La minorité d’extrême gauche va-t-elle encore longtemps empoisonner le vivre ensemble ?
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La compétition de tennis, qui se déroule porte d’Auteuil du 22 mai au 11 juin, impose des conditions vestimentaires et esthétiques strictes aux personnels annexes de l’événement. Ainsi les hôtes et les hôtesses en particulier doivent-ils se plier à des exigences qui n’ont pas manqué d’irriter les très irritables Sophie Binet et Sandrine Rousseau, rapporte RMC.
C’est une perturbation dont la compétition de tennis en cours se serait bien passée.
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bon pour la base
Alors que le tournoi bat son plein sur la terre battue de la Porte d’Auteuil, différents acteurs annexes à l’événement, sans qui celui-ci ne pourrait se dérouler, ont raconté leur quotidien régi par différentes règles parfois absurdes, de leur point de vue, « en particulier pour les hôtesses ». Dans Le Parisien, elles ont ainsi expliqué que le « Guide de l’Hôte(sse) parfait(e) » qui leur est fourni en amont de la quinzaine – ils savent à quoi ils s’engagent – serait davantage restrictif que pour leurs homologues masculins, selon les deux féministes pathologiques. Les hôtesses doivent ainsi porter « un maquillage léger mais toujours présent et résistant aux intempéries« , « une bombe de laque pour les mèches rebelles« , mais également « les jambes et les aisselles épilées« . Des précisions qui ne sont pas inutiles et qui n’ont rien d’absurde, par les temps qui courent.
Les homologues masculins des femmes susceptibles ne sont pas moins tenus à une bonne présentation: les féministes n’ont aucun motif de se sentir discriminées. De leur côté, les hôtes du tournoi doivent en effet « tailler correctement la barbe ou raser à blanc« , précise RMC. Pas de primates, c’est un minimum, sauf à l’Assemblée où le débraillé est désormais toléré des députés, notamment Nupes. Il leur est demandé de porter un pantalon « large« , du type pourtant de ceux des sans-culottes, et, comme leurs collègues féminines, ils sont obligés de porter un polo qu’ils doivent boutonner jusqu’en haut. Les élus de la Nupes ne cochent aucune case…
Il n’en a pas fallu davantage pour que Sophie Binet, la secrétaire générale de la CGT, se dresse sur ses ergots. « Il y a un vrai problème sur le métier d’hôtesse, qui est structuré par des stéréotypes sexistes et expose à des violences sexistes et sexuelles. Les hôtesses d’accueil sont particulièrement exposées à tout ce qui est harcèlement sexuel, remarques sexistes, voire agressions sexuelles« , a dénoncé le poil à gratter dégenré.
Alors que les hôtesses doivent courir un peu partout durant la compétition sportive (pour tous !), « on leur demande de mettre des talons« , une requête absurde pour la nouvelle cheffe de file de la CGT qui regrette qu’on enferme ces femmes dans « un rôle de ‘potiche’« , des potiches à roulettes, alors même « qu’elles sont là pour être calmes, polies, savoir orienter et réagir en cas de problème de sécurité », des exigences validées par la CGT…
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bientôt recyclable en hôte, façon Binet-Rousseau, à Roland-Garros
Et de préconiser, verticalement : « Dans le cahier des charges des donneurs d’ordres, il faut introduire des critères pour cesser ce sexisme structurel sur ce métier« .
Des doléances remontées de la base ? Du même avis que Sophie Binet, Sandrine Rousseau imagine que les hôtesses postulant au tournoi de Roland Garrod se rêvent en souillons. Elle n’a pas mis longtemps à se positionner sur ce créneau, taclant « le monde d’hier » que représente, selon la quinqua, Roland-Garros, qu’elle considère aussi comme « une institution conservatrice, rétrograde, sexiste et misogyne, qui prend les femmes pour des plantes vertes« . Des plantes en voie de disparition que l’écologiste rétrograde voue à l’extinction.
Le repoussoir de Sandrine Rousseau serait Philippe Caverivière dont le palmarès la désespère: