Marlène Schiappa perd ses nerfs et prononce une grossièreté

Les violences faites aux femmes, son fonds de commerce?

Danseuse, comédienne, metteure en scène, scénariste, réalisatrice de 43 ans, Andréa Bescond était invitée à débattre avec l’ex-secrétaire d’Etat de l’égalité femmes-hommes dans l’émission « C ce soir » sur France 5, mais le dialogue a vite tourné à l’affrontement entre les deux femmes.

Les deux femmes étaient invitées pour évoquer le sujet des violences faites aux femmes, conjugales et sexuelles. Et le débat a vite tourné à l’aigre et à l’invective entre les deux protagonistes : « Il y a des femmes qui meurent, des femmes qui sont violées tous les jours. Toutes les sept minutes, il y a une tentative de viol. Oui je vous l’apprends. A votre place, honnêtement, je ne serais pas comme ça toute détendue en train de sortir un livre », a reproché Andréa Bescond à la secrétaire d’Etat.

Marlène Schiappa est meilleure dans le martèlement d’effets de langage que dans les débats. « Vous trouvez que c’est serein de me dire à moi que je connais pas les violences faites aux femmes ? » s’est emportée la secrétaire d’Etat chargée de l’Economie sociale et solidaire et de la Vie associative, 40 ans.

Marlène Schiappa n’a pas supporté les critiques formulées à son encontre par Andréa Bescond, ce mercredi 8 mars.

« Mais c’est une plaisanterie. Je trouve ça juste honteux, je suis désolée, mais je ne vais pas rester sur ce plateau. » 

« Mais merde quoi ! »

C’est à ce moment que, lissage brésilien hérissé, Marlène Schiappa sort de ses gonds et s’emporte : « Mais c’est une plaisanterie. Je suis désolée, mais je trouve ça juste honteux (…) je ne vais pas rester sur ce plateau », assure-t-elle en se levant de son fauteuil. Elle demande alors aux équipes et à l’animateur de l’émission, Karim Rissouli, de « couper » cette séquence « Y a pas de Vous restez là ! », assène, hors d’elle, la secrétaire d’Etat à l’animateur. « Me dire à moi que je découvre les violences sexuelles, mais merde quoi ! J’ai quelqu’un qui a été tué d’un coup de fusil ! » Lien video

« Andréa, vous hurlez. C’est trop facile de faire ce que vous êtes en train de faire. (…) C’est lunaire. Le débat est terminé, merci », continue Marlène Schiappa, avant de se rasseoir et de critiquer la prise de parole de la réalisatrice : « Vous trouvez que c’est serein de me dire à moi que je connais pas les violences faites aux femmes ? » Andréa Bescond lui a ensuite demandé de démissionner « avec votre ministre de l’Intérieur, avec votre garde des Sceaux ».

La séquence a été diffusée telle quelle mercredi soir sur France 5, sans « coupe », comme l’avait assuré Karim Rissouli lors des échanges et est également toujours présente dans le replay de l’émission.

Les députés picolent pendant les débats: les élus NUPES plus que les autres ?

L’article 49.3, antidote à la prise d’alcool face aux budgets de l’Etat et de la Sécurité sociale comme à la réforme des retraites ?

La  bouteille ferait des ravages jusque dans les travées du Palais-Bourbon. Le bureau de l’Assemblée a dû « regarder » le « sujet » des consommations excessives des député(e)s « sur la table ». La virulence des débats sur la retraite et les séances nocturnes ont accentué la tendance.

Rupture de stock de Get 27 : c’est ce qu’indiquait, la semaine passée, une pancarte affichée à la buvette des députés. Le sujet de l’addiction à l’alcool de nos élus a en tout cas été jugé suffisamment sérieux pour être abordé le 8 février lors de la réunion du bureau de l’Assemblée nationale, qui réunit la présidente, les questeurs, les vice-présidents, les secrétaires et les présidents des groupes parlementaires.

Outre la question des comportements insultants et outranciers, inscrite à l’ordre du jour par la cheffe des députés Renaissance, Aurore Bergé, celle de l’alcoolisation excessive de certains élus l’avait également été, à la demande de sa collègue Insoumise Caroline Fiat.

Le pic de consommation d’alcool à l’heure du dîner, soit entre 20 heures et 21 h 30

L’hypothèse d’une interdiction de l’alcool à la buvette des députés après 21 h 30 a même été évoquée – sur le ton de la boutade – par l’élu RN Sébastien Chenu, lieutenant de Marine Le Pen. Avant que la première questeure, Marie Guévenoux (Renaissance), chargée de la gestion administrative et financière, ne précise que le pic de consommation d’alcool se situe en réalité à l’heure du dîner, soit entre 20 heures et 21 h 30. En attendant que la députée, qui a demandé à ses services d’établir des comparaisons chiffrées avec la précédente législature, ne les présente au prochain bureau, le 7 avril, un modus operandi a été établi : la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, « a souhaité que chaque président de groupe concerné par le comportement d’un de ses membres gère ce type de situation si elle se présente », selon un proche. A chaque chef de file de repérer les comportements problématiques, donc, et d’alerter immédiatement les huissiers. « C’est aussi notre job de faire attention aux écarts et d’être attentifs aux autres », explique Aurore Bergé.

Les données chiffrées de la questure, pas encore disponibles, indiqueront si l’appel de l’apéritif s’est amplifié depuis les élections législatives de juin, après une mandature 2017-2022 où la consommation d’alcool avait nettement baissé et celle de Coca Zero fortement augmenté.

Mais des agissements douteux ont été récemment relevés, notamment à l’occasion des dix jours de débats houleux sur la réforme des retraites. « La buvette, ça va devenir un problème, estime une députée Renaissance. Certains commandent des coupettes dès 11 heures du matin, d’autres sont au rhum à 16 heures… Au début de l’examen du texte, j’ai vu un député se faire ramasser par les serveurs de la buvette tellement il était mal. »

Un député Insoumis aurait même été aperçu vomissant dans une poubelle

Dernière révélation en date : un député Insoumis, qui dément les faits, aurait même été aperçu par des collègues vomissant dans une poubelle.

Et cette élue macroniste de raconter la conclusion des débats sur les retraites, vendredi 17  février dans la nuit : « Dans la buvette et dans les jardins, c’était alcool à gogo jusqu’à 3 heures du matin. Après qu’on a donné ce spectacle pitoyable en séance, ça a bu, dans notre groupe et dans les autres… »

Les orateurs les plus violents et insultants ont-ils le taux d’alcoolémie le plus élevé ? Qu’importe la circonscription ou l’étiquette partisane pourvu qu’on ait l’ivresse… « Tout le monde est susceptible d’en avoir dans son groupe », indique un haut cadre du Palais-Bourbon. Dans la ­majorité, on pointe cependant ­volontiers les adversaires politiques, ­notamment à gauche. « Chez nous, on blague sur le fait que les Insoumis seront plus chauds ce soir parce qu’ils seront passés par la buvette », sourit un élu macroniste. Réplique d’un député de la Nupes, qui crie à la tentative d’intoxication : « Ça fait partie de l’anti-LFI primaire. C’est assez classique de décrire l’ennemi comme un soûlard. Mais je vois plus de vieux députés LR qui boivent que de députés LFI… » Après le « mâle blanc hétéro », la stigmatisation du « vieux LR. » Et, en la matière, à chacun son arbitre des beautés : « Il y a quand même un effet générationnel : plus de vin pour les anciens, plus de bière et de cocktails genre Spritz pour les jeunes, mais moins d’alcools forts, genre whisky », assure cet élu de gauche, un statisticien et pilier de la buvette.

Une tradition parlementaire solidement ancrée

Beaucoup relativisent, invoquant une tradition parlementaire solidement ancrée. « C’est ma septième mandature et j’ai toujours vu des incidents liés à l’alcool », assure un cadre de l’Assemblée. « Il y a vingt-cinq ans, le problème de l’alcool était plus fort », renchérit Sébastien Chenu. D’autres évoquent la spécificité du travail des parlementaires, notamment dans leurs circonscriptions : « En France, quel que soit le territoire, on estime que la convivialité est liée au fait de boire, résume un poids lourd macroniste. Quand vous avez cinq cérémonies de vœux par jour, chaque fois on vous propose un verre. À vous d’imposer vos limites. »

Lever le pied sur le rythme intense des débats

Pas facile pourtant, poursuit cet élu, de s’astreindre à telle discipline, d’autant plus quand les esprits s’échauffent : « Dès qu’il y a suspension de séance, vous allez prendre un verre à la buvette pour relâcher la pression du chaudron. Et ça devient régulier. J’ai vu des gens devenir alcooliques… » Pour beaucoup, cette « pression », intense dans les dernières semaines ­d’affrontement sur le recul de l’âge légal de départ à la retraite, a pu favoriser certains écarts. « Quand on est enfermés depuis quinze jours et qu’on est dans une situation de stress permanent, ça peut arriver d’aller boire un coup pour décompresser », plaide un député ­Renaissance.

C’est d’ailleurs surtout face au rythme effréné des discussions sur la réforme, et à la violence des échanges dans une assemblée éclatée en quatre blocs antagonistes, que la tentation du petit remontant gagnerait du terrain. « On est le seul Parlement européen à continuer le travail de nuit, peste un député MoDem. Il faut arrêter. Si certains boivent un coup, c’est qu’il faut tenir des rythmes qui ne sont pas normaux. » Un député écologiste implore même : « Ne faites pas fermer la buvette ! Dans une ­Assemblée très tumultueuse, c’est un lieu préservé du combat politique où on peut souffler un peu. J’aime bien y papoter avec des collègues macronistes. » Personne, au fond, ne préconise une cure de désintoxication forcée des parlementaires. Mais plutôt de lever le pied sur le rythme intense des débats, en somme, afin d’éviter aux députés d’être tentés de lever le coude…

Louis Boyard est-il passé de la drogue à l’alcool ou au Spritz ?

« Guignol », « raciste », « négationniste »: Hidalgo insulte Zemmour, incitant à irrespect et haine

Le courage aurait été une attaque frontale en débat…

L’ex-inspectrice du Travail
  fait-elle un complexe
face à l’érudit ?

La socialiste Anne Hidalgo, une islamo-gauchiste, est-elle séparatiste? Ses attaques ciblées sur son possible concurrent à 17% confirme la radicalité de Madame 5%. Elle lâche désormais ses coups contre Eric Zemmour, l’essayiste contestataire des thèses gauchistes. Cette démocrate – dont la famille fuit l’Espagne de Franco assure maintenant qu’elle refuserait de débattre avec lui – hormis si tous les prétendants à l’Elysée sont moins sectaires et présents.

Anne Hidalgo, candidate hystérique ?

Elle ne sert pas la cause féministe, donnant raison aux machos qui dénoncent l’hystérie d’un nombre grandissant de femmes.

La candidate socialiste à l’élection présidentielle, Anne Hidalgo, a éructé ce dimanche 31 octobre qu’elle ne souhaite pas débattre avec Eric Zemmour, qui est, selon elle et ses semblables, un « guignol », un « négationniste » et un « raciste », en s’étonnant par ailleurs qu’il n’y ait pas de « manifestations » de rue contre le journaliste.

« J’en appelle à ce que cette élection présidentielle soit une vraie élection présidentielle avec un vrai débat, pas un débat sur cette candidature d’un guignol », a-t-elle polémiqué avec véhémence,  dans l’émission Le Grand Jury de LCI/RTL/Le Figaro.

Un flot d’invectives à défaut d’argumentaire.

Les mauvaises raisons de son mépris ne masquent pas sa peur du ridicule dans un face à face. « Je ne débats pas avec un négationniste, je ne débats pas avec un raciste et je ne débats pas avec cette personne-là qui est en train de bafouer et de marcher complètement, de piétiner ce qui est l’histoire [Histoire] de notre pays, ce qui est sa grandeur et ce que sont ses valeurs », a débité l’Andalouse hargneuse et méprisante.

« Il y a quelques années, des manifestations auraient éclaté »

La maire Hidalgo s’était ridiculisée une semaine plus tôt. Elle s’était révélée déconnectée en s’indignant de distributeurs de billets qui suppriment des emplois depuis… 1968 à Paris !

La nostalgie de la progressiste est un appel aux émeutes. Toutefois, si Eric Zemmour se présente effectivement à la présidentielle et si un débat était organisé entre tous les prétendants, Anne Hidalgo y participerait, a-t-elle précisé. « Mais (pas) un débat, là, dans les mois d’installation de cette campagne avec cette personne », a-t-elle insisté, comme paniquée à l’idée.

« Il y a quelques années, des propos comme ceux de Zemmour auraient été prononcés sur une antenne, il y aurait eu des manifestations », a-t-elle distillé, en estimant que « M. Zemmour assène des contre-vérités, des messages de haine, des messages racistes, des messages antisémites ». « Personne ne va dans la rue pour manifester, reprend-elle, (alors qu’il) vous explique que le général de Gaulle et Pétain, c’est la même chose… Et il n’y a pas une manif dans les rues de nos villes, vous croyez que ça, c’est un pays qui va bien ? » a-t-elle interrogé, en appelant au « réveil », avant qu’il ne soit « trop tard ».

Selon les derniers sondages, le président sortant, qui n’a pas dit s’il est candidat à un second mandat, arriverait en tête du premier tour de la présidentielle de 2022, suivi de Marine Le Pen (RN) et d’Eric Zemmour, possible candidat mais pas plus déclaré encore que Macron.

Reconfinement: Castex pète un cable à l’Assemblée

Le déconfineur s’emporte contre les opposants au reconfinement du petit commerce

Castex a volé dans les plumes de Jean-Christophe Lagarde:
conflit d’intérêts ?

Répondant à une question de Jean-Christophe Lagarde, le premier ministre a reproché au maire de Drancy d’appeler certains maires à « violer les lois de la République » en maintenant certains commerces ouverts.

Le Premier ministre, Jean Castex, à l'Assemblée nationale le 3 novembre 2020

Lors des séances de questions au gouvernement, il est souvent conseillé aux ministres de se détacher de leurs fiches. Jean Castex a perdu ses nerfs ce mardi à l’Assemblée nationale et le premier ministre s’est laissé submerger par la colère pour répondre, avec véhémence, à Jean-Christophe Lagarde. Critiqué pour avoir fait et défait des noeuds pour mieux les resserrer, le technocrate de Matignon a étranglé le petit commerce, avant, aux dernières nouvelles, de relâcher de nouveau la pression, aux cris étouffés de « I can’t breathe » des petits commerçants asphyxiés à la fermeture de leurs magasins, pour cause de reconfinement non assumé, qualifié de « nouveau confinement ». Haut-fonctionnaire dépassé par les épreuves, le premier ministre a reproché à certains députés d’apporter leur soutien aux petits commerçants, les accusant d’appeler les maires – qu’il sous-estime visiblement – « à violer les lois de la République ».

« Le confinement, vous le savez toutes et tous, consiste à faire en sorte que le maximum de nos concitoyens restent chez eux pour casser la progression épidémique et l’arrivée dans les services d’urgence« , a-t-il d’abord réexpliqué au président de l’UDI.

« Mesures courageuses »

Jean Castex s’est ensuite fortement agacé, pointant du doigt les bancs de la droite et du centre, de leurs arguments supposément contradictoires. La deuxième vague de Covid-19 « suppose donc qu’on limite à l’essentiel nos déplacements », a-t-il rappelé, avant de poursuivre.

« L’essentiel, c’est le travail, comme pour la première vague! C’est – et (…) vous me l’aviez tous demandé! – de ne pas fermer les écoles et les établissements d’enseignement. (…) Évidemment, c’est de s’alimenter, c’est-à-dire les commerces de première nécessité. Allez au-delà, (…) il faut le dire, c’est ne plus faire de reconfinement! »

Et le premier ministre de viser frontalement Jean-Christophe Lagarde, exprimant sa solidarité avec des commerçants qui traversent une période difficile. « Je ne comprends pas que vous ayez envoyé aux adhérents de votre formation politique, aux maires, une demande leur suggérant vivement de prendre des arrêtés pour s’opposer aux décisions de l’état d’urgence sanitaire« , a-t-il lancé, avant de se lancer dans une tirade désespérée et pathétique:

« Quand les Françaises et les Français sont dans la difficulté, quand la situation exige des mesures courageuses et nécessaires, quand la République est confrontée à la plus grave crise sanitaire qu’elle ait subie depuis des décennies, on n’appelle pas les maires, serviteurs de la République [sic], à violer les lois de la République! Ça n’est pas possible! »

Après avoir négligé une vraie concertation et imposé un état d’urgence sanitaire, mais aussi réitéré du soutien aux caricatures de Charlie hebdo, au nom de la lberté d’expression, il exige des maires silence et passivité.

Un «français correct», nécessité choquante, selon Dupont-Moretti

Le ministre balaie cette proposition de députée LR d’un revers de manche

Le ministre recadre brutalement une députée LR : «Je suis très choqué par cet amendement» 

La députée LR, Nathalie Porte, voulait inscrire dans la loi la nécessité d’un «français correct», simplement pour pouvoir saisir le Conseil économique, social et environnemental (CESE). Elle a en retour reçu une leçon d’orthographe par le garde des Sceaux.

Eric Dupond-Moretti, 59 ans, ne parvient pas à s’imposer en politique, enfilant les déclarations controversées, l’ancien avocat a confirmé mercredi sa véhémence naturelle. Lors de l’examen en hémicycle à l’Assemblée nationale du projet de loi sur la réforme des conditions de saisine du CESE, le ministre de la Justice a taclé la députée LR Nathalie Porte, 47 ans.

Cette élue du Calvados a soumis un amendement qui vise à inscrire dans la loi la nécessité d’un «français correct» pour pouvoir saisir le conseil. L’amendement a déjà été jugé défavorablement dans un premier temps par le député MoDem du Finistère Erwan Balanant, le rapporteur LREM du projet de loi. «Je trouve cela assez cocasse, mais aussi discriminatoire. On a des gens qui ont parfois des problèmes d’orthographe, ça peut arriver», a-t-il souligné, évoquant, pour illustrer son propos, le cas des députés. «Je ne suis, par exemple, pas le plus brillant en orthographe», a indiqué le rapporteur, un réalisateur.

«Je pense en particulier à ma mère»

Le garde des Sceaux a ensuite pris le micro, et déroulé : «Pardonnez-moi, Madame la députée, je suis très choqué par cet amendement. Je voudrais vous dire, mais je ne vais pas m’étendre là-dessus, que quelqu’un qui m’est très proche, et qui a la même nationalité que la nôtre, est allé un an à l’école et qu’elle n’écrit pas le français comme vous», a-t-il raconté. «Je pense en particulier à ma mère qui a quitté son pays d’origine pour fuir la misère et elle est arrivée dans ce grand pays», a évoqué Eric Dupond-Moretti.

Avant d’enfoncer le clou : «Je voudrais également vous dire que vous avez présenté votre amendement, et que vous avez dit : “Il devra-t-être.” Il y avait un “t” de trop, et pourtant, votre amendement, nous l’examinons». Méprisant.