Un journaliste accuse Yassine Bellatar de séquestration et de et menaces

«T’es la prochaine Mila» , lance l’islamiste Yassine Bellatar à un journaliste de ‘Livre Noir’

Jordan Florentin 

Rédacteur en chef du pôle politique de Livre noir, Jordan Florentin a porté plainte contre le séparatiste islamiste pour séquestration, extorsion et menace de mort, affirmant avoir été détenu une heure à l’issue du spectacle de Bellatar. Une version contestée par l’intéressé, qui a déposé une main courante.

«Il est arrivé quelque chose de très grave à un de mes journalistes hier soir, lors d’un reportage auprès d’une figure bien connue des milieux islamo-gauchistes», alertait samedi soir le rédacteur en chef du medium en ligne Livre Noir, Erik Tegnér. Une heure plus tard, son collaborateur Jordan Florentin, en charge du service politique du nouveau medium de droite, racontait dans une vidéo avoir été «séquestré» une heure durant et fortement menacé par Yassine Bellatar, un ancien conseiller de Macron sur les banlieues. Une scène qui s’est déroulée à l’issue de son spectacle, dans le 18e arrondissement parisien, où le journaliste et un collègue s’étaient rendus en vue d’un «reportage à son sujet». Ils ont tous les deux porté plainte pour «séquestration, extorsion et menace de mort».

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Dans sa version, contestée par Yassine Bellatar, le journaliste raconte le déroulé des faits. Après avoir réalisé devant le théâtre de Dix Heures, boulevard de Clichy, dans le 18e de Paris, quelques «micros-trottoirs et interviews», Jordan Florentin et son collègue ont acheté leurs billets et assisté au «One man show». «Evidemment, sans rien filmer à l’intérieur», tient-il à préciser. Le spectacle fini, l’humoriste aurait bloqué la porte, aidé de son agent de sécurité, pour empêcher les deux membres de Livre Noir de quitter le théâtre. Il aurait demandé de fermer les grilles, et serait resté ainsi une heure avec les journalistes, ainsi qu’une «quinzaine de personnes du public», précise Jordan Florentin au Figaro. «Nous restons une heure, de minuit trente à 1h30 du matin, enfermés dans le théâtre», rapporte le journaliste.

S’en serait suivi des échanges extrêmement violents dans le hall du théâtre, propriété de Gilbert Rozon et de sa société Théatre Juste pour rire: « Il (Bellatar) me pousse par l’épaule en me menaçant verbalement, me demande de retirer la carte SD de mon appareil photo, où il me fait vider l’intégralité des fichiers», raconte le reporter. L’ « humoriste » aurait fait preuve d’une nette agressivité, proférant de nombreuses insultes que le journaliste a consciencieusement «notées» à la sortie du théâtre. « Jordan, tu es le p**** de fils de p*** qui a piégé les mecs d’Aulnay-sous-bois », aurait notamment lancé Bellatar, faisant référence à un reportage (lien) publié quelques jours plus tôt par le medium Livre Noir sur le «Grand Remplacement», réalisé «au cœur des cités chaudes».

«T’es un p**** de suicidaire, t’es recherché par tout le 93», aurait encore lancé l’ancien conseiller banlieues de Macron. «Tu es dans la cage aux lions, tu es dans la jungle». Avant de passer aux menaces : «Tout Aulnay cherche ton prénom, t’es la prochaine Mila ! Le 18e c’est à moi; le lion, c’est moi. Je vais te mordre maintenant, je fais venir l’armée de terre pour toi». Yassine Bellatar aurait également appelé un des jeunes d’Aulnay-sous-Bois. «Je tiens ton journaliste», aurait-il lancé, l’invitant à venir le retrouver.

Au bout d’une heure, les policiers, contactés par l’humoriste, ont accompagné les deux hommes jusqu’à leur taxi, empêchés de récupérer leur carte SD confisquée par l’humoriste.

«Jamais je ne parlerai avec les fachos»

Une version très différente de celle rapportée par l’humoriste lui-même, qui a réagi via son compte Instagram. Dans une «story», celui qui a déjà été mis en examen en 2019 pour harcèlement moral et menaces de mort, raconte que les deux hommes auraient demandé à s’entretenir avec lui à l’issue du spectacle, se faisant passer pour des journalistes de Brut et Kombini. «Devant près de 50 personnes je leur demande de tout effacer. Le public leur demande aussi (…) car ils n’ont rien signé». La police serait arrivée une heure plus tard, «afin de constater l’irrégularité de la manœuvre», et «leur demande d’effacer les photos prises illégalement».

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«C’est très grave ce qui s’est passé», déclare-t-il plus tard face caméra. «Je suis très choqué que des racistes soient venus hier au théâtre pour nous piéger. Évidemment, on va donner une suite judiciaire à tout ça», a-t-il annoncé, avant de faire appel aux rappeurs français pour le défendre. «Ceux qui viennent me serrer la main, soyez des hommes, parce que vous êtes pour la plupart des gros m***eux, vous laissez le FN monter sans bouger votre c**, … On se souviendra de ceux qui n’ont rien dit».

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L’ancien conseiller à l’Élysée invite également les médias Kombini et Brut à se joindre à lui, «car leurs noms ont été utilisés pour tenter de nous approcher». Ce à quoi Erik Tegnèr a rétorqué sur Twitter : «Jordan se contente parfois d’expliquer à ceux qui demandent quels sont nos formats qu’on est un média essentiellement sur les réseaux sociaux, comme Brut ou Konbini. C’est tout. Il assume clairement Livre Noir (et en est fier)». Une explication confirmée au Figaro par l’intéressé. «La bonnette de mon micro est clairement marquée Livre Noir, comment aurais-je pu me faire passer pour quelqu’un d’autre, même si je l’avais voulu ? C’est prendre son propre public pour des idiots».

Lancée en février, la chaîne YouTube aux 150.000 abonnés a très vite généré de grosses audiences par ses entretiens face caméra, avec des personnalités comme Eric Zemmour (plus d’1 million de vues), Marion Maréchal, Charlotte d’Ornellas ou encore Florian Philippot.

Sur Twitter samedi soir, la jeune Mila, connue pour avoir été victime de harcèlement à la suite de propos sur l’islam, a réagi en soutien au média en ligne, en taxant la défense de Yassine Bellatar de «mensonges pas crédibles». L’humoriste fait «exprès de parler de racisme là où il n’y en a pas», a-t-elle tancé.

Croyez-vous que la presse de gauche s’est indignée et mobilisée?

Tanguy David, agressé par des anti-racistes racisés

Des Maghrébins traitent ce militant noir chrétien de « bounty » et de fils de pute.

Noir dehors, blanc à l’intérieur

« Pourquoi tu fais le Blanc ? »: assignation raciale par la terreur.

Le jeune militant de 18 ans explique avoir été pris à partie sur les Champs-Elysées dans la nuit de vendredi à samedi. Il a de nouveau été agressé la nuit suivante à la sortie d’un café parisien, a-t-on appris du Parquet de Paris.

Le jeune militant est un soutien connu du czndidat Eric Zemmour. C’est pourquoi il a été pris à partie sur les Champs-Elysées par des dizaines d’individus d’origine africaine et maghrébine, révèle Le Parisien. Six d’entre eux l’ont encerclé et l’ont insulté, comme le confirment des vidéos. « Sale négro», «Qu’est-ce que tu fais avec ce fils de p… de Zemmour. Tu es un sale nègre comme les autres ! Pourquoi tu ne retournes pas dans ton pays ? », auraient-ils notamment lancé au jeune homme d’origine malienne.

https://twitter.com/LeGlobe_info/status/1495024981855674369?t=mlwf4X_9ySFjayrT-wnibw&s=19

Appelée sur place, une patrouille de police a sécurisé Tanguy David en le faisant monter dans son véhicule: il a déjà été agressé et bénéficie d’une protection policière. Ils ont pu constater qu’il avait reçu des crachats. Puis la police a interpellé et placé en garde à vue trois individus, reconnus par la victime, Tanguy David. «Je remercie la brigade de nuit de la préfecture de police, qui a procédé à l’arrestation d’un groupe de personnes à Paris qui m’ont vilipendé et ont proféré des propos racistes à mon égard», a réagi Tanguy David sur Twitter samedi matin.

Une nouvelle agression samedi soir à Paris, avec préméditation

Le jeune milirant a fait le récit de cette nouvelle agression, de la nuit de samedi à dimanche, toujours sur les Champs-Élysées à Paris. «Je sortais il y a 40 minutes d’un café parisien. Des dizaines de racailles attendaient devant, et le gérant de ce café m’a fait sortir par une porte dérobée», a-t-il écrit sur Twitter. Avant de poursuivre : «Je rejoins la voiture qui m’attend, et ces racailles (4-5 voitures) encerclent la mienne et profèrent des insultes : ‘T’es pas Français, nous on l’est‘, ‘Sur le coran que t’es un blanc sale fils de pute’, et j’en passe. Puis, l’un d’entre eux ouvre la portière. Ils me frappent et me crachent dessus. Le chauffeur supplie les racailles de nous laisser repartir». Dans une vidéo, on voit le jeune homme à l’arrière d’un véhicule avec des traces de crachats sur le visage tandis que des individus l’invectivent depuis d’autres véhicules.

Tanguy David a précisé qu’il déposera plainte ce dimanche. Ce n’est pas la première fois que cet étudiant en droit à la faculté, membre du pôle communication de «Génération Z», est visé par des insultes et des menaces à caractère raciste.

Après le meeting d’Eric Zemmour à Villepinte le 5 décembre, durant lequel de nombreux plans filmés montraient le jeune homme installé derrière le candidat, Tanguy David avait confié vivre «un déferlement de haine» .

Une enquête est en cours au commissariat du 8e arrondissement de Paris pour «violences en réunion et injure publique en raison de la race» après l’agression dans la nuit de vendredi à samedi.

Où sont les associations subventionnées dites anti-racistes, telles le CRIF ou le MRAP et le CRAN ?

Drapeau français retiré de l’Arc de Triomphe: seules les droites s’indignent

La « cancel culture » a conquis LREM

Pour celebrer la presidence de l'Union europeenne par la France, le drapeau francais a ete momentanement retire de la voute de l'Arc de Triomphe au profit de la seule banniere bleue et etoilee.
La France prend son tour à la présidence de l’Union européenne: est-ce une raison juste pour effacer le drapeau tricolore de l’Arc de Triomphe au profit de la seule bannière bleue et étoilée ?

Le vivre-ensemble est un des mots creux de la macronie. Ni la majorité, ni les gauches ne sont sidérées. Les droites ont en revanche dénoncé le choix – anonyme – de retirer le drapeau tricolore pour célébrer la présidence de l’UE par la France.

L’Arc de Triomphe est la propriété de la Ville de Paris, actuellement socialiste, mais il est géré par le Centre des monuments nationaux (CMN) lequel est placé sous tutelle du ministre de la Culture, donc Roselyne Bachelot, LREM.

Un affront ressenti par les droites unanimes. La gauche de la droite ne partage pas leurs convictions sur la France. Plusieurs voix de la droite et de droite de la droite ont pointé le choix du gouvernement de faire retirer le drapeau français sous l’Arc de Triomphe, vendredi 31 décembre, et de laisser seul l’étendard européen pour célébrer la présidence de l’UE par la France, qui débute samedi. Un affront symbolique à l’identité française, selon plusieurs candidats à la présidentielle.

Macron a bafoué tous les morts pour la France, avec leurs familles

La leader du Rassemblement national (RN), Marine Le Pen, a été la première à dégainer en se disant « outrée » par cette initiative sur Twitter. La candidate à la présidentielle a expliqué voir en cette décision une « provocation » qui « offense ceux qui se sont battus pour la France ».

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« Présider l’Europe oui, effacer l’identité française non ! » s’est également insurgée sur Twitter Valérie Pécresse, qui mènera Les Républicains à l’élection présidentielle. « Je demande solennellement à Emmanuel Macron de rétablir notre drapeau tricolore à côté de celui de l’Europe sous l’Arc de Triomphe », a-t-elle exigé, estimant que « nous le devons à tous nos combattants qui ont versé leur sang pour lui ».

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Eric Zemmour et Nicolas Dupont-Aignan montent au front

L’Arc de Triomphe de Paris,
cible de tous les outrages,
dont celui de Christo
(du samedi 18 septembre au dimanche 3 octobre 2021)

Même analyse du côté d’Eric Zemmour, qui a vivement critiqué la succession d’événements récents contre ce monument emblématique de la France. « L’Arc de Triomphe sous Macron : après le saccage et l’empaquetage, l’outrage », a écrit le candidat déclaré à la présidentielle, faisant référence à l’empaquetage de l’Arc de Triomphe par l’artiste Christo, il y a quelques semaines, et le saccage du lieu, lors des manifestations du mouvement des Gilets jaunes, en 2018.

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Enfin, Nicolas Dupont-Aignan s’est lui aussi montré scandalisé par cette initiative. Qualifiant Macron de « profanateur qui piétine nos couleurs nationales », le député et candidat à la présidentielle a affirmé qu’il ne lui « pardonnerai(t) jamais cela ».

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En Marche! fait marche arrière

L’Arc de Triomphe est tricolore lorsqu’il est en travaux

Face à la polémique grandissante, la majorité présidentielle, par la voix du secrétaire d’Etat chargé des Affaires européennes, Clément Beaune, s’est justifiée pour éteindre le feu des critiques. « Le dispositif est en place pour quelques jours, avec les illuminations, et le drapeau français sera évidemment réinstallé ensuite, sans le drapeau européen.

C’est une polémique ridicule et le fait que (Valérie) Pécresse copie-colle avec quelques heures de retard le tweet de (Marine) Le Pen en dit long », a argué ce secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Europe (et des Affaires étrangère), Jean-Yves Le Drian, un socialiste qui n’aura eu de cesse que de faire commettre une série de faux-pas à ce président qui n’a d’autre ligne directive que son ambition personnelle.

Lors de ses vœux adressés aux Français vendredi, Emmanuel Macron a évoqué la présidence de l’Union européenne par la France en promettant notamment un « tournant européen » pour l’année 2022, garantissant un peu plus tard : « Notre Europe est le seul chemin par lequel la France sera plus forte. » Des déclarations qui sont loin de faire écho à certains de ses opposants politiques qu’il affrontera, très vraisemblablement, en avril prochain.

Macron rétropédale au moment de présider l’UE pour six mois

En 1974, le président Valéry Giscard d’Estaing avait souhaité rompre avec la Révolution – le pavillon de la… Marine de guerre – en optant pour une version éclaircie, notamment pour les services protocolaires, avec un bleu semblable à celui du drapeau européen.

L’ambigü président en toc a encore modifié le bleu du drapeau tricolore. Macron a changé le bleu cobalt du drapeau français pour un bleu marine faisant référence au drapeau tricolore de 1793, celui du temps sanglant de la Terreur, celui de l’échafaud. Un choix terrible en pleine période de pandémie de covid-19. L’une de ses réformes majeures.

Le président à voile a réagi au vent de sa petite histoire: il a fait la promotion du drapeau bleu étoilé de l’UE pour annoncer sa prise d’astreinte à Bruxelles. Mais, ce faisant, l’auteur de ‘Révolution’ a effacé le drapeau de la Révolution. Comprenne qui peut ! Sauf qu’il est acteur de l’entrisme de la ‘cancel culture‘ avec ses jeux d’effacement de nuances de bleu.

Le bleu azur est le symbole de la légitimité que confère l’Eglise au roi, en particulier au moment du sacre, et réciproquement de la politique de la France capétienne, « fille aînée de l’Eglise ». Macron, bras armé de l’islamo-gauchisme?

De jeunes crétins de Seine-Saint-Denis font éclater des feux d’artifice dans une rame de RER

Les usagers, des travailleurs, ont peur

La scène dure plusieurs minutes pendant lesquelles, les jeunes « défavorisés » mais argentés allument plusieurs feux d’artifice qui explosent dans le RER. Ils courent avec dans la rame du train, tel un trophée. Les usagers de la rame tentent, tant bien que mal, de fuir le danger: des hurlements retentissent à plusieurs reprises.

Pour finir, un homme intervient et demandent aux fauteurs de troubles – des « incivilités‘, selon la presse prosternée – de se calmer. Impossible de savoir ce qui s’est passé ensuite puisque la vidéo a été coupée.

La SNCF attend les éléments de langage.

Elle n’a pas d’avis personnel et ne peut même pas, pour le moment, indiquer sur quelle ligne les faits se sont produits ! « Nous avons contacté l’auteur du Tweet pour le transmettre à nos équipes », avoue la SNCF qui prétend par ailleurs mettre tout en oeuvre pour assurer la sécurité des passagers dont elle a la responsabilité

L’entreprise de transports rappelle que le numéro d’urgence, 3117, permet en cas d’incident de signaler un problème.

Crime contre l’humanité: les islamistes de Boko Haram frappent à nouveau le Cameroun

Boko Haram mène un raid au Cameroun et kidnappe 60 personnes

Boko Haram attaque à nouveau au Cameroun, étendant son emprise dans la région.
La secte islamiste nigériane a lancé un nouveau raid meurtrierdans la zone de Tourou, dans l’extrême-nord du pays, une semaine après avoir visé une base militaire à Kolofata.

Une soixantaine de personnes, dont des femmes ou des enfants, ont été enlevées, selon des policiers basés dans la région. Malgré l’absence de bilan sur d’éventuels décès, il s’agirait du plus important rapt perpétré dans cette région par les combattants de Boko Haram, dont les incursions dans ce secteur sont récurrentes depuis des mois. Un grand nombre d’habitants de la région est forcé à l’exode. De même que la plupart de policiers et gendarmes des localités proches de la frontière, ils ont fui à l’intérieur des terres.

Les méthodes de Boko Haram pour semer la terreur au Nigéria

En octobre 2014, on estimait que l’insurrection de Boko Haram et la répression militaire au Nigeria ont fait plus de 10.000 morts, depuis 2009.

<br>Attentats et enlèvements perpétrés par la secte islamiste se multiplient. En octobre dernier, des membres de la secte islamiste Boko Haram avaient déjà enlevé une trentaine d’adolescents dans l’Etat de Borno, au nord-est du Cameroun.
Il y a six mois, plus de 200 lycéennes subissaient le même sort au Nigéria et 119 d’entre elles restent toujours introuvables, malgré la mobilisation internationale autour de la campagne #Bring back our girls.

Depuis son apparition au début des années 2000 sous la forme d’une secte islamiste menée par Mohammed Yusuf, les méthodes du groupe ont évolué, signe d’un basculement de la rébellion au terrorisme.

Pendant que les djihadistes assassinaient dix-sept personnes en France, les islamistes de Boko Haram menaient dans le nord-est du Nigeria leur offensive la plus « destructrice » en six années d’insurrection, signale Amnesty international. L’ampleur de ce que le secrétaire d’état américain John Kerry a qualifié de « crime contre l’humanité » a été documentée par de saisissantes photos satellites fournies par des ONG. Quant au nombre exact de victimes, il reste toujours à déterminer.

Deux villes quasiment détruites
Les photos des villes de Baga et Doron Baga, prises à cinq jours d’écart – la veille de l’attaque et quatre jours après – montrent de nombreuses habitations et commerces rasés. Plus de 3700 bâtiments ont été endommagés ou détruits: 620 à Baga et 3100 à Doron Baga, selon Amnesty. Mais d’après Human Rights Watch (HRW), la ville de Doron Baga, qui se trouve à 2,5 km à la sortie de Baga et qui abritait la base d’une force armée régionale, la Multinational Joint Task Force (MJTF), a été la plus durement touchée. Au total, 16 localités auraient été attaquées et partiellement brûlées.

L’armée nigériane, qui a tendance à minimiser les bilans de victimes, a affirmé cette semaine que 150 personnes avaient été tuées, qualifiant de « sensationnalistes » les estimations évoquant 2000 morts.
Mais au fil des récits des survivants, de nouveaux détails émergent sur les atrocités. Un témoin cité par Amnesty International rapporte, sous couvert d’anonymat, qu’une femme enceinte aurait été abattue en plein accouchement, en même temps que plusieurs jeunes enfants. « La moitié du bébé (était) sortie et elle est morte dans cette position« , raconte le témoin. « Ils ont tué tellement de gens. J’ai peut-être vu 100 personnes tuées à un moment à Baga. J’ai couru dans la brousse. Alors que nous courions, ils mitraillaient et tuaient », décrit un quinquagénaire non identifié. Une autre femme confirme: « Il y avait des cadavres partout où je regardais« . Un homme échappé de Baga après être resté caché trois jours avait ainsi déclaré avoir « marché sur des cadavres« sur cinq kilomètres, dans sa fuite à travers la brousse.
Ces témoignages corroborent les propos de responsables locaux, selon qui le nombre de victimes est extrêmement élevé, ainsi que de témoins qui décrivaient des rues parsemées de cadavres en décomposition. Bien que ces témoignages soient croisés par la presse, ils sont anonymes et donc sujets à caution, mais il semble bien que la secte islamiste sème la terreur.

Le Tchad en renfort

20.000 réfugiés ont dû fuir la région, ont indiqué des responsables locaux. A lui seul, le Tchad voisin a accueilli 11.320 réfugiés nigérians en quelques jours, selon le Haut commissariat aux réfugiés des Nations Unies, tandis que Médecins sans frontières (MSF) a déclaré aider quelque 5000 survivants de l’attaque réfugiés à Maiduguri, la capitale de l’Etat de Borno, à quelque 200 kilomètres.
Des témoins ont aussi rapporté à Amnesty que 300 femmes avaient été enlevées. Détenues dans une école, les plus âgées, les mères et les enfants ont ensuite été libérées, mais les jeunes femmes seraient toujours captives. Les 200 lycéennes enlevées en avril dernier n’ayant toujours pas été retrouvées.

Depuis le début de son insurrection en 2009, Boko Haram a fait plus de 13.000 morts et 1,5 million de déplacés. L’attaque de Baga est survenue à un peu plus d’un mois des élections présidentielle et législatives prévues le 14 février.

L’armée tchadienne se déploie dans cette zone pour tenter de stopper les attaques et de reprendre Baga, la ville nigériane détenue par le groupe islamiste après une offensive macabre. Samedi, un convoi de 400 véhicules militaires tchadiens (chars, véhicules blindés, pick-ups…), accompagné d’hélicoptères de combat MI-24, a quitté N’Djamena pour pénétrer au Cameroun. Le président Idriss Deby Itno, qui a accompagné ses troupes jusqu’à la frontière, a souligné qu’elles devaient être « opérationnelles » dès dimanche. Ce contingent s’est installé à Maltam, située juste en face de N’Djamena, à l’ouest de Kousseri, et devrait bénéficier de travaux d’aménagement engagés par le génie militaire camerounais.

Baga abritait un temps le quartier général d’une force armée régionale regroupant des détachements nigérians, tchadiens et nigériens. Mais Tchadiens et Nigériens s’étaient retirés bien avant l’attaque, et les forces africaines de coalition sot en réalité peu actives. Le déploiement de l’armée tchadienne n’impressionne pas les terroristes de Boko Haram. « Tout soutien à nos opérations sera bienvenu mais il doit se conformer à nos propres opérations en cours étant donné qu’il s’agit du territoire nigérian », a déclaré Chris Olukolade, porte-parole de l’armée nigériane.

Bavure de Hollande qui hiérarchise les victimes du fanatisme

Top 5 de Hollande : les musulmans sont les « premières victimes du fanatisme »

blog -Institut du monde arabe Paris affiche soutien a Charlie-15jan2015Chassez le naturel, il revient au galop.

Hollande fait voler en éclats la belle « unité nationale » manifestée lors du show médiatique du 11 janvier dernier à Paris. Les dévots de la presse s’étaient empressés de glorifier Hollande et Valls, se félicitant qu’ils n’aient pas commis d’impair. C’est fait! Après avoir oscillé pendant une semaine entre Musulmans, puis Juifs et encore Musulmans, distribuant belles paroles et caresses à tous dans le sens du poil, M. P’tite Blague n’a pas manqué de se prendre les pieds dans la tapis.

Quelque 50 procédures pour apologie du terrorisme ont été ouvertes depuis une semaine. Sans oublier la multiplication d’actes malveillants dirigés contre les mosquées. Une situation qui a poussé François Hollande à adresser un message à la communauté musulmane, lors de son discours prononcé ce jeudi à l’Institut du monde arabe, à l’occasion de l’inauguration du forum sur « les renouveaux du monde arabe« .

Le président socialiste vibre mieux aux souffrances des Musulmans

A la tribune, le chef de l’Etat a d’abord établi un hit parade, estimant que les musulmans sont les « premières victimes du fanatisme, du fondamentalisme et de l’intolérance ». L’islamisme radical (pléonasme), qui frappe d’abord les musulmans, « s’est nourri de toutes les contradictions, de toutes les influences, de toutes les misères, de toutes les inégalités, de tous les conflits non réglés depuis trop longtemps », a estimé le chef de l’Etat, repris par une nouvelle crise d’anaphores.

« Les Français de confession musulmane ont les mêmes droits, les mêmes devoirs ». Sensible aux inquiétudes actuelles de la communauté musulmane, qui produit pourtant des djihadistes auteurs de carnages sur le territoire national, le culbuto a la tête qui tourne. A la place de ses auditeurs, Il a eu à coeur de répéter sa conviction que « l’islam est compatible avec la démocratie, que nous devons refuser les amalgames et les confusions. Et d’abord en France. Les Français de confession musulmane ont les mêmes droits, les mêmes devoirs, que tous les citoyens. Ils doivent être protégés. La laïcité y concourt car elle respecte toutes les religions« .

VOIR et ENTENDRE un Hollande, l’air inspiré:

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