Attentat du quartier de l’Opéra à Paris : le gourou présumé du djihadiste devant les Assises

L’homme jugé pour avoir « conditionné » le tueur était… Franco-tchétchène

Le procès d’Abdoul-Hakim Anaiev, Français d’origine tchtéchène accusé d’avoir joué un rôle central dans le conditionnement du terroriste islamiste qui a poignardé à mort un jeune Parisien en mai 2018 dans la capitale, s’ouvre ce mercredi. D’origine tchétchène, comme l’auteur de l’attentat, il nie avoir influencé son meilleur ami.

Les djihadistes:

  • Abdoul-Hakim Anaiev, accusé d’avoir « conditionné » son « meilleur ami », le djihadiste français d’origine tchétchène qui avait tué un passant à Paris près de l’Opéra en mai 2018, est jugé devant la cour d’Assises spéciale de Paris, à partir de ce mercredi.
  • Armé d’un couteau de cuisine, Khamzat Azimov s’en était pris en tout à une dizaine de personnes jusqu’à ce que trois policiers appelés au secours arrivent sur les lieux. Les fonctionnaires avaient tenté de le maîtriser à l’aide d’un taser, puis l’avaient abattu.
  • « Membre actif » de la propagande pro-Etat islamique sur Twitter, l’accusé est soupçonné d’avoir présenté Khamzat Azimov à d’autres sympathisants de Daesh et des personnes « radicalisées », dont certaines avec des « idées de départ en Syrie » et des « projets d’attentats ».

C’est avant tout le procès d’un périple sanglant, un peu oublié. Un rendez-vous judiciaire attendu par les nombreuses victimes qui ont croisé le chemin de Khamzat Azimov, un soir de mai 2018, dans le quartier de l’Opéra Garnier, à Paris. Armé d’un couteau de cuisine, ce Franco-Russe de 20 ans, né en Tchétchénie et radicalisé, blesse une dizaine de passants et tue un homme de 29 ans qui sortait du travail. Les tirs des policiers, intervenus rapidement, mettent fin à son périple meurtrier, long de six minutes.

Avec la mort de l’auteur de l’attaque, revendiqué par Daesh quelques heures après, l’action publique s’éteint. D’autant que l’enquête ne permettra pas d’identifier des complices. Pourtant, le box des accusés ne sera pas vide, ce mercredi, à la cour d’assises spécialement composée.

Le terroriste agresse un jeune couple, qui allait au restaurant, en hurlant « Allah Akbar ». Après ça, il tente de porter des coups de couteau à la gorge d’un jeune homme, sans y parvenir. A 20h44, rue du Gaillon, il s’attaque à une femme sans abri âgé de 54 ans et lui porte des coups de couteau au visage et dans le dos. Puis, il fonce sur un homme de 33 ans qui revenait d’un dîner entre amis au restaurant et tente de lui porter un coup avec son arme dans le ventre. A 20h48, Khamzat Azimov emprunte le passage Choiseul, où il croise la route d’une femme de 52 ans. Il se jette sur elle, la roue de coups et tente de la poignarder, elle aussi, en criant « Allah Akbar ».

A 20h48, il emprunte une nouvelle fois la rue Saint-Augustin où il se retrouve face à trois policiers à qui il hurle : « Je vais vous planter. Tire, tire ». Ils finissent par ouvrir le feu sur lui à deux reprises après avoir tenté de l’arrêter avec leur taser. Il meurt des suites de ses blessures.

Un assaillant « renfermé » et « taiseux »

Le lendemain, Daesh revendique l’attentat sur Telegram. Le groupe terroriste diffuse la vidéo testamentaire de l’assaillant. Cette diffusion prouve que l’assaillant « avait réussi à nouer, de son vivant, des liens avec des sympathisants ou des membres de l’organisation qui lui avaient fourni le mode opératoire pour lui permettre cette proclamation d’allégeance », estiment encore les juges d’instructions.

Le terroriste est identifié par les enquêteurs comme étant Khamzat Azimov, un jeune réfugié d’origine tchétchène, arrivé en France avec ses parents en 2010. Après avoir vécu un temps à Strasbourg, ce jeune homme « renfermé » et « taiseux » habitait avec sa famille dans un hôtel, dans le 18e arrondissement de Paris. Il avait déjà été entendu, en avril 2017, dans le cadre d’une procédure pour association de malfaiteurs terroriste concernant Inès H., l’épouse religieuse de son meilleur ami, Abdoul-Hakim Anaiev. A l’époque, la jeune femme avait tenté à deux reprises de se rendre en Syrie pour rejoindre Daesh.

L’avocat au barreau de Nice de Abdoul-Hakim Anaiev, Me Florian Lastelle, n’a pas souhaité faire de commentaire avant l’ouverture du procès. Après l’assassinat de Dominique Bernard, professeur dans un lycée d’Arras, le 13 octobre dernier, par un ancien élève de nationalité russe, selon la presse maquilleuse, pour ne pas dire tchétchène (elle dit parfois « ingouchie »), le pénaliste « espère qu’il n’y aura aucun amalgame de fait dans la presse » avec cet attentat. Le procès de Abdoul-Hakim Anaiev doit durer jusqu’au 31 octobre.

Deux femmes interpellées à Paris

En mai 2015, le procureur de Paris, François Molins, avait également annoncé l’interpellation à Paris de deux jeunes femmes «proches de Abdoul Hakim A. et de Khamzat Azimov», dans le cadre de l’information judiciaire ouverte notamment pour assassinat et tentatives d’assassinats en relation avec une entreprise terroriste.

L’une d’elles, Inès Hamza, est une jeune Francilienne radicalisée qui s’était mariée religieusement avec Abdoul Hakim A. avant de tenter de partir en Syrie, avait-on appris de sources concordantes. L’autre femme est une de ses amies, selon une source proche de l’enquête.

En janvier 2017, Inès Hamza avait été mise en examen pour association de malfaiteurs à visée terroriste et placée sous contrôle judiciaire dans une instruction à Paris où trois autres femmes sont impliquées, selon des sources proche de l’enquête.

Outre le sujet du droit d’asile génereusement accordé par l’Ofpra aux Caucasiens, notamment tchétchène, la question de la binationalité est à nouveau soulevée. Comme à l’Opéra, les terroristes djihadistes assassins de professeurs, Samuel Paty, puis Dominique Bernard, sont des « migrants, » à qui l’Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides, l’Ofpra, dont le directeur général nommé par décret du président de la République, 2019, ne cesse de reconnaître la qualité de réfugiés.

Dominique Bernard: témoignages de la mère et la sœur du professeur assassiné d’Arras

Un homme cultivé : c’est notre culture assassinée

Quelques jours après l’attentat dans une cité scolaire d’Arras où « un homme », en fait un islamiste d’origine ingouche, pour ne pas dire tchétchène (et évoquer l’assassin de Samuel Paty), Mohammed Mogouchkov, a tué Dominique Bernard, la mère et la sœur du professeur de lettres ont témoigné dans un entretien publié par « La Vie », hebdomadaire filiale du Groupe Le Monde, ce mercredi 18 octobre 2023. Sachant qu’en 2020, Mohammed Mogouchkov avait fait l’objet « de deux signalements de la part du lycée Gambette d’Arras », dont l’un était en lien avec l’attentat perpétré contre Samuel Paty.

On savait que Mohammed Mogouchkov était suivi par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) depuis juillet 2023, mais visiblement, il était en réalité fiché pour radicalisation islamiste depuis plus de deux ans, février 2021, suite à un signalement de l’Education nationale, une information confirmée le vendredi 20 octobre 2023 par le ministère de l’Intérieur.

« Deux signalements de la part du lycée Gambetta d’Arras », son ancien établissement scolaire. En novembre 2020, une professeure du lycée Gambetta avait été agressée verbalement et physiquement par un élève de sa classe, alors qu’elle abordait la mémoire de Samuel Paty, assassiné quelques semaines plus tôt. Cet élève, exclu du lycée, était en lien avec Mohammed Mogouchkov, ce qui avait motivé un signalement de l’Education nationale.

Plus tard, la même enseignante avait déposé plainte après avoir été suivie jusqu’à son domicile par Mohammed Mogouchkov, qui avait tenté de l’intimider à plusieurs reprises. Fin décembre 2020, il s’était introduit dans la salle de classe de l’enseignante, à la fin de son cours. En février 2021, il était alors inscrit au FSPRT (fichier des personnes radicalisées).

Par la suite, un nouveau signalement avait été déposé, en avril 2022, alors que Mohammed Mogouchkov était étudiant en BTS, pour absentéisme et des propos en classe tels que : « Mon nom se prononce comme kalachnikov », « Est-ce que cet outil peut tuer ? » ou « Est-ce que ce mélange est explosif ? ».

Les témoignages qu’une certaine presse occulte

Marie-Louise Bernard, la mère de l’enseignant, écoutait les informations à la radio quand elle a entendu parler de l’attaque.  » Comme on parlait d’un prof de sport assassiné, je n’ai pas pensé à Dominique. Mais une amie m’a appelée pour me prévenir […] Mais je ne voulais pas y croire. J’étais dans le déni « , avant de recevoir un appel de la police, se souvient-elle. Emmanuelle, la sœur de Dominique Bernard, a reçu des alertes sur son téléphone :  » En voyant que cela s’était passé au lycée Gambetta d’Arras, j’ai eu une montée d’angoisse. Mon frère, lui, n’a pas de téléphone, il est anti-écran. »

Un « amoureux des livres »

Le professeur « avait une immense sensibilité » et « était un grand intello « .  » Il avait un bac S, il était scientifique, mais c’était la littérature qui l’intéressait, il a fait une prépa en lettres et sciences, avant l’agrégation en lettres modernes « , rapporte Emmanuelle auprès du journal.

Selon les deux femmes, Dominique Bernard était  » un solitaire  » passionné de littérature et  » amoureux des livres « , qui aimait jardiner, la musique classique, le cinéma d’art. Il demandait toujours des livres et nous en offrait. […] Son rêve était, je crois, d’écrire, mais il était trop perfectionniste et exigeant avec lui-même et d’essai et les expositions, » explique sa soeur.

« Surtout, il déplorait que les élèves ne lisent plus « , indique sa mère. Il essayait de « les décrocher de leurs écrans pour les plonger dans les livres. […] Son grand plaisir était de réussir à leur faire lire quelque chose », complète Emmanuelle.

La famille ne veut pas « polémiquer »

« Tous les débats autour de la non-expulsion de sa famille, je n’ai pas envie de [les] entendre. Je n’arrive pas à penser à celui qui lui a fait ça. On n’a même pas cherché à savoir comment ça s’est passé », explique Emmanuelle, ajoutant que les proches du professeur tué ne veulent pas « polémiquer « . « La colère viendra peut-être plus tard, pour le moment je pense à Dominique  » , poursuit sa mère.

Après qu’il se soit interposé pendant l’attaque, Dominique Bernard a été présenté comme un héros. « Mais il n’aurait pas aimé que l’on dise cela de lui, qui était tellement discret. Et qui n’aimait pas les honneurs », indiquent à La Vie les deux femmes, peu surprises car il « était très généreux ».

La famille se souvient aussi du meurtre de Samuel Paty, professeur d’histoire tué il y a trois ans. Elle espère que cela créera « un électrochoc pour nous faire dire à tous qu’il faut de la tolérance, pour que la France reste une terre d’accueil ».

« Aux jeunes et au monde, il dirait : “Ne cédez pas à la peur, à l’obscurantisme, à l’intolérance. », estiment ses proches. « C’est un message d’espérance, pour que mon frère ne soit pas mort pour rien « , ajoute Emmanuelle. Les obsèques de Dominique Bernard, en présence du président de la République, auront lieu jeudi 19 octobre.

Un Tchétchène naturalisé Français, déchu de sa nationalité pour des faits de terrorisme

Il avait été condamné pour « préparation d’un acte de terrorisme ».

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a déchu de sa nationalité française un binational de 25 ans, né en République russe de Tchétchénie et condamné à plusieurs reprises pour des faits liés au terrorisme, selon un décret publié ce vendredi 20 octobre, au Journal officiel.

Le terroriste déchu de sa nationalité était devenu français par effet de la naturalisation de sa mère en 2009 : avait-elle bénéficié du droit d’asile, avec l’onction de l’Ofprah? Ils dispose également de la nationalité russe. Dans une procédure judiciaire, il avait déclaré être arrivé en France avec ses parents à l’âge de trois ans.

« Provocation directe à un acte de terrorisme »

Le décret, signé par le ministre, mentionne sa condamnation à neuf ans de prison par la Cour d’appel de Paris en janvier 2020 pour des faits de « participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un acte de terrorisme« , et une autre condamnation, pour des faits de même nature, mais commis alors qu’il était mineur, prononcée par le tribunal pour enfants de Paris en mars 2019 et confirmée en appel.

Le bi-national ayant été condamné « pour un crime ou délit constituant un acte de terrorisme » et pour des faits commis dans les 15 ans à compter de la date d’acquisition de la nationalité française, « les conditions permettant de (le) déchoir de la nationalité française doivent être regardées comme réunies », indique le décret. « Il appartiendra aux autorités compétentes d’apprécier ensuite son droit au séjour sur le territoire français ».

En novembre 2017, l’individu avait également fait l’objet d’une condamnation à cinq ans de prison par le tribunal de grande instance de Nancy pour « apologie d’un acte de terrorisme » et « provocation directe à un acte de terrorisme », selon un jugement.

« Expulser » ceux qui ne « respectent pas les règles de la République »

Le soir de l’attentat djihadiste d’Arras par un Tchétchène, Gérald Darmanin avait exprimé sur TF1 sa volonté d’ « expulser tous ceux qui, même arrivés à l’âge de deux ou trois ans, sont étrangers et méritent de retourner dans leur pays d’origine parce qu’ils ne respectent pas les règles de la République ».

« Nous sommes condamnés par la CEDH parce que j’ai renvoyé des ressortissants russes, tchétchènes, dans leur pays, nous le faisons quand même, la protection des Français l’emporte sur ces règles-là« , avait-il ajouté.

La publication de ce décret intervient une semaine après l’attentat d’Arras au cours duquel le tueur islamiste, Mohammed Mogouchkov, originaire du Caucase russe (une région et non un pays) – pour ne pas dire « Tchétchènie » (une république constitutive de la fédération de Russie et de l’ex-URSS) – ayant grandi en France, a tué un professeur de lettres modernes, Dominique Bernard, et blessé trois autres personnes, sans autre motif que personnels de l’enseignement laïc.

La France passe en alerte «urgence attentat», suite à l’attaque islamiste à Arras

8 personnes sont en garde à vue dans le cadre de l’enquête. 

Un homme armé d’un couteau a tué un enseignant et fait deux blessés graves dans le lycée Gambetta à Arras (Pas-de-Calais), ce vendredi matin. Le djihadiste présumé a été interpellé et le Parquet antiterroriste s’est saisi du dossier.

Suite à la recrudescence des attentats terroristes sur le territoire national, la première ministre a décidé d’élever le niveau Vigipirate à son niveau « Urgence attentat » sur l’ensemble du territoire national. 

Quelles sont les conséquences ?

Le niveau urgence attentat peut être mis en place à la suite immédiate d’un attentat ou si un groupe terroriste identifié et non localisé entre en action. Ce niveau est mis en place pour une durée limitée : le temps de la gestion de crise. Il permet notamment d’assurer la mobilisation exceptionnelle de moyens, mais aussi de diffuser des informations susceptibles de protéger les citoyens dans une situation de crise, jusque dans les supermarchés, par exemple.

Actif depuis le 29 octobre 2020, ce dispositif est vise à renforcer spécifiquement :

• la sécurité des lieux de culte, en particulier au moment des fêtes de la Toussaint ;

• la sécurité des bâtiments publics (établissement public, établissement de santé établissement scolaire) ;

• la sécurité des ressortissants et des intérêts français à l’étranger.

Vigilance et signalements

Le message est-il assez explicite?

TikTok véhicule des messages de haine et des menaces antisémites, impunément

Si vous êtes témoin d’un événement suspect :

Si vous détenez une information importante pour les autorités, si vous avez une photo ou un film d’un événement majeur, ne les diffusez pas sur les réseaux sociaux (les groupes terroristes y sont présents et actifs), mais adressez-vous directement aux services de police en composant le 17 ou le 112.

Si vous êtes témoin d’un contenu suspect en ligne :

Lorsque vous relevez des contenus illicites numériques et même si vous souhaitez attirer l’attention des autorités : • ne les partagez pas • ne les likez pas • ne les retweetez pas • ayez systématiquement le bon réflexe, signalez-les sur la plateforme PHAROS

Italie :

Information et liberté d’expression menacées ?

Le meurtrier de Patrice Lanies aux fêtes de Bayonne est « de nationalité russe, » selon le journaliste Armand Peyrou-Lauga

Coup double de l’information partisane sur France info (service public)

A. Peyrou-Lauga,
mystificateur d’information,
digne des réseaux sociaux,
indigne du service public

Le meurtrier « russe » est de nationalité tchéchène, comme l’assassin de Samuel Paty, professeur victime d’un autre « éxilé russe », « réfugié politique » et demandeur d’asile par amour de la France et des Français.

Le meurtrier de Patrice Lanies est donc un tchétchène interpellé dans les Hautes-Pyrénées, mais le journaliste Armand Peyrou-Lauga ne fait pas le détail, pas plus qu’entre Français et Français d’origine algérienne. Les Tchétchènes sont des musulmans en terre russe orthodoxe dirigé depuis 2007 par le régime dictatorial du président Ramzan Kadyrov selon qui Macron pousse les musulmans « vers le terrorisme ».

L’enquête sur ce meurtre continue et les autorités cherchent à déterminer le degré d’implication du suspect arrêté dans cet « événement tragique » (!) qui a « choqué la communauté locale ». On peut même dire l’opinion nationale, si on ne tente pas de minimiser et banaliser les faits…

Mercredi 23 août dans la matinée, un individu de 23 ans a été interpellé à Tarbes, Hautes-Pyrénées, dans le l’enquête sur le meurtre de Patrice Lanies, 46 ans, « survenu » comms à la fin du mois de juillet.

Selon les autorités, le suspect, de nationalité russe et d’origine tchétchène, aurait été impliqué dans l’agression qui a conduit au décès de la victime. L’homme a été placé en garde à vue dans le cadre de l’enquête dirigée par un juge d’instruction, conformément aux informations fournies par le Parquet de Bayonne.

L’homme individu de 23 ans arrêté est déjà connu des autorités pour des faits de violence…

Est-il xénophobe de demander
de ne pas uriner sur un mur ?

La mort d’un jeune innocent aurait donc pu être évitée. Mais l’agression s’est produite le 26 juillet, au premier soir des festivités de Bayonne, quand la victime avait été rouée de coups par trois jeunes hommes barbares. La confrontation avait eu lieu suite à une remarque faite par la victime à ces agresseurs, surpris en train d’uriner devant sa porte. Patrice Lanies avait finalement succombé à un traumatisme cranio-cérébral après avoir été maintenu en coma artificiel pendant neuf jours.

Les enquêteurs avaient diffusé un portrait-robot des agresseurs, les décrivant comme des individus âgés de 20 à 25 ans, de corpulence athlétique et le torse nu au moment de l’agression. L’homme de 23 ans arrêté est déjà connu des autorités pour des faits de violence et est également un pratiquant de sport de combat. Les enquêteurs procèdent actuellement à des vérifications pour confirmer si le suspect correspond au signalement établi par les enquêteurs. Et si il ne serait pas un peu « déséquilibré « ?

Individu bien connu des autorités qui, en dissimulant les coordonnées d’un individu violent, protègent le fort et exposent le Français moyen.

A propos du meurtre perpétré par un Tchetchène, Peyrou-Lauga aura tenté au passage de faire de la propagande anti-russe, sournoisement, tout en dissimulant l’origine précise du musulman.

Le suspect tombera-t-il sous le coup d’une OQTF non exécutée ?

Acquittement d’un Tchétchène qui avait frappé à mort un jeune homme à Cannes

La Cour d’Assises de Nice estime n’avoir pas les preuves suffisantes…

Le meurtrier présumé, en 2014

Le jury populaire a-t-il été influencé par le juge qui dirige la délibération? Le videur tchétchène, ci-dessus, est libre. En 2016, ce combattant de MMA (premier combat victorieux à Reims en 2014)) avait pourtant porté un coup mortel à un homme de 35 ans, devant Le Play, une discothèque du Carré d’Or à Cannes.

La victime

« Lui est libre ce soir. Mais où est mon frère ? » s’est écriée la sœur de Sébastien Mazé à l’annonce du verdict, selon Nice Matin (article payant). Agé de 28 ans à l’époque du drame, Apti Gerihanov était accusé d’un coup de poing mortel porté à ce Parisien de 35 ans.

Le soir du 6 mai 2016, la jeune victime retrouve deux amis de longue date. Après un dîner arrosé, les trois hommes décident de se rendre dans une boîte de nuit cannoise. Sur place, le videur – Apti Gerihanov – leur refuse l’entrée, pour cause de soirée privée. Pacifiquement, « les mains dans les poches », Sébastien tente de parlementer. Jusqu’au moment où il reçoit un phénoménal coup de poing. S’effondrant au sol, sa tête heurte violemment le sol. Le fêtard ne se relèvera pas. Arrêté près d’un an plus tard à son retour de Russie, en avril 2017, le videur n’a depuis cessé de clamer son innocence.

Un « menteur professionnel » relaxé faute de preuves

Le procès aura duré cinq jours, pendant lesquels les deux parties tentent de déterminer si le Tchétchène est bien l’auteur du coup qui a donné la mort. L’avocat général, représentant le gouvernement, Alain Guimbard, déclare notamment, relayé par Nice Matin : Apti Gerihanov est un « menteur professionnel » ayant multiplié les « rétropédalages spectaculaires » et les témoignages de « mauvaise foi ». Adepte du free-fight, l’individu – en situation irrégulière –  aurait falsifié son passeport pour échapper à la justice, faisant croire qu’il était à Prague au moment des faits. Reconnu par au moins un témoin, les différents éléments l’accusant n’auront cependant pas semblé suffisants aux yeux de la délibération de la cour d’Assises dirigée par un magistrat. Sans élément matériel décisif et faute d’un témoignage incontestable, l’homme a donc été acquitté. »Monsieyr, vous ête acquitté, » lâche le président Patrick Véron.

Le clandestin quitte la salle de justice libre et reste sur le territoire.

Lien vers une autre décision de justice

Le maire PS de Marseille refuse un nom de rue aux deux jeunes victimes innocentes de l’attentat islamiste de la gare Saint-Charles

Les milieux de gauche mènent le combat islamiste

Le 1er octobre 2017, Laura et Mauranne sont mortes devant la gare Saint-Charles à Marseille, assassinées par Ahmed Hanachi, 29 ans, ressortissant tunisien, armé d’un couteau de boucher, en situation irrégulière, sans-abri, divorcé, escroc et toxicomane. Plus de trois ans après, si des questions subsistent encore autour de ce drame, l’élu du Rassemblement national, Stéphane Ravier, avait décidé de leur rendre hommage en proposant de renommer une rue de Marseille à leur nom. C’est en ce sens qu’il a proposé à la municipalité un projet d’amendement lundi 8 février lors d’un Conseil municipal extraordinaire.

Les deux jeunes filles anonymes avaient été tuées il y a maintenant trois ans et demi par un fanatique, déjà arrêté la veille du drame à Lyon et placé en garde à vue pour « vol à l’étalage ». Elle n’ont eu d’autre tort que de s’être trouvées au mauvais endroit, au mauvais moment: leur faute, vouloir prendre le train…

Dans une courte vidéo publiée sur son compte Twitter, l’élu dénonce une censure, quelques instants après la fin du Conseil. Visiblement indigné, il fustige le « scandale » auquel il vient d’assister, puisque « le maire socialiste Benoît Payan a refusé de mettre au débat l’amendement qu’il proposait »alors qu’il voulait simplement rendre hommage à deux « victimes du terrorisme islamiste »

Le djihadiste avait pu quitter Lyon et arriver à Marseille sans encombre, suite à une carence administrative au niveau de la…préfecture: un fonctionnaire du ministère de l’Intérieur était absent pour signer la procédure d’expulsion et de placement dans un centre de rétention, rappelle France 3), le terroriste avait finalement été… libéré.

Les parents des deux jeunes filles se battent encore pour prouver la responsabilité de l’Etat à la suite de cet négligence, volontaire (ou non), une obstruction « inacceptable », souligne la mère de la jeune Mauranne. Le 8 janvier 2020, le tribunal administratif a examiné les recours des deux familles. Elles sont toujours en attente d’une décision. 

« On nous a refusé la parole »

La parole se libère partout, mais la liberté d’expression n’est pas le droit le mieux partagé, en tout cas à la mairie de Marseille. Le sénateur des Bouches-du-Rhône, Stéphane Ravier, a tenté de présenter un amendement lors d’un Conseil municipal. La parole se libère partout, sauf à la mairie de Marseille.

« C’est un véritable scandale une fois de plus qui éclabousse cette majorité socialiste, communiste, verte et j’en passe. On nous a interdit de présenter cet amendement et on nous a refusé la parole », tonne Stéphane Ravier face caméra, précisant qu’il va immédiatement saisir le préfet, le contrôle de l’égalité, pour faire annuler la délibération.

Ollioules (LR) doit renoncer à renommer un collège Samuel Paty

Ce que ça dit de l’état de la France et de la complicité de la gauche

Un établissement du Var renonce sous la contrainte à prendre le nom de Samuel Paty, professeur assassiné par égorgement et décapitation, de la main d’un terroriste islamiste tchéchène étranger à la commune, en octobre 2020: un tueur à gages? Il bénéficiait du statut de réfugié accordé à ses parents. 

Si la surprise est grande, sans doute est-ce parce que les autorité secondées par la presse ont jeté un voile complice sur les semaines qui ont suivi l’attentat barbare : une omerta que les mêmes dénoncent en matière d’abus sexuels, voire de viols, parfois même incestueux sur des enfants: hommage invraisemblablement bâclé par l’Education nationale, affrontements entre professeurs ou, plus choquant encore, indifférence, atermoiements, etc. Par décence ou fatigue, l’abcès n’a pas éclaté mais, pour quiconque y a assisté, pour quiconque a lu sur les réseaux sociaux les échanges entre enseignants, la situation a basculé dans l’irrémédiable, avec, désormais, des professeurs irréconciliables.

Il fut un court instant envisagé qu’un collège du Var puisse perpétuer la mémoire du martyre d’un enseignant victime de son respect des instructions ministérielles et de son devoir d’accoucher des esprits, en favorisant notamment le développement de l’esprit critique des adolescents. Mais c’est précisément ce que rejette la gauche, tenante de la « pensée unique », en condamnant le nom de Samuel Paty à l’oubli, fût-ce en se rangeant au côté du terrorisme islamiste. 

Une consultation interne à l’établissement est allée dans le sens des syndicats d’enseignants, mais aussi du rectorat et, au sommet de l’Etat, de Blanquer et Macron, qui n’ont pas interpellé le Conseil départemental LR: 100 % des enseignants – score stalinien – qui avaient participé au vote étaient contre. Evidemment, ce refus unanime fut compris comme une marque de lâcheté et de renoncement, mais aussi un encouragement à l’extermination de tout fonctionnaire de l’Etat qui respecte non pas l’esprit des textes mais chacun de leurs articles, sans peur, ni compromission.

Le fonctionnaire absent à son poste et responsable de la remise en liberté du tueur a-t-il bénéficié d’une promotion ? La question se pose-t-elle aussi vraiment de savoir désormais si la mairie gauchiste de Marseille participe du séparatisme islamo-gauchiste ? L’individu a été abattu par des militaires de l’opération Sentinelle qui se trouvaient à proximité. Daech a revendiqué l’attaque. « En même temps », nos militaires se font tuer au Sahel, notamment au pays d’origine de la famille d’Assa Traoré, pour la défense des libertés, face aux islamistes, et leur idéologie colonisatrice de l’Afrique.

Le meurtrier de Samuel Paty était en contact avec un djihadiste en Syrie

Fatwa ou contrat mafieux?

Réfugié d’origine russe tchétchène en France, terre d’accueil, Abdoullakh Anzorov, était en lien avec un djihadiste russophone localisé en Syrie, à Idleb.

Les derniers éléments de l’enquête sur la décapitation de Samuel Paty par ce djihadiste intérieur établissent un lien entre son assassin et un djihadiste russophone en Syrie.

L’identité de cet individu-mystère n’a pas été établie à ce stade, a expliqué ce jeudi « une source proche du dossier » tout aussi floue. Selon le journal Le Parisien, le ‘Syrien’ en relation avec le barbare localisé grâce à son adresse IP, serait basée à Idleb, considérée comme le dernier grand bastion djihadiste et rebelle dans le nord-ouest de la Syrie.

Le 16 octobre, Abdoullakh Anzorov avait envoyé un message audio en russe sur les réseaux sociaux – passé inaperçu des modérateurs ? – après avoir posté la photo du professeur d’histoire décapité à Conflans-Saint-Honorine (Yvelines). Dans ce message ponctué d’épithètes coraniques, qui a été authentifié par les enquêteurs, le djihadiste intérieur est essoufflé. Il explique avoir « vengé le prophète », en reprochant à Samuel Paty de l’avoir « montré de manière insultante ». « Frères, priez pour qu’Allah m’accepte en martyr », dit-il.

Radicalisation rapide

Ce message a été relayé dans une vidéo diffusée sur Instagram, notamment. Il était accompagné des deux tweets du meurtrier (dont l’un était la photo de la victime), dans lesquels il reconnaissait avoir tué Samuel Paty. Il contient aussi deux mots en russe faisant référence à l’organisation Daesh. L’enquête a mis au jour une radicalisation rapide d’Abdullakh Anzorov.

Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie de 47 ans, a été décapité au couteau dix jours après avoir montré à ses élèves de 4e des caricatures de Charlie hebdo insultant le Prophète lors d’un cours sur la liberté d’expression. 

Parmi les sept personnes mises en examen mercredi soir pour l’assassinat du professeur, – dont six pour « complicité d’assassinat terroriste » – figurent deux élèves de 14 et 15 ans du collège où il enseignait et un parent d’élève, connu pour son activisme intégriste qui avait appelé sur Internet à la mobilisation après les cours de Samuel Paty sur la liberté d’expression, mais que la cheffe d’etablissement avait pourtant reçu. Il faut par ailleurs savoir qu’un collégien peut revendiquer la présence d’un avocat en situation de conflit avec l’institution scolaire co-gérée par la FSU, marquée à l’extrême gauche.

Hommage le 2 novembre

Auditionné devant le Sénat jeudi matin, le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer a indiqué que le rapport commandé auprès de l’Inspection générale de l’Education nationale pour établir l’enchaînement des faits au collège de Conflans-Sainte-Honorine devrait lui être remis « en début de semaine prochaine ».

Cette intervention était précédée d’une rencontre dans la matinée avec les syndicats enseignants pour évoquer la journée du 2 novembre, qui correspondra à la rentrée après les vacances de la Toussaint. Interrogé sur le contenu de cette journée, Jean Michel Blanquer a d’ores et déjà demandé à « tous les élus de la République, les conseillers municipaux, les maires, les sénateurs, d’être présents auprès des professeurs le jour de cette rentrée ». 

« Islamo-gauchisme »

Dans l’après-midi, le lancement d’un « Grenelle de l’éducation » devrait mettre davantage les professeurs « au centre de la société », après l’assassinat de Samuel Paty qui a remis en lumière le milieu hostile du métier d’enseignant. Censé durer trois mois, il doit notamment déboucher sur une augmentation des salaires des enseignants ou encore sur des mesures de protection supplémentaires, alors que ce sont les mentalités qui doivent être redressées, celles des jeunes et de leurs parents agressifs et mauvais juges, lorsqu’ils ne maîtrisent pas leurs enfants.

Ajoutant sa voix au débat politique des derniers jours, sur Europe 1, Jean-Michel Blanquer a par ailleurs dénoncé « l’islamo-gauchisme » qui « fait des ravages à l’université », dénonçant notamment les sectarismes indigénistes et sexistes du syndicat étudiant UNEF à la dérive, et l’idéologie de haine socio-politique de LFI (La France Insoumise), sans compter le PCF. « Ces gens-là favorisent une idéologie qui ensuite, de loin en loin, mène au pire », a-t-il asséné.

Assassinat islamiste de Samuel Paty : les deux collégiens, mis en examen

Mis en examen pour « complicité d’assassinat en relation avec une activité terroriste« , deux mineurs de 16 ans ne risquent rien

Samuel Paty, professeur d\'histoire-géographie, a été assassiné le 16 octobre 2020. 
Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie, a été assassiné le 16 octobre 2020. 

Sept personnes – dont ces deux mineurs, pour faire nombre – ont été déférées ce mercredi devant le juge antiterroriste, à la suite de leur garde-à-vue pour l’assassinat de Samuel Paty.

Les deux mineurs ont été mis en examen pour « complicité d’assassinat en relation avec une activité terroriste », de lourdes charges, a-t-on appris dans la soirée de ce mercredi 21 octobre 2020, de source judiciaire.

Ces deux collégiens de 14 et 15 ans ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire

Dans l’état actuel de la législation, inadaptée à la population mélangée et sans repères de ce XXIe siècle, le Parquet n’avait pas d’autre choix que de requérir leur placement en détention provisoire. Ils sont soupçonnés d’avoir livré l’enseignant à l’assaillant Abdoullakh Anzorov, qui ne connaissait pas sa cible.

L’assassin tchétchène de 18 ans a appâté les deux adolescents avec de l’argent, une somme de « 300 à 350 euros », indique le procureur national antiterroriste, Jean-François Ricard, ci-dessus, qui a assisté  le juge Jean-Louis Bruguière, lorsqu’il était chargé du dossier de l’attentat du RER B à Saint-Michel.

Le mineur de 14 ans a reconnu avoir été rémunéré par le djihadiste intérieur, selon l’avocat de celui-ci. Avocat pénaliste à Ermont, 95, exerçant Boulevard Malesherbes à Paris 18e, Me Charles Emmanuel Herbiere estime évidemment que le juge des libertés et de la détention a pris « une décision courageuse », en le laissant libre, mais sous contrôle judiciaire.

Sept personnes au total ont été mises en examen mercredi dans le cadre de cette enquête sur l’assassinat de Samuel Paty.

« Il commence à réaliser ce qu’il a engendré »

« Mon client a été placé sous contrôle judiciaire et placé loin de sa famille habituelle. », déclare l’un des avocats des deux mineurs à BFMTV, ajoutant que son client « commence à réaliser ce qu’il a engendré ».

Valls pointe la « responsabilité » de Mélenchon dans l’attentat islamiste de Conflans

La gauche radicale a-t-elle idéologiquement armé le bras du terroriste ?

Plusieurs voix se sont élevées désapprouvant la présence des Insoumis place de la République ce dimanche pour rendre hommage à l’enseignant décapité vendredi soir par un « réfugié » tchétchène à Conflans-Saint-Honorine.

Présent place de la République ce dimanche pour rendre hommage à l’enseignant décapité ce vendredi soir à Conflans-Saint-Honorine, Manuel Valls a taclé Jean- Luc Mélenchon jugeant que ce député a une « très grande part de responsabilité dans ce qui s’est passé ».

« Jean-Luc Mélenchon a une très grande responsabilité dans tout ce qu’il s’est passé, dans ce rapport de la gauche avec cette lutte contre l’islamisme », a-t-il critiqué. Et d’insister: « Il a sa part de responsabilité dans cette lâcheté qu’il y a eu de la part de la gauche. »

Plusieurs voix se sont élevées ce dimanche, critiquant la présence des Insoumis place de la République. « Je récuse à tous ceux qui ont été de tous les défilés et de toutes les pétitions avec les islamistes le droit de se donner bonne conscience et s’exonérer de toute responsabilité en manifestant », s’exprimait ainsi Valérie Pécresse sur Twitter.

Les Insoumis critiqués.

Ceint d’une écharpe tricolore et entouré de plusieurs députés de son parti, le leader de LFI Jean-Luc Mélenchon a déclaré devant la presse qu’il était « de notre devoir à nous républicains d’être présents » à ce rassemblement dans la capitale, alors que « le but de ces criminels est de nous diviser ». Mais « le gouvernement devrait se poser des questions » sur ce qui a pu conduire à l’assassinat de Samuel Paty, a-t-il ajouté.Les patrons du PS, Olivier Faure, et d’Europe-Ecologie-Les Verts, Julien Bayou, ont également annoncé leur présence. La maire de Paris Anne Hidalgo de même. La présidente de la région Ile-de-Paris Valérie Pécresse (ex-LR) a indiqué venir « place de la République soutenir nos enseignants frappés dans leur chair », sur Twitter. « Mais je récuse à tous ceux qui ont été de tous les défilés et de toutes les pétitions avec les islamistes le droit de se donner bonne conscience et s’exonérer de toute responsabilité en manifestant », a-t-elle ajouté, en référence à l’extrême gauche.

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Une critique partagée aussi par Aurore Bergé (LREM, ex-LR), qui a refusé de se rendre au rassemblement, affirmant ne pas avoir envie « de se trouver aux côtés de personnes qui ont créé un climat favorable à ces idéologies, ou en tout cas ont cessé de les combattre », a-t-elle déclaré en citant les Insoumis Eric Coquerel ou Danièle Obono.

« Le but de ces criminels est de nous diviser »

Arborant une écharpe tricolore et entouré de plusieurs députés insoumis, Jean-Luc Mélenchon a quant à lui déclaré, un peu plus tôt ce dimanche, qu’il est « de notre devoir à nous, républicains, d’être présents » , appelant à l’unité nationale…