Affaire Guillaume Meurice: un droit à l’antisémitisme des syndicalistes de Sud

La liberté d’expression n’est pas un casse-tête pour l’Arcom, soumise à l’extrême gauche révolutionnaire

L’antisémitisme est un sujet de « blagues« , selon l’AFP
et le groupe Les Echos-Le Parisien de Bernard Arnault, qui avait expliqué dès 2017 combien le programme de Macron lui paraissait « éminemment souhaitable »

Pourquoi Guillaume Meurice est-il toujours à Radio France? La direction des chaînes de service public avait peu d’options de sanctions, l’humoriste bénéficiant du statut de …«salarié protégé».

«Si j’attaquais mon employeur, je ne suis pas sûr que l’on me laisserait à l’antenne», confie un salarié d’un groupe audiovisuel privé. «Dans n’importe quelle entreprise, cette situation serait intenable», souligne un autre. Depuis la diffusion de son sketch, le 29 octobre dernier, qualifiant le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, de «Nazi sans prépuce», Radio France a reçu des centaines de messages d’indignation en provenance des auditeurs pourtant blasés par les attaques tous azimuths de France inter, chaîne militant à l’extrême gauche, par le biais notamment de chroniqueurs classés humoristes et protégés par ce viatique sacré de la liberté d’expression en démocratie.

France inter, victime consentante de l’« humour vache » de ses humoristes et protectrice de son agresseur tout azimuth

Sibyle Veil, la présidente de la Maison de la Radio, a tenté de raisonner son protégé pour qu’il reconnaisse une erreur d’appréciation, compte tenu du contexte de tensions extrêmes sur toutes les questions ayant trait au conflit entre Israël et le Hamas. Hors tensions extrêmes, l’erreur, si ce n’était que çà, était en soi suffisamment répréhensible, avec ou sans prépuce, en tant qu’accusation de nazisme, la Shoah étant un génocide historique de Juifs par les Nazis. Guillaume Meurice ayant refusé, il a écopé d’un simple… avertissement qu’il a même décidé de contester en justice. La pédégère de Radio France est l’épouse de Sébastien Veil, petit-fils de Simone Veil, laquelle fut déportée à Auschwitz à l’âge de 16 ans, durant la Shoah, où  son père, son frère et sa mère furent exterminés. 

L’Arcom saisie pour des propos de Guillaume Meurice et Caroline Fourest

Le régulateur de l’audiovisuel va instruire deux dossiers concernant deux séquences impliquant l’humoriste sur France Inter d’une part, l’essayiste sur BFMTV d’autre part. Ils sont accusés respectivement d’antisémitisme et de relativisme dans la mort d’enfants palestiniens.

En cause, une « sortie » de Guillaume Meurice, selon Telerama, groupe Le Monde, à propos du premier ministre israélien Benjamin Netanyahu : suggérant une idée de « déguisement pour faire peur » à l’occasion d’Halloween, l’humoriste a évoqué un « déguisement Netanyahu »« une sorte de nazi mais sans prépuce ». S’en est suivie une simple « polémique » pzrmi d’autre, toujours selon le groupe du milliardaire Xavier Niel, gendre de Bernard Arnault, sur les réseaux sociaux. « Prépuce ou pas : Moi je serais plutôt en faveur de circoncire le temps d’antenne de Guillaume Meurice. (Et le mandat de Netanyahou aussi, mais c’est une autre histoire) », a notamment déploré sur X la rabbin et écrivaine Delphine Horvilleur.

« Je trouve invraisemblable que trois semaines après le plus grand massacre de juifs depuis la Seconde guerre mondiale, dans une radio publique, on en vienne à comparer un juif à un nazi » a abondé sur BFMTV le président des éclaireuses et éclaireurs israélites de France, Jérémie Haddad, fustigeant également les « réactions du plateau (de France inter) qui rit à gorge déployée ».

Adèle Van Reeth, la directrice de France Inter, a répondu aux auditeurs de la station dans un texte publié sur le site de la médiatrice : « Vous avez été très nombreux à réagir aux propos de Guillaume Meurice. […] Je rejoins le malaise [sic] que vous avez été nombreux à exprimer. […] Pour beaucoup, une limite a été franchie : non pas celle du droit, qu’il reste à établir, mais celle du respect et de la dignité. Si je suis garante de la liberté d’expression sur France Inter, je le suis aussi des propos qui s’y tiennent. C’est ce que j’ai rappelé aujourd’hui à Guillaume Meurice. » L’une et l’autre sont toujours à leur poste…

Meurice devrait s’exprimer à l’antenne ce dimanche sur son sketch accusant Benyamin Netanyahou de …nazisme.

Candidat aux élections des représentants du personnel, Guillaume Meurice est devenu intouchable

La direction de France Inter ne peut rien contre un syndicaliste de SUD, branche « armée » du NPA, Nouveau Parti anticapitaliste, révolutionnaire trotskiste.

En se présentant aux élections professionnelles des représentants du personnel, « l’humoriste » Guillaume Meurice est devenu quasiment intouchable par la direction de France Inter. Mais est-elle motivée ? Une enquête du Figaro est consacrée à cette affaire qui au-delà de la radio publique, secoue l’opinion. Signe de la tension qui entoure ses propos, dans le contexte très sensible des massacres initiés par les terroristes islamistes du Hamas en Israël, cette émission, « Le grand dimanche soir », présentée par Charline Vanhoenacker, aura exceptionnellement lieu sans public, de 18h à 20h.

Une décision prise « pour la sécurité des équipes », selon le groupe public de Radio France, à cause de menaces de mort reçues par Guillaume Meurice. Point de départ de l’affaire: une « blague » qu’il a faite lors du précédent numéro, le 29 octobre.

En évoquant des idées de « déguisement pour faire peur » à Halloween, le blagueur a imaginé un « déguisement Netanyahu », « une sorte de nazi mais sans prépuce », selon le trotskiste et sous les éclats de rires de ses camarades, sélectionnés par Charline Vanhoenacker, louve belge introduite dans le noeud de vipères par l’agressive Pascale Clark, cooptée par Daniel Schneidermann (en avril 2023, pour sa couleur de peau, il compare Christine Kelly à Pépita, « hôtesse » dans le jeu Pyramide sur France 2), qui a aussi infiltré Mehdi Meklat, un blogueur du Bondy Blog connu pour des tweets racistes, antisémites, homophobes et misogynes, faisant l’apologie d’Hitler et de Ben Laden, menaçant de mort Marine Le Pen ou les journalistes de Charlie Hebdo… Cette dernière séquence de Meurice a suscité de nombreuses réactions indignées d’auditeurs, qui y ont vu une dimension antisémite, et des saisines de l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel. Elle a également valu au « petit taquin » de 42 ans un « avertissement » de la direction de Radio France lundi, qu’il entend contester en justice.

Mais Le Figaro rappelle ce qui s’est vraiment passé : 

« Si la question de son licenciement s’est bien posée, la direction de Radio France n’a pas vraiment eu le choix, en définitive. Selon nos informations, Guillaume Meurice bénéficie depuis quelques mois du statut de « salarié protégé« Il s’était présenté sur la liste SUD aux dernières élections professionnelles des représentants du personnel. Il est donc intouchable pour le moment. En plus de la liberté d’expression, droit de dire n’importe quoi, de blesser et donc d’inciter à la haine antisémite.

Dans l’arsenal des pénalités possibles, seul l’avertissement permettait d’agir vite. Mais il n’est pas de nature à interdire d’antenne un salarié. L’ensemble des autres sanctions prévues dans le règlement doit passer par un avis conforme de l’Inspection du travail et une consultation des élus du personnel. Autant dire que Meurice peut dormir l’âme en paix…

S’engager dans cette voie aurait pris des semaines, voire des mois, avec un résultat incertain. Contactée, la direction de Radio France s’est refusée à tout commentaire. » Sans blague ? Elle n’abuse pas de sa liberté d’expression…

Alain Finkielkraut confie sa peur de l’antisémitisme

« Partout dans le monde, les Juifs comprennent qu’ils ne font pas le poids »

Le philosophe réagit à la menace que constitue la judéophobie qui se répand sur l’ensemble de la planète.

Des étoiles de David ont été taguées au pochoir sur des façades d’immeubles – des habitations et des commerces juifs – à Paris et dans plusieurs villes de banlieue. Qu’est-ce que cela vous inspire ?

Je suis épouvanté, mais je ne suis pas étonné. Dans son livre, Une tragédie française, Franz-Olivier Giesbert rappelle opportunément que le 20 juillet 2014, alors que la guerre faisait rage à Gaza, un véritable pogrom a eu lieu à Garges-lès-Gonesses et à Sarcelles. Sous une flopée de drapeaux turcs, les manifestants criaient : « Mort aux Juifs », « Hitler avait raison ». Ils ont attaqué la synagogue de Sarcelles avec des cocktails Molotov. Le maire de l’époque, François Pupponi, déclarait : « Le conflit israélo-palestinien n’est que l’excuse pour exprimer la haine du Juif et des institutions. » 

Les Moldaves sont
un peuple roumanophone

Dix ans plus tôt, le doyen des inspecteurs de l’éducation nationale, qui menait une enquête sur les signes et manifestations d’appartenance religieuse dans les écoles, s’est rendu dans un lycée de banlieue. On lui a appris qu’il n’y avait plus d’élèves juifs. Il a demandé la raison de cette fuite et les professeurs lui ont répondu : « C’est bien simple, ils n’étaient plus assez nombreux pour se défendre. » Tout était là, mais la bien-pensance refusait obstinément de regarder la réalité en face. Ces sociologues, ces philosophes, ces journalistes voulaient nous convaincre que les années 1930 étaient de retour et que dans le nouveau racisme, l’islamophobie occupait la place de l’antisémitisme. La réalité est différente. C’est encore l’antisémitisme qui occupe la place de l’antisémitisme, et cet antisémitisme est désinhibé par la nouvelle guerre à Gaza.

Une vidéo virale sur les réseaux montre des jeunes chantant : « N*que les Juifs, vive la Palestine […] On est des nazis. »

Le Figaro

On a d’abord, et depuis quelque temps déjà, identifié les Israéliens à des nazis. Voici, par exemple, ce que disait le romancier chilien Luis Sepúlveda : « A Auschwitz et Mauthausen, à Sabra, Chatila et Gaza, sionisme et nazisme se donnent la main », (Une sale histoire, 2005). L’antisionisme était le droit de haïr les Juifs en toute bonne conscience. Maintenant, un pas de plus est franchi et les antisémites les plus virulents se réclament directement de Hitler.

Il faut ajouter que ces jeunes, comme vous dites, ont crié : « Vive le 9.3 ! » Le 9.3 constitue leur appartenance. Or, les deux injures les plus fréquentes dans les territoires perdus de la République, devenus, comme l’a montré Bernard Rougier, les territoires conquis par l’islamisme, sont : « Sale Juif ! » et « Sale Français ! ». Les Juifs et les autres Français se trouvent exposés à deux variantes de la même haine. Autrefois, les Juifs voyaient dans la France le pays où se réalisaient leurs aspirations messianiques. Un nouveau franco-judaïsme apparaît. Les Français juifs et les Français d’origine française se retrouvent dans le même bateau. Et le bateau coule. 

N’est-ce pas aussi lié à une méconnaissance de l’histoire de la Shoah ?

L’enseignement de la Shoah [prévention ?] aujourd’hui à l’école est obligatoire et il tend à devenir impossible. Certains professeurs parlent de Hitler et du nazisme sans évoquer les Juifs. Cela ne favorise pas la transmission. On assiste de surcroît au dévergondage généralisé de l’antinazisme. Aujourd’hui, ce sont des experts de l’ONU qui osent qualifier l’action militaire de Tsahal à Gaza de génocide. Ces experts ont fait des études. Comment voulez-vous, dans ces conditions, que la jeunesse des quartiers puisse connaître quelque chose de cette histoire ?

Cette augmentation des actes antisémites se répand sur l’ensemble de la planète et des sociétés occidentales. 

Ce qui me frappe surtout, c’est la mondialisation de la haine. Il y a en France les étoiles de David et ces jeunes qui s’autorisent à clamer leur détestation des Juifs dans le métro. Mais il y a aussi une tentative de pogroms au Daghestan, des manifestations propalestiniennes à Sydney, à Londres, à Tunis, à Istanbul. La planète tout entière est saisie par une sorte de passion meurtrière. 

Alors que nul n’a songé à descendre dans la rue quand l’Arabie saoudite a bombardé le Yémen, quand la coalition contre l’État islamique a bombardé Raqqa et Mossoul, ni aujourd’hui quand 1,7 million d’Afghans sont chassés manu militari du Pakistan. « No Jews, no news. » Six cent mille Juifs, cela ne compte pour presque rien à côté de l’immigration maghrébine et subsaharienne. Partout dans le monde, les Juifs comprennent qu’ils ne font pas le poids. C’est une prise de conscience terriblement douloureuse. Lien X

En qualifiant de « nazi sans prépuce » le Premier ministre israélien sur France Inter, le chroniqueur Guillaume Meurice a suscité une vive polémique. L’humour ne peut-il pas choquer ?

21 février 2019

L’humour, ce n’est pas le rire. L’humour, dit Kundera, c’est « le plaisir étrange issu de la certitude qu’il n’y a pas de certitude ». Avec le gai luron de France Inter, on a affaire une nouvelle fois à une manifestation de rire barbare. Mais il faut saluer sa blague repoussante comme un moment historique, celui de la jonction entre l’antinazisme et l’antisémitisme.

Après avoir dit : « Hitler, c’est un enfant de chœur à côté de Netanyahou », l’ancien athlète Mahiedine Mekhissi a présenté ses excuses. Ce geste n’était peut-être pas sincère. Mais peu importe. L’hypocrisie, nous dit La Rochefoucauld, est « l’hommage du vice à la vertu ». Guillaume Meurice est dispensé de cet hommage. Le vice antisémite, avec lui, s’affiche sans vergogne. Sympathisant de La France insoumise, il se croit porté par l’histoire et il pense être soutenu par les syndicats. Qu’une telle abjection ait pignon sur rue à Radio France, cela me déchire le cœur, car c’est ma maison depuis 1985. Je me sens moi-même sali par cette blague.

Lien X

On entend beaucoup aujourd’hui parler du retour de nos vieux démons. Est-ce que vous pensez qu’il existe encore un antisémitisme chrétien ?

L’antisémitisme chrétien existe peut-être, mais il est résiduel. Catholiques ou protestants, les chrétiens aujourd’hui sont solidaires des Juifs. 

Ce qui suscite l’inquiétude, c’est l’alliance naissante de la judéophobie islamiste et du wokisme. La pensée woke a substitué à la classique lutte des classes le conflit des dominés et des dominants, et à l’anticapitalisme, l’anti-impérialisme. Aux yeux des wokes, la personnification ultime de l’impérialisme, c’est Israël. L’Israélien conquérant remplace dans l’imaginaire de cette gauche le ploutocrate juif. Et cela alors même, qu’Israël s’est retiré du Sinaï, du Sud Liban et de Gaza. Etrange expansionnisme, on en conviendra. 

Sur les campus américains, mais aussi déjà dans certaines universités françaises, on se mobilise pour une Palestine libre « de la rivière jusqu’à la mer ». Une Palestine sans Juifs, donc. Victime superlative tant que gisait la mémoire de la Shoah, le Juif apparaît maintenant comme l’ennemi du genre humain. L’antisémitisme est le stade suprême du wokisme.

Alain Finkielkraut,
de l’Académie française

Avez-vous peur ?

Quand on voit ce qui se passe, on se dit que les Juifs ne seront plus en sécurité nulle part. Ils ne font pas le poids, et la possibilité du pogrom est partout. Comment ne pas avoir peur ?

Netanyahou, «nazi sans prépuce»: humour de Guillaume Meurice, sans cervelle, estampillé France Inter

Son humour vaut à Charlie hebdo un attentat islamiste; l’agression du service public ne craint pas les Juifs

Le comique raté (d) soutient le NPA et s’affiche avec le révolutionnaire trotskiste
Philippe Poutou

Le rabbin Delphine Horvilleur a fustigé le parallèle tracé par le chroniqueur de France Inter entre le premier ministre israélien et le nazisme. De nombreux internautes ont pointé «l’antisémitisme» aggravé de l’humoriste, en période de massacres de Juifs par des terroristes islamistes du Hamas. L’avocat Gilles-William Goldnadel envisage de porter plainte.

«Halloween approche et tout le monde commence à chercher un déguisement pour faire peur. En ce moment, le déguisement Netanyahou marche pas mal. C’est une sorte de nazi, sans prépuce.» La chronique de l’humoriste Guillaume Meurice sur France Inter, le 29 octobre, qui trace un parallèle entre Benyamin Netanyahou et le nazisme a provoqué un scandale parmi les Français respectueux de l’Autre, trois semaines après le pogrom avec prise d’otages civils par les Palestiniens du du Hamas contre Israël, le 7 octobre dernier.

Le parallèle, jugé «abject» a notamment suscité l’indignation de Delphine Horvilleur, femme rabbin française. «Prépuce ou pas, moi je serais plutôt en faveur de circoncire le temps d’antenne de Guillaume Meurice a-t-elle cinglé. Et d’ajouter le hashtag #nazifierlesjuifsunenouvellemode.

Plusieurs personnalités lui ont emboîté le pas. L’avocat Gilles-William Goldanel a annoncé vouloir porter plainte contre le chroniqueur de France Inter. «Ça devient une spécialité du service public de nazifier les juifs», a-t-il grondé sur CNews, qualifiant les propos de l’humoriste «d’ignominieux». Et de rappeler que cette chronique prend place «au moment où on sait qu’il y a un très grand danger antisémite en France.»

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé lundi lors de son intervention sur BFM que 819 actes antisémites ont été recensés en France depuis les attaques terroristes du Hamas contre Israël le 7 octobre dernier. Un bilan qui ne cesse de grimper.

De nombreux internautes ont comparé Guillaume Meurice à Dieudonné, humoriste français notoirement connu pour ses saillies antisémites et plusieurs fois condamné pour provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale et religieuse. «Meurice a pris la relève de Dieudonné, à la différence que c’est nous qui finançons cet antisémite-là», s’est insurgé un utilisateur de Twitter, alors que Guillaume Meurice s’est exprimé sur une station de radio publique.

De son côté, l’activiste engagé dans l’accueil des clandestins en France comme les actions d’Extension Rebellion, notamment contre l’A69, n’a pas assumé, ne réagissant pas directement à l’indignation générale, se contentant de poster un lien, celui d’un documentaire dédié à Georges Brassens et affichant en légende le début de la chanson mythique La Mauvaise réputation. Le chanteur français y affirme ne faire «pourtant de tort à personne».

Malgré le choeur des bécasses rieuses qui entourent l’énergumène en studio, cet article n’a pas reçu le libellé « humour », mais « spectacle ».

Prix de l’humour, en revanche, à Philippe Caverivière: