Des « antifascistes fascisés » attaquent des flics lors d’une marche contre la « violence d’Etat »

Violence systémique des « antifa », milices d’émeutiers anarchistes « anti-flic »

Vêtus de noir et cachant leur visage avec des masques et des foulards ou des cagoules, des milices de manifestants « antifa » de gauche se sont rassemblés samedi à Paris, pour donner des leçons de démocratie, lors d’un rassemblement que la propagande promettait d’être « contre la violence d’Etat et l’extrême droite ».

Action antifasciste est un réseau informel (comparable au ‘Black bloc’) de « collectifs » autonomes d’extrême gauche radicaux, principalement anarchistes, qui se réclament de l’antifascisme et promeuvent l’action directe violente contre toutes les formes dites d’extrême droite.

Des heurts ont rapidement éclaté entre les activistes et les forces de l’ordre républicain qui s’y trouvaient pour maintenir protéger les citoyens respectueux des libertés et du vivre-ensemble. Une séquence vidéo publiée sur Twitter par un officier de police montre des éléments de l’ultra-gauche lançant des projectiles sur un groupe de policiers en retraite, puis ramassant des barrières métalliques pour les projeter sur les fonctionnaires de l’Etat. Le porte-parole du SICP Commissaire – Syndicat Indépendant des Commissaires de Police – qui a posté la vidéo affirme que « des voyous en noir » ont frappé les premiers.

Une autre vidéo tournée par un « journaliste indépendant » autoproclamé – Marc-Olivier Chataignier (Code rouge) – montre un petit groupe de policiers « pris à partie » par les révolutionnaires, qui ont démoli les clôtures et s’en sont servi pour attaquer les policiers qui se retiraient.

Des images prises plus tôt dans l’après-midi montrent des « antifa » – plus fascistes qu’anti – démantelant des barricades et tirant des fusées éclairantes, ce qui a apparemment donné le signal du début des violences de rues. La police a riposté avec des gaz lacrymogènes. On ne sait pas combien de personnes, le cas échéant, ont été arrêtées.

Islamo-fascistes en action… « non violente », « pacifiste » et « citoyenne »…

Des scènes similaires se sont déroulées vendredi à Marseille, où les hordes de miliciens antifa ont mis en action leur stratégie de guérilla urbaine pour empêcher Eric Zemmour d’entrer en contact avec la population. Zemmour a décrit Marseille comme « une ville submergée par l’immigration et en partie islamisée ».

La manifestation de samedi 27 novembre s’est déroulée sur fond de manifestations plus larges contre les restrictions gouvernementales face à la Covid-19 et contre le système strict de carte de santé français – qui exigera que tous les adultes aient reçu des doses de rappel de vaccin d’ici la mi-janvier pour entrer dans les bars et restaurants et utiliser les transports en commun . Les masques sanitaires sont devenus obligatoires vendredi pour tous les environnements intérieurs, quel que soit le statut vaccinal du porteur, et sont obligatoires même sur les marchés de Noël en plein air.

Macron et Darmanin n’ont toujours dissous ‘Action anti-fasciste‘…

Faut-il rétablir le service militaire obligatoire prioritairement pour ces guerriers assoiffés de violence ?