Emprise de l’extrême gauche internationale: Decathlon retire ses publicités d’une chaîne d’info en continu

Victime de chantage, le groupe Auchan exerce une pression politique sur la presse et les Français, sous la contrainte

TWITTER, GOOGLE ou YAHOO, en FLAGRANTS DELITS de CENSURE POLITIQUE

On connaît la malfaisance d’ONG supranationales et illégitimes. On découvre un groupe de pression actif sur les réseaux sociaux partisans et qui instrumentalise les enseignes commerciales. Réseau occulte d’ultras, développant une stratégie d’infiltration de la société civile, sans tête, comme les ‘Black bloc – dit citoyen , comme d’autres se disent « anticapitalistes », « humanitaires » ou « anti-racistes » – , des activistes politiques obtiennent de Decathlon qu’il proteste contre « l’orientation délétère », selon eux, de CNews, chaîne montante d’information en continu du groupe Canal+.

Sleeping Giants, collectif citoyen de lutte contre le financement du discours de haine, s’est targué jeudi d’avoir poussé Decathlon a retirer ses publicités de CNews pour Noël. La raison? « Parce que l’orientation délétère de CNews ne peut plus être ignorée », explique subjectivement… Sleeping Giants sur … Twitter.

Le mode opératoire de ce collectif d’extrême gauche consiste à interpeller publiquement les annonceurs de publicités sur les réseaux sociaux sympathisants. Ils ciblent les media qu’ils ont étiquetés d’extrême droite ou des émissions relayant des discours jugés racistes ou sexistes. Le collectif est né aux Etats-Unis en novembre 2016 en réaction à la victoire du Républicain Donald Trump à l’élection présidentielle américaine. Twitter héberge leur compte Twitter depuis une première action de boycottage contre Breitbart News, media conservateur dont le président exécutif depuis 2012 était Steve Bannon jusqu’à ce qu’il quitte son poste en 2016 pour diriger la campagne du candidat du Parti Républicain qui, en 2020, représentera encore près de 50% de l’électorat américain.

Un collectif totalitaire ? La branche française de Sleeping Giants est apparue le 17 février 2017 et a d’abord pris pour cible deux sites catalogués d’extrême droite par la gauche radicale: le site d’information généraliste Boulevard Voltaire, fondé par Robert Ménard et Dominique Jamet, et le blog Breiz atao, créé par Boris Le Lay. Les annonceurs cèdent aux pressions des despotes de l’extrême gauche: plus de 1.000 d’entre eux – qui condamnent probablement Amazon (et AliBaba ou eBay ?) – bloquent Boulevard Voltaire, tandis que Google Ads bannit Breiz atao. On comprend dès lors que la presse n’est pas libre – si le pouvoir ne garantit pas son indépendance – et que des diplômes universitaires sont offerts aux militants sectaires et aux activistes bien-pensants.

En octobre 2019, les trolls numériques de l’antenne française menacent la société Ferrero sur… Twitter. L’entreprise agroalimentaire italienne, connue par des produits phares tels que Nutella, Kinder, Ferrero Rocher, Mon Chéri ou Tic Tac, retire dare-dare l’émission Zemmour & Naulleau sur Paris Première (Groupe M6) de la liste de diffusion des publicités Nutella. Après la capitulation de Ferrero, les mutuelles la MAIF (liée à la FSU), Groupama, autre mutuelle (Gan, Amaguiz et Orange Bank) et Monabanq (Crédit mutuel et Cofidis) se soumettent aux assaillants. Sur Twitter, la branche Ferrero France avait frémi pour son image: les maîtres-chanteurs se présentaient en chevaliers blancs, un « collectif de citoyens qui lutte contre les discours de haine ». Les Sleeping Giants avaient demandé à la marque : « En passant vos pubs sur Paris Première ce mercredi 2 octobre pendant l’émission de Zemmour, vous le cautionnez et le financez. Est-ce délibéré ? ». Ferrero et le quarteron de mutuelles s’étaient couchés, mettant le doigt dans l’engrenage de l’intimidation.

La presse institutionnelle se protège-t-elle solidairement des maîtres-chanteurs ?

CNews, privée de Noël par des « trolls numériques » radicaux anonymes

Le grand commerce appelle à la compassion pour les petits commerçants face au coronavirus mais, « en même temps », il porte atteinte à la liberté de penser

« En effet nous avons retiré nos publicités de CNews en cette fin d’année », a avoué la chaîne de magasins de produits de sports, sur son compte Twitter , partenaire objectif du collectif. Auprès du magazine LSA, Decathlon confirme un « retrait immédiat et pour la fin de l’année » mais se refuse à tout commentaire sur les raisons de cette décision et sur la possibilité évoquée par Sleeping Giants de la prolonger sur toute l’année 2021.

Paul-Bisquit joue les ingénus, mais c’est un troll pro, parmi d’autres, de la censure vertueuse : LCI est une autre cible qui ne troublera pas non plus BFMTV bien longtemps encore. La République se laissera-t-elle gangrener : à la menace islamiste s’ajoutent les atteintes au pluralisme?

Decathlon (Auchan) qui inonde le pays de produits chinois et turcs a gagné

La chaîne de télévision CNews est régulièrement la cible de critiques sur le choix de ses intervenants [le père de Laurent Joffrin était d’extrême droite, comme celui de François Hollande, mais le sont-ils pour autant eux-mêmes parce que chroniqueurs de L’Heure des Pros?]. Certains sites, comme toutelatele.fr, se font une spécialité de chercher des poux à ces intervenants, mais occulte la prestation de Bruno Le Maire, cette semaine… La tonalité de ses débats, jugés très clivants, est incriminée, bien que juste décapants, ou soupçonnés de « flirter » (sic !) avec une idéologie d’extrême droite (laquelle ?), bien que juste en antithèse de la pensée unique, à laquelle s’accroche la gauche radicale rejetée par l’électorat qu’elle accuse, du coup, de tous les maux et dérives. La majorité silencieuse – la « Sleeping majority » ! (« silent majority« ) – est-elle fasciste ?

La direction de CNews assume être une « chaîne d’opinions ». Les analyses de l’essayiste Eric Zemmour mettent à mal les thèses de la gauche et ses réflexes de survie sont compréhensibles, mais ses attaques ad hominem, ses diffamations, ses coups fourrés, ses appels à la censure et son agitation de l’opinion, via les réseaux sociaux, sont autant d’attaques contre la liberté d’expression et aux valeurs de la République.

En ne bloquant pas les tweets diffamatoires, Twitter participe au totalitarisme d’extrême gauche

Twitter est très réactif aux demandes de fermeture de comptes déplaisants aux ultras, mais autorise les insultes sectaires.

On peut être ultra de gauche et manquer d’orthographe:

TWITTER paie-t-il des impôts sur ses profits commerciaux en France ? Si PaSiDupes est muselé, ne vous interrogez pas sur les causes de son silence: ce ne sera pas une catalepsie ! Le blog s’est déjà retiré de Facebook au vu d’étranges dysfonctionnements et filtrages, également constatés sur Blogger de Google (comme WordPress) – et des embrouilles injustes sur YouTube de Google, la pieuvre ! Le virus rôde, mais le plus dangereux pour la démocratie n’est pas celui qu’on pense. A bientôt peut-être…

Boycottons les marques politisant les conditions de leur pub dans les media

Des marques exercent des pressions partisanes en retirant leurs publicités pendant l’émission de Zemmour: une agression ad hominem

Après le groupe Ferrero, trois autres grandes marques ont indiqué en 2019 leur refus sectaire de faire partie des annonceurs de l’émission “Zemmour et Naulleau”, sur Paris Première, révèle ‘Le Parisien’.

Ils sont désormais quatre entreprises à prendre très clairement position dans l’affaire Zemmour. Après la décision de Ferrero de ne plus être annonceur de l’émission de l’essayiste sur Paris Première, « Zemmour et Naulleau », la MAIF, mutuelle d’enseignants, Groupama, qui parrainne le sport nautique à voile (Route du Rhum: Négrita?, etc), et Monabanq lui ont emboîté le pas, selon Le Parisien

Pour l’année 2017, Groupama SA déclare à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique exercer des activités de groupe de pression en France pour un montant qui n’excéderait pas 200.000 euros. La fédération nationale Groupama, également inscrite auprès de la HATVP, n’a cependant pas déclaré, comme elle était légalement tenue de le faire avant le 30 avril 2018, l’ensemble de ses activités et dépenses. Un candidat a un poste chez GAN, l’une de ses filiales, compare le processus de recrutement à de « l’abattage » et à « du tri sélectif ». Un sujet pour L214?

Une suite de pressions en chaîne

Sur Twitter, la branche Ferrero France avait donné satisfaction à un « collectif de citoyens qui [selon lui] lutte contre les discours de haine », et qui l’avait interpellé. Un collectif de citoyens haineux ďénonçant la haine des autres, sur le modèle des anti-racistes racialistes ou des antifa fascistes,  les Sleeping Giants avaient fait du chantage auprès de la marque : « En passant vos pubs sur Paris Première ce mercredi 2 octobre pendant l’émission de Zemmour, vous le cautionnez et le financez. Est-ce délibéré ? ». Une menace implicite.

[https://twitter.com/slpng_giants_fr/status/1300777586285518849?s=19]

« En aucun cas nous ne cautionnons… »

Le message a été relayé en cascades, sur mobilisation des twittos de la gauchosphère, tout comme ceux stigmatisant les autres marques qui avaient diffusé leurs publicités ce jour-là. Ferrero France a été le premier à se soumettre« En aucun cas nous ne cautionnons les propos et prises de position de M. Zemmour. Nous avions effectivement un spot avant l’émission. Notre agence média ne connaissait ni le contenu ni la programmation au moment où elle a réalisé nos achats média avec Paris Première » (groupe M6), avait justifié la marque dans un premier temps, avant de décider de lâcher le pantalon sur les chevilles,  supprimer purement son engagement sur la chaîne. « A la vue des récents événements, nous avons demandé à Paris Première d’exclure ce programme de notre liste de diffusion. »

Si l’italien Ferrero avait été applaudi par de nombreux internautes militants pour son sa soumission, d’autres avaient tancé une volonté de se « racheter une éthique ». Mais la polémique est venue de l’aile droite politique. L’organisateur de la Convention de la droite, Erik Tegnér, avait dénoncé une « décision ahurissante » et décidé en conséquence de « ne plus consommer de Nutella » avec le hashtag #BoycottNutella. Il a été suivi par L’Incorrect, journal fondé par des proches de Marion Maréchal, rappelle le Huffington Post, qui a préféré ironiser : « L’écologie intégrale, c’est regarder Zemmour en dégustant du comté AOC sur une baguette tradition ». Et le béret ou le serre-tête ? Toujours avec le même hashtag, accompagné de #JeSoutiensZemmour.

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Enfin, le député RN Louis Aliot avait également tourné en dérision la décision de Nutella qui « va aider nos enfants à moins manger des cochonneries ». Pour le groupe Sleeping Giants, cette décision était une petite victoire. Elle compte continuer de s’attaquer aux autres enseignes qui diffusent leurs publicités, ainsi qu’à CNews qui va offrir au polémiste une émission quotidienne du lundi au jeudi.

De son côté, la MAIF a indiqué avoir elle aussi « exclu le programme Zemmour et Naulleau de [ses] futurs investissements sur la chaîne » Paris Première, maintenant toutefois ses « achats programmés, effectués bien avant les événements récents ». La marque d’assurances Groupama, et ses filiales GAN et ORANGE BANK ou AMAGUIZ elle, a précisé au journal avoir « retiré immédiatement ses publicités des chaînes où travaille ou pourrait travailler Eric Zemmour ».

De même pour la banque en ligne de COFIDIS, Monabanq, qui ne « ne diffusera plus ses publicités sur les chaînes Paris Première et CNews durant les émissions d’Eric Zemmour ». Le Parisien affirme aussi que les autres groupes interpellés par le collectif Sleeping Giants n’ont pas répondu au quotidien.

#BoycottonsFerrero, #BoycottonsLaMaif, #BoycottonsGroupama, #BoycottonsMonabanq, #BoycottonsCofidis,