Une députée LR menacée avec une arme alors qu’elle collait des affiches

La proc est cool

Députée LR Valérie Bazin-Malgras

Alors qu’elle collait des affiches avec sa fille et l’un de ses assistants parlementaires, Valérie Bazin-Malgras a été menacée par un homme de 45 ans, « un peu alcoolisé« . L’alcool est-il une circonstance atténuante?

L’individu sera jugé le 7 juin pour violences avec usage ou menace d’une arme, un pistolet à air comprimé, contre la députée LR de l’Aube, Valérie Bazin-Malgras, mercredi, alors qu’elle collait des affiches présentant ses voeux d’élue. a-t-on appris ce samedi de la procureure de la République à Troyes, Julie Bernier.

« Extrêmement choquée devant tant de violences »

Julie Bernier, alors substitut au procureur du Mans

L’agresseur se donne le beau rôle et ça marche ! La circonstance aggravante de violence sur personne dépositaire de l’autorité publique n’a pas été retenue, car la qualité de députée de la 2e circonscription de l’Aube de Valérie Bazin-Malgras ne lui était « pas connue », a estimé la procureure, l’homme racontant qu’il croyait avoir affaire à « des jeunes qui dégradaient une fois de plus le panneau d’affichage », selon la procureure, une quadragénaire. La députée – qui est (en effet !) âgée de… 53 ans – n’était pas identifiable sur les affiches, à en croire l’ingénue à la tête du Parquet depuis janvier…

L’agresseur leur a d’abord lancé qu’il allait « chercher sa 22 » (une carabine), puis a tiré des balles en caoutchouc avec un pistolet à air comprimé, sans faire de blessé.

Son casier judiciaire comporte quatre mentions pour des atteintes aux biens, révèle, non sans candeur, la procureure. « J’espère qu’il sera sévèrement puni par la justice, » a toutefois déclaré Valérie Bazin-Malgras, disant avoir été « extrêmement choquée devant tant de violence ».

L’agresseur a été placé sous contrôle judiciaire.

Aube: passage à tabac d’un couple sur une plage par une bande d »emmerdeurs »

La jeune femme avait osé faire une remarque à ces fauteurs de troubles

Vexés d’être rappelés par une femme au respect de la tranquilité publique et des règles élémentaires de la vie en société, une trentaine de jeunes primates s’en est prise sauvagement à elle et à son ami.

« J’ai cru qu’ils allaient mourir sur place. » Encore sous le choc, une commerçante des abords de la plage de Mesnil-Saint-Père réfléchit à tout arrêter net. Depuis le début de la saison, insultes, manque de respect, impolitesse crasse de certains clients pourrissent la vie des commerçants du secteur. Mercredi après-midi, la bagarre qui a éclaté sur la plage en a été le point d’orgue.

L’agression a eu lieu le mercredi 22 juillet sur la plage de Mesnil-Saint-Père, une commune de moins de 500 habitants située à environ 25 kilomètres à l’est de Troyes, au bord du lac …d’Orient, qui fait partie des plus grands lacs artificiels de France métropolitaine.

Selon L’Est Éclair, une bande de jeunes venus de l’agglomération troyenne ont débarqué sur la plage de Mesnil-Saint-Père où ils ont passé l’après-midi à « squatter » le matériel appartenant à plusieurs commerçants.

« Ils étaient très désagréables et lorsque je leur ai demandé de partir, pour ranger mon matériel, ils m’ont regardée de haut », comme en terrain conquis, confie une professionnelle du site dans les colonnes du quotidien régional.

Soucieuse de ne pas s’éterniser et intimudée par l’attitude de la bande de jeunes désoeuvrés venus des « quartiers insensibles », elle décide de ranger son matériel elle-même.

Indignée par ce spectacle d’incorrections de ces crétins qui avaient pris possession des lieux, une jeune fille installée à proximité n’a pas hésité à leur faire la leçon.

« Elle leur a gentiment dit qu’ils auraient pu m’aider à ranger le matériel dont ils s’étaient servis », raconte la commerçante. Un rappel plein de bon sens que n’ont pourtant pas apprécié ceux qu’on appelle làchement des « jeunes ». « Ils se sont mis à lui jeter des cailloux, à elle et ses proches », poursuit la marchande. Une fois les gendarmes appelés à l’aide, la commerçante se réfugue dans sa boutique.

Sur la plage, la situation s’envenime encore davantage.

Un ami de la jeune fille qui tente de la protéger s’attire alors la colère des agresseurs en bande« J’ai cru qu’ils allaient mourir sur place. » Encore sous le choc, une commerçante des abords de la plage de Mesnil-Saint-Pèrem réfléchit à tout arrêter net. Depuis le début de la saison, insultes, manque de respect, impolitesse crasse de certains clients pourrissent la vie des commerçants du secteur. Mercredi après-midi, la bagarre qui a éclaté sur la plage en a été le point d’orgue.: la bande de lâches le tabasse furieusement à trente contre deux. « J’ai cru qu’ils allaient mourir sur place », confie la commerçante sous le choc.

« Ils sont tous arrivés de partout, en un instant », abonde une quinquagénaire qui a assisté à l’attaque, atterrée. « Ils l’ont attrapé, l’ont fait tomber et l’ont roué de coups. J’ai alors décidé d’aller m’interposer. J’ai réussi à en pousser un qui armait son pied pour viser le jeune homme à la te« J’ai cru qu’ils allaient mourir sur place. » Encore sous le choc, une commerçante des abords de la plage de Mesnil-Saint-Père réfléchit à tout arrêter net. Depuis le début de la saison, insultes, manque de respect, impolitesse crasse de certains clients pourrissent la vie des commerçants du secteur. Mercredi après-midi, la bagarre qui a éclaté sur la plage en a été le point d’orgue.», ajoute-t-elle.

Un climat de terreur

La jeune fille qui avait dénoncé leur comportement a également été frappée par les gouapes. Elle a été transportée à l’hôpital et a pu rentrer à son domicile, son état ne nécessitant pas sa surveillance médicale.

Une plainte a été déposée et la communauté de brigades de Lusigny-sur-Barse a été saisie.

D’après certains commerçants de Mesnil-Saint-Père, les violences commises ce mercredi sont un pic prévisible depuis plusieurs semaines de tensions.

« Cette année, c’est pire », explique l’un d’entre eux. « On nous manque de respect tout le temps, on nous jette les billets », ajoute-t-il. « Et le pire ce sont les jeunes en bandes, qui se croient tout permis », poursuit le professionnel.

La quiétude qui régnait autrefois sur la plage du Mesnil-Saint-Père ne semble plus être qu’un lointain souvenir, désormais remplacé par « la musique à fond, les ballons de foot, les déchets à même le sol« J’ai cru qu’ils allaient mourir sur place. » Encore sous le choc, une commerçante des abords de la plage de Mesnil-Saint-Père réfléchit à tout arrêter net. Depuis le début de la saison, insultes, manque de respect, impolitesse crasse de certains clients pourrissent la vie des commerçants du secteur. Mercredi après-midi, la bagarre qui a éclaté sur la plage en a été le point d’orgue.».

Une situation préoccupante ou la violence le dispute aux « incivilités »: la plage n’est-elle donc pas surveillée? La distanciation physique contre la covid-19 est visiblement bafouée comme le reste…

Inquiets de voir les touristes déserter la plage du fait des exactions à répétition et impunies de jeunes makfaisants qui déferlent depuis l’agglomération troyenne, les commerçants pensent à adresser une pétition aux pouvoirs publics, tandis que le maire envisagerait enfin d’alerter la préfecture.

« Il nous faudrait une patrouille permanente de gendarmes réservistes », insiste un habitué des lieux.