Libération, journal partisan, désinforme sur Rachida Dati au profit d’Anne Hidalgo

La ministre réagit et Libération titre  » Rachida Dati s’en prend à Anne Hidalgo » !

Sur RTL ce vendredi 26 avril, la ministre de la Culture Rachida Dati s’en est pris à la maire de Paris, Anne Hidalgo, et à « Libération ».
« La ministre de la Culture Rachida Dati s’en est pris à la maire de Paris, Anne Hidalgo, et à Libération, »
assure le HuffPost

Le malfaisant HuffPost inverse les responsabilités. « Coup de gueule, » au micro de RTL ce vendredi 26 avril: la ministre de la Culture Rachida Dati s’en est pris à la maire de Paris, Anne Hidalgo, et à Libération, après la Une du quotidien mardi affirmant qu’elle aurait touché [« affirmer » au conditionnel, c’est du HuffPost !] plus de 800.000 euros comme avocate d’Orange tout en étant députée européenne, entre 2010 et 2018. Le site de désinformation accuse ainsi la ministre en ààa: présentation de sa version au conditionnel, « après la Une du quotidien » qui initie une diffamation.

L’intention maligne est clairement politique, puisque Libération rzppelle d’entrée de jeu que Dati  » ambitionne de devenir maire de Paris [et] cravache pour éloigner le risque d’un procès dans l’affaire Renault. » Et le journal d’opinion d’ajouter:  » Mais il ne s’agissait pas là de son seul contrat juteux avec une grande entreprise pendant ses années au Parlement européen, comme le montrent les révélations de «Libé». » On sait ce que valent les « révélations de «Libé». » quotidien déficitaire dépendant des subventions de l’Etat (24 centimes au numéro en 2021) et condamné aux coups médiatiques.

« J’ai un métier, j’ai été magistrat, c’est comme ça que je suis devenue avocate, c’est autorisé par la loi : vous pouvez être parlementaire élue et avocate », a rappelé la ministre sur RTL au quotidien de gauche en campagne des européennes.

« Que la Mairie [PS] de Paris se serve de ce journal, puisque ce journaliste est un ami de Madame Hidalgo, pour pouvoir m’attaquer sur quelque chose de légal, est-ce normal ? » a encore interrogé Rachida Dati.

Le quotidien se pose en arbitre des élégances

« Est-ce que ce journal, qui est subventionné par la Mairie de Paris, qui s’attaque à Rachida Dati, est-ce déontologique ? » a-t-elle ajouté, suggérant un possible « conflit d’intérêts ».

« Rachida Dati s’en est également pris à Anne Hidalgo, » estime le HuffPost  en affirmant que, « contrairement à la maire de Paris », elle ne vivait « pas sur l’argent public. »

L’ex-ministre de la Justice de Nicolas Sarkozy et ex-députée européenne – et à nouveau ministre, de Macron – est mise en examen pour corruption et trafic d’influence passif par personne investie d’un mandat électif public depuis juillet 2021, dans l’enquête sur des contrats noués par une filiale de Renault-Nissan, quand Carlos Ghosn en était le PDG. Des soupçons en attente de jugement : la suspecte béneficie de la présomption d’innocence, ce que ne rappelle pas le journal du milliardaire Patrick Drahi, principal actionnaire de BFM TV, chaîne qui a accumulé les maladresses tout en démentant toute tentative de manipulation…

Peu après sa nomination par Macron rue de Valois, l’actuelle maire du 7e arrondissement de la capitale avait confirmé son intention de briguer la mairie de Paris en 2026. Projet toujours valide qui fait de Dati une cible de la gaucho-sphère.

Du grain à moudre pour CheckNews, service de redressement des torts, selon Libération.

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