La Sorbonne Nouvelle abrite le nouveau bastion du Hamas

Le fascisme a changé de trottoir et le député Meyer Habib claque la bise à Bardella

Meyer Habib, le député des Français de l’étranger, a dit ce qu’il pense à Manuel Bompard de l’antisémitisme de LFI et de sa présence indécente à l’hommage national de la France aux victimes israéliennes des terroristes islamistes du Hamas, le 7 octobre 2023, avant de faire la bise à Jordan Bardella, RN.

Cette scène improbable a marqué l’hommage aux victimes françaises du Hamas, ce mercredi aux Invalides à Paris, peu avant l’arrivée de Macron. Meyer Habib, le député des Français de l’étranger, apparenté LR, a été filmé adressant quelques mots qu’on imagine cinglants au député LFI Manuel Bompard, avant une étreinte ostentatoire avec le président du RN Jordan Bardella.

« Je leur ai dit qu’ils n’ont aucune dignité, que les familles ne veulent pas d’eux, que leur présence équivaut à celle de Bousquet et Papon au Vel d’Hiv et, qu’à défaut de me respecter, qu’ils respectent la volonté des familles en deuil dans la douleur dans ces moments de recueillement », a rapporté le député de la 8e circonscription des Français établis hors de France, dont la circonscription comprend Israël.

« Ces provocations n’ont pas leur place dans une cérémonie d’hommage national », a estimé le groupe parlementaire de La France insoumise sur X.

« Tu craches à la gueule de nos déportés « 

Au-délà des invectives, c’est la proximité de l’élu avec Jordan Bardella qui a fait réagir. « Meyer Habib, tu nous fous la honte. Tu craches à la gueule de nos déportés en embrassant l’héritier du FN », a assuré sur X (anciennement Tiwtter) le médecin urgentiste à la tête près du bonnet Mathias Wargon, époux de Emmanuelle Wargon, présidente de la Commission de
régulation de l’énergie (CRE), et ex-secrétaire d’Etat à la Transition écologique et solidaire de Macron, en fureur, comme souvent, contre l’élu.

Bompard, sans un regard

« Un hommage national exige de la dignité, sermonne de son côté le député LFI Paul Vannier, qui estime que « Meyer Habib n’en a pas », lui qui, à la différence de son chef de file, a eu la pudeur ne pas s’afficher aux Invalides.

« La gauche se scandalise pour cette vidéo. Depuis fort longtemps, mon ami Meyer Habib sait faire la différence entre les amis et les ennemis d’Israël », a assuré de son côté l’eurodéputé Gilbert Collard (ex-RN).

« Les députés LFIstes, et apparentés, ne devraient pas être présents à cet hommage », a ajouté de son côté la députée RN de l’Eure Katiana Levavasseur.

Les pro-palestiniens de LFI imposent leur présence provocante

Avant la cérémonie d’hommage aux victimes françaises de l’attaque terroriste du Hamas en territoire israëlien, la présence de députés de La France insoumise, parmi lesquels la présidente du groupe à l’Assemblée Mathilde Panot et le coordinateur national Manuel Bompard, a été dénoncée par plusieurs familles de victimes. LFI s’est disqualifiée pour avoir refusé de qualifier le Hamas de terroriste et avoir évoqué une « offensive armée de résistance des forces palestiniennes » peu après l’attaque du 7-Octobre.

Ajoutant la provocation aux polémiques, les Insoumis ont répondu positivement à l’invitation de l’Elysée aux parlementaires. Devant des proches des victimes venus d’Israël grâce à un avion affrété par l’Etat français, le président Macron a dénoncé « le plus grand massacre antisémite de notre siècle ». « Nous sommes 68 millions de Français endeuillés par les attaques terroristes du 7-Octobre », a ajouté le chef de l’Etat.

La Sorbonne, foyer du terrorisme islamiste pro-palestinien

Dans l’université parisienne, une littérature « antisioniste » fort problématique circule et entretient une atmosphère de violence anti-juive alarmante, s’inquiète Yana Grinshpun, maître de conférences en linguistique française et analyste du discours. Elle est également co-directrice de l’axe « Nouvelles radicalités » du Réseau de Recherche sur le Racisme et l’Antisémitisme, structure fédérative de recherche qui associe huit universités françaises (Lille, Cergy Paris, Picardie Jules Verne, Reims Champagne Ardenne, Rennes 2, La Sorbonne-Nouvelle, Artois, Université de Paris) et des associations de lutte contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA, CoExist, l’Œuvre de Secours aux Enfants,…).

La libération de la parole antijuive dans les universités françaises a atteint des sommets après les massacres du 7 octobre. J’ai pu en témoigner avec celui qui fut l’un des premiers intellectuels à diagnostiquer l’émergence du nouvel antisémitisme à travers ses variations culturelles, idéologiques, politiques, Georges-Elia Sarfati (EHESS), dans L’Express l’année dernière.

Cette parole s’inscrit dans une archive discursive bien décrite : la souche social-nationaliste et son idée du complot juif a muté en complot sioniste (les « sionistes » ont ourdi un plan de conquête de la Palestine), la souche soviétique a été fertilisée par le discours post-colonial (« Israël colonise et occupe les terres des autres »), la souche islamique (les Juifs ne peuvent pas être souverains sur la terre d’islam) et la souche post-moderne pour laquelle l’existence d’un Etat souverain à caractère national juif est une écharde douloureuse sur le corps occidental. Aujourd’hui ce cocktail, nourri par l’activisme de la gauche radicale palestinisée fleurit sur les campus.

Interclasse islamo-gauchiste

Avant–hier, alors que je sortais après mes cours à la Sorbonne Nouvelle (Sorbonne-Paris-III), une étudiante toute de drapeau palestinien vêtue, distribuait des papiers à des étudiants.

A côté d’un stand du Comité Palestine affilié au NPA (Nouveau Parti Anticapitaliste, NPA, des révolutionnaires trotskistes Olivier Besancenot et Philippe Poutou), rempli de littérature conçue pour les curieux, son camarade accueillait les membres de la faculté dont la libido sciendi n’a pas encore été satisfaite par le contenu des cours…

Il leur offrait des tracts pour combattre l’entité sioniste, pour libérer la Palestine du Jourdain à la mer, pour boycotter tout ce qui est vaguement « sioniste ».  Un journal du Comité Palestine Sorbonne Nouvelle, appelé pastoralement L’Olivier et dont le premier numéro s’intitule Sionisme et antisémitisme : les liens historiques présentait les liens étroits du sionisme avec le nazisme, tout à fait dans la veine de la thèse négationniste d’un Mahmoud Abbas et appelait à démanteler « l’entité sioniste » par une lutte armée. Pour rappel : le slogan « Libérez Palestine du Jourdain à la mer » a été lancé par le Mufti de Jérusalem, Haj Amin Al Hussejni, allié des nazis, qui entendait se débarrasser des Juifs du yeshuv (communauté agricole) et appelait aux pogroms et aux massacres.

Mufti de Jérusalem, Haj Amin Al Hussejni, et Hitler (1941)

Le jeune homme, représentant de ce Comité, avec qui j’ai longuement discuté, m’a dit que pour que la Palestine soit libérée, il faut la débarrasser des Juifs. Les ashkénazes doivent rentrer « chez eux » et les séfarades « chez eux ». Sinon, c’est la résistance armée qui les chassera. A ma question sur les massacres et l’expulsion des Juifs du monde arabe, qu’il a reconnus, il a ajouté que derrière ces massacres il y avait la main du Mossad. Ce jeune homme m’a même « cité » Zeev Jabotinsky, qui appellerait à tuer des Arabes, et Théodore Herzl, qui chercherait les faveurs des antisémites. Ce qui montre que ce jeune homme n’a jamais ouvert aucun livre de ces deux grands penseurs qui n’ont jamais dit ce qu’il leur attribuait. Je donne cet exemple pour montrer que la confusion, l’ignorance, la propagande haineuse ont toute leur place au sein de mon université. Ce sont ces mêmes étudiants qui organisent des « conférences » sur ces sujets. Par exemple, celle prévue pour le 8 février annonce :

« Nous réaffirmons encore une fois notre soutien inconditionnel à la résistance palestinienne, et nous appelons à un cessez-le-feu immédiat à Gaza, ainsi que la libération totale de la Palestine et le démantèlement de l’entité sioniste coloniale ».

Faire des juifs les nouveaux nazis
Maintenant, penchons-nous sur la littérature produite par ledit comité et distribuée par les étudiants de la Sorbonne aux étudiants de la Sorbonne :

Al Thawabet (Nos principes, en page 2 de L’Olivier, juste à côté de l’édito) inspiré des principes formulés par l’OLP en 1977 (dans cette charte, l’OLP ne reconnaît pas l’existence de l’Etat d’Israël) :
Principe 3 : Soutien à la résistance
Principe 4 : Palestine libre de l’Occupation des soldats et des colons, de la mer au Jourdain, avec Al Quds comme capitale.

Un chapitre est consacré aux liens étroits du sionisme et du nazisme :

« Les sionistes maintenaient de bonnes relations avec les nazis, au moins jusqu’à la fin des années trente […] Les sionistes allemands se sont donc alliés aux nazis après que ces derniers se sont emparés du pouvoir, et les sionistes étaient le seul groupe juif qui n’a pas fait l’objet de censures et de l’interdiction d’exercer toute activité politique… Cependant, la fin de la Seconde Guerre mondiale a également entraîné la fin de l’antisémitisme d’Etat en Europe, qui s’est posé comme un obstacle face aux propagandistes sionistes » (p. 7-8)

L’apologie du terrorisme est explicite aussi :

Une page est consacrée au « journaliste » Hamza Al Dahdouh, « jounaliste palestinien incarnant la résilience et la force de son peuple » (p. 27). Hamza el Dahdouh fut un terroriste, combattant du Jihad Islamique, représentant d’un bataillon du Jihad Islamique Zeitun. À la page 14, on découvre que « … depuis le début de l’occupation en 1948, Israël cherche à contrôler et empêcher l’éducation des Palestinien.ne.s, en leur durcissant les démarches, en leur imposant des checkpoints long et laborieux, en les privant d’infrastructures… Comme tout régime d’occupation, il a cherché à effacer la culture et la connaissance palestinienne (sic ! NDLA), son histoire, sa trace, son héritage, comme en témoignent les attaques répétées contre les universitaires, les pillages de livres (sic ! NDLA), la destruction des sites archéologiques et des églises historiques ».

Ce ne sont que des échantillons de la prose distribuée aux étudiants par d’autres étudiants. La lecture complète du journal me fait penser que les fabricants des Protocoles des sages de Sion ont de dignes héritiers. Le problème est qu’un étudiant contemporain moyen, dépossédé de connaissances historiques générales et de celles qui concernent l’histoire du Proche-Orient en particulier n’a pas les moyens de voir qu’il s’agit de mensonges grossiers à CHAQUE ligne de ce torchon propagandiste.

La gêne des tutelles


Le président de l’université que j’ai contacté m’a répondu que l’Université n’est pas responsable des « tracts distribués sur la voie publique ». La voie publique se trouvant dans les portes d’entrée de la faculté Sorbonne-Nouvelle, on se demande quelle aurait été sa réponse si on y distribuait Mein Kampf.

Là où je veux en venir, ce n’est pas tant l’existence de ces groupuscules criminels, ces Merah ou Carlos en puissance, qui diffusent cette propagande crapuleuse, mensongère et criminelle, c’est le silence et le « pas de vague » des tutelles. Il s’agit là de l’appel à la violence ouverte, du négationnisme, de la fabrication des assassins en puissance. Qui agissent à l’université impunément. Malgré le fait qu’une plainte a déjà été déposée contre le NPA et ses affiliés pour apologie du terrorisme.

Le silence des institutions universitaires, les réponses évasives des instances qui psittacisent sans cesse « Nous combattons toutes les formes de racisme » les rend complices de l’idéologie crapuleuse et meurtrière. Si l’antisémitisme prospère dans les facs, si les universitaires juifs quittent la France, si les étudiants juifs ne se sentent pas en sécurité, c’est que ce climat est bien entretenu par la lâcheté et l’indifférence des présidences qui n’ont de présidence que le titre, mais qui agissent exactement comme les bourgeois du film de Marcel Ophuls Le chagrin et la pitié – lesquels prétendent ne pas avoir vu ni su ce qui se passait sous leur nez. La présidence de l’université étant aux abonnés absents, Caroline Yadan, députée de Renaissance, a été informée des agissements dudit Comité Palestine.

Et Macron a reconduit Sylvie Retailleau, ex-présidente de l’Université Paris-Saclay, à la tête du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, bien qu’en décembre 2023, elle ait exprimé son désaccord avec le vote de la loi sur l’immigration et menacé de démissionner.

La CGT énergie menace de «s’occuper» des élus partisans de la réforme des retraites

Les staliniens osent tout

Promesse de la CGT
aux députés qui voteront
le projet de réforme des retraites

La Fédération CGT des mines et de l’énergie (FNME-CGT) fait du chantage aux coupures ciblées d’électricité contre les élus qui soutiendront la réforme des retraites.

« On va aller voir ceux qui veulent la réforme, qui la soutiennent, ceux-là, on va s’occuper d’eux. On va aller les voir dans leurs permanences, on va aller discuter avec eux, et puis si d’aventure ils ne comprennent pas le monde du travail, on les ciblera dans les coupures qu’on saura organiser», a lancé Sébastien Menesplier, lors d’une rencontre au siège de la CGT à Montreuil (Seine-Saint-Denis).

Le chantage des opposants d’extrême gauche révolutionnaire au projet de réforme des retraites est cyniquement clair. Le secteur de l’énergie est prêt à braver les lois, si on encroit la menace et le chantage, ce lundi, de Sébastien Menesplier, secrétaire général de la Fédération CGT des mines et de l’énergie (FNME-CGT), premier syndicat du secteur. « «On sera vigilant pour ne pas avoir de dommages collatéraux, l’objectif n’est pas de se mettre à dos les usagers», a-t-il ajouté.

Mercredi dernier déjà, Sébastien Menesplier expliquait à Libération qu’il n’y a «aucune négociation possible sur (notre) régime spécial de retraite».

«Plan de bataille»

Visage ordinaire du totalitarisme

La CGT Mines-Energie a présenté vendredi un «plan de bataille» pour obtenir le «retrait pur et simple» du projet du gouvernement, qui prévoit de repousser l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans. Ce plan prévoit une «reprise en main de l’outil de travail sous toutes ces formes», des «rétablissements électricité et gaz aux plus précaires, énergies gratuites, coupures ciblées, baisses de production»

Le syndicat appelle à la grève reconductible à partir du 19 janvier, avec pour ambition de «vraiment désorganiser le travail ou peser sur l’économie» des entreprises. La grève pourrait aussi avoir un impact sur le redémarrage de certains réacteurs nucléaires : «S’il y a des grèves, il n’y aura pas de redémarrage de réacteurs. S’il n’y a pas de redémarrage de réacteurs, il y aura peut-être un manque de capacités de production. […] On assumera pleinement comme on l’a fait cet automne. Et on attendra qu’on vienne nous chercher», a insisté le syndicaliste.

La CGT Mines-Energie veut coordonner ses efforts avec d’autres fédérations, et une réunion a eu lieu la semaine dernière avec la CGT des Ports et Docks, la FNIC (Chimie) et les cheminots. Une nouvelle réunion est prévue ce mercredi.

Les syndicats CGT de la branche pétrole ont annoncé la semaine dernière plusieurs jours de grève, avec un arrêt de travail de 24 heures le 19 janvier, de 48 heures le 26 et de 72 heures à partir du 6 février, une démarche qui «intéresse» la CGT Mines-Energie.

Procès Zemmour: Chevènement apporta son soutien au chroniqueur

‘Fasciste », l’ancien ministre socialiste qui se félicita du propos « réaliste » de Zemmour ?

Jean-Pierre Chevènement, ci-dessus en tête-à-tête avec le président Mitterrand, a apporté son soutien à Eric Zemmour, jugé pour provocation à la haine raciale, dans un courrier au tribunal où il osait affirmer que plus de la moitié des infractions en France sont « imputables à des jeunes dont le patronyme est de consonance africaine ou maghrébine ».

« Sans doute M. Zemmour a-t-il, dans le feu de la discussion, utilisé une formulation excessivement brutale mais il n’a hélas, pas dit une chose matériellement inexacte », explique l’ancien ministre socialiste de l’Intérieur de Jospin (1997-2000) et sénateur MRC du Territoire de Belfort dans un courrier en date du 3 janvier 2011 adressé à la 17ème chambre du tribunal correctionnel de Paris [cf. en fin de billet], où s’est ouvert début janvier 2011 le procès d’Eric Zemmour.

Le journaliste a été cité en justice pour diffamation et provocation à la haine raciale par SOS Racisme, la Licra, le Mrap, l’UEJF et J’accuse. Les cinq associations ciblent des propos tenus le 6 mars 2010 sur Canal+ et France Ô par Eric Zemmour, selon lequel « la plupart des trafiquants sont noirs et arabes, c’est comme ça, c’est un fait ».

« Il suffit, comme j’ai eu l’occasion de le faire, de consulter les listings de la Direction centrale de la Sécurité publique du ministère de l’Intérieur, pour constater que plus de 50% des infractions constatées sont imputables à des jeunes dont le patronyme est de consonance africaine ou maghrébine« , souligne Jean-Pierre Chevènement.
Sur la même ligne que E. Zemmour, qui a déclaré au tribunal ne pas vouloir « se coucher devant le politiquement correct », le sénateur écrit « craindre que le politiquement correct ne finisse par tuer le débat républicain ».

« La liberté d’expression n’a pas besoin d’être inutilement corsetée par des interdits judiciaires, » insiste J.-P. Chevènement.

Il regrette qu’on puisse « incriminer un journaliste d’avoir avancé un argument, certes formulé maladroitement, mais correspondant à une réalité, certes dérangeante, mais propre à susciter une prise de conscience partagée (…) »

Cette lettre de l’ancien ministre, qui dit aussi « regretter de ne pouvoir participer à l’audience », a été évoquée par les parties civiles qui souhaitaient la voir écartée des débats.

Lettre de Jean-Pierre Chevènement au tribunal:

En France, on se traite de facho à la télévision: au secours, le CSA !

Yassine Belattar injurie Eric Naulleau impunément à plusieurs reprises

Le terrorisme s’invite à la télé

De même que la racaille exige des habitants une pièce d’identité à Nantes, Rennes ou Carpentras, un animateur de radio (détenue par le Crédit mutuel)-télé, protégé de Pascale Clark (Arrêt sur images avec Daniel Schneidermann sur France 5), puis de Pierre Lescure sur Canal+ (septembre 2007-juin 2008),  Yacine Belatt8ar, né en France de parents franco-marocains, s’est attaqué à Eric Naulleau.

Invité de « Touche pas à mon poste » en direct sur C8, Yacine Belattar a commencé par proférer des menaces contre ceux qui soutiennent Eric Zemmour ou le Rassemblement National en espérant que « ces gens paieront un jour ».

Belattar milite-t-il pour une cohabitation harmonieuse ?

L’islamo-gauchiste a continué sur sa lancée en traitant Eric Naulleau de « facho« . Face à la passivité de Cyril Hanouna, l’éditeur, essayiste, traducteur, critique littéraire, chroniqueur sportif, animateur de radio et de télévision français a dû se faire respecter et lever pour laver son honneur d’homme à homme, tandis que Cyril Hanouna comptait les points d’audience.

Il a fallu l’intervention d’un membre de la sécurité pour rétablir l’ordre et protéger le fauteur de troubles.

Des menaces qui avaient fait bondir également Jordan Bardella, le Président du Rassemblement National présent sur le plateau qui estima que « c’est avec ce type de menaces et de fatwa » que quelqu’un comme Samuel Paty avait été décapité.

« Mâles blancs » intimidés par des harpies de couleur dans les quartiers et sur les plateaux de télé, comme à l’université

En France, à la suite des USA,

Jeudi dernier, deux étudiantes de l’université Arizona State University aux Etats-Unis ont posté sur leurs comptes Instagram une vidéo devenue virale. Filmée par l’une des deux jeunes femmes, la vidéo montre les étudiantes sommant deux de leurs camarades blancs de quitter la bibliothèque universitaire où ils étudiaient, car elles jugeaient leur présence « offensante ». Alors qu’ils étaient en train d’étudier dans une des bibliothèques universitaires du campus, ils ont été vertement sermonnés par deux jeunes militantes noires de Black Lives Matter. Un autocollant figurant sur l’ordinateur de l’un des deux étudiants comportait l’inscription « Police Lives Matter »… Une opinion censurée – en milieu universitaire – par des anti-racistes racisées: retour des milices.

En 1989, pour avoir proposé des gants de boxe aux débatteurs, ses invités Bernard Tapie et Jean-Marie le Pen, le journaliste du service public, Paul Amar, avait été viré.

Bellatar peut en revanche sévir depuis quelque 15 ans. Macron a-t-il donné son maximum le 29 septembre 2021 en faisant prononcer la dissolution de la Ligue de défense noire africaine (LDNA) qui « diffuse une idéologie appelant à la haine, à la discrimination et à la violence en raison de l’origine, de l’orientation sexuelle ». 

Life matters to both police officers and black citizens.

Valls appelle à ne pas voter pour une liste d’union avec LFI Mélenchon dénonce du « post-franquisme »

Mélenchon dénonce du « post-franquisme« , une accusation de fascisme.

Mélenchon a décrit ce mardi comme du « post-franquisme » la position de Manuel Valls qui a appelé, sur Twitter, à ne pas voter dimanche au second tour des régionales en Ile-de-France pour la liste d’union de la gauche de Julien Bayou, incluant La France Insoumise.

« Pas une voix pour cette alliance avec la France Insoumise », a tweeté l’ancien premier ministre socialiste Manuel Valls, qui était parti un temps tenter une carrière politique à Barcelone, d’où il est originaire.

« L’alliance avec le parti de Jean-Luc Mélenchon est une faute politique et morale »

« Il y a des gauches irréconciliables et l’alliance avec le parti de Jean-Luc Mélenchon est une faute politique et morale », affirme encore Manuel Valls, alors que la fusion des trois listes de gauche en lice aux régionales en Ile-de-France a été scellée lundi autour de l’écologiste Julien Bayou, avec la candidate du parti socialiste Audrey Pulvar et celle de La France insoumise Clémentine Autain.

Aussitôt, le leader de LFI Jean-Luc Mélenchon a répliqué: « Valls dit qu’il ne faut pas voter Bayou. Il appelle à voter Bardella (candidat du RN) ou Pécresse? Le post franquisme est un naufrage », a-t-il tweeté, en référence à la période d’avènement de la démocratie qui a suivi la dictature de Franco en Espagne (1939-1975).

https://platform.twitter.com/embed/Tweet.html?creatorScreenName=BFMTV&dnt=false&embedId=twitter-widget-0&features=eyJ0ZndfZXhwZXJpbWVudHNfY29va2llX2V4cGlyYXRpb24iOnsiYnVja2V0IjoxMjA5NjAwLCJ2ZXJzaW9uIjpudWxsfSwidGZ3X2hvcml6b25fdHdlZXRfZW1iZWRfOTU1NSI6eyJidWNrZXQiOiJodGUiLCJ2ZXJzaW9uIjpudWxsfSwidGZ3X3R3ZWV0X2VtYmVkX2NsaWNrYWJpbGl0eV8xMjEwMiI6eyJidWNrZXQiOiJjb250cm9sIiwidmVyc2lvbiI6bnVsbH19&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1407300832534712320&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.bfmtv.com%2Fpolitique%2Felections%2Fregionales%2Fvalls-appelle-a-ne-pas-voter-pour-une-liste-d-union-avec-lfi-melenchon-denonce-du-post-franquisme_AD-202106220349.html&sessionId=49ba8c91ea785339ae23988cf0d857a5e2a3b6e2&siteScreenName=BFMTV&theme=light&widgetsVersion=82e1070%3A1619632193066&width=550px

« Il y a la gauche et il y a Manuel Valls. Les deux sont irréconciliables », a également répondu Clémentine Autain sur le même réseau social.

« Quel temps fait-il en Espagne chez les néo-franquistes? », a écrit pour sa part le député LFI Adrien Quatennens.

ONPC: Michel Onfray prend à contre-pied la classe politique formatée

Le binaire Aymeric Caron, animateur à fiches, désarmé par les nuances du philosophe Michel Onfray

Ruquier, hôte grossier, qui pointe ses invités du doigt...
Ruquier, hôte grossier, qui pointe ses invités du doigt…

Michel Onfray était l’invité d' »On n’est pas couché » du 17 janvier 2015, émission de France 2 animée par le divertisseur Laurent Ruquier, suite à la tribune du philosophe dans Le Point sur les tueries  -« nôtre » 11 septembre (dixit Ruquier, ci-contre, concentré de tous les travers du moment)- suscités par les provocations des dessinateurs de Charlie Hebdo, le 7 Janvier 2015 à Paris.
Le violent chroniqueur Aymeric Caron, qui mange végétarien pour ne pas s’user les dents sur la viande animale, mais plutôt humaine, et ne pas finir en prison ou en hôpital psychiatrique, ne s’est pas seulement montrer incapable de tolérance, mais aussi de la subtilité requise au débat qu’a tenté de mener Onfray avec son interlocuteur enkysté dans ses certitudes archaïques.

L’altermondialiste a laissé des plumes face à l’invité qui lui est pourtant proche, comme de Jean-Luc Mélenchon. Il s’est d’ailleurs platement situé, invitant Onfray à ne pas l’écorcher vif, lui rappelant qu’il « partage en commun » (sic) bien des idées avec « Michel »:

Le philosophe épingle les journalistes en sur-commentaires et jugements permanents, mais incapables de recul, de mise en perspective et de réflexion et qui préfèrent se vautrer dans le pathos;

« Les attentats ont à voir avec l’islam » et le Coran, estime Onfray à contre-courant de la pensée unique et citant à l’appui des sourates dérangeantes (misogynes, phallocrates, antisémites ou homophobes);

Pour apporter la contradiction, Léa Salamé, la chroniqueuse d’ONPC amalgame les Ancien et Nouveau Testaments de la Bible dans son ensemble pour ne se fonder que sur l’Ancien Testament et ignorer – après deux mille ans – l’avancée que constitue le Nouveau… Elle illustre précisément ce que Onfray condamne, les prélèvements sélectifs à des fins polémiques. Mais lui-même juge au besoin la Bible sur ce qu’en pensent ou font certains, comme Hitler… Le débat suggère ainsi que nos contemporains chrétiens seraient aussi des assassins…
qui sont les victimes, les dessinateurs inconséquents et morts ou les tueurs fanatiques (comme l’indique Hollande);

Caron prélève pourtant allègrement en suivant ses fiches, pour considérer en dépit des carnages à Paris ou en Afrique, que le Coran appelle à la miséricorde, mais c’est à la différence des islamistes;

Caron refuse de questionner le positionnement de l’Iran et le binaire accuse Onfray de faire le partage entre les bons et les mauvais musulmans, mais Onfray souligne d’une part que 85% des musulmans de la planète ne sont en capacité que de lire des traductions du Coran et que les musulmans français ne comprennent pas les prêches en arabe de leurs imams et d’autre part Charlie hebdo affiche son athéisme, ce que ses soutiens ne savent que rarement;
Onfray affirme que nous (les libéraux!) avons créé l’islamisme et Salamé insiste sur le problème de l’intégration des scolaires.

Radu Mihaileanu, bi-national français et roumain, reproche à Onfray de suggérer que les croyants musulmans seraient de « potentiels fascistes », mais ne parvient pas à surmonter son obsession du fascisme, de l’internationalisme et de la responsabilité des aînés;

Salamé aborde la question de la « théorie du complot » en laquelle croient les jeunes musulmans, prétexte, ou non, aux violences communautaires; esquisse d’un lien au dogme marxiste de la responsabilité du social, en excuse; allusion aussi aux violents affrontements internes entre Sunnites et Chiites;

évocation des positions d’Alain Finkielkraut sur l’éducation; enseigner le fait religieux, comment et par qui?; responsabiliser les jeunes scolaires;

Caron évoque la peur des communautés juive et musulmane et non pas celle de l’ensemble des Français face au risque de colonisation liée à la démographie galopante des musulmans polygames, pour, au final, lancer à Onfray son ultime accusation, avec l’intention de décrédibiliser son interlocuteur, amalgamant son »adoubement » de Michel Houellebecq, son soutien à la « théorie du grand remplacement » et sa prise de position en faveur de Zemmour… Et de l’antisémitisme;

L’aigre individu laiteux se retranchant derrière son rôle de questionneur, campe sur la position iréniste des « islamophiles béats », selon les termes du philosophe anti-libéral. Pour terminer, Caron confesse alors son incapacité à tout raisonnement qui ne serait pas ou blanc ou noir, simpliste, manichéen.