Nice : un clandestin tunisien, condamné pour vols à l’arraché sur des femmes âgées, expulsé, mais revenu

Jamel Amamari, exemple vivant de la passoire des frontières européennes

Jamel Amamari

Soupçonné d’avoir commis pas moins de sept vols à l’arraché de bijoux, notamment de colliers, au printemps 2022 dans le quartier huppé du Mont-Boron à Nice, ce clandestin vient d’être reconnu coupable des faits qui lui sont reprochés.

C’est au cours du printemps 2022 que le suspect a commis ses vols à l’arraché de bijoux sur des personnes âgées et vulnérables.

« J’étais sous crack [cocaïne ], » se justifie Jamel Amamari, 37 ans, qui n’a pas d’autres explications aux sauvages agressions qu’il a commises dans le secteur du Mont-Boron, à Nice, de fin avril 2022 à début juin 2022.

C’est l’Espagne qui a fait le travail de la police française, alors qu’il était sous le coup d’une fiche de recherche, sans domicile fixe. L’individu vient d’être jugé par le tribunal correctionnel pour sept vols à l’arraché commis sur des femmes âgées et vulnérables.

L’une des victimes est d’ailleurs décédée depuis les faits. Le suspect a déjà cumulé par le passé dix années d’emprisonnement.

Il avait fait l’objet d’une expulsion vers son pays d’origine, la Tunisie, mais est revenu en Europe, « à cause de la drogue », indique-t-il. Et des salles de shoot…

Les enquêteurs de police français imputaient au prévenu deux autres agressions, mais il manquait des éléments à charge suffisants pour le renvoyer pour ces faits.

C’est en s’attaquant à une retraitée que Jamel Amamari a perdu ses lunettes de soleil sur lesquelles son ADN a pu être isolé. Yeux vitreux, crâne rasé, il avoue la plupart des agressions sans en avoir, selon lui, des souvenirs précis.

Une année de prison par collier

Avec candeur, la procureure Sandra Verbruggen se dit sidérée par le décalage entre la gravité des faits et la nonchalance de ce dernier. Cinq années de prison sont requises pour des faits qualifiés de « détestables » par Me André Bezzina, l’un des avocats des parties civiles.

Le tribunal correctionnel, présidé par Christian Legay, a condamné l’arracheur de colliers à sept ans de prison ferme, une année par collier, peine assortie – sans rire – d’une interdiction du territoire. Ahmed n’est pas condamné pour avoir enfreint la décision d’expulsion précédente…

06/06/2023 à 10h33

Le vieillard de 92 ans tabassé par une toxico est mort des coups reçus à Paris

Jean-Baptiste n’a pas survévu et son fils interpelle Darmanin

Le 9 septembre, un homme de 92 ans avait été laissé pour mort par une toxicomane qui l’avait agressé dans son hall d’immeuble, dans le nord de Paris. Ses blessures lui avaient valu 45 jours d’ITT. Jean-Baptiste Watel est décédé moins d’un mois et demi après son agression, dans une lente agonie.

Cette agression avait réveillé Darmanin qui a fait démanteler le square de Forceval, aux portes du nord de la capitale. Un mois et demi après avoir été passé à tabac par cette toxicomane, ce qui lui avait fait perdre sa mobilité et son autonomie, Jean-Baptiste Watel, 92 ans, est décédé mardi 18 octobre, a appris TF1/LCI, ce jeudi. Les raisons précises de son décès n’ont pas été détaillées: suggestion que le nonagénaire est mort de sa belle mort ?

Jean-Baptiste Watel aura fini sa vie « assisté »

Le nonagénaire avait été agressé dans Paris en plein milieu d’après-midi, près de la porte de la Villette, dans le 19e arrondissement de Paris, au retour de sa promenade quotidienne, avec l’appui de sa canne, dans le square de Forceval. Alors qu’il rentrait chez son fils, aux Terrasses du Parc, il avait été suivi par la toxicomane, jusque dans le hall. où il avait été roué de coups et détroussé. 

Jean-Baptiste Watel avait ensuite passé deux jours à l’hôpital, entre la vie et la mort, souffrant d’une double fracture du bassin et d’une hémorragie interne. Une agression particulièrement violente qui aura valu à la victime 45 jours d’Interruption temporaire de travail (ITT). 

Placée en garde à vue une semaine après l’agression, la toxicomane – dont ni l’identité, ni l’origine n’est révélée – a reconnu les faits et a été placée en détention provisoire. Le 9 septembre, dans le Paris XIXe socialiste, le vieil homme avait été suivi jusqu’à chez lui par cette femme accro au crack, avant d’être frappé à plusieurs reprises et dépouillé. Suite à ce drame, qui a réveillé la colère des riverains et au-delà, le square de Forceval, campement illégal où se rassemblait, depuis un an, une centaine de consommateurs de crack, a été démantelé par la police, début octobre. Après quatre semaines.

Jean-Baptiste avait eu besoin de 45 jours d’ITT. Son malheur et son état de santé n’avaient pas été instrumentalisés. Ni dramatisés…

Jérôme Watel interpelle Darmanin

« Mon père est décédé mardi », a annoncé son fils Jérome Watel sur le plateau de « Face à Baba » sur C8, ce jeudi, lors d’une émission spéciale en présence du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin. « Il est décédé des suites de ses blessures et n’a pas absorbé le choc », a annoncé le fils du défunt.

« Mon père en est mort, pourquoi ? » « Je n’ai jamais autant pleuré de ma vie, je n’ai jamais pleuré auparavant et là j’ai pleuré toutes mes larmes pendant un mois et demi », a confié Jérôme Watel, Avant d’interpeller le ministre de l’Intérieur.

« Que s’est-il passé quand vous avez installé l’antre du diable Square Forceval ? Que s’est-il passé pour que vous nous laissiez pendant un an dans la peur, face au crime. Avoir la peur de sortir ses enfants, de les accompagner au métro. Avoir la peur de recevoir un coup de cutter (..). Mon père en est mort, pourquoi ? »

Démantèlement du « campement du crack », vide, du Square Forceval à Paris

La police avait annoncé l’opération et a trouvé les lieux désertés

Les forces de l’ordre ont débuté l’opération tôt ce mercredi matin. Mais le ministre Gérald Darmanin avait laissé filtrer sa décision. L’encadrement associatif ont reçu l’information 5/5 et les forces de l’ordre n’ont trouvé qu’un campement vidé de sa faune. Les associations subventionnées ont saboté l’opération gouvernementale.

Gaïa est notamment mise en cause. Or, cette association a une vocation médico-sociale de réduction des risques liés à l’usage de drogues, mais elle aurait soustrait les toxicomanes à une occasion de mise à l’abri et de soins ! Une action criminelle de militants subventionnés pour mener une action humanitaire, mais qui ne vise qu’à conserver la crédibilité de l’asso auprès des toxicos, à leur détriment.

Chaque fois, le même scénario: plainte des riverains, déplacement des consommateurs de crack, plainte des riverains, nouveau déplacement, avec la collaboration des associations dont le double jeu n’est un secret pour personne… 

L’objectif affiché – désormais empêcher à nouveau sa reconstitution ailleurs dans la capitale – est ambitieux. Depuis plus de deux ans, les consommateurs de crack ont été déplacés à plusieurs reprises au rythme des colères successives de riverains. Longtemps, ils ont erré Place Stalingrad. Puis, ils ont été déplacés par la préfecture de police de Paris dans les jardins d’Eole de Paris 18ᵉ, non loin, avant d’être dirigés près du périphérique, square Forceval (XIXe arrondissement). Un endroit plus à l’écart, entre la Seine-Saint-Denis et Paris. Un mur, vite baptisé le « mur de la honte », y a même été érigé.

Le lieu avait été tagué sur un mur: « Crack Land ». Un an après son installation dans le square Forceval, dans le 19e arrondissement de Paris, le campement de consommateurs de stupéfiants a donc commencé après douze mois de calvaire des riverains.

Il était 7 heures lorsque les policiers ont commencé leur intervention dans ce secteur de la Porte de la Villette, situé à la lisière de différentes communes de Seine-Saint-Denis comme Pantin et Aubervilliers. 200 à 300 usagers de drogue y vivaient dans des conditions d’extrême précarité et d’insalubrité. Et d’insécurité des riverains.

Au total, près de 1.000 policiers seront mobilisés sur 24h, à la fois pour mener à bien l’opération, mais également les jours suivants pour sécuriser les différents secteurs stratégiques et ainsi éviter la reconstitution d’un autre point de fixation, a-t-on appris du ministère de l’Intérieur. Gérald Darmanin a donné pour instruction qu’aucun campement de ce type ne doit se reconstituer ailleurs.

Les dealers sont essentiellement des Sénégalais et leurs relais, des mineurs isolés, les uns et les autres des clandestins. Les personnes recherchées seront interpellées, tout comme les étrangers en situation irrégulière, qui seront placés en centre de rétention administrative en vue de leur expulsion, précise-t-on. Les autres occupants seront orientés vers des dispositifs d’hébergement avec accompagnement médico-social ou dans des unités de soins.

« Trafic de crack à ciel ouvert »

Décrit comme un « lieu temporaire » par Didier Lallement, l’ancien préfet de police de Paris, destiné à accueillir les toxicomanes après l’évacuation des Jardins d’Eole (18e arrondissement), le campement avait suscité l’exaspération des élus et des habitants, dénonçant pêle-mêle des agressions, des vols et un sentiment l’insécurité.

Si bien que des manifestations hostiles à cette « scène de consommation et de trafic de crack à ciel ouvert », selon les mots de Laurent Nunez, le successeur de Didier Lallement, ont rythmé les dernières semaines et vraisemblablement poussé les autorités à agir.

« Je comprends l’exaspération des riverains », avait déclaré le nouveau préfet de police de Pari, le 25 septembre dernier, à qui Gérald Darmanin a confié la mission d’éradiquer le trafic de crack d’ici un an. Pour ce faire, un nouveau plan d’action doit être dévoilé dans les prochaines semaines.

Alertés par les associations – chargées par la préfecture de préparer les drogués pour éviter les heurts – les toxicomanes se sont répandus dans les rues voisines.

Hidalgo implante un centre pour toxicomanes dans le 16e arrondissement de Paris

Un choix bienveillant inspiré de la notion socialiste de… solidarité imposée

Anne Souyris,
élue écologiste EELV

L’adjointe à la santé à la mairie de Paris, Anne Souyris, a révélé mercredi qu’un centre de soins pour toxicomanes, dont des consommateurs de crack – terme trompeur qui dissimule la cocaïne – , doté de 35 lits, va bientôt ouvrir dans le 16e arrondissement de la capitale. « Ce ne sera pas un espace de consommation« , a tempéré l’adjointe de la maire PS Anne Hidalgo et troisième sur la liste EELV d’Esther Benbassa.

Alors que la Ville, confrontée au problème des consommateurs de crack dans les arrondissements du nord-est, cherche depuis des mois des lieux d’accueil, l’ouverture dans les prochains mois d’une « structure de stabilisation » dans l’ancien hôpital Chardon-Lagache est une « très bonne nouvelle », a estimé l’initiatrice de la décusion, Anne Souyris, mercredi lors d’un point presse. Cet hôpital fait partie de l’ensemble hospitalier Sainte-Périne regroupant trois institutions : l’hôpital Sainte-Périne, la Fondation Rossini et l’hôpital Chardon-Lagache (Les Hespérides) qui sont des établissements de cure, de réadaptation et de convalescence. La maison de retraite Chardon-Lagache a été fondée en 1857 pour abriter les vieillards des deux sexes, de condition modeste et âgés de 60 ans.

Un appel à projet de l’ARS

Selon l’élue écologiste, l’Assistance-Publique – Hôpitaux de Paris (APHP) a répondu à un appel à projet de l’Agence régionale de santé (ARS) pour 25 lits d’accueil médicalisés (LAM) et 10 lits halte soins santé (LHSS), deux types de structures dont l’implantation dans la capitale sera une première. Le fait que cette structure soit située dans un arrondissement très ancré à droite, loin des quartiers les plus touchés par les consommations de drogues dans la rue, participe à la « solidarité territoriale », estime Anne Souyris, qui fut chargée de cours en communication à l’université Paris 3 – Sorbonne Nouvelle de 2011 à 2015 et professeure des écoles depuis 2013.

« Ce ne sera pas un espace de consommation », a affirmé l’adjointe de la maire PS Anne Hidalgo. Selon cette ex-journaliste militante engagée dans la lutte contre le sida, pour l’accès aux droits des sans-papiers, des prostituées, des personnes exclues de la société et féministe, les consommateurs pris en charge « auront déjà effectué un parcours de soins » et seront déjà « stabilisés ». Les consommateurs de crack « ne viendront pas directement de Forceval à Chardon-Lagache », situé « loin de la scène de consommation », a-t-elle insisté en référence au petit square Forceval, au nord-est parisien (XIXe), que 150 à 200 consommateurs continuent de fréquenter depuis septembre, lorsqu’ils y avaient été déplacés de la Porte de La Chapelle par la préfecture de police pour soulager le quartier voisin des jardins d’Eole.

Un terrain d’entente difficile entre Etat et Ville

Ni l’ARS, ni l’AP-HP n’avaient répondu aux sollicitations de la presse mercredi soir. Alors qu’ils travaillent ensemble sur le plan cocaïne, qui a mobilisé 25 millions d’euros depuis 2019, et que Macron a prolongé l’expérimentation des salles de consommation à moindre risques (SCMR), devenues haltes soins addictions (HSA), Etat et Ville peinent à trouver un terrain d’entente sur ce dossier sensible.

Fin janvier, devant la « virulente opposition de la maire de Paris », la préfecture de police avait renoncé à déplacer les habitués de Forceval dans la friche de Bercy-Charenton (12e), dans le but affiché de soulager le XIXe arrondissement.  En septembre, c’est la mairie qui avait renoncé à ouvrir une première structure d’accueil des consommateurs de crack rue Pelleport (20e) devant l’opposition immédiate des riverains et le veto du gouvernement.

Cocaïne: un juge autorise l’installation des toxicomanes Square de La Villette.

Le Parlement, simple observateur de l’arbitrage judiciaire en faveur des toxicomanes contre les riverains

Des toxicomanes des jardins d’Eole, consommateurs dangereux de cocaïne à Paris 19e,
déplacés par Darmanin le 24 septembre 2921 dans un square, Porte de la Villette (ci-dessus), autorisés à revenir dans le 18e.

Le tribunal administratif de Paris a prononcé le rejet, jeudi 28 octobre, du recours d’urgence déposé par la maire UDI d’Aubervilliers Karine Franclet et le maire socialiste de Pantin Bertrand Kern, qui protestent contre l’installation des toxicomanes dans le square parisien de la Villette (19ème), à quelques mètres de leurs villes respectives.

Cette installation devait être « temporaire », mais dure depuis le 24 septembre, rapporte ainsi CNews. Ce jeudi 28 octobre, le tribunal administratif pérénise une situation déjà invivable pour les habitants, singulièrement femmes et enfants.

La « condition d’urgence » non retenue

La juge des référés a en effet estimé que «  la condition d’urgence » ne peut être retenue dans ce dossier, a décidé, solitairement mais souverainement, la juge des référés. Et ce, malgré « les troubles à l’ordre public subis par les habitants » de ces deux villes de Seine-Saint-Denis, situées de l’autre côté du périphérique et du désormais fameux « Mur de la honte », qui n’a apparemment pas suffi pour que les toxicomanes ne se rendent pas dans les centre-villes voisins. Il faut toutefois rappeler à la presse centrée sur le 9.3, pour le plaindre, que les jardins d’Eole confisqués par les toxicomanes, comme le square parisien de la Villette qui l’est à son tour, sont situés dans Paris, les 18e (PS) et 19e (PS), où le bien-être et la sécurité des habitants sont mis en péril par une juge.

Furieux de ne pas être entendus, ni de l’exécutif, ni des organisations et de la presse institutionnelles, les deux maires des communes en souffrance avaient décidé de lancer une procédure d’urgence.

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Ce mur barre la rue Forceval qui relie Paris et Aubervilliers.
Erigé en urgence en septembre,
il vise à empêcher les migrants toxicomanes de dynamiser l’économie souterraine de Seine-Saint-Denis.

La juge administrative prend le parti des toxicos en situation irrégulière, pour l’immense majorité d’entre eux, contre les travailleurs de l’Est parisien. Les élus contestent l’arrêté du 24 septembre du préfet de police de Paris qui ordonnait le déplacement de toxicomanes du quartier des jardins d’Eole, dans le 18ème, vers le square de la Villette, dans le 19ème, une zone censée être éloignée de toute habitation.

Un « véritable enfer » pour les habitants

Mais, bien que dirigés par les associations en bordure du périphérique, côté Paris, les usagers de crack – cocaïne, pour être plus transparent – vagabondent aux Quatre-Chemins, un quartier dit défavorisé en dépit des aides et allocations déversées depuis chaque niveau du millefeuille administratif, situé à cheval entre Aubervilliers (UDI) et Pantin (PS), 93. Une situation qualifiée de « véritable enfer » pour les habitants de ce territoire, par ailleurs bénéficiaires d’infrastructures retirées à Paris, l’Institut national du patrimoine ou Chanel à Aubervilliers (PCF de 1953 à 2014) ou la Banque de France à Pantin (PCF jusque 2001), et aussi la Cité des sciences et de l’industrie (CSI) implantée dans le 18e, aux abords du 93.

Depuis le 24 septembre, pas une semaine ne passe sans que les riverains et élus manifestent leur mécontentement et à ce stade, aucune solution n’a encore été trouvée. Certainement pas par la juge qui contribue à enkyster la situation. En attendant, pas question pour les élus de Seine-Saint-Denis – qui réclament que la décision du préfet soit annulée – d’assumer seuls les conséquences de cette installation.

La préfecture a libéré le jardin d’Eole de centaines de toxicomanes

200 policiers soudain déployés au petit matin

Les toxicomanes de la rue Riquet ont été déplacés
en bus vers un square de la Porte de la Villette

La tension politique entre Anne Hidalgo et la préfecture de police sur la question de la prise en charge des toxicomanes des Jardins d’Eole a donné lieu, vendredi 24 septembre 2021, à l’évacuation des consommateurs de crack installés dans ce quartier.

A la demande du ministère de l’Intérieur, le jardin d’Eole, où étaient concentrés des centaines de toxicomanes, a été évacué ce vendredi par la préfecture de police.

Dans le 18e arrondissement au nord de la capitale, le jardin d’Eole et Stalingrad sont en cours d’évacuation par la préfecture de police ce vendredi 24 septembre.

Depuis des mois, ces quartiers sont le point de rendez-vous de centaines de toxicomanes qui se trouvaient auparavant sur la « colline du Crack » à la porte de la Chapelle et qui ne reçoivent aucune solution de soins. 

« Sur mon instruction, la préfecture de police évacue ce matin les toxicomanes des secteurs des Jardins d’Eole et de Stalingrad. Le combat contre la drogue est un combat quotidien et j’ai entendu la colère des riverains », a indiqué le ministre de l’Intérieur, Gerald Darmanin, sur son compte Twitter.

Cette évacuation a pour but de rediriger ces personnes « aux abords de la place Auguste Baron, porte de la Villette, dans un secteur sans riverains aux abords immédiats », a précisé la préfecture dans un communiqué.

Paris: manifestation contre le crack (ses salles de shoot, leur diffusion) et sa légalisation de fait

Le 10e arrondissement retentira de la colère des habitants contre la maire Hidalgo

Deux manifestations sont annoncées à Paris, samedi 18 septembre 2021, l’une contre le passe sanitaire, la 10e consécutive et, une autre, dans le 10ème arrondissement, contre l’ouverture de salles de crack (cocaïne).

Les habitants du quartier, où devrait s’implanter l’une des quatre salles de shoot ou consommation de crack, s’opposent à la décision du premier ministre Jean Castex de valider cette localisation, quartier du Canal Saint-Martin, déjà connu pour son esprit contestataire, depuis l’hébergement concentrationnaire de sans-abri par l’association Les Enfants de Don Quichotte (présidée par Jean-Baptiste Legrand et créée, comme par hasard, en novembre… 2006) jusqu’à l’implantation récurrente de campements de clandestins africains par Utopia56. Ces activistes qui conduisirent, en juin 2021, des migrants en situation irrégulière (250 tentes) sur le parvis de l’hôtel de ville occupé par la socialiste Anne Hidalgo, ne lui ont pas imposé l’accueil de toxicomanes. En juin 2018, celui de SDF, des femmes, logées dans les locaux de la mairie centrale, avait éte médiatisé, à l’attention de l’électorat féministe. En juin 2021, Utopia56 récidiva, sur le parvis, avec 250 nouvelles tentes, au profit de clandestins originaires pour la plupart d’Afrique subsaharienne, instrumentalisés pour sa campagne de la primaire PS à venir.

Les riverains doivent prendre leur destin en mains

Les citoyens s’organisent pour compenser l’incurie générale.

La Mairie de gauche et la préfecture macronienne se repassent la patate chaude et la population est ainsi poussée à sauver elle-même la quiétude et la sécurité du quartier.

L’appel à manifester, notamment lancé, non pas par la maire PS, successeure de Rémi Féraud et proche de Vincent Peillon, mais par l’élu d’opposition LR Bertil Fort, doit réunir des collectifs de riverains, tels ‘Droit au Sommeil Paris’ ou ‘Vivre! Bd de Strasbourg – Fg St-Denis St-Martin’, nouvelle voisine d’ ‘Action Barbès’.

Pour agir et se protéger dans son lieu de vie, on peut rejoindre les associations et collectifs déjà existants :

Saint-Denis (PS, 93): une assesseuse voilée fait polémique

Proche de l’islamo-gauchiste Benoît Hamon, le maire PS a provoqué Jordan Bardella, RN

Mathieu Hanotin, le maire de Saint-Denis, a été directeur de campagne de Benoît Hamon, candidat à la primaire citoyenne organisée pour l’élection présidentielle de 2017. Sa première adjointe est Katy Bontinck, Génération. S, en écriture inclusive… Et le deuxiême adjoint, Shems El Khalfouai, Génération. S aussi, et un surhomme chargé des « sports, du développement économique, de l’emploi et de l’insertion, de l’économie sociale et solidaire et des Jeux olympiques et paralympiques de 2024 ».

Le candidat (RN) aux régionales en Ile-de-France a posté sur les réseaux sociaux une photo de la scène: la femme voilée avait été précisement affectée au bureau de vote où la tête de liste RN était attendue. Un témoin a immortalisé la bravade socialiste. Une photo montre le candidat du Rassemblement républicain train de voter à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) devant une assesseuse voilée. Un cliché qui a suscité une vague de commentaires dénonçant le séparatisme politique promu par les amis de Benoît Hamon. Le maire de Saint-Denis, Mathieu Hanotin, n’a pas hésité à dénoncer une instrumentalisation.

Jordan Bardella, le candidat RN, a évité le scandale

Dans la situation, peut-on faire commentaire plus laconique et neutre ?

En fin de matinée, le conseiller régional sortant a publié ce court message sur Twitter : « A voté, à Saint-Denis » illustré d’un cliché où on le voit signer une liste d’émargement après avoir déposé son bulletin dans l’urne. L’assesseuse voilée ne pouvait ignorer que le face-à-face aurait lieu et se tenait prête à se victimiser.

La scène que le camp Hamon avait organisée n’a pas manqué de provoquer sur le réseau social les réactions escomptées. Les hashtags #Bardella et #Saint-Denis ont rapidement buzzé sur Twitter durant la journée.

Commentaire méprisant du voile islamique par un twitto qui se prend pour un supporteur.

Le droit est inadapté :

https://twitter.com/MeUnknownn_/status/1406568248397729794?s=19

https://twitter.com/JBrancovici/status/1406558241111355392?s=19

« Celles et ceux qui invoquent un quelconque argument légal ont tort »

Le maire de Saint-Denis, Mathieu Hanotin (PS), a surjoué la colère à la publication de cette photo, qui montre le visage voilé et masqué de l’assesseuse. Bien qu’il ne soit pas novice et tout-à-fait conscient que les têtes de liste sont abondamment photographiées par les media au moment de leur vote, il a réagi dans un long message publié sur les réseaux. Si l’élu souligne que les assesseurs doivent faire part de « neutralité politique », « ce n’est pas le cas de la neutralité religieuse. Celles et ceux qui invoquent un quelconque argument légal ont donc tort », assène-t-il, démontrant par la même que l’acte est prémédité. L’élu en profite pour stigmatiser les internautes qui sont tombés dans le piège.

« J’ai pu lire sur les réseaux sociaux que la présence de cette dame dans un bureau de vote était illégitime et scandaleuse, poursuit-il. Que notre civilité était ridiculisée. Je me demande pourtant qui fait acte de citoyenneté dans ce débat ? La femme qui s’engage pour que la démocratie puisse s’exprimer dans les urnes ou bien celles et ceux qui vont lui donner le sentiment qu’elle n’a pas sa place dans notre République ? Ce qui n’est pas le sujet: les plaignants contestent non pas sa présence, mais sa tenue vestimentaire qui est un signe d’appartenance communautaire.., un signe distinctif. » Un militaire peut-il venir voter en uniforme et a fortiori occuper une fonction d’assesseur?

« Celles et ceux qui en ce jour d’élection vont, par leurs actes et leurs propos, fragiliser nos institutions en instrumentalisant une photographie sciemment choisie par un candidat dont l’intolérance n’est plus à démontrer ? » Qui est l’auteur de la photo? Qui l’a diffusée?

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Le cliché a également choqué Sophie Rigard, élue d’opposition (Place Publique) à Saint-Denis s’est déclarée chiquée. Dans un message posté sur Twitter, elle a condamné ce qu’elle appelle une instrumentalisation de cette femme « salie par l’extrême droite, selon elle, alors que partout c’est la galère pour ouvrir des bureaux de vote faute d’assesseurs ou de présidents ». Or, l’indignée est collaboratrice parlementaire de Bernard Jomier, sénateur radical de gauche (EELV) de Paris 19e, où il créa le « panel citoyen », pensant ainsi lutter contre la drogue dans le quartier Stalingrad où on en est à l’affaire du Jardin d’Eole confisqué aux enfants au profit des trafiquants et des toxicos. La présence de « consommateurs de drogue » aux abords de la Place de Stalingrad squattée par des clandestins crée de nombreux troubles à l’ordre public, récemment aggravés par une recrudescence du crack dans le nord-est parisien. Face à ce phénomène fléau, un Plan de mobilisation coordonnée sur la problématique du crack à Paris couvrant la période 2019-2021 a été adopté en mai 2019. Avec la réussite que l’on sait.

Aux commentaires, Jordan Bardella oppose l’indifférence.

LIEN PaSIDupes

Des dealers de crack chassés et revenus une heure plus tard, quartier Stalingrad à Paris

Coup d’épée médiatique dans les eaux troublées du quartier

Les consommateurs de crack du quartier Stalingrad, à Paris, ont été la cible de tirs de mortiers d’artifice le week-end dernier. Les riverains se disent « désespérés » face à une situation qui dure. Une enquête a été ouverte par le Parquet de Paris.

Le quartier Stalingrad dans le XIXe arrondissement de Paris, a été le théâtre d’échanges de tirs de mortiers d’artifice ce week-end, comme le rapportent plusieurs media, dont BFMTV. Les tirs auraient visé des consommateurs de crack, regroupés au début de l’avenue de Flandre. Selon BFM Paris, citant une source policière, des habitants du quartier, excédés par la présence de toxicomanes, en sont à l’origine.

Du « bruit » et des « bagarres »

Sur la chaîne d’informations en continu, Frédéric Francelle, membre du Collectif Paris 19, ne se dit pas surpris par cette méthode pour mettre en fuite dealers et toxicomanes. Les consommateurs de drogue « font du bruit »« font des barbecues toute la nuit », « se bagarrent », énumère-t-il. « On est tentés de se dire : « Si la police ne vient pas, on va peut-être leur balancer des œufs. Ça va peut-être les faire partir », poursuit-il. Que ça parte finalement à coups de mortiers, c’est pas forcément étonnant. On en a vraiment marre. »

Une vidéo diffusée sur Twitter par le collectif « Action Stalingrad » montre les images de l’une de ces deux nuits agitées et interpelle, le chef de l’Etat, le ministre de l’Intérieur et la maire de Paris :

https://platform.twitter.com/embed/Tweet.html?embedId=twitter-widget-1388642084631027714&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1388642084631027714&lang=fr

« Je ne cautionne pas mais je peux comprendre des actes désespérés comme cela, témoigne Caroline, sur BFMTVLa nuit, ça devient un enfer. Les gens ne dorment plus. Il faut que ça s’arrête. Il faut que les pouvoirs publics prennent ce problème en charge. »

« Cela ne peut plus durer »

La situation s’est dégradée depuis plusieurs mois dans le quartier, selon des riverains cités sur LCI . Des dizaines, voire des centaines de personnes se rassemblent pour acheter ou consommer de la drogue.

Le maire socialiste du XIXe arrondissement, François Dagnaud, dénonce la situation et demande l’action du ministre de l’Intérieur. « Cela a pris une envergure sans précédent. Aujourd’hui, c’est un sanctuaire national et européen du crack. Cela ne peut plus durer, le statu quo n’est pas une option », prévient-il, sur la chaîne du groupe TF1. Pour lui, « beaucoup de riverains, même ceux qui sont très inquiets de la situation, n’approuvent pas le recours à des tirs de mortiers pour faire fuir les toxicomanes. Ce n’est pas comme ça qu’on va régler le problème. Mais en même temps, il faut aussi l’entendre comme la manifestation d’une exaspération, d’un « pétage de plombs » d’une partie des habitants », a souligné l’élu sur BFM Paris.

Dans la nuit de vendredi à samedi, « 14 tirs de mortiers d’artifice ont été constatés », puis la nuit suivante ce sont « 23 tirs de mortiers d’artifice » qui ont été tirés, a indiqué la préfecture de police de Paris. Une enquête est ouverte par le Parquet de Paris pour déterminer les circonstances des agissements ainsi qu’identifier les auteurs.

Tous les soirs, se pressent par dizaines dealers et consommateurs, au pied du siège de la Caisse régionale de l’assurance maladie d’Ile-de-France. Cela fait maintenant plusieurs mois que les riverains tentent de prévenir les pouvoirs publics et les autorités compétentes à propos de l’extrême tension qui règne dans le nord-est de la capitale. Par des vidéos, des photos et des témoignages publiés sur les réseaux, les Parisiens appellent à l’aide. 

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Macron envoie la police pour quelques heures

110 fonctionnaires de police ont été déployés pour une vaste opération anti-crack, ce mardi soir

Quelques jours après des tirs de mortier contre des toxicomanes par des riverains sur l’avenue de Flandre située dans le 19e arrondissement PS de Paris, il semble que les autorités compétentes haussent enfin le ton, une riposte graduée, face aux vendeurs et consommateurs de crack. Depuis de nombreuses années, la place de la bataille de Stalingrad est devenu un épicentre du trafic européen, échappant totalement au contrôle des forces de l’ordre, avec de graves conséquences sur les riverains, tous excédés et impuissants.

La presse s’est fait le relais de l’exaspération insoutenable des habitants du 19e. Le maire PS du 19e, François Dagnaud, appelait ce mardi 4 mai au « démantèlement organisé, accompagné, de cette scène ». Pour trouver le responsable de cette gangrène typiquement parisienne, il faut regarder du côté du ministre de l’Intérieur et du gouvernement, pointe le socialiste. « Jusqu’où laisserez-vous faire Gérald Darmanin, Olivier Véran ? », tonnait-il sur Twitter. 

Les policiers et la presse à l’assaut de Stalingrad.

Ce mardi 4 mai 2021, une importante opération de police a eu lieu, sous les caméras. Des bus de policiers et CRS se sont positionnés aux abords de la place de la bataille de Stalingrad, laissant tout le temps aux perturbateurs de prendre la poudre d’escampette.

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Dans une autre vidéo publiée par un riverain excédé, sous le pseudonyme « Stalincrack » sur Twitter, on peut voir des rangées de policiers et CRS investir les abords du canal de l’Ourcq, occupés par des migrants illégaux. « Il aura fallu des tirs de mortiers pour qu’enfin les choses bougent et que tout le monde s’intéresse« , déplore le citoyen engagé.

110 fonctionnaires de police ont été déployés pour une vaste opération anti-crack, place Stalingrad. LP/F.H.

« L’opération était prévue bien avant que la tension ne monte encore d’un cran », assure Florence Adam, commissaire divisionnaire chargée du XIXe arrondissement de Paris. La démonstration de force de mardi soir visait la centaine de toxicomanes qui squatte les lieux et pourrit la vie des riverains.

« Nous organisons ce type d’opération quand nous constatons une dégradation des rapports entre toxicomanes, entre toxicomanes et riverains, ou entre toxicomanes et forces de l’ordre, reprend Florence Adam. Avec une telle intervention, nous leur rappelons que ce territoire n’est pas le leur, qu’ils n’y font pas ce qu’ils veulent, qu’ils doivent suivre des règles. »

Au total,… huit interpellations ont été effectuées.

L’objectif est alors de boucler le secteur, d’envoyer une unité parc Eole, où se regroupent les toxicomanes en journée, puis de les diriger vers la place Stalingrad pour les contrôler. Ce mardi, une centaine a dû montrer patte blanche. « C’est ainsi que nous relevons les infractions s’il y en a, les situations irrégulières. » Huit interpellations ont été effectuées.

Les riverains souhaitent plus de police

Au total, huit interpellations ont été effectuées.

Un travail « totalement distinct de celui effectué quotidiennement, qui consiste à garder les espaces publics tranquilles [et accessibles aux familles], et à rechercher des revendeurs pour, si possible, remonter jusqu’à ceux qui fabriquent les galettes de crack. » Cinq opérations de lutte contre le crack sont en effet menées chaque jour à Stalingrad, selon la commissaire. Une occupation représentant 40% de l’activité policière sur place.

Nombre de riverains sont venus interpeller la policière, pour échanger avec elle sur leur quotidien. « Il faut que cette présence soit pérenne, pas un simple coup d’épée dans l’eau, insiste Jacques. Voilà un an qu’on ne dort plus. Il faut une prise de conscience politique, pour obtenir des moyens conséquents. »

« Nous sommes présents 7 jours sur 7, jour et nuit, répond la commissaire. Depuis début janvier, pas moins de 5.000 policiers se sont relayés pour apaiser la situation. L’an dernier, 530 interpellations ont été effectuées. Déjà plus de 100 en ce début d’année. Mais tout n’échoit pas à la police. C’est une problématique transversale. » Des propos qui font écho à ceux du maire de l’arrondissement, François Dagnaud (PS), qui réclame un délogement durable des consommateurs couplé à un accompagnement médico-social.

L’opération aura pris un peu plus d’une heure, après quoi, la vie a repris son cours. Plusieurs patrouilles mobiles restant sur place. Et une, statique, avenue de Flandre, pour éviter que les tirs de mortier ne reprennent. Mais les deals ont repris au vu et au su de tous, puisque tarde la mise en oeuvre des reconduites à la frontière, les régularisations se poursuivant, quant à elles.