Burkina Faso : une soixantaine de femmes enlevées par des djihadistes

Les islamistes défient la junte militaire au pouvoir depuis janvier 2022

Des responsables locaux ont confirmé des enlèvements, mais les ratissages de la zone par l’armée et ses supplétifs civils ont pour l’heure échoué.

Des responsables locaux et des habitants de la ville d’Abinda, au nord du Burkina Faso, ont révélé, dimanche 15 janvier, qu’une soixantaine de femmes – une cinquantaine, selon BFMTV – avaient été enlevées par les terroristes d’Al-Qaeda dans le Nord du pays, une zone difficilement ravitaillée en vivres, sous blocus de groupes djihadistes. Confirmation de la déclaration du médiateur de la Cédéao pour le Burkina Faso, en juin 2022, que 40 % du territoire du Burkina « sont hors du contrôle de l’Etat »

« Les femmes se sont regroupées [jeudi] pour aller cueillir des feuilles et des fruits sauvages en brousse parce qu’il n’y a plus rien à manger », a expliqué un des habitants. « Le jeudi soir, ne les voyant pas revenir, nous avons pensé que leurs charrettes avaient eu un problème. Mais trois rescapées sont revenues nous dire ce qui s’est passé », a précisé un autre habitant.

Des recherches n’ont rien donné

Selon le témoignage de plusieurs habitants et de responsables locaux souhaitant rester anonymes, un premier groupe d’une quarantaine de femmes a été enlevé à une dizaine de kilomètres au sud-est d’Arbinda et un autre d’une vingtaine le lendemain au nord de cette commune. « Dans les deux groupes, des femmes ont réussi à échapper à la vigilance des terroristes et ont regagné le village à pied », a-t-il expliqué. « Nous pensons que les ravisseurs les ont emmenées dans leurs différentes bases », a-t-il poursuivi.

Le Burkina Faso, en particulier dans sa moitié nord, est confronté depuis 2015 aux attaques de groupes djihadistes liés à Al-Qaïda et à l’Etat islamique qui se multiplient. Elles ont fait des milliers de morts et au moins deux millions de déplacés.

Le Conseil d’Etat, converti au wokisme, recule sur la tolérance laïque depuis 1905

Le Conseil d’Etat confirme l’interdiction de la crèche de Noël à la mairie de Beaucaire

Interdiction prochaine d’oeuvres
à caractère religieux
dans les musées nationaux.

Scène de la Nativité,
commandé à Spagna par les Dames de la Congrégation laïque de Sant’Antonio pour l’église Sant’Antonio di Porta Sole à Pérouse.

Le voile islamique est autorisé dans les mairies d’où sont exclues les crèches. Celles de Béziers et de Beaucaire sont régulièrement poursuivies en justice mais continuent à être installées chaque année par les maires concernés.

Nativité exposée au Louvre, bientôt souillée par des décérébrés (Fra Damiante)

Le recours de la mairie Rassemblement National de Beaucaire (Gard) contre une décision de justice lui ordonnant de retirer la crèche de Noël installée dans l’hôtel de ville a été rejeté mercredi 16 novembre par le Conseil d’Etat, la plus haute juridiction administrative française.

Une crèche napolitaine au cœur de la Maison-Blanche

Le 18 décembre 2020, le tribunal administratif de Nîmes, saisi par le préfet du Gard, avait ordonné en référé «la suspension de l’exécution de la décision non formalisée du maire de la commune de Beaucaire d’installer une crèche de la nativité dans l’enceinte de l’hôtel de ville du 3 décembre 2020 au 2 février 2021».

Plainte pour «discrimination»

Retailleau, facho de catho ??

« Est-il offensant d’entrer dans le musée du Prado et de voir les merveilleuses œuvres de Fra Angelico, Caravaggio ou Velázquez quand ils exposent l’Annonciation, l’Adoration des Rois ou la Nativité? Est-il offensant de rappeler aux Européens que le 25 décembre est la naissance de Jésus de Nazareth ? »

 Est-il offensant d’entrer dans le musée du Prado et de voir les merveilleuses œuvres de Fra Angelico, Caravaggio (ci-dessus) ou Velázquez quand ils exposent l’Annonciation, l’Adoration des Rois ou la Nativité? Est-il offensant de rappeler aux Européens que le 25 décembre est la naissance de Jésus de Nazareth ? »

La municipalité avait fait appel de ce jugement, mettant en avant le fait que «la crèche en cause, certes installée dans l’hôtel de ville, présente un caractère culturel, artistique ou festif».

Un mois plus tard, en janvier 2021, le juge des référés de la cour administrative d’appel de Marseille avait rejeté la requête beaucairoise et enjoint la commune de «procéder à l’enlèvement de la crèche» sous peine d’astreinte, une décision confirmée sur le fond en septembre 2021 par la cour administrative de Marseille. Le maire RN de Beaucaire, Julien Sanchez, avait annoncé une plainte devant le Conseil d’Etat pour «discrimination».

Prières de rues et atteinte à la laïcité de l’espace public, le 15 avril 2022 à Paris. LIEN France 2 Et manifestation à Clichy-la -Garenne d’élus opposés à l’occupation de la voie publique à des fins religieuses:

A l’audience, en octobre, la commune de Beaucaire a soutenu que la décision de la cour administrative de Marseille était entachée de diverses erreurs en estimant que l’installation d’une crèche dans l’hôtel de ville «ne repose pas sur des circonstances particulières [Noël ?] permettant de déroger à l’interdiction d’une telle installation au siège d’une collectivité publique».

Dans son arrêt mercredi, le Conseil d’Etat estime qu’aucun des arguments de la ville «n’est de nature à permettre l’admission du pourvoi» et décide donc qu’il «n’est pas admis».

Crèche de Perpignan
Un collectif composé d’une quinzaine d’associations, partis politiques et syndicats demande le retrait de la crèche située dans l’hôtel de ville de Perpignan. Ils dénoncent une non-compatibilité avec le principe de laïcité.

Liste des signataires d’extrême gauche islamo-gauchiste et pro-palestinienne, antisioniste: 
ANPNPA, ASTI, CGT, Coup de soleil, FSU, Génération.s, Groupes d’action LFI, L’Alternative ! Endavant, LDH, Mouvement de la paix, MRAP, NPA, PCF, PG, RESF, Solidaires.

Les crèches de Béziers, la ville héraultaise dirigée par Robert Ménard, proche du RN, et de Beaucaire sont régulièrement poursuivies en justice mais continuent à être installées chaque année par les maires concernés.

Sectarisme de la CGT :

La décision du Conseil d’Etat est illisible

En raison de la pluralité de significations des crèches de Noël, qui présentent un caractère religieux mais sont aussi des éléments des décorations profanes installées pour les fêtes de fin d’année, le Conseil d’État avait, non sans vaticinations, jugé que leur installation temporaire à l’initiative d’une personne publique, dans un bâtiment public, siège d’une collectivité publique ou d’un service public, est :

  • légale si elle présente un caractère culturel, artistique ou festif,
  • illégale si elle exprime la reconnaissance d’un culte ou une préférence religieuse (bref, en pareil cas… in hoc signo vinces…mais le signo on va le mettre ailleurs qu’en mairie… sauf peut-être en Alsace et en Moselle)

La présence dans d’autres bâtiments publics est plus largement acceptée (qu’on pense aux maisons de retraite par exemple…) sauf prosélytisme évident..

Mais est-ce applicable ? Comment savoir si on franchit la frontière entre le légal et l’illégal, entre la sanctification juridique et le péché laïc ?

Retour de djihadistes : Macron ignore le refus massif des Français

Macron méprise la volonté des électeurs réitérée lors des législatives

82 % des personnes interrogées approuvent le jugement des djihadistes français en Irak, donc leur maintien dans le pays qu’ils ont choisi contre la France, a révélé une étude Odoxa-Dentsu Consulting. Les Français s’opposent même au retour de leurs enfants.

82 % des sondés en France désapprouvent le retour des islamistes qui ont renié et combattu le pays des droits de l’homme pour que la justice leur serve ensuite de tribune et leur trouve des excuses.

Les sympathisants de Macron et ceux de Marine Le Pen partagent ce refus. Dans ces deux groupes politiques « ennemis », selon Géraldeux Darmanin, 89 % des sondés estiment que le gouvernement a raison de laisser l’Irak juger ces ressortissants français.

A peine les élections passées, Macron accepte le retour de terroristes islamistes

Le parti LR avait fermement exprimé son opposition, avec 90 % de soutien à la décision de Macron de laisser les traitres ennemis de la France entre les mains de la justice irakienne ou syrienne.

A gauche, même les sympathisants du PS et de La France Insoumise approuvent largement le choix de la fermeté, à 72 % pour les socialistes et à 61 % pour les mélenchonistes.

Les résultats des législatives n’ont pas imprimé sur Macron. Il passe outre la volonté des Français dans leur ensemble, toutes orientations politiques confobdues. Non pas qu’il soit seul à penser comme lui-même: il est incapable d’écoute et aussi de résistance à l’UE. LIEN PaSiDupes

Contre un retour des enfants de djihadistes

Brigitte est-elle la mère
d’un fils de djihadiste ?

« Face aux risques perçus, les grands principes de droit, de liberté et même la question de la peine de mort ne pèsent pas lourd dans la balance pour nos concitoyens » (les auteurs de l’étude).

L’analyse des réseaux sociaux concorde avec ces résultats. «Unanimement, les internautes estiment que les djihadistes n’ont aucune circonstance atténuante », assure Véronique Reille Soult, PDG de Dentsu Consulting. Selon elle, « la déchéance de la nationalité est à nouveau évoquée parmi les sanctions possibles », si les djihadistes devaient malgré tout revenir.

89 % des Français disent craindre le retour de djihadistes en France, 53 % se disent même très inquiets, selon le même sondage. Les soutiens de Mélenchon sont même plus inquiets (à 86 %) que les socialistes (à 83 %). «Face aux risques perçus, les grands principes de droit, de liberté et même la question de la peine de mort ne pèsent pas lourd dans la balance pour nos concitoyens», relèvent les auteurs de l’étude. Ils ajoutent: «Pour peu qu’ils pensent que cela réduira le risque, les Français approuvent toute mesure allant vers plus de sécurité.»

Bien que ces craintes soient très largement partagées et appellent des mesuress sécuritaires fermes, Macron reste sourd et sa presse irresponsable continue d’étaler des beaux sentiments en colportant des éléments flous et inexacts: les femmes ne sont pas toutes des mères et les enfants ne sont pas tous de vrais mineurs, mais tous sont potentiellement dangereux, comme fanatiques et « lionceaux du califat »… 67 % des personnes interrogées souhaitent laisser les enfants de djihadistes en Irak et en Syrie. Chez les «marcheurs», ils sont 63 % à le penser!

L’idéologie prévaut sur le pragmatisme

Alors que Macron se pose en « protecteur » des Français, L’étude d’Odoxa rappelle pourtant que «certains sont orphelins, d’autres traumatisés par des scènes d’une violence indescriptible et par les bombardements» et que «leurs parents capturés seront probablement condamnés à de longues peines de prison ou à la peine de mort», sur place. Seulement un tiers de Français attend que Paris «fasse le maximum pour faire revenir ces enfants.» Toutefois, un clivage droite-gauche se dessine. Si 88 % des ex- «frontistes» et 78 % des LR sont contre le retour de ces mineurs, craignant notamment qu’ils soient irrémédiablement endoctrinés, à gauche 58 % des socialistes aimeraient les voir revenir. Contre seulement 50 % des Insoumis.

Jeudi, des familles d’enfants de djihadistes français actuellement dans des camps au Kurdistan syrien ont déposé une plainte contre la France auprès du Comité des droits de l’enfant de l’ONU. Elles dénoncent «l’inaction» de l’Etat.

Extradée judiciaire de Syrie, la djihadiste « française » Emilie König mise en examen

Tout juste rapatriée de Syrie, la djihadiste française Emilie König mise en examen

Cette maman est une
chance pour la France

Partie faire le djihad en 2012, la djihadiste française Emilie König a été rapatriée extradée par la Syrie, ce mardi, la France étant consentante…

Elle est pourtant accusée d’avoir activement recruté pour l’Etat islamique et d’avoir appelé à commettre des attentats en Occident. Originaire de Lorient dans le Morbihan, cette femme de 37 ans a été mise en examen à son arrivée à Paris.

Elle est une figure un monstre du djihadisme français. Originaire de Lorient en Bretagne, Emilie König a été rapatriée en compagnie de 16 autres combattantes islamistes, qui ont renié la France et ont bafoué la République laïque, participé à des crimes, puis emprisonnées dans des camps djihadistes en Syrie, pays qu’elle a rejoint en 2012. Elle doit répondre d’avoir recruté pour le groupe Etat islamique (EI) et appelé à commettre des attaques en Occident.

Dès son arrivée à Paris, elle a été mise en examen et placée en détention provisoire pour association de malfaiteurs terroriste criminelle. Régulièrement apparue dans des vidéos de propagande, elle avait été placée par l’ONU sur sa liste noire des combattants les plus dangereux.

35 mineurs rapatriés extradés

A 37 ans, elle est mère de cinq enfants, dont trois nés en Syrie [de combien de pères?], qui ont déjà été introduits en France début 2021, suite à une campagne médiatique centrée sur leur grand-mère éplorée. Dans un entretien en avril 2021, depuis le camp de Roj géré par des Kurdes, elle avait dit vouloir « retourner en France » qu’elle aime… 

Huit femmes, âgées de 22 à 39 ans, ont donc été placées en garde à vue « en exécution d’un mandat de recherche » et « huit (autres) font l’objet d’un mandat d’arrêt », a expliqué le Parquet national antiterroriste dans un communiqué.

35 mineurs ont également été introduits en France

Benjamin Morel minimise le risque. Adepte de moraline télégénique, il considère que ces mineurs seraient tous des enfants en bas âge et dignes de compassion. Ils s’ajoutent aux 126 enfants dont les parents avaient rejoint des territoires repris à l’Etat islamique déjà rapatriés en France depuis 2016 et cet universitaire ne peut l’ignorer.

Selon le Parquet national antiterroriste, sur les 35 mineurs, sept sont des « enfants » isolés. Toutes ces femmes ont la nationalité française « sauf deux d’entre elles qui ont en revanche des enfants français », précise le PNAT dans un communiqué.

Avec d’autres bien pensants, B. Morel, maître de conférences à l’université Paris 2 Panthéon-Assas, passé à la moulinnette politiquement correcte de l’université, refuse d’admettre que certains puissent avoir 17 ans (voire 18 et plus, à l’instar des migrants marocains, dits mineurs isolés) répondant à une demande répétée des ONG et des familles qui disent espérer que ce dernier arrivage en date « signe la fin de cette abjecte politique du cas par cas qui revient à trier des enfants, à séparer les fratries et à arracher des enfants à leurs mères »…

Un mineur de 17 ans – quasi adulte biberonné à la haine de l’Occident chrétien et à la violence – a également été placé en garde à vue à la DGSI, tente de rassurer une source proche du dossier. Il s’agit du premier rapatriement extradition judiciaire aussi massif en France d’enfants et de mères depuis la chute en 2019 du « califat » de l’EI.

L’arrivée des « revenants » a été saluée par le « Collectif des familles unies », qui regroupe des familles de Français partis en zone irako-syrienne et qui avait récemment demandé au président Macron de « commencer son second mandat » en rapatriant « tous les enfants français » détenus en Syrie.

Un premier rapatriement pour la France

Dans un communiqué publié mardi, le collectif indique « espérer » que ce dernier rapatriement « signe la fin de cette abjecte politique du ‘cas par cas’ qui revient à trier des enfants, à séparer les fratries et à arracher des enfants à leurs mères ». « C’est la première fois que la France rapatrie des enfants avec leurs mères des camps de prisonniers syriens, et cette première opération doit sonner le glas d’une politique inhumaine qui dure depuis des années », ajoute-t-il, appelant à « rapatrier tous les enfants avec leurs mères dès cet été ».

Les 35 enfants rapatriés mardi au cours d’une opération sur laquelle rien n’a filtré à ce stade, s’ajoutent aux 126 enfants dont les parents avaient rejoint des territoires repris à l’Etat islamique déjà rapatriés en France depuis 2016.

En 2019, près de sept Français sur dix étaient opposés au retour des enfants de djihadistes

Avant ce dernier rapatriement, il restait près de 200 mineurs et 80 mères dans des camps du Nord-Est syrien contrôlés par les Kurdes. « Un certain nombre de familles restent sur place alors que rien ne justifie que ces enfants soient privés de libertés et leur vie sacrifiée sur l’autel de l’opinion publique », estime pour sa part Martin Pradel, avocat de familles toujours en Syrie.

En 2019, près de sept Français sur dix étaient opposés au retour des enfants de djihadistes, selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour Franceinfo et Le Figaro.

Le sort des enfants de djihadistes s’invite dans le débat politique

La question du sort des enfants de djihadistes s’invite depuis trois ans dans le débat politique en France où avocats, parlementaires et ONG appellent régulièrement les autorités françaises à les rapatrier. Un célèbre neuropsychiatre français, Boris Cyrulnik, a notamment exhorté en janvier le président Macron à les rapatrier, ainsi que leurs mères, estimant qu’ils constituent sur place « une menace pour notre sécurité ».

Fin avril, la Défenseure des droits, Claire Hédon, avait exhorté le gouvernement à procéder au rapatriement « dans les plus brefs délais », de tous les enfants français retenus dans les camps du Nord-Est de la Syrie. Le même mois, le Comité des droits de l’enfant de l’ONU estimait que le refus de la France de rapatrier ces enfants « violait leur droit à la vie, ainsi que leur droit à ne pas subir de traitements inhumains et dégradants ».

Ordre moral islamique : deux attentats déjoués en France

Deux projets d’attentats djihadistes, visant un club libertin et un club homosexuel, ont été mis en échec

les-musulmans-de-france-_-mariage-pour-tous-900x444Cinq  passages à l’acte ont ainsi été empêchés par les services de renseignements, depuis le début de l’année.
Sous la menace islamiste constante depuis 2015,  la France a subi deux attaques qui ont fait cinq morts, cette année. Cette vague d’attentats a fait 246 tués en plus de trois ans.

Le dernier attentat mortel est un assassinat au couteau dans le quartier de l’Opéra à Paris, le 12 mai.
A la même époque, un Français « converti et radicalisé » de 38 ans a été arrêté à Châteauroux, dans l’Indre. « Un engin improvisé a été découvert le 13 mai chez cet individu qui a reconnu avoir voulu en faire usage
contre un club libertin« , a indiqué une source proche de l’enquête. L’homme, né en 1980 dans le Loiret, a été mis en examen et écroué le 17 mai pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et « préparation individuelle à la commission d’un acte de terrorisme« , a précisé une source judiciaire.

Résultat de recherche d'images pour Dans une autre affaire, deux individus ont été arrêtés le samedi 9 juin en Seine-et-Marne inconnus des services de renseignements, ils sont soupçonnés d’avoir préparé une attaque au nom du groupe Etat islamique (EI), potentiellement contre des homosexuels.
Agés de 21 et 22 ans et décrits comme des « amis très déterminés », ils ont été interpellés à leurs domiciles de Montereau-Fault-Yonne (18.000 habitants) et Champagne-sur-Seine (6.500 habitants), dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte trois jours plus tôt par le Parquet de Paris, ont révélé des « sources judiciaire et proches de l’enquête ».
Mardi, les deux suspects ont été mis en examen par un juge d’instruction antiterroriste pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et écroués.,

« Des couteaux, un dispositif de mise à feu et de la propagande du groupe djihadiste ont été retrouvés en perquisition » après leur arrestation par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) appuyée par le Raid, selon les sources proches de l’enquête.

« Des éléments laissent penser qu’ils envisageaient de s’en prendre à des homosexuels« , ont indiqué ces sources, mais les contours de leur projet restent mal définis à ce jour. Des vidéos de propagande de l’EI ont été retrouvées dans leur appareils électroniques. « Ils ne parlaient pas explicitement d’un attentat, mais l’un d’eux évoquait la recherche d’une arme », a précisé une source.

A Champagne-sur-Seine, près de Fontainebleau, l’un des deux suspects vivait depuis Noël avec sa famille dans un immeuble HLM de cinq étages. Les voisins évoquent des « gens très réservés »: « On disait bonjour, ils vous répondaient pas, ils entrouvraient à peine leur porte« . Ces voisins jusqu’ici indifférents décrivent une famille de musulmans pratiquants, mais « pas des barbus », avec le fanatique interpellé portant une « petite barbiche ».

L’ennemi de l’intérieur 

« La DGSI avait détecté sur les réseaux sociaux l’activité d’un compte évoluant dans la sphère radicale islamiste » [un pléonasme], a déclaré le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb dans un communiqué, en saluant ces « interpellations préventives« , ce qui, en droit, pose problème…
Quelques jours après l’attentat près de l’Opéra, le ministre avait lui-même révélé un autre projet déjoué, celui d’un Egyptien, lui aussi inconnu des services et qui envisageait une attaque à l’explosif ou au poison. Il en a un comme ça tous les mois…
En janvier, un homme avait été interpellé dans le Gard et un autre projet visant un grand équipement sportif dans l’Ouest avait été déjoué à la même époque.

Le Premier ministre Edouard Philippe avait évoqué en mars un total de 51 attentats déjoués depuis le début, en janvier 2015, de la vague d’attentats djihadistes sans précédent qui a frappé la France.

Le profil des deux complices de Seine-et-Marne – ni islamistes radicalisé en prison, ni « revenants » de la zone de combats en Irak et en Syrie – illustre la mutation réalité vraie du risque djihadiste en France.

Depuis 2017, les autorités politiques et judiciaires soulignent régulièrement les dangers de cette menace « endogène », c’est-à-dire exercée par des migrants dont la demande d’asile a été satisfaite ou par la troisième génération d’immigrants musulmans, incarnée par des personnes se radicalisant elles-mêmes sur son sol, en réponse aux mots d’ordre de l’EI sur internet et en réaction à l’accélération de l’évolution des moeurs depuis le quinquennat de Hollande.

blog -Macron ambigu-livre M Endeweld-bk cover.jpgMacron a relancé les craintes des familles aussi bien musulmanes que chrétiennes sur le problème de l’homosexualité. Dans son discours du 9 avril, devant la Conférence des évêques de France, le président Macron a en effet salué « les associations catholiques et les prêtres » qui « accompagnent des familles monoparentales, des familles divorcées, des familles homosexuelles ».
Un soutien qui conforte les associations de défense des droits des personnes homosexuelles, mais hérisse une majorité de chrétiens et de musulmans qui s’opposent à l’extension de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes et femmes seules. « La promesse du président de la République était d’ouvrir la PMA à toutes les femmes, sous couvert d’un avis favorable du CCNE [Comité consultatif national éthique] obtenu en juin 2017 », rappelle Catherine Michaud, présidente de GayLib.

La gauche politique et médiatique continue d’attribuer les passages à l’acte terroriste, à sa façon, par le tarissement des filières de départ pour le djihad au Moyen-Orient et par la déroute militaire de l’EI dans ses anciens territoires d’Irak et de Syrie.

Matignon doit présenter prochainement un nouveau plan d’action contre le terrorisme. Ces projets avortés d’attentats tombent donc à pic…

Islamisme: Fabius, un imposteur qui noie le poisson dans la sémantique

« Islamisme radical » : Fabius réutilise à l’Assemblée un pléonasme qu’il avait banni

Cachez ce mot « islamiste » que Lolo ne saurait voir

blog -Tartuffe de MoliereMais le ministre des Affaires étrangères est un apprenti manipulateur de la langue
L’ancien premier ministre est persuadé qu’en cassant le thermomètre il va faire tomber la température on qu’en censurant par « décret » certains mots, il dominera la fièvre qui envahit la France, s’agissant de l' »islam radical ». C’est la mot « islamiste » qui lui chiffonne la pochette blanche depuis plusieurs semaines. Celui qui tenta d’imposer une charte de déontologie à ses collègues ministres, avec la réussite que l’on sait sur les vertueux socialistes Cahuzac, fraudeur fiscal, ou Thévenoud, mauvais payeur pathologique, s’est également illustré dans une tentative de châtiment du langage visant les terroristes musulmans de l’IE. Il prêcha pour que l' »Etat islamique » soit camouflé sous le vocable-burqa de « Daesh », dont personne ne sait d’ailleurs s’il ne s’écrirait pas plutôt « Daech »!
Monseigneur récidive avant de se faire introduire à l’Académie française en décidant qu’il était essentiel et urgent de bannir à son tour le terme « islamiste »: en faisant disparaître le mot, Lolo compte occulter la menace, ou à défaut, la salissure de l’ensemble des musulmans. Car c’est ce qui turlupine le turlupin des gouvernements Hollande: ne pas froisser le musulman comme un Kleenex.

Or, dimanche 11 janvier, sur Europe 1, deux jours après les attentats de Paris et Montrouge, Laurent Fabius a de nouveau voulu réformer la langue commune en exigeant l’emploi du mot « terroristes » plutôt qu' »islamistes » pour désigner les auteurs de crimes qui se revendiquent de l’islam. Cohérent ? Oui, à la manière socialiste.

Amalgame entre djihadistes et poseurs de bombes basques, confusion entre fanatisme religieux et volonté politique d’indépendance, voire anarcho-révolutionnaires arracheurs criminels de caténaires ou casseurs « Black blocks », etc… Toutes les violences dans le même sac colis piégé ! Fabius est un magicien totalitaire.

Le mot « islam », c’est caca ?

« Je n’aime pas… Je ne veux pas faire le censeur, a-t-il minaudé, le nez dans ses notes, mais je pense que l’expression islamiste – et j’en avais aussi fait la remarque dans l’expression Etat islamique – n’est probablement pas celle qu’il faut utiliser. J’appelle ‘ça’ des terroristes », a recommandé l’influenceur: que ceux qui m’aiment me suivent…
« Parce que dès lors que vous utilisez le mot islam, vous favorisez une espèce de vision de continuité entre le musulman, qui pratique sa religion qui est une religion de paix, et puis quelque chose qui serait une certaine interprétation de la religion musulmane« , disait alors le ministre. Bref, le mot « islam » doit disparaître de la photo ou des dictionnaires. Peut-être aussi les dictionnaires doivent-ils aussi être brûlés, d’ailleurs. 

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« Quand nous combattons le djihado-terrorisme… »

Mais dix jours plus tard, à l’Assemblée nationale, le ministre a lancé, alors qu’il expliquait la position de la France sur la liberté d’expression face aux multiples manifestions anti-françaises dans certains pays musulmans : « Quand nous combattons le djihado-terrorisme et l'<u>islamisme radical</u> (?), ce sont aussi les musulmans que nous protégeons puisqu’ils en sont les premières victimes. »

Nulle doute que les mots « islam » et « islamiste » n’apparaîtront plus dans les dépêches de l’AFP et dans les articles copiés-collés des media paresseux et soumis de surcroît…

<br>A vouloir blanchir à tout prix les musulmans de toute souillure terroriste, <span style= »color: red; »Fabius salit l’islam et les musulmans.