Violences au fil de la manifestation du 1er-Mai 2022 à Paris

Electeurs de Mélenchon, des casseurs du 1er-Mai 2022 ?

L’extrême gauche anarchiste, anti-capitaliste et islamo-gauchiste

La manifestation du 1er-Mai 2022 à Paris a été marquée par des violences de rues et le ministre de l’Intérieur de Macron, Gérald Darmanin, a dénoncé sur Twitter les actions de « casseurs » .

Dimanche après-midi à Paris, de nombreux affrontements ont opposé aux forces de l’ordre des groupes très mobiles de jeunes vêtus de noir, anarchistes et ‘black bloc’, venus de France et de l’étranger. Les premières tensions ont eu lieu quelques minutes seulement après le départ du cortège depuis la place de la République. Un groupe de manifestants, portant vêtements, gants et masques noirs, s’est détaché du cortège principal à hauteur de la rue Oberkampf pour se heurter aux forces de l’ordre. Plus loin, dans les rues adjacentes au Boulevard Voltaire, les manifestants ont tenté de dresser une barricade à l’aide de palissades. La vitrine d’un assureur a été détruite à coups de marteau.

L’indignation des pompiers de Paris

Une des images a également marqué ce 1er-Mai : l’intervention perturbée des pompiers de Paris par un individu. Ce dernier a été filmé en train d’essayer d’empêcher un soldat du feu d’utiliser sa lance à incendie. Sur Twitter, les Pompiers de Paris ont fait part de leur indignation : « Cela suffit ! Honte à la sauvagerie, incompréhensible cette nouvelle agression vis à vis des sapeurs-pompiers de Paris dans l’exercice de leurs fonctions, protéger les personnes, les biens de la Cité et le bon déroulement de la manifestation. »

De son côté, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin a tweeté : « Des casseurs viennent perturber les manifestations du 1er mai notamment à Paris, en commettant des violences inacceptables. Je suis cela avec attention. Plein soutien aux policiers et gendarmes mobilisés, garants de la liberté de manifester et de l’ordre public. »

S’exprimant également en fin d’après-midi, le candidat de l’Union populaire, Jean-Luc Mélenchon, détourna l’attention sur ses adversaires et… la préfecture de police. Anti-flic ?

Au moins une vingtaine d’enseignes endommagées  

Sur le Boulevard Voltaire, à hauteur de la place Leon-Blum, les manifestants présents en amont du cortège s’en sont pris à un McDonald’s, dont la plupart vitres ont été détruites et recouvertes de tags. Ils ont lancé des projectiles, dont des fruits, sur les forces de l’ordre. Les policiers ont tenté de les disperser à l’aide de lacrymogènes. Selon l’AFP, une vingtaine d’enseignes, en majorité des McDonald’s, assureurs, agences immobilières ou banques, ont été endommagées, outre une voiture fracturée.

La manifestation s’était ébranlée peu après 14h30 de la place de la République en direction de la place de la Nation, à l’appel de l’intersyndicale CGT-Unsa-FSU-Solidaires, rejointes par les organisations étudiantes et lycéennes Unef, VL, MNL et FIDL, avec pour revendications les questions des salaires, des services publics, de protection sociale et de transition écologique. 

De nombreux leaders politiques de gauche, comme Jean-Luc Mélenchon (LFI) et Olivier Faure (PS) se sont également croisés dans le cortège.

Démocratie malade où on obtient ses 500 parrainages d’élus avant d’être candidat

Il y a quelque chose de pourri au royaume de France ?

Le Conseil constitutionnel a publié ce jeudi 3 février son deuxième point d’étape sur ces fameuses signatures de soutien. Une semaine après le début des opérations, Macron a donc récolté 529 parrainages. Un dépôt groupé visant à tuer le match ? Il devance en effet Valérie Pécresse (324), Anne Hidalgo (266) et Fabien Roussel (159). Plus loin derrière, Marine Le Pen est à 35, Eric Zemmour à 58, Yannick Jadot à 80 et Jean-Luc Mélenchon qui atteint tout juste la barre des 100. Le chef de l’Etat, pas encore officiellement candidat à sa réélection, méprisant et ses rivaux et les électeurs, est néanmoins le premier à obtenir les 500 parrainages d’élus nécessaires pour se présenter à l’élection présidentielle. En 2016, Duke, un berger des Pyrénées de 9 ans, a été élu maire de Cormorant, une ville du Minnesota, USA.

Qui ne respecte pas le chien (d’électeur), méprise le maître (proverbe corse)

Les candidats de la gauche marxiste révolutionnaire devancent ceux de la droite souverainiste dans la collecte de signatures: Roussel (PCF) : 159, Poutou (NPA, trotskiste, anticapitaliste et altermondialiste) : 54, Arthaud (Lutte Ouvrière, trotskiste, internationaliste et féministe): 138, et Zemmour: 58, et Le Pen: 35…

Le peuple n’est pas plus souverain qu’en Corée: nos élus refusent de lui donner la possibilité démocratique de leur préférence républicaine. Choisir pour eux, c’est les contraindre à renoncer à leur droit de vote.

‘Extinction Rebellion’ bloque plusieurs centres d’Amazon en Europe pour Black Friday

Les écologistes conservateurs tentent d’imposer leur modèle décliniste et décroissant

Action du mouvement Extinction Rebellion devant un centre d’Amazon, le 26 novembre 2021 à Coventry, au Royaume-Uni.
Action d’Extinction Rebellion (XR), devant un centre d’Amazon,
le 26 novembre 2021,
à Coventry, Royaume-Uni.

Des militants du mouvement écologiste antilibéral Extinction Rebellion (XR) ont organisé vendredi 26 novembre des blocages de centres de distribution du géant Amazon, au Royaume-Uni, en Allemagne et aux Pays-Bas, pour protester contre l’« obsession de la surconsommation », symbolisée, selon eux, par l’opération commerciale « Black Friday ». Les treize sites britanniques visés dès le petit matin par l’organisation représentent, selon elle, plus de la moitié des livraisons du groupe américain dans le pays.

Au centre écossais de Dunfermline, une vingtaine de militants empêchait les véhicules d’entrer et certains de sortir, a rapporté l’agence de presse Press Association. « Cette action vise à exposer les crimes d’Amazon, tout en faisant un exemple d’un système économique plus large conçu pour nous pousser à acheter des choses dont nous n’avons pas besoin à un prix que nous ne pouvons nous permettre », a expliqué Extinction Rebellion (XR), qui considère que les consommateurs sont des mineurs inconscients et exploités.

Pour les activistes de XR, connus pour leurs actions spectaculaires de blocages ces dernières années, le « Black Friday » symbolise « une obsession pour la surconsommation, qui n’est pas compatible avec une planète vivable ».

Amazon annonce veiller à utiliser son réseau de manière à minimiser les conséquences des actions radicales de l’ultra-gauche sur ses clients. « Nous prenons nos responsabilités au sérieux, cela inclut notre engagement pour atteindre la neutralité carbone d’ici à 2040 », a insisté un porte-parole du groupe souvent critiqué par ces anti-capitalistes pour ses pratiques sociales et fiscales. Il a assuré fournir « un environnement de travail sûr et moderne » et soutenir « des dizaines de milliers de petites entreprises qui vendent » sur sa plateforme.

Rennes: 800 personnes « contre la répression » de la fête sauvage de Lieuron

Tout est bon pour provoquer des flics: heurts et interpellations assurés

Ne rêvons pas: les « ravers » du 16 janvier 2021 ne manifestaient déjà pas contre les restrictions liées à la covid,
mais
contre la loi « Sécurité globale »
Provocateurs anarchistes de Rennes, samedi 23 janvier :
fake manif ou fake teuf, comme on voudra

« Touche pas à ma teuf »: des centaines d’activistes anti-loi Sécurité globale ont encore voulu se faire passer pour des fêtards.

A l’appel du collectif de soutien aux anarchistes interpellés après la free party de deux nuits et trois jours du Nouvel An, à Lieuron, 2.500 délinquants, dont quelques 500 ultras, selon la police, se sont rassemblés, esplanade Charles-de-Gaulle à Rennes, ce samedi 23 janvier. La tentative d’installer, comme samedi dernier, un système son, pour diffuser de la musique, nouvelle provocation, a déclenché l’intervention des forces de l’ordre. Des dégradations ont été commises en centre-ville. Des personnes ont été interpellées, d’autres blessées.

Un nouvel appel à se rassembler esplanade Charles-de-Gaulle à Rennes, était lancé, ce samedi 23 janvier 2021, « pour le droit à la culture et contre la répression des événements festifs »

Fête sauvage de la Saint-Sylvestre: distanciation physique et gestes barrières réglementaires garantis…

Au mépris des restrictions de l’état d’urgence sanitaire et du devoir de respect de la vie d’autrui.

Environ 800 personnes

Il a réuni plusieurs centaines d’anti-républicainss, environ 800 selon les forces de l’ordre, venues dénoncer la « répression disproportionnée », selon eux, des autorités, après l’occupation de hangars à Lieuron (Ille-et-Vilaine), et qui a rassemblé près de 2.500 personnes, du 31 décembre au 2 janvier dernier.

Un rassemblement organisé en secret et pour lequel neuf personnes sont, à ce jour, mises en examen. L’un des organisateurs, âgé de 22 ans, avait été emprisonné le 4 janvier 2021. Il a été remis en liberté sous contrôle judiciaire sur décision du juge d’instruction, après trois semaines de détention, vendredi 22 janvier.

Plusieurs centaines de militants se sont rassemblés, esplanade Charles-de-Gaulle à Rennes, samedi 23 janvier,

Mais « il est encore, ainsi que huit autres inculpés, poursuivi par de nombreux chefs d’accusation en risquant toujours 10 ans de prison, déplorent les comités de soutien aux inculpés de la Maskarade, le nom de l’événement organisé le soir du Nouvel an. L’instruction suit son cours pour condamner les organisateurs d’une simple fête devenue affaire d’État. »

Ces activistes sont clairement radicalisés.

Contrairement à la semaine dernière, où la manifestation s’est transformée en mini rave party sur l’esplanade Charles-de-Gaulle, après les prises de paroles, le rassemblement de ce samedi après-midi ne se voulait « pas festif mais revendicatif », avaient annoncé les organisateurs.

De son côté, la préfecture d’Ille-et-Vilaine, qui précise n’avoir reçu aucun « dépôt de déclaration en préfecture » , a pris un arrêté pour interdire « l’utilisation d’équipements de « sound system » ayant pour but de maquiller la manifestation en événement festif à caractère musical ».

Ce samedi après-midi, de la musique s’échappait tout de même de la foule, à l’aide de petites enceintes et d’instruments acoustiques. Parmi les personnes rassemblées, des drapeaux de syndicats révolutionnaires (Sud, Solidaires) et politiques d’extrême gauche (France Insoumise). Le tout encadré par un important dispositif de gendarmerie qui sécurisait les abords de l’esplanade Charles-de-Gaulle.

Recherche du contact avec les forces de l’ordre

Vers 16 h, certains bravaient l’interdiction préfectorale et commençaient à installer un système son en plein centre-ville commerçant. Une tentative qui déclenchait l’intervention des forces de l’ordre, équipées de canons à eaux et de gaz lacrymogènes, pour évacuer l’esplanade. Décidés à en découdre, les ultras répondaient par des jets de bouteilles et des tirs de mortiers d’artifice.

Des échauffourées qui donnaient lieu à l’interpellation d’un seul homme, alors qu’une partie de la foule se dirigeait vers la dalle du Colombier. D’autres s’en prenaient à un camion de police, contraint de prendre la fuite, rue d’Isly.

Des heurts, mais aussi des dégradations étaient commis en ville et à l’intérieur du centre commercial Colombia, où des pseudos-teufeurs avaient réussi à forcer le passage. Certains de ces anticapitalistes s’en prenaient à des vitrines, des enragés se blessant dans leurs destructions.

Blessés et interpellations

Au total, les pompiers signalaient sept interventions pour des soins sur des factieux. Selon la police, «trois gendarmes mobiles ont également été blessés par acouphène à cause de tirs de mortier».

D’autres interpellations suivaient à la suite de ces dégradations, au fil de leurs déplacements du Colombier à la place de la Mairie, symbole républicain. Au total, la police a procédé, au cours de l’après-midi, à quatorze interpellations suivies de placement en garde à vue pour «violences par jets de projectiles contre les forces de l’ordre».

De nouveaux rassemblements sont d’ores et déjà annoncés, samedi 30 janvier, partout en France. Une nouvelle version du mouvement des Gilets jaune.

Coup de filet dans l’ultragauche contre un projet d’action terroriste

Plusieurs arrestations ont été opérées dans les milieux violents d’extrême gauche.

Avec cette opération anti-terroriste menée par la police, l’ultragauche a pu se demander ce qui lui arrivait.

La droite est en effet plus communément pointée par la presse idéologiquement formatée par l’école et l’université, les écoles de journalisme et les syndicats.

Neuf personnes ont été interpellées, à Paris, Rennes, Toulouse et Dordigne, soupçonnées d’avoir voulu préparer une action violente. Sept d’entre elles ont été présentées à un juge ce vendredi 11 décembre.  Elles ont été mises en examen pour association de malfaiteur terroriste criminelle.

Des armes ont notamment été découvertes à leur domicile.

Des armes blanches et des armes de poing, ainsi que des composants entrant dans la fabrication d’explosifs ont aussi été saisis. Le groupe était surveillé depuis le mois d’avril dernier.

Ses membres étaient connus pour leur activité radicale, mais ont pu participer aux violences de rues de ces deux derniers samedis. Des sources proches du dossier ont indiqué qu’il fallait rester prudent, car ni les cibles éventuelles, ni le degré de préparation ne sont connus.  Les accusations de laisser-faire qui ont visé la hiérarchie policière, fin novembre et début décembre, ne sont probablement pas étrangères à ce coup de filet dans la mouvance anarcho-révolutionnaire. Le pouvoir a sans doute voulu éviter un troisième samedi critique pour les commerces des communes où doit se renouvelée l’opération d’intimidation du pouvoir demain en régions.

La dernière affaire de soupçons de terrorisme impliquant des activistes d’extrême gauche date de 2008, et est connue comme « l’affaire Tarnac ». Un groupe était visé par une enquête concernant des sabotages de lignes TGV, mais tous les protagonistes ont été relaxés. 

Violences anti-loi Sécurité globale à Bordeaux

Une cliente de H&M filme les ultras: sa vidéo laisse la gauche indifférente

La scène de haine anti-libérale filmée samedi 28 novembre 2020, est devenue virale sur Facebook. Elle montre des anti-capitalistes vandalisant des vitrines à Bordeaux (Gironde), sans que les organisateurs CGT, FSU et PCF, LFI, EELV et PS, NPA et UNSA, condamnent les faits.

Samedi 28 novembre, en marge lors de la manifestation contre la loi sécurité globale, des activistes  se sont attaqués à des vitrines du centre-ville de Bordeaux (Gironde).

Leur principale cible ? Des grandes enseignes, comme le magasin H&M (enseigne suédoise) de la rue Sainte-Catherine. Une cliente a pu filmer la scène.

La vitrine du magasin H&M a été vandalisée, samedi 28 novembre à Bordeaux.
La vitrine du magasin H&M a été vandalisée, samedi 28 novembre à Bordeaux.

Des milliers de réactions

La gauche radicale assassine les commerces accablés par les confinements

Postée sur son compte Facebook, sa vidéo est devenue virale et continue de tourner près de deux semaines après les événements. De nombreux commentaires indignés sont toujours postés régulièrement. La publication en compte près de 2 000, à peu près autant de réactions et plus de 10.000 partages.

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Des individus encagoulés, masqués et vêtus de noir s’acharnent sur la vitrine malgré la présence de clients atterrés piégés à l’intérieur du magasin.

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« C’était hallucinant ! »

Une cliente témoigne de la panique du personnel et des acheteurs. Ce jour-là, elle profitait de la réouverture des boutiques, après un mois de confinement, pour faire du shopping avec ses deux filles, âgées respectivement de 17 et 19 ans.

Il était environ 15 heures. Nous étions en train de sortir du magasin et là, on a vu les manifestants qui arrivaient. On a entendu des cris, des gens couraient. J’ai dit à mes filles : « Venez, on va se mettre à l’abri ! » Le gars de la sécurité a baissé la grille du magasin derrière nous. Et ensuite, les manifestants ont commencé à taguer la vitrine, puis à la fracasser avec un poteau. Certains se jetaient sur la vitrine comme des malades, ils ont même dû se blesser. C’était hallucinant ! (cliente de H&M)

La témoin de la scène dit avoir eu le réflexe de sortir son téléphone portable et de filmer pour « dénoncer ces violences ».

« Ça me rend triste pour les commerçants »

Invasions vandales du VIe siècle

« Qu’ils ne soient pas contents et qu’ils manifestent, ok. Mais qu’ils cassent, c’est inadmissible, estime-t-elle. C’était la réouverture des boutiques, ça me rend triste pour les commerçants. Ils n’ont rien d’autre à faire que nous emmerder [les ultras] ? »

La mère de famille confie avoir eu peur, surtout pour ses filles qui « stressaient » et « n’ont pas arrêté d’en parler le soir ». « Ce n’est pas pareil quand on le voit à la télévision. En vrai, on a l’impression que ça dure une éternité », commente-t-elle.

Castaner dénonce sur Twitter un photo-montage de Macron en nazi

Un seul extrême offusque le secrétaire d’Etat lors de l’utilisation de cette affiche, samedi lors de la « marée populaire ». 

« Jusqu’où iront l’indécence, la haine et la bêtise la plus crasse », a éructé Christophe Castaner dimanche en assurant lui-même la diffusion de l’image brandie sur une pancarte, lors de la manifestation organisée par l’extrême gauche, samedi 26 mai, partout en France. 

Pour ceux qui ne l’ont pas vue, Emmanuel Macron apparaît vêtu d’un uniforme SS, avec une casquette siglée de dollars, un brassard Medef et une épaulette Vinci. L’auteur est à l’évidence anti-capitaliste…
Peu visible sur l’image, un symbole israélien est également collé sur le bras du président. Le gauchiste est pro-palestinien et antisioniste de surcroît.

La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, s’est dite « choquée de la violence »

Selon elle, invitée sur BFMTV,si « la contestation, l’opposition et le doute est normal (…), ce type d’image n’a pas lieu d’être dans une manifestation républicaine »

Selon le journaliste Jeremy Audouard, la « France insoumise » tente le même parallèle que les jeunes écologistes belges contre leur ministre de l’Intérieur ».
Le mouvement
Ecolo J avait publié une image de Theo Frenken vêtu d’un uniforme nazi, en septembre 2016. Ce rappel d’un précédent est-il de nature à apaiser la blessure de Macron ou à banaliser l’insulte ?

Emmanuel Macron n’en est pas à son premier photomontage en nazi

En novembre 2017, un syndicaliste et membre du bureau national du Parti socialiste, Gérard Filoche, avait tweeté une image du président avec un brassard nazi au bras, la croix gammée remplacée par un signe dollar, entouré de Patrick Drahi, Jacob Rothschild et Jacques Attali.  

La socialiste Juliette Méadel, qui dénonça un tweet à caractère antisémite et complotiste, est passée dans l’écurie Macron. Gérard Filoche avait été exclu du PS.