Sonia Mabrouk, la « mauvaise arabe » des islamo-gauchistes, riposte à l’agression raciste de Libération, exécution terroriste

Tout ce qui est à droite du PS est désormais fasciste

Guillaume Gendron, apparenté au djihadiste Raphaël Gendron ?

Après le portrait que dresse d’elle Libération, Sonia Mabrouk réagit avec humour

Dans le quotidien libertaire vecteur clair de l’islamo-gauchisme, la journaliste de CNews et Europe 1 est la cible d’une tentative de décrédibilisation, du seul fait qu’elle s’impose sur une chaîne qui efface progressivement BFMTV et France 2, mettant à mal par ricochet l’audience de France Info et France Inter, mais aussi au motif qu’elle est d’origine tunisienne, sans pour autant développer les thèses victimaires qui caractérisent la communauté maghrébine endoctrinée au marxisme et à l’islamisme radical. En bref, la gauche islamo-gauchiste l’affuble d’une étoile jaune, celle d’ «égérie de la droitosphère», à qui est reproché de ne pas être entrée clandestinement en France, de ne pas appartenir à une classe sociale défavorisée, opprimée et « en colère« : elle est «fille de la bourgeoisie tunisienne» au «brushing à la Fox News» qui «rosit des compliments de ses mâles et pâles mentors». Rose Ameziane Arhab, épouse de journaliste à BFM, directrice d’une agence d’insertion et de reconversion professionnelle (elle a sa propre agence, Résilience Emploi Conseil, REC, dont les gros clients sont Pôle emploi ou le Service pénitentiaire d’insertion et de probation, SPIP, agences gouvernementales) et chroniqueuse à la grande gueule sur CNews, bien que mise en cause par une vidéo la montrant dans un dîner de charité pour le grand centre culturel et cultuel des Lumières, en fait la mosquée douteuse de Mitry-Mory (PCF depuis plus de 70 ans) et fan du Franco-marocain Yacine Bellatar, Fatima Benomar, autre Marocaine, militante des droits des femmes – protégée par son activisme à l’association Osez le féminisme ! et au collectif féministe #NousToutes, ex-étudiante en cinéma et UNEF, intermittente du spectacle, mais qui se déclare compétente en psychiatre du fait d’une expérience professionnelle non démontrée, Rost, rappeur né au Togo, associatif communautariste bombardé membre du Conseil économique, social et environnemental ne se reconnaissent pas en elle. Peut-on parler de colonisation, notamment des media, par la communauté marocaine, la « marocosphère » ?

«Une bonne élève emportée par sa plume, qui rosit des compliments de ses mâles et pâles mentors», au «brushing à la Fox News au vent» et aux «paupières lourdes de maquillage et de sommeil à l’heure de la sieste après une matinée en direct et une nuit sur Netflix». Voici comment Libération résume Sonia Mabrouk dans la page de der qui lui était consacrée lundi.

Guillaume Gendron, ancien correspondant en Israël-Palestine (2017-2020)

La journaliste y est également décrite comme une «égérie de la droitosphère» et «fille de la bourgeoisie tunisienne». Au lendemain de la publication du papier, la principale intéressée a brillamment réagi, avec humour.

«Beaucoup de réactions au portrait de Libé», a débuté la présentatrice de CNews et intervieweuse politique d’Europe 1 dans son message mardi soir. «Pardon de ne pouvoir répondre à tous… Le temps manque… Entre la préparation de mon brushing à la Fox News, le maquillage lourd sur paupières fatiguées et mes mâles et pâles mentors, sans compter la “droitosphere” à régaler, c’est du boulot…», a-t-elle ironisé.

Michel Onfray en croisade contre les actions subversives de Libération

Sur les réseaux sociaux, nombreuses étaient les réactions indignées dès lundi, après la publication du portrait. La juriste, scénariste et actrice Rachel Khan a salué le «travail, les convictions et l’engagement» de Sonia Mabrouk, quand d’autres relèvent le «sexisme» et la «violence» de l’article en question. Sur son blog, Michel Onfray a dénoncé le journaliste de Libération à l’origine du portrait qui a tenté «de lui faire dire du mal» de la journaliste, dévoilant le texto reçu. «Bonjour, Journaliste à Libé, je prépare le portrait de Sonia Mabrouk. (…) J’aurais aimé revenir quelques minutes avec vous sur vos interactions en plateau avec elle, et plus généralement vous donner l’occasion de lui répondre vu qu’elle vous cible ouvertement dans son dernier livre», a reçu le philosophe. Dans son portrait, le journaliste Guillaume Gendron a reconnu s’être trompé de destinataire.

Professionnalisme et déontologie, les deux mamelles de Libé sous Olivennes ?

«Libé me propose de la tuer ! Belle conception du journalisme…», révèle Michel Onfray, philosophe

Pour Michel Onfray, ce texto «en appelle au plus bas en l’homme: la réactivité ressentimenteuse de qui, ciblé, réagirait illico en décrochant son téléphone pour se répandre lui aussi en poudre. Ce jeune homme me prend pour un perdreau de l’année…», a résumé l’essayiste dans son billet intitulé «journalisme orwellien»«Libé me propose de la tuer! Belle conception du journalisme…», ajoute-t-il en précisant que «Sonia Mabrouk fait partie des rares journalistes qu’il respecte car elle fait un travail remarquable et courageux à contre-courant des facilités qui permettent de faire carrière». En Palestine, il a appris la taqiyya, mais a calé sur le courage.

Onfray dénonce le « journalisme orwellien » actuel

Le journalisme orwellien

EDITO. Lundi, Michel Onfray a reçu un texto d’un journaliste de Libération…

Le journalisme orwellien

Auteur

Michel ONFRAYCo-fondateur de Front PopulairePublié le 21 avril 2021OFFRE SPECIALE: ABONNEMENT 1 AN (PAPIER + WEB) + HS1 59€ Abonnez-vous pendant un an à Front Populaire (site + 4 numéros de la revue) et recevez chez vous en plus le Premier Hors Série: l’abécédaire du souverainisme.J’EN PROFITE!

Lundi 19 avril, je reçois ce message d’un numéro inconnu. « Bonjour, Journaliste à Libé, je prépare le portrait de Sonia Mabrouk. C’est Johanna Luyssen qui m’a donné votre numéro. J’aurais aimé revenir quelques minutes avec vous sur vos interactions en plateau avec elle, et plus généralement vous donner l’occasion de lui répondre vu qu’elle vous cible ouvertement dans son dernier livre. Bien à vous, Guillaume Gendron ».

Je ne connais ni d’Ève ni d’Adam cette Johanna Luyssen, journaliste dans le même journal, son nom n’est pas dans mon agenda téléphonique et je n’ai pas souvenir de l’avoir jamais rencontrée. Mais passons.

Ce texto dit clairement les choses : comme un sniper, Sonia Mabrouk me « cible » dans son livre et, généreux, amical, charitable, serviable, bienfaisant, le journal Libération, qui me couvre de boue régulièrement – et c’est tant mieux, leurs éloges me déprimeraient -, me donnerait l’occasion d’une vendetta bienvenue ! Elle me « cible », Libé me propose de la tuer… C’est une bonne et belle conception du journalisme.

Il se fait que Sonia Mabrouk fait partie des rares journalistes que je respecte car elle fait un travail remarquable et courageux à contre-courant des facilités qui permettent de faire carrière. Je suis allé sur La Chaîne parlementaire, c’était au temps où je n’y étais pas blacklistéquand elle y travaillait. Mais je n’ai pas souvenir d’avoir participé à l’un de ses plateaux sur CNEWS depuis qu’elle y travaille, ni d’avoir été convié à l’une de ses matinales sur Europe 1. Ce qui me dispense de jugements flagorneurs. C’est une belle personne et c’est en même temps une journaliste comme on en rêve – juste et cultivée, travailleuse et informée, pertinente et efficace. Tenace aussi et ne lâchant pas qui pratique la langue de bois et ne veut pas répondre à ses questions, on l’a vu il y a peu avec Jack Lang ou la patronne de l’UNEF.

Nous nous entendons bien et je la respecte en tout. Elle écrit en plus de bons livres.

Étonné, je sollicite ma garde rapprochée à Front Populaire pour savoir en quoi consiste le coup de fusil que m’aurait destiné Sonia Mabrouk. Réactive, elle me donne l’information dans le quart d’heure. La voici :

Dans ce livre, Insoumission françaiseau chapitre intitulé « Les islamo-compatibles » pages 82 et 83, on peut lire ceci :« Cette confrontation sur un même territoire a été théorisée par le célèbre anthropologue Claude Lévi-Strauss. Selon lui, de ce face-à-face résultera inévitablement une nouvelle civilisation. Mais laquelle ? Depuis quelques années, le philosophe Michel Onfray annonce avec constance et sans en faire un drame la fin de la civilisation judéo-chrétienne. Drapé dans un manteau de noblesse tragi-romantique, il répète : « Le bateau coule, restez élégant. Mourez debout. » Lucidité supérieure ou défaitisme morbide ? Le philosophe se place dans la peau d’un médecin pour livrer un diagnostic clinique de la situation. Sommes-nous alors condamnés à la disparition de la civilisation judéo-chrétienne ? Sommes-nous condamnés à une confrontation sans merci entre deux civilisations dont il ne restera que des cendres ? Comment conjurer un tel risque ? Je milite pour ma part en faveur d’un rééquilibrage de la place des religions dans le strict respect des principes de laïcité. Une chrétienté davantage affirmée permettrait de contrecarrer l’offensive d’un Islam politique conquérant. Il faut bien se rendre compte que le danger n’est pas tant la force de l’Islam que la faiblesse pathologique du christianisme. Si la civilisation judéo-chrétienne se meurt, c’est avant tout faute de combattants au sens de défenseurs. Le salut de cette civilisation passera par une renaissance décomplexée de la chrétienté. » Et Sonia Mabrouk de citer mon Décadence. De Jésus à Ben Laden. Vie et mort de l’Occident, Flammarion, 2017.

Plus ciblé que ça, tu meurs, si je puis me permettre…

Ce que je dis est vrai, rien n’est déformé, il n’est pas déshonorant de se retrouver « drapé dans un manteau de noblesse tragi-romantique », puisque c’est mon vêtement. J’y suis présenté comme un médecin qui diagnostique puis pronostique la fin de notre civilisation. Sonia Mabrouk manifeste son désaccord avec courtoisie et élégance, c’est bien dans son style, et fait savoir que, probablement croyante, de toute façon animée par une véritable spiritualité, elle croit quant à elle qu’il existe un remède à cette pathologie de la civilisation sous forme d’une renaissance portée par un christianisme décomplexé. Nous pourrions en débattre, car ce n’est bien sûr pas ma thèse, mais elle ne ressemble en rien à un ciblage de tireur qui veut tuer. Ce différend fournit juste l’occasion d’un débat, sûrement pas celle d’un pugilat ou d’un règlement de compte.

Le texto du journaliste en appelle au plus bas en l’homme : la réactivité ressentimenteuse de qui, ciblé, réagirait illico en décrochant son téléphone pour se répandre lui aussi en poudre.

Ce jeune homme me prend pour un perdreau de l’année…

Dans les années 90 du siècle dernier, j’ai le souvenir d’un appel téléphonique de Jean Lebrun, un journaliste qui tenait alors l’antenne de France-Culture le matin. Il m’avait contacté pour me demander de réfléchir à la représentation du philosophe en tout – histoire, peinture, littérature, cinéma, poésie… J’avais sérieusement effectué des recherches et il m’avait rappelé plus tard pour m’enregistrer. J’avais donc déroulé mon topo : le philosophe chez Barrès et Guilloux, chez Poussin et Fromanger, chez Lucrèce et La Fontaine, etc. On enregistre ; puis, sous la forme d’un faux repentir mielleux sinon fielleux, le catho de gauche ajoute : « quelle image associez-vous au philosophe ? » ; je réponds : « Nietzsche, seul, marchant autour du lac, à Sils Maria, habité et requis par ses intuitions philosophiques ». « Bon très bien » me dit-il avant d’ajouter : « ah oui… et que pensez-vous de BHL ? ». J’étais à l’époque auteur Grasset et j’aurais estimé inélégant de critiquer ce personnage en publiant dans la même maison. Il n’eut pas, lui, de ces élégances et me cibla un jour dans Le Point lors de la parution de mon Freud. Il ouvrit des hostilités qui m’ont rendu ma liberté. J’ai alors dit qu’au-delà de ses chemises blanches, il avait contribué à restaurer la ligne claire en philosophie dans un temps de sabir structuraliste. « Très bien me dit-il, ça ira, ce sera diffusé demain matin ».

Le lendemain, à sept heures, dans ma voiture pour Caen où je donnais mon cours une heure plus tard, j’entendis sur France-Culture Jean Lebrun annoncer que l’heure était consacrée à BHL. Vers 7h30, il annonça : « nous avons demandé à votre ami (sic) Michel Onfray ce qu’il pensait de vous ». C’est bien sûr la seule chose qui fut diffusée de tout le travail qu’on m’avait sciemment demandé de faire en vain.

Depuis, je sais ce qu’est un journaliste.

Sonia Mabrouk ne mange pas de ce pain-là.

Note de la rédaction : Le journal Libération n’est pas à son premier coup au-dessous de la ceinture concernant Front Populaire. Alors que notre revue n’était pas encore sous presse, en mai dernier, ce journal, sous la plume de Laurent Joffrin, parlait sans en avoir lu une ligne de « dérives d’extrême droite » et nous comparait à Marcel Déat et Jacques Doriot, deux collaborateurs dont on rappellera que l’un porta l’uniforme nazi et l’autre travailla activement à Vichy puis à Sigmaringen avant d’être condamné à mort par contumace à la Libération. On saluera l’esprit de nuance ! Libération n’a jamais ensuite cru utile de nourrir son « argumentaire ». En revanche, une nouvelle attaque devait avoir lieu au sujet du succès de Front populaire qui avait alors le tort d’avoir engrangé des abonnés et des lecteurs et donc – si on suit leur raisonnement – de ne rien couter aux finances publiques ! Chacun sera libre d’apprécier qu’en revanche, et depuis des années, des dizaines de millions d’euros d’aides publiques ont été versées à ce quotidien, le journal ne pouvant vivre du seul désir de ses lecteurs.

Michel Onfray revèle des pressions d’un journaliste de Libération pour dire du mal de Sonia Mabrouk

Libé est-il un journal coutumier des révélations forcées?

Michel Onfray révèle les méthodes journalistiques mde Libération

Pressé par Libération de parler de Sonia Mabrouk en mal, Michel Onfray dénonce les manœuvres du journaliste Guillaume Gendron qui a tenté de lui faire dire ce qu’il voulait qu’il dise, sous couvert de témoignage spontané.

Michel Onfray ne participe pas à la vénération du microcosme gauchiste pour Libération et provoque des réflexes conditionnés de solidarité. La parole du philosophe et co-fondateur du medium souverainiste ‘Front populaire’ est suspectée: il serait impensable que le journaliste Guillaume Gendron journalistes ait pu tenté insidieusement de lui faire dire du mal de l’écrivaine. Dans un billet publié mercredi 21 avril sur son blog, Michel Onfray dénonce  le « journalisme Orwellien ».

Il explique avoir reçu du journaliste de Libé le texto suivant : « J’aurais aimé revenir quelques minutes avec vous sur vos interactions en plateau avec [Sonia Mabrouk], et plus généralement vous donner l’occasion de lui répondre vu qu’elle vous cible ouvertement dans son dernier livre ».

Pas d’animosité latente

Une manœuvre qui selon Michel Onfray, vise clairement à le conduire au « clash » avec Sonia Mabrouk : « Ce texto dit clairement les choses : comme un sniper, Sonia Mabrouk me « cible » dans son livre et, généreux, amical, charitable, serviable, bienfaisant, le journal Libération, […] -, me donnerait l’occasion d’une vendetta bienvenue ! Elle me « cible », Libé me propose de la tuer… C’est une bonne et belle conception du journalisme », tance-t-il.

Il affirme que le quotidien de gauche a fait l’erreur d’anticiper entre les deux protagonistes une animosité dont le philosophe se défend, assurant de son respect envers Sonia Mabrouk et ne pas être offensé par les propos tenus dans son dernier livre. « Nous nous entendons bien et je la respecte en tout. Elle écrit en plus de bons livres », écrit-il.

Et d’évoquer une situation similaire qu’il aurait vécue dans les années 1990, où on aurait alors cherché à lui faire dénigrer Bernard-Henri Levy. « Depuis, je sais ce qu’est un journaliste », conclut Michel Onfray. Dénonciateur dans ses colonnes de « L’Etat profond » ou du « système » médiatique, Michel Onfray ne cache pas son inimitié envers la presse traditionnelle, en particulier envers Libération, qui lui rend bien.

De ce Gentron-là, Sarah Cattan dit…

« On pourrait se ficher comme d’une guigne de Guillaume Gendron L’Envoyé très spécial de Libé en Israël. Avoir lu une puis deux puis trois bafouilles de ce personnage aurait pu nous suffire : installé à Tel Aviv et financé par Libération, le mec semble là pour tout à la fois vomir l’Etat hébreu en se goinfrant de Falafels arrosés de Maccabee, et c’est sans doute ainsi vivant qu’il s’essaie à trouver ce qu’il croit être des sujets et à écrire, d’une plume trempée dans le fiel, tout le mal qu’il pense d’Israël et de ses habitants. » (janvier 2019)

L’actualité qui favorise l’orgasme d’un Gendron ? Se saisissant de la mort d’un Ari Fuld, notre homme va le qualifier d’activiste pro-colon et nous expliquer, digne collaborateur de Libé, qu’il fut poignardé en Cisjordanie Occupée.

Comment jouit un Gendron? Pas de mort à l’arme blanche à se mettre sous la dent ? Peu lui chaut : le Gendron a des réserves : le voilà qui va s’épuiser à mettre à terre un auteur duquel il n’a pas aimé le livre : sa critique de Bande de Français relevait d’une perversité certaine tant salir Marco Koskas intéressait bien mieux notre homme que critiquer son bouquin. » (PLUS dans Tribune juive)