Un orgasme serait pourtant moins dangereux pour tout le monde. C’est même « un peu une addiction ». Au final, on lui recommandera plutôt un sex-toy.

Quand elle casse, Elodie a les « jambes qui tremblent » et le « cœur qui s’accélère ». Cette « décharge d’adrénaline » est même « un peu une addiction », reconnaît son clone. « On finit par être lassé d’aller à des manifestations trop calmes », avoue-t-elle encore. Ce qu’elle préfère ? Lancer des œufs de peinture sur les visières des forces de l’ordre. « Ça les humilie et c’est pratique : ça les floute un peu », s’amuse cette grande droguée à la violence, cheveux rouges et aux yeux noirs de l’emploi.

Ses cibles de choix : les symboles «capitalistes et sexistes»

La technique d’Elodie, se couvrir le visage avec un t-shirt noir pour éviter de transporter une cagoule, qui pourrait éveiller les soupçons des policiers. LP/Arnaud Dumontier
Islamiste ou antifa ?

Parmi les plus gros « carnages » de cette ultra violente : le saccage d’un McDonald’s et d’une concession Renault, le 1er mai 2018 à Paris. Sur le terrain, cette féministe queer radicale – elle a tout pour elle – cible en priorité les panneaux publicitaires, « capitalistes et sexistes »: le capitalisme est coupable de toutes les causes cumulées de son mal-être multi-forme. Elle n’hésite pas non plus à s’en prendre aux abribus et aux kiosques à journaux, vecteurs de la « propagande bourgeoise ». En revanche, elle met un point d’honneur [drôle de mot parfois] à ne jamais s’attaquer aux petits commerces ou aux voitures des particuliers, mais au camp du Mal. « Pour moi, c’est sale et je le condamne », grince la justicière, une « casseuse » ordinaire, « en marge » des manifestations, selon la presse. A ces grandes malades, les juges rouges mettent un point d’honneur à ne pas s’attaquer.

La gauche rompt avec les principes républicains et démocratiques

Avec Geoffroy de Lagasnerie, elle prône la « censure » pour les « impurs », et cela, comme les Indigénistes, sur… France Inter

L'ecrivain Edouard Louis et le philosophe et sociologue Geoffroy de Lagasnerie, defilent en tete de cortege avec le comite Verite et Justice pour Adama.
L’écrivain Edouard Louis, à gauche, et le philosophe et sociologue Geoffroy de Lagasnerie, à sa gauche, défilent en tête de cortège avec le comité Vérité et Justice pour Adama.

Entre refus de la légitimité de la loi au profit de valeurs morales et exclusion du champ politique de ceux n’adhérant pas aux dites valeurs, le petit sociologue, autoproclamé philosophe, Geoffroy de Lagasnerie, a théorisé ce mercredi 30 septembre sur France Inter la rupture de la gauche avec les principes républicains et démocratiques.

« Le juste et le pur » et « un certain nombre de censures dans l’espace public » , un sacré programme! Dans son dernier ‘opus’, Sortir de notre impuissance politique, Geoffroy de Lagasnerie géolocalise dans la radicalité la gauche pelée aux élections, faisant le jeu de Marine Le Pen (RN), de la bipolarisation macronienne et du bipartisme de la Ve République, un jusqu’au-boutisme qui peut être fatal, comme peut l’être la dérive séparatiste des indigénistes pan-africanistes et universalistes, toute cette gauche, peu ou prou ultra, d’une partie du PS, proche de Génération.s, au NPA, en passant par LFI, le PCF et EELV, repoussés à la marge de la République et de la Démocratie.

Selon le sociologue – et compagnon de l’écrivain narcissique Edouard Louis, figure expiatoire de notre société de salauds et doublement martyr, puisque homo et gosse de pauvres – (photo ci-dessus), les modes de contestation traditionnels de la gauche – manifestation, grève –, ont perdu leur « capacité d’action, de transformation, pour être seulement des formes d’expression », si bien que la gauche « milite beaucoup plus en automate qu’en stratège »,  sous des « formes d’actions rituelles, instituées ».

« Le mouvement social est devenu une forme de réaction à la réaction et appelle gagner ce qui est ne pas perdre », constate Geoffroy de Lagasnerie. Citant en exemple l’agriculteur Cédric Herrou, berger bobo, passeur de migrants à la frontière franco-italienne, finalement relaxé par la cour d’Appel de Lyon après avoir été poursuivi pour convoyage et accueil de 200 migrants retrouvés dans les campements insalubres de clandestins afghans du 19e arrondissement de Paris ou pakistanais devant l’immeuble de Charlie hebdo, le philosophe privilégie l’action directe – comme l’antifa Antonin Bernanos« parce que c’est une action où vous faites le temps politique, c’est une action où vous imposez à l’Etat votre propre légalité, où vous dites : voilà le monde que je veux voir venir (…). » Et l’ « action directe », théorie anarchiste évoquant le terroriste communiste des « années de plomb » – de la fin des années 60 à la fin des années 80 – qui ont vu l’apparition de mouvements comme la Fraction armée rouge en Allemagne ou les Brigades rouges en Italie. Concrètement, en France, c’est le mouvement autonome, en partie issu des milieux anarchistes et maoïstes, qui ont commis des attentats à la bombe dans le deuxième partie des années 1970.  Citons aussi les assassinats pour lesquels Jean-Marc Rouillan, terroriste d’extrême-gauche, a été condamné pour des actions collectives qualifiées de « lutte antifasciste » (MIL, GARI, Action directe). Arrêté en 1987 et condamné en 1989 à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une période de sûreté de dix-huit ans, pour complicité d’assassinat de l’ingénieur général de l’armement René Audran en 1985 et du PDG de Renault Georges Besse en 1986. Il a bénéficié d’un régime de semi-liberté de décembre 2007 à octobre 2008, lequel fut suspendu, puis révoqué pour des propos tenus en entretien avec L’Express et publiés en 2007. Il bénéficie de nouveau d’un régime de semi-liberté depuis mai 2011 et anime des réunions politiques, notamment dans des MJC de communes partisanes.

« Ce qui compte, c’est la justice et la pureté »

Dans la vieille lutte philosophique entre le droit et la morale, Geoffroy de Lagasnerie choisit clairement son camp : « Vous savez, le respect de la loi [républicaine] n’est pas une catégorie pertinente pour moi, ce qui compte c’est la justice et la pureté, ce n’est pas la loi« , explique-t-il, sans toutefois se référer explicitement au Coran et à la charia. Et tant pis si la loi en question, perfectible en pratique, est au moins sur le plan théorique issue du « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple », soit de la souveraineté populaire. « La personne la plus condamnée de France, note-t-il, c’est le préfet de police de Paris, qui a 135 condamnations au tribunal administratif pour des manœuvres dilatoires sur la question de la demande d’asile, donc je ne crois pas que les gouvernants obéissent beaucoup à la loi. Je ne vois pas pourquoi nous on devrait le faire, » explique le Geoffroy de Lagasnerie. Tant pis, aussi, si les condamnations du préfet de police sont justement l’effet de l’application de la loi.

Reste à savoir qui définit « la justice et la pureté ». Rien de plus facile, à croire Geoffroy de Lagasnerie : « C’est l’analyse sociologique. C’est-à-dire que vous pouvez établir dans le monde social qu’il y a un certain nombre de mécanismes qui produisent de la persécution ou la mise à mort prématurée d’un certain nombre de populations. » Comme dans Le Bon, la brute et le truand, à chacun ses références, le monde se divise en deux catégories (binaire?) : « Si jamais vous produisez une action qui lève ces systèmes de persécution, qui soulagent les corps de la souffrance, vous produisez une action qui est juste et qui est pure. Et si, à l’inverse, vous prenez des mesures qui renforcent l’exposition des corps à la persécution, alors vous êtes impur et vous êtes injuste. » Qu’est-ce qu’il nous réserve, le jour où il prend en compte l’esprit ?

Mais donc, comment savoir qui sont les gentils, et qui sont les méchants ? « C’est objectif, tout le monde le sait, » répond le philosophe sociologue.« Tout le monde sait très bien ce que c’est qu’un corps qui souffre, tout le monde sait très bien qu’il y a des clochards dans la rue. Quand Macron dit qu’il n’y a pas de pénibilité du travail, il le sait qu’il y a de la pénibilité. (…) Quand il dit qu’il n’y a pas de violences policières et qu’on voit les vidéos du Burger King pendant les gilets jaunes (…). Il voit très bien qu’en niant ces réalités, il [Macron] active des systèmes de pouvoir de dénégation qui permettent de perpétuer des systèmes de persécution. » Soit, mais outre ces exemples relevant de l’évidence, n’existe-t-il par ailleurs aucune nuance entre les croyances, valeurs, convictions et idées de nos concitoyens, lesquels sont sincèrement convaincus de penser justement ?

« Le but de la gauche, c’est de produire des fractures »

Youcef Brakni et Edouard Louis, compagnon de G. Delagasnerie: convergence des luttes anti-raciste racialisée et de l’ultra-gauche

Il faudrait donc pouvoir en débattre rationnellement pour arriver à un compromis, mais Geoffroy de Lagasnerie n’est pas non plus d’accord avec cela. « Moi je pense que le but de la gauche, c’est de produire des fractures, des gens intolérables et des débats intolérables dans le monde social. Il faut savoir qu’il y a des paradigmes irréconciliables. Moi je suis contre le paradigme du débat, contre le paradigme de la discussion« , avance-t-il.

De sorte que les impurs n’auraient tout simplement… plus voix au chapitre dans le débat public « Je pense que nous perdons notre temps lorsque nous allons sur des chaînes d’info débattre avec des gens qui sont de toute façon pas convaincables », continue le philosophe. « En fait nous ratifions la possibilité qu’il fasse partie de l’espace du débat. » Si bien que Geoffroy de Lagasnerie assume complètement de mettre en pratique une forme d’ostracisme : « Je pense que la politique est de l’ordre de l’antagonisme et de la lutte et j’assume totalement le fait qu’il faille reproduire un certain nombre de censures dans l’espace public, pour rétablir un espace où les opinions justes prennent le pouvoir sur les opinions injustes. »

« Plus que la censure – parce que je ne suis pas favorable à l’appareil d’Etat -, je suis favorable à une forme de mépris que la gauche doit avoir pour les opinions de droite »assène encore l’intellectuel parisien. « Quand vous avez sur une chaîne d’info en continu des débats d’extrême droite ou semi racistes, tout le monde sait que c’est fait pour ça, et tout le monde va se mettre à réagir à ça. (…) On se met à être contaminé dans nos espaces de gauche par ces prises de parole complètement délirantes plutôt que les laisser tranquilles dans leur coin à faire le silence, les renvoyer à leur insignifiance. » Après la gauche de combat, la gauche hautaine de désertion.

Devons-nous renvoyer Geoffroy Delagasnerie, Alice Coffin (génie lesbien) et la gauche à leur mépris?

La convergence idéologique de ces intellos de pacotille avec les indigénistes racialisés, qui prônent la révolution ou la séparation, mérite-t-elle indifférence et mépris?

Le 30 juillet 2014, Geoffroy de Lagasnerie a cosigné, avec son compagnon, l’écrivain Edouard Louis, une tribune dans Libération appelant au boycottage de la 17e édition du cycle de conférences « Les Rendez-vous de l’histoire » de Blois sur le thème « Les Rebelles ». Cette déclaration de rejet du débat protestait contre l’invitation faite à Marcel Gauchet de prononcer la conférence inaugurale de l’événement: ce dernier est à leurs yeux un intellectuel réactionnaire et « un rebelle contre les rebellions et les révoltes ». Marcel Gauchet a réagi à cette tribune en la qualifiant de « pignolerie parisienne » et de « bêtise rétrograde d’une extrême-gauche en délire ».

En 2015, il est signataire de l’« appel des 800 » en faveur de l’accueil des migrants clandestins. 

Les premiers signataires : Hihi Abdelhamid (médecin), Michel Abramowicz (chef opérateur), Laure Adler (écrivain), Philippe Aigrain (poète), Karen Akoka (maitre de conférence), Pierre Albertini (professeur d’histoire), Guillaume Allary (éditeur), Jérôme Alméras (directeur de la photographie), Jean-Claude Aumont (directeur de la photographie), Siegrid Alnoy (cinéaste), Marianne Alphant (écrivain), Janine Altounian (traductrice, écrivain), Anne Alvaro (comédienne), Audrey Alwett (écrivain), Marie Amachoukeli (cinéaste), Mathieu Amalric (cinéaste, comédien), Jean-Pierre Améris (cinéaste), Marc Amfreville (professeur, traducteur), Louka Anargyros (étudiant), Thomas Anargyros (producteur), Michel Andrieu (cinéaste), Claire Angelini (artiste), Christine Angot (écrivain), Philippe Annocque (écrivain), Georges Aperghis (compositeur), Sophie Aram (humoriste à France Inter, Danielle Arbid (réalisatrice), Christophe Arleston (scénariste), Nathalie Arroyas (professeure), Ariane Ascaride (comédienne), Marco Assennato (doctorant), Louis Astre (syndicaliste), Aurel (dessinateur), Nurith Aviv (cinéaste), Edith Azam (écrivain), Gabrielle Babin Guggenheim (productrice), Nicole Bacharan (historienne), Laurence Bachmann (productrice), Antoine de Baecque (historien du cinéma), Pénélope Bagieu (auteur de BD), Josianne Balasko (cinéaste, comédienne), Olivier Balez (auteur de BD), Etienne Balibar (philosophe), Jeanne Balibar (comédienne), Nadine Ballot (retraitée de l’édition), Gilles Bannier (réalisateur), Emily Barnett (journaliste), Antoine Barraud (cinéaste), Guillaume de Bary (producteur), Barbara Bascou (monteuse), Dominique Batraville (écrivain), Gérard de Battista (directeur de la photographie), Aziyadé Baudouin-Talec (écrivain), François Bayle (compositeur), Tina Baz (monteuse), Philippe Bazin (artiste), Emmanuelle Béart (comédienne), Alex Beaupain (musicien), Jean-Pierre Beauviala (inventeur d’Aaton), Xavier Beauvois (cinéaste, acteur), Annette Becker (historienne), Bérénice Bejo (actrice), Jérôme Bel (chorégraphe), Yahoutha Belgacem (directrice artistique), Lucas Belvaux (cinéaste), Salah Benacer (photographe), Jean Benguigui (acteur), Caroline Benjo (productrice), Florence Ben Sadoum (journaliste à Elle), Ted Benoit (scénariste et dessinateur), Hervé Bérard (réalisateur), Luc Beraud (cinéaste), Emmanuelle Bercot (actrice, cinéaste), Philippe Berling (metteur en scène), Alain Bernardini (artiste), Emmanuelle Bernheim (romancière), Laurent Bettoni (auteur), Didier Bezace (acteur, metteur en scène), Camille Bidault Waddington (photographe), Enki Bilal (dessinateur, réalisateur), Benjamin Biolay (musicien), Hervé Bismuth (enseignant-chercheur), Stéphane Bissot (actrice), Simone Bitton (cinéaste), Emmanuel Blanchard (enseignant-chercheur, président du réseau Migreurop), Catherine Blangonnet-Auer (revue Images Documentaires), Alain Blondel (artiste peintre), Sylvie Blum (productrice), Sandra Boehringer (universitaire), Christian Boltanski (artiste plasticien), Olivia Bonamy (comédienne), Jacques Bonnaffé (comédien), Irène Bonnaud (metteur en scène), Jacques Bontemps (philosophe), Lucie Borleteau (réalisatrice), Henri Bosch (retraité), Sigrid Bouaziz (comédienne), Nicolas Bouchaud (comédien), Jean-Jacques Bouhon (directeur de la photographie), Patrick Bouffard (médecin), Jean-Marcel Bouguereau (journaliste), Stéphane Bouquet (scénariste), Fatma Bouvet de la Maisonneuve (psychiatre), Olivier Bouvet de la Maisonneuve (psychiatre), Frédéric Boyer (écrivain), Guillaume Brac (cinéaste), Benoît Bradel (metteur en scène), Rachida Brakni (metteur en scène et actrice, homonyme de Youcef Brakni, coneiller d’Assa Traoré), Claire Braud (auteur de BD), Dominique Brenguier (directeur de la photographie), Julie Brenta (technicienne de cinéma), Jean Breschand (cinéaste), Marika Bret (DRH à Charlie Hebdo), Pascale Breton (cinéaste), Patrice Bretaudière (philosophe), Laurence Briaud (monteuse), Geneviève Brisac (écrivain), Chantal Briet 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(journaliste), Jeff Gomez (chef de projets), Myrto Gondicas (traductrice), Yann Gonzalez (cinéaste), Anne Gorouben (peintre), Romain Goupil (cinéaste, soutien de Macron), Sophie Goupil (productrice), Judith Goyaud Schiltz (designer), Christine Gozlan (productrice), Charline Grand (comédienne), Sylvie Granotier (actrice et scénariste), Pascal Greggory (comédien), Anouk Grimberg (actrice), Emmanuelle Guattari (écrivain), Robert Guédiguian (cinéaste), Jean-Pierre Guérin (producteur), Karine Guerrouche (traductrice), Roland Gori (psychanalyste), Éric Guichard (directeur de la photographie), Christian Guillon (superviseur VFX), Patrick Guyomard (psychanalyste), Joanna Hadjithomas (artiste et cinéaste), Clarisse Hahn (artiste), Alexandrine Halliez (médecin, productrice de radio), Emmanuel Hamon (réalisateur de documentaires), Tran Han Hung (cinéaste), Jean Hatzfeld (écrivain), Garance Hayat (critique de cinéma), Michel Hazavanicius (cinéaste), François Hébel (photographe), Simon Hecquet (artiste chorégraphe), Serge Hefez (psychiatre des hopitaux, psychanaliste), Marie Hénocq (Cimade Bretagne), François Hers (artiste), Laurent Heynemann (cinéaste), Hippocampe fou (rappeur), Thomas Hirschhorn (artiste), Julien Hirsch (chef-opérateur), Nancy Huston (écrivaine), Ismaël El Iraki (cinéaste débutant), Antoine Jaccoud (scénariste), Geneviève Jacques (Présidente de la Cimade), Raphaël Jacoulot (cinéaste), Daniel Jacquin (sociologue), Nicolas Jalageas (libraire), Agnès Jaoui (actrice et cinéaste), Thierry Jault (directeur de la photographie), Vincent Jaury (directeur de la revue Transfuge), Yves Jeuland (réalisateur), Gaëlle Jones (productrice), Loïc Jourdain (cinéaste), Elise Jorge Do Marco (enseignante chercheur), Khalil Joreige (artiste et cinéaste), Claire Jubin (chercheuse), François Julien-Laferrière (professeur émérite de droit public), Serge Kaganski (journaliste), Lenio Kaklea (danseuse, chorégraphe), Christophe Kantcheff (rédacteur en chef de Politis), Keyman Karimi (cinéaste), Tcheky Karyo (comédien), Marin Karmitz (producteur de cinéma MK2, Nicolas Karmochkine (architecte), Reda Kateb (comédien), Jacques Kébadian (cinéaste), Maylis de Kerangal (écrivaine), Colette Kerber (libraire), Christine Kermoal (syndicaliste CGT), Sophie Képès (écrivain), Miloud Khétib (comédien), Cédric Klapisch (cinéaste), Thierry Klifa (réalisateur), Helena Klotz (cinéaste), Nicolas Klotz (cinéaste), Lucie Knockaert (administratrice), François Koltès (écrivain), Gaetan Kondzot (acteur, metteur en scène), Marie Christine Kopyt (professeur de français), Panos Koutras (cinéaste), Marie-Cécile Kovacs (professeur de lettres), Mickael Kummer (cinéaste), Nathalie Kuperman (écrivaine), Jean Labib (producteur), Denis Lachaud, (écrivain), Romain Lacourbas (directeur de la photographie), Isabelle Lafon (metteur en scène), Geoffroy de Lagasnerie (philosophe sociologue), Eric Lagesse (distributeur), Pascal Lagriffoul (directeur de la photographie), Serge Lalou (producteur), Gaetane 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(philosophe), Monique Nemer (éditrice), Marie Nimier (romancière), Hervé Nisic (réalisateur), Gaspar Noë (cinéaste), Soizic Noël (attachée de production à Radio France), Stanislas Nordey (metteur en scène), Gandolfo Notaro (chef de cuisine), Gilbert Nouno (compositeur), Valentina Novati (productrice), Anna Novion (cinéaste), Francoise Nyssen (éditrice Actes Sud, ex-ministre de la Culture de Macron), Gaelle Obiégly (romancière), Maurice Olender (historien), François Olislaeger (dessinateur), Véronique Olmi (écrivain), Antoine Oppenheim (comédien), Sylvie Orgeolet (médecin retraitée), Valérie Osouf (cinéaste), Orlan (artiste plasticienne), Paul Otchakovsky-Laurens (éditeur POL), Sophie Ott (brocanteuse), François Ozon (réalisateur), Yves Pagès (éditeur), Rithy Panh (réalisateur), Rosa Parlato (musicienne), Sonia Pavlik (auteur), Antoine Parouty (chef opérateur), Claire Payement (compositeur), Marie Payen (actrice), Marc Paquien (metteur en scène), Thierry Paturle (militant associatif), Claudio Pazienza (cinéaste), Benoît Peeters (auteur), Sébastien Peigney (Secrétariat national Union syndicale Solidaires), Charles Pépin (philosophe), Elisabeth Perceval (scénariste), Thierry de Peretti (cinéaste), Élisabeth Perez (productrice), Alberic Perrier (enseignant), Sylvie Perrin (céramiste), Eric Pessan (écrivain), Gerard Pesson (compositeur), Elise Pestre (maitre de conférences), Nicolas Philibert (cinéaste), Sylvie Pialat (productrice), Pamela Pianezza (photographe), Patrick Picard (syndicaliste SNUipp-FSU), Eric Piel (psychiatre), Frédéric Pierrot (comédien), Fred Piet (monteur), Philippe Piffeteau (chef opérateur), Guillaume Pigeard de Gurbert (philosophe), Ernest Pignon-Ernest (artiste plasticien), Manon Pignot (universitaire, historienne), Thomas Piketty (économiste), Etienne Pinte (président du SNUipp-FSU), Michel Plon (psychanalyste), Bruno Podalydès (cinéaste), Denis Podalydès (comédien), Clémence Poésy (actrice), David Poirot (producteur), Laurette Polmanss (scénariste), Mathieu Potte-Bonneville (philosophe), Olivier Poubelle (directeur du théâtre des Bouffes du Nord, où le président de la République a été dénoncé présent le 17 janvier 2020, sans masque malgré l’épidémie de coronavirus, par Taha Bouhafs, militant antiraciste et anti-Macron), Pascal Poucet (directeur de la photographie), Marilyne Poulain (syndicaliste Collectif Immigration CGT), Julien Poupard (directeur de la photographie), Joana Preiss (actrice), Lorraine Prigent (artiste lyrique), Nathalie Prokhoris (comédienne), Sabine Prokhoris (psychanalyste), Martin Provost (cinéaste), Jeanne Puchol (auteur de BD), Hélène Puiseux (directeur d’études), Barlen Pyamootoo (écrivain), Anne Querrien (sociologue), Philippe Quesne (metteur en scène), David Quesemand (directeur de la photographie), Colette Quesson (productrice) Katell Quillévéré (cinéaste), Leyla-Claire Rabih (metteur en scène), Gilles Racot (compositeur), Jacques Rancière (philosophe), Alain Raoust (cinéaste), Christophe Rauck (metteur en scène), Philippe Ravon (graphiste), Jean-Patrick Razon (ethnologue), Chloé Réjon (comédienne), Claire Renard (compositeur), Jacques-Remy Girerd (réalisateur de films d’animation), Maxence Revault d’Allonnes (professeur), Judith Revel (philosophe), Mathieu Riboulet (écrivain), Céline Richard (programmatrice de cinéma), Pascal Ridao (directeur de la photographie), Jean François Robin (directeur de la photographie), Mathieu Robinet (producteur), Antoine Roch (directeur de la photographie), Alexandra Rojo (cinéaste), Frédérique Rolet (Secrétaire générale SNES-FSU), Nicolas Roméas (directeur de la revue Cassandre/Horschamp), Martin de Roquefeuil (vice-président de l’ONG Pour un Sourire d’Enfant), Christine Roquet (universitaire), Sophie Rosengart (journaliste), François Rossé (compositeur), Patrick Rotman (documentariste, scénariste), Vincent Rottiers (comédien), Denis Rouden (directeur de la photographie), Jean Rousseau (président d’Emmaüs International), Richard Rousseau (directeur de casting), Paul Rozenberg (producteur), Valéry Rozier (cinéaste), Christophe Ruggia (cinéaste), Véronique Ruggia (comédienne), Agnès de Sacy (scénariste), Numa Sadoul (metteur en scène, auteur), Céline Sallette (comédienne), Isabelle Saint-Saëns (militante associative), Pierre Salvadori (cinéaste), François Salvain (écrivain), Lydie Salvayre (écrivain), Tiphaine Samoyault (écrivain), Natacha Samuel (cinéaste), Sanseverino (chanteur), Ana Sardinha (universitaire), Marjane Satrapi (auteure de BD, cinéaste franco-iranienne), Riad Sattouf (auteur de BD, cinéaste), Blandine Savetier (metteure en scène), Emmanuelle Scali (psychologue), François Scali (architecte), Vincent Scali (plasticien), Carole Scotta (productrice), François Schuiten (dessinateur), André Serre-Milan (compositeur), Florence Seyvos (écrivain), Céline Sciamma (cinéaste, compagne d’Adèle Haenel), Anne Serre (écrivain), Delphine Schmit (productrice), Joan Sfar (auteur de BD), Sophie Sherman (cinéaste), Jean-Pierre Siméon (poète, dramaturge), Dominique Simonnet (ex-rédacteur en chef à l’hebdomadaire L’Express, écologiste), Michel Simonot (écrivain, metteur en scène), Jean-Marc Singier (musicien), Abderrahmane Sissako (cinéaste), Françoise Sivignon (présidente de Médecins du Monde), Serge Slama (professeur de droit et militant pour le droit des étrangers), Christophe Smith (réalisateur), Patrick Sobelman (producteur), Juan Solanas (cinéaste), Makis Solomos (musicologue), Tania Sollogoub (économiste), Danièle Sommelet (pédiatre), Isabelle Sorente (écrivain), Myung-suk Son (distributeur), Mylène Stambouli (avocate), Olivier Steiner (écrivain), Salomé Stévenin (comédienne), Omar Sy (comédien), André Szankowski (cinéaste), Mélodie Tabita (vidéaste), François Tanguy (metteur en scène), Laurence Tardieu (écrivain), Bertrand Tavernier (cinéaste), Nadia Tazi (philosophe), Serge Le Tendre (scénariste), Jenny Teng (cinéaste), Manée Teyssandier (membre du CA de Peuple et Culture), Irène Théry (sociologue), Sébastien Thiéry (politologue), Christopher Thompson (comédien, fils de Michèle Morgan), Danièle Thompson (cinéaste), Lefred Thouron (dessinateur), Lola Tinnirello (illustratrice), Serge Toubiana (directeur de la Cinémathèque française), Jacqueline Tran-Retif (retraitée), Enzo Traverso (historien), Muriel Trèves (psychiatre, psychanalyste), Jean-Louis Tripp (auteur de bandes dessinées), Lewis Trondheim (auteur de BD), Benoît Turquety (enseignant), Laurence Uebersfeld (productrice), Gaspard Ulliel (acteur, mannequin de la marque Chanel), Céline Vacher (comédienne), Dominique Valadié (comédienne), Camille Vallat (scénographe), Vincent Van Damme (dessinateur), Fred Vargas (écrivain), Katherine Vayne (administratrice culturelle), Marie Vayssière (metteur en scène), Monique Veaute (directrice du Palazzo Grassi), Fabien Vehlmann (scénariste de BD), Anne Vellay (médecin), Laure Vermeersch (réalisatrice), Patrice Vermeren (directeur du département de philosophie Paris 8), Marion Vernoux (réalisatrice), Jonathan Verrier (journaliste), François Verret (chorégraphe), Karin Viard (comédienne), Rémy Viard (architecte), Bernard de Vienne (compositeur), Delphine de Vigan (romancière), Margot Vignat (chanteuse), Bénédicte Vigner (directrice artistique), Eric Vigner (metteur en scène), Philippe Vilain (écrivain), Fabrice Villard (écrivain), Hélène Vincent (actrice), Thomas Vincent (cinéaste), Ségolène Vinson (journaliste à Charlie Hebdo), Jean-Jacques Viton (poète), Caroline de Vivaise (chef costumière), Michel Volkovitch (traducteur), Antoine Volodine (écrivain), Christiane Vollaire (philosophe), Lise Wajeman (enseignant-chercheur), Sophie Walmish (directrice de recherche au CNRS), Jacques Walter (pasteur), Régis Wargnier (cinéaste), Jean-Pierre Weisselberg (Président de AGORA21), Sonia Wieder-Atherton (violoncelliste), Martin Winckler (médecin, écrivain), Romain Winding (chef opérateur), Bruno Wolkowitch (acteur), Youssoupha (rappeur), Dork Zabunyan (professeur), Jérôme Zajdermann (assistant réalisateur), Paule Zadjermann (cinéaste), Caroline Zéau (maitre de conférence), Malik Zidi (acteur), Rebecca Zlotowski (cinéaste), Pierre Zvenigorodsky (sculpteur).

En termes de valeurs morales, en septembre 2017, Lagasnerie signe dans Libération une tribune qui donne la note zéro à la vie humaine. Intitulée « En défense des accusés du quai Valmy », elle soutient des anti-flics primaires et barbares jugés au tribunal pour avoir incendié une voiture de police avec ses occupants, lors d’une manifestation organisée par le collectif « Urgence notre police assassine ». En novembre 2018, il apporte son soutien aux candidats de La France insoumise à l’élection législative partielle de la première circonscription de l’Essonne. Et clama avoir voté Manon Aubry (LFI) aux Européennes.

Il est co-auteur d’un ouvrage avec l’anti-raciste racialisée Assa Traoré.

Avec l’antifa Antonin Bernanos, l’extrême gauche révolutionnaire sort du bois

“Le fascisme est déjà là, au cœur de l’Etat”, selon cette nouvelle égérie de l’ultra gauche

Le Média, website de LFI, publiait un entretien avec Antonin Bernanos, militant ‘antifasciste’ qui a cumulé près de deux ans d’incarcération du fait de ses activités révolutionnaires: ces groupuscules violents sont anti-tout (anti-gouvernement et anti-capitalistes: ils appartiennent à des mouvances d’extrême gauche anarchistes et communistes).

Un fils de… dont la gauche ultra fait un “martyr”

En 2013, la disparition de Clément Méric, militant d’extrême-gauche, décédé suite à une bagarre contre des skinheads de droite, comme il y en a aussi à l’extrême gauche, propulsait le mouvement antifasciste sur le devant de la scène médiatique.

Sept ans plus tard, une nouvelle vedette de LFI semble peu à peu émerger parmi les “antifas” : Antonin Bernanos, arrière-petit-fils du célèbre écrivain catholique, Georges Bernanos. Placé sous contrôle judiciaire après une énième incarcération pour des actes violents en rapport avec sa haine politique, ce dernier est récemment revenu sur son parcours dans un entretien avec Le Média. Mais qui est vraiment cette nouvelle coqueluche médiatique de l’ultra gauche ?

Affaire du quai de Valmy, Gilets-Jaunes : un adepte de l’action directe

En rupture avec les idéaux de son aïeul, Antonin Bernanos émerge dans le groupuscule Action Antifasciste Paris-Banlieue (AFA), quelques haineux violents, médiatisés lors de l’affaire Clément Méric (2013). Son penchant pour l’action politique violente a fait sa réputation et cet étudiant en sociologie âgé de 25 ans y a gagné ses premiers galons de “révolutionnaire” lors des manifestations contre la “Loi Travail” en 2016. Le 18 mai de cette année charnière du quinquennat de François Hollande, ex-président de la République, l’antifa, accompagné de son jeune frère Angel, aurait participé à l’incendie d’une voiture de police, ainsi qu’à l’agression d’un agent des forces de l’ordre sur le quai de Valmy, à Paris: un antifasciste est aussi anti-flic. La scène, d’une violence inouïe, a été filmée par un manifestant présent ce jour-là :

Mis en examen après la manifestation pour avoir frappé un policier et brisé la fenêtre arrière de son véhicule, Antonin Bernanos a finalement été condamné à cinq ans de prison, dont deux avec sursis, pour cette rixe spectaculaire restée gravée dans les mémoires de l’AFA. Indigné par cette décision de justice, son avocat, Arié Alimi, encore lui (avocat de la famille de Rémi Fraisse, de Geneviève Legay, militante d’Attac, du journaliste Taha Bouhafs, d’une vingtaine de Gilets jaunes ou de la famille de Cédric Chouviat), s’est insurgé, rappelant qu’il n’y avait pas « l’ombre d’une preuve » pour appuyer la condamnation de son client. En effet, « seul élément à charge dans le dossier : un témoignage anonyme, qui s’avère être celui d’un fonctionnaire de police infiltré parmi les manifestants », rappelle… l’Humanité.

Finalement, le militant n’a fait que dix mois de prison ferme et a retrouvé sa liberté le mardi 28 mars 2017… Bien que certainement peu commode, le premier séjour de Bernanos à Fleury-Mérogis n’a vraisemblablement fait que renforcer sa détermination. Deux ans plus tard, ce membre de la mouvance anarcho-autonome s’est une nouvelle fois retrouvé aux prises avec la justice.

Cette fois-ci, l’activiste a été mis en cause dans une rixe visant des militants d’extrême-droite en marge du mouvement des Gilets-Jaunes. Le 15 avril, alors que la cathédrale Notre-Dame de Paris était en flammes, le jeune Bernanos s’est rendu sur les berges de la Seine avec des camarades pour constater les dégâts. C’est alors que le groupe a croisé une poignée de militants nationalistes, « des Zouaves et des membres de génération identitaire », d’après le quotidien 20 minutes.

Je considère que ce qui m’arrive est parfaitement normal au vu de ce que sont l’Etat et la Justice.

Très rapidement, la tension est montée et les deux bandes en sont venues aux mains : un militant d’extrême-droite est blessé et porte plainte contre Bernanos. Quelque temps après, ce dernier est mis en examen pour « violences en réunion n’ayant pas entraîné d’incapacité » et « vol avec violences ayant entraîné une incapacité supérieure à huit jours ».

Bien qu’il nie encore aujourd’hui avoir participé à cet affrontement, la tête de gondole de l’ultra-gauche appure sa dette avec la société avec une peine de six mois de prison, d’abord à Fresnes, puis à la Prison de la Santé. « Il n’y a absolument rien, à part les déclarations d’un militant d’extrême droite, qui pèse contre moi », a-t-il pourtant prétendu lors d’une prise de parole en octobre 2019. A l’occasion d’un entretien avec les sympathisants de “Là-bas si j’y suis” – site web d’information fondé et dirigé par Daniel Mermet, producteur et animateur de l’émission Là-bas si j’y suis sur… France Inter (1989-2014), et aussi cofondateur d’ATTAC, intouchable relaxé d’incitation à la haine raciale – réalisée durant la même période, ce dernier n’a pas hésité à dénoncer un « acharnement.

Bar de skinheads protégé par LFI: fermeture administrative

La préfecture de police de Paris ferme ce bar dit « antifa »

Le ‘Saint-Sauveur’ à Paris 20e: repaire d’ultra de gauche.

Situé dans le XXe arrondissement, fait l’objet d’une fermeture administrative.

Les antifas parisiens, connus pour leurs actions violentes, devront se trouver un nouveau repaire… Le bar ‘Le Saint-Sauveur’, situé rue des Panoyaux, dans le XXe arrondissement de la capitale, fait l’objet d’une fermeture administrative signée par le préfet de police, Didier Lallement, explique Le Parisien, journal de LVMH.

Le XXe est administré par le féministe Eric Pliez, 66 ans, soutien de la socialiste Anne Hidalgo, tête de liste d’union des gauches en 2020. Il est éducateur spécialisé, actif en foyers sociaux, notamment auprès de toxicomanes, avant de devenir directeur, il y a 19 ans, d’un centre l’hébergement, au soin et à l’insertion de « personnes en situation d’addiction » , pour ne pas dire toxicomanes, puis dans la réinsertion sociale et professionnelle de personnes en rupture d’emploi ou « en situation de handicap », singulièrement l’accompagnement de femmes, aussi victimes de violence, de précarité, et toute souffrance psychique… Une asso à tout faire, dont des élus.

« La démocratie est bafouée », assurent les révolutionnaires violents !

Le journal précise qu’il devrait rouvrir en cette fin de semaine. Toujours d’après Le Parisien, la direction du bar, soutenue par Danielle Simonnet, députée LFI du XXe arrondissement et conseillère de Paris, juge que les autorités ont fait fermer l’établissement pour des motifs… fallacieux !

En binôme avec l’ex-footballeur Vikash Dhorasoo, de descendance indienne et mauricienne, le 8 décembre 2019, à Mantes-la-Jolie

Le quotidien rappelle aussi une violente rixe survenue le 4 juin dernier quand une vingtaine de « militants d’extrême droite » membres du groupe Les Zouaves de Paris (ZVP) ont contre-attaqué ‘Le Saint-Sauveur’ et certains de ses clients. Danielle Simonnet affirme de mauvaise foi au Parisien : « On transforme le bar en responsable d’une agression dont il a été victime, alors que la police devrait, au contraire, le protéger des groupuscules d’extrême droite et non lui imposer des fermetures administratives, dont les justifications semblent relever de l’arbitraire politique. Le Saint-Sauveur est bien un repaire des antifas de la région parisienne, mais que je sache, ils ne font l’objet d’aucune interdiction. La démocratie est bafouée ».

Comme les anti-racistes sont racisés, les féministes, sexistes, ou les anti-sionistes, pro-palestiniens, les « antifa », qui se disent antifascistes, sont en fait des révolutionnaires de tout poil, qualifiés d’ultras « en marge » des manifestations violentes et anti-démocratiques.

Manifestation de fonctionnaires à Paris: 73 excités présentés au Parquet

73 anti-républicains ont été déférés pour être présentés au procureur jeudi

Manifestation des fonctionnaires à Paris, le 22 mai 2018

Ils étaient au nombre des 283 interpellés mardi lors de la manifestation des fonctionnaires à Paris, à l’appel de neufs syndicats, a annoncé le Parquet, qui a également prolongé une cinquantaine de gardes à vue. 

Durant la manifestation mardi après-midi, 23 personnes avaient été interpellées, notamment lors de heurts avec les forces de l’ordre et de dégradations au matériel urbains et à des magasins, dont un restaurant McDo, dont, cette fois, l’intérieur n’a pas été vandalisé, ainsi que trois autres, lors d’un rassemblement au Panthéon. Elles avaient été placées en garde à vue pour « participation à un groupement formé en vue de la préparation de violences ou de dégradations« , a indiqué le Parquet de Paris.

Abribus détruits, vitrines de magasins brisées, tags et jets de projectiles en direction des forces de l’ordre : la manifestation, qui a rassemblé 15.000 personnes mardi à Paris selon la police, a été émaillée de violences et de brèves échauffourées. Face aux jets de projectiles provenant d’un « groupe de 200 individus cagoulés et violents », selon un communiqué de la Préfecture de police (PP), les policiers ont répliqué en faisant usage d’un canon à eau et de gaz lacrymogène, selon la même source.

Résultat de recherche d'images pour "lycee arago bloqué"En début de soirée mardi, 102 autres militants anarcho-révolutionnaires avaient été interpellés après une tentative d’occupation du lycée Arago (ci-contre, situé Place de la Nation, XIIe arrondissement) dans lequel ils avaient pénétré après la dispersion du cortège place de la Nation, selon la Préfecture de police (PP) et le Parquet. Connu, comme le lycée Voltaire, pour sa radicalité, le lycée Arago se classait 87e sur 109, au niveau départemental en 2015,  en termes de résultats.

Parmi les 40 mineurs arrêtés, un jeune a été remis en liberté mercredi et un autre a reçu une convocation pour être jugé ultérieurement, a précisé le parquet. Cinq d’entre eux ont vu leurs gardes à vue prolongées et 33 doivent être présentés jeudi à un magistrat qui décidera d’éventuelles poursuites à leur encontre.

Sur les 88 majeurs interpellés, âgés pour la plupart de moins de 30 ans, 40 ont été déférés mercredi soir en vue d’une présentation devant le parquet

43 autres ont vu leurs gardes à vue prolongées. Quatre ont été remis en liberté et un dernier fait l’objet d’une procédure de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC, aussi appelée ‘plaider-coupable’), une mesure alternative au procès.  La CRPC permet au procureur de la République de proposer, directement et sans procès, une ou plusieurs peines à une personne qui reconnaît les faits qui lui sont reprochés. Si la personne conteste les faits ou la peine proposée, le procureur peut alors saisir le tribunal correctionnel.La manifestation – qui a rassemblé 15.000 personnes, selon la préfecture, 30.000 selon la CGT – a été émaillée de brèves échauffourées.

La manifestation – qui a rassemblé 15.000 personnes, selon la préfecture, 30.000 selon la CGT – a été émaillée de brèves échauffourées. 
Un « groupe de 200 individus cagoulés et violents » (en un seul groupe, c’est peu vraisemblable) a saccagé du mobilier urbain et à des vitrines de magasins, jetant des projectiles sur les forces de l’ordre, qui ont répliqué avec des charges, des tirs de gaz lacrymogène et une lance à eau. 
Selon la PP, 8 personnes dont 2 membres des forces de l’ordre ont été blessées légèrement.

Les fonctionnaires en grève unitaire défilaient mardi pour défendre leur statut et s’opposer à la réforme du gouvernement, à l’occasion de leur troisième journée de mobilisation depuis l’élection d’Emmanuel Macron.

Le défilé du 1er-Mai à Paris avait déjà été marqué par des violences (abribus saccagés, voitures brûlées, panneaux publicitaires et saccage de restaurants) et des heurts attribués par les autorités à quelque 1.200 manifestants d' »ultragauche » membres du « black bloc » (et aussi des « antifa »), pour faire simple et ne pas mettre en cause les organisateurs, notamment les anticapitalistes de SUD (Solidaires).

Au cours de cette manifestation, 283 personnes avaient été arrêtées, dont 102 placées en garde à vue, et quatre personnes, dont un CRS, avaient été très légèrement blessées, selon le bilan officiel.
Sept personnes avaient ensuite été mis en examen pour des violences sur des magasins et placés sous contrôle judiciaire.

Manifestations de fonctionnaires: 17 interpellations à Paris

Des dizaines de manifestants encagoulés  du cortège de fonctionnaires ont provoqué  à Paris des échauffourées avec les forces de l’ordre

blog -manifestation de Black blocs à Paris-22 mai2018.jpg
L’ultra-gauche n’a visiblement pas manifesté « en marge » du défilé syndical… 

La police a dû faire usage de canons à eau et de gaz lacrymogène et effectuer 17 interpellationspour « participation à un groupement violent, » a-t-on appris de sources concordantes. Des extrémistes encagoulés ont pris pour cibles des commerces entre l’Opéra Bastille et la Gare de Lyon. 

Avant que le cortège parti de la Place de la République n’atteigne la place de la Bastille, des manifestants d’extrême gauche ont détruit des abribus, brisé des vitrines de magasins rue de Lyon (XIIe arrondissement) et jeté des projectiles en direction des forces de l’ordre. 

Et les anti-libéraux étaient de la partie:

L’orthographe du tweet est due à un journaliste passé par l’AFP et France2…

Unité : le mot d’ordre de la grande manifestation de la fonction publique

Image associéeC’est la première fois qu’est réalisée l’unité syndicale depuis 2010 avec les 130 manifestations contre la réforme des retraites. Les neufs syndicats – dont les modérés de la CFDT et de l’UNSA, ci-contre – manifestaient surtout contre la réforme de la fonction publique, prévue pour 2019. C’est un temps fort avant samedi, quand la CGT va s’associer une nouvelle manifestation – politique, celle-là –  de la France insoumise (LFI), alors que les autres syndicats ont annoncé qu’ils n’y participeraient pas, refusant de se mêler à une démonstration politique et non plus syndicale.

blog -manifestation unitaire de fonctionnaires le 22 mai 2018.JPGPhilippe Martinez (CGT) a estimé que l’unité « donne une autre image du syndicalisme que tous les syndicats défilent ensemble« . Selon lui, « le message, c’est la défense des services publics, c’est-à-dire une conception de la société française différente de celle du président de la République« .

C’était la troisième journée de mobilisation depuis l’élection du président Emmanuel Macron par lequel ils se sentent « attaqués ».

Quelque 16.400 manifestants ont été recensés à Paris, selon le cabinet Occurrence. 

Les chiffres communiqués par le Ministère de l’Intérieur font état de 124.000 manifestants en France, lors de 180 actions en province et de 15.000 manifestants à Paris. 

Parmi les mots d’ordre du mardi 22 mai : la revalorisation des salaires et des effectifs. Macron a annoncé la disparition de …120.000 postes de titulaires sur cinq ans. Les fonctionnaires en grève comptent aussi dire leur opposition au projet de réforme de la fonction publique. Alors qu’Olivier Dussopt, le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Action et des Comptes publics, a entamé la semaine dernière des consultations avec les syndicats sur le thème du recours aux contractuels, ce sujet très sensible de la réforme, qui doit être présentée à l’été 2019, est au centre des revendications.

Manifestation du service public en octobre 2017.Les heurts rappellent les débordements du 1er mai dernier quand le défilé avait été marqué par de nombreux incidents (abribus saccagés, voitures brûlées, panneaux publicitaires et vitres de restaurants brisées) et de nombreux heurts attribués par les autorités à quelque 1.200 militants de l’ultra-gauche estampillés « black blocs » ou « antifa ».

Résultat de recherche d'images pour "mots d ordre des fonctionnaires mardi 22 mai 2018"Selon des informations de France Info, 101 personnes ont été interpellées lors de l’évacuation du lycée Arago, dans le 12e arrondissement de Paris. Plusieurs personnes avaient réussi à pénétrer dans l’établissement scolaire après la dispersion de la manifestation des fonctionnaires, rapporte la préfecture de police de Paris.

Au cours de cette manifestation, 283 personnes avaient été arrêtées dont 102 placées en garde à vue, et quatre autres, dont un CRS, avaient été très légèrement blessées, selon le bilan officiel.
Sept personnes ont depuis été inculpées et placées sous contrôle judiciaire.

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