Attaques de rayons « non essentiels » fermés en Seine-Saint-Denis

Les fermetures de rayons “non-essentiels” entraînent des agressions en Seine-Saint-Denis

Les employés du magasin Gifi d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) ont été victimes de plusieurs agressions de clients sur cette commune communiste de 1945 à 3020, mécontents de ne pouvoir accéder aux articles « non essentiels » du magasin sur cette commune communiste de 1945 à 3020.

Cinq employés du magasin Gifi d’Aubervilliers exerçaient leur droit de retrait depuis lundi après plusieurs agressions pendant le week-end de clients mécontents de ne pouvoir accéder à tous les articles du magasin, en raison des directives du gouvernement, a-t-on appris mardi de sources concordantes. Depuis l’annonce du reconfinement pour lutter contre l’épidémie de Covid-19, l’enseigne de distribution de produits déstockés à petits prix a maintenu l’activité de ses 492 magasins en France.

Conformément aux directives gouvernementales, l’entreprise a transmis aux responsables des magasins les listes de produits « de première nécessité » autorisés à la vente. Elle leur a également fourni la liste des produits pouvant être commandés puis retirés en magasin (« click and collect ») mais non disponibles à la vente directe.

« Samedi, on a appliqué les directives de l’entreprise en refusant de vendre certains produits. Ça a donné lieu à des situations tendues en caisse avec les clients, alors on a décidé de tout vendre », a raconté Fouzia Dekhedda, caissière au magasin Gifi Millénaire d’Aubervilliers, qui regrette l’absence de personnel de sécurité dans le magasin.

Selon elle, à l’heure actuelle, « les rayons sont en libre accès, il n’y a pas de bâches pour indiquer qu’ils sont fermés ». Conséquence: « ce sont les salariés qui sont obligés de faire la police, ce qui donne lieu à des situations de frustration », a expliqué à l’AFP Élodie Ferrier, secrétaire fédérale CGT commerce et services. Elle a rapporté des « insultes », des « pressions physiques » et des « crachats » à l’encontre de certains employés.

La direction de Gifi a regretté des « actes d’incivisme isolés » mais a assuré avoir développé un « étiquetage rigoureux » en rayons afin d’indiquer à la clientèle les produits interdits à la vente. Dès mercredi, la direction a garanti que des vigiles seraient présents dans chaque magasin d’Île-de-France pour assurer la sécurité des salariés.

Mardi 3 novembre au matin, un décret publié au Journal Officiel a précisé quelles grandes surfaces étaient concernées par les mesures de restrictions de vente, ainsi que les produits affectés. “Les centres commerciaux, les supermarchés, les magasins multi-commerces, les hypermarchés et les autres magasins de vente d’une surface de plus de 400 m²” sont ainsi soumis aux restrictions. Ils ne peuvent vendre de jouets, de décoration, de bijouterie, de produits culturels (livres, CD et DVD, jeux vidéo), d’articles d’habillement et les articles de sport (hors cycles), de fleurs et de gros électroménager.

Aube: passage à tabac d’un couple sur une plage par une bande d »emmerdeurs »

La jeune femme avait osé faire une remarque à ces fauteurs de troubles

Vexés d’être rappelés par une femme au respect de la tranquilité publique et des règles élémentaires de la vie en société, une trentaine de jeunes primates s’en est prise sauvagement à elle et à son ami.

« J’ai cru qu’ils allaient mourir sur place. » Encore sous le choc, une commerçante des abords de la plage de Mesnil-Saint-Père réfléchit à tout arrêter net. Depuis le début de la saison, insultes, manque de respect, impolitesse crasse de certains clients pourrissent la vie des commerçants du secteur. Mercredi après-midi, la bagarre qui a éclaté sur la plage en a été le point d’orgue.

L’agression a eu lieu le mercredi 22 juillet sur la plage de Mesnil-Saint-Père, une commune de moins de 500 habitants située à environ 25 kilomètres à l’est de Troyes, au bord du lac …d’Orient, qui fait partie des plus grands lacs artificiels de France métropolitaine.

Selon L’Est Éclair, une bande de jeunes venus de l’agglomération troyenne ont débarqué sur la plage de Mesnil-Saint-Père où ils ont passé l’après-midi à « squatter » le matériel appartenant à plusieurs commerçants.

« Ils étaient très désagréables et lorsque je leur ai demandé de partir, pour ranger mon matériel, ils m’ont regardée de haut », comme en terrain conquis, confie une professionnelle du site dans les colonnes du quotidien régional.

Soucieuse de ne pas s’éterniser et intimudée par l’attitude de la bande de jeunes désoeuvrés venus des « quartiers insensibles », elle décide de ranger son matériel elle-même.

Indignée par ce spectacle d’incorrections de ces crétins qui avaient pris possession des lieux, une jeune fille installée à proximité n’a pas hésité à leur faire la leçon.

« Elle leur a gentiment dit qu’ils auraient pu m’aider à ranger le matériel dont ils s’étaient servis », raconte la commerçante. Un rappel plein de bon sens que n’ont pourtant pas apprécié ceux qu’on appelle làchement des « jeunes ». « Ils se sont mis à lui jeter des cailloux, à elle et ses proches », poursuit la marchande. Une fois les gendarmes appelés à l’aide, la commerçante se réfugue dans sa boutique.

Sur la plage, la situation s’envenime encore davantage.

Un ami de la jeune fille qui tente de la protéger s’attire alors la colère des agresseurs en bande« J’ai cru qu’ils allaient mourir sur place. » Encore sous le choc, une commerçante des abords de la plage de Mesnil-Saint-Pèrem réfléchit à tout arrêter net. Depuis le début de la saison, insultes, manque de respect, impolitesse crasse de certains clients pourrissent la vie des commerçants du secteur. Mercredi après-midi, la bagarre qui a éclaté sur la plage en a été le point d’orgue.: la bande de lâches le tabasse furieusement à trente contre deux. « J’ai cru qu’ils allaient mourir sur place », confie la commerçante sous le choc.

« Ils sont tous arrivés de partout, en un instant », abonde une quinquagénaire qui a assisté à l’attaque, atterrée. « Ils l’ont attrapé, l’ont fait tomber et l’ont roué de coups. J’ai alors décidé d’aller m’interposer. J’ai réussi à en pousser un qui armait son pied pour viser le jeune homme à la te« J’ai cru qu’ils allaient mourir sur place. » Encore sous le choc, une commerçante des abords de la plage de Mesnil-Saint-Père réfléchit à tout arrêter net. Depuis le début de la saison, insultes, manque de respect, impolitesse crasse de certains clients pourrissent la vie des commerçants du secteur. Mercredi après-midi, la bagarre qui a éclaté sur la plage en a été le point d’orgue.», ajoute-t-elle.

Un climat de terreur

La jeune fille qui avait dénoncé leur comportement a également été frappée par les gouapes. Elle a été transportée à l’hôpital et a pu rentrer à son domicile, son état ne nécessitant pas sa surveillance médicale.

Une plainte a été déposée et la communauté de brigades de Lusigny-sur-Barse a été saisie.

D’après certains commerçants de Mesnil-Saint-Père, les violences commises ce mercredi sont un pic prévisible depuis plusieurs semaines de tensions.

« Cette année, c’est pire », explique l’un d’entre eux. « On nous manque de respect tout le temps, on nous jette les billets », ajoute-t-il. « Et le pire ce sont les jeunes en bandes, qui se croient tout permis », poursuit le professionnel.

La quiétude qui régnait autrefois sur la plage du Mesnil-Saint-Père ne semble plus être qu’un lointain souvenir, désormais remplacé par « la musique à fond, les ballons de foot, les déchets à même le sol« J’ai cru qu’ils allaient mourir sur place. » Encore sous le choc, une commerçante des abords de la plage de Mesnil-Saint-Père réfléchit à tout arrêter net. Depuis le début de la saison, insultes, manque de respect, impolitesse crasse de certains clients pourrissent la vie des commerçants du secteur. Mercredi après-midi, la bagarre qui a éclaté sur la plage en a été le point d’orgue.».

Une situation préoccupante ou la violence le dispute aux « incivilités »: la plage n’est-elle donc pas surveillée? La distanciation physique contre la covid-19 est visiblement bafouée comme le reste…

Inquiets de voir les touristes déserter la plage du fait des exactions à répétition et impunies de jeunes makfaisants qui déferlent depuis l’agglomération troyenne, les commerçants pensent à adresser une pétition aux pouvoirs publics, tandis que le maire envisagerait enfin d’alerter la préfecture.

« Il nous faudrait une patrouille permanente de gendarmes réservistes », insiste un habitué des lieux.

Nice: vivre ensemble et coups de feu devant un supermarché

Quand les quartiers « sensibles » vivent dans la peur

Quartier bouclé; trois personnes interpellées; aucun blessé.

Des coups de feu ont été tirés en plein jour devant un supermarché du quartier sensible des Moulins à Nice, connu dans ka ville notamment pour être un lieu de trafic de drogue, ont indiqué, ce lundi 20 juillet, de source policière.

«Il était 09H31, des détonations ont été entendues et des jeunes se sont mis à courir. Le quartier bouclé, des douilles retrouvées mais personne n’a été blessé et l’affaire a été reprise par la police judiciaire», a précisé cette source, évoquant trois interpellations.

«C’est la deuxième fois en moins d’un mois et ça fait un peu peur», a commenté une employée du supermarché, jointe au téléphone. L’établissement n’a rouvert que vers 16h00.

Estrosi réclame des moyens supplémentaires

Une vidéo mise en ligne par un habitant fait entendre la fusillade et montre des hommes en train de courir au loin, sous l’œil des clients à l’entrée de l’établissement. Dans un communiqué, le maire (LR) de Nice Christian Estrosi a demandé des «moyens supplémentaires» et un «plan d’action immédiat permettant de rétablir l’ordre», jugeant la situation du quartier des Moulins «très préoccupante».

«Si l’Etat n’est plus en capacité de mettre en place les moyens nécessaires, qu’il confie aux Maires qui le souhaitent la possibilité de pouvoir [possibilité de pouvoir !] agir plus fortement», a ajouté celui qui avait reçu le nouveau ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin dans sa ville quelques jours après le remaniement changement de gouvernement.

Encore un petit tour de Darmanin en perspective – et du CO2 pour la bonne cause.

Dans le quartier des Moulins, au moins deux personnes ont été tuées par balle au cours des dernières années dans ce qui est apparu à chaque fois comme un règlement de compte aux yeux des enquêteurs. En juillet 2015, une passante avait été légèrement blessée.

Construites dans les années 1960 et 1970 pour accueillir des ouvriers, les résidences HLM gérées par Côte d’Azur Habitat aux Moulins sont situées au cœur de l’Eco-Vallée, un projet d’aménagement urbain à l’ouest de Nice, où des bureaux et des logements neufs desservis par une nouvelle ligne de tramway sortent progressivement de terre à proximité de l’aéroport et d’une future gare Nice TGV Aéroport.