Les députées LFI Rachel Keke et Clémence Guetté, en soutien à des OQTF, à Thiais,Val-de-Marne

La législation permet des recours multiples et des abandons de poursuites

Les députées LFI Clémence Guetté (g) et Rachel Keke venues organiser la résistance de deux OQTF

Depuis octobre 2022, plusieurs migrants sont installés illégalement dans l’ancienne résidence des Baudemons, à Thiais (Val-de-Marne). Un squat que la presse nationale occulte.

L’édile de Thiais déclare :

« Plus de 200 migrants occupent, depuis plus d’un mois, un ancien foyer social, rue des Baudemons à Thiais, locaux appartenant à la Ville de Paris. Une visite technique de sécurité a été réunie, le 2 novembre dernier, sous la direction des sapeurs-pompiers. Elle a qualifié comme dangereuse l’utilisation du lieu. En tant que Maire de Thiais, j’exige l’intervention rapide de la mairie de Paris avant qu’un drame n’advienne ».

Alors que les sapeurs-pompiers ont jugé l’utilisation du site dangereuse, le maire de la ville, Richard Dell’Agnola (LR), en appelle une nouvelle fois à la Ville de Paris.

Une action anti-républicaine concertée de la NUPES

Le bâtiment squatté à Thiais par des clandestins instrumentalisés par la gauche internationaliste

Depuis le 11 octobre 2021, une association a organisé, en toute illégalité, l’occupation de bâtiments abandonnés par la Ville de Paris, rue des Baudemons à Thiais. Ce lieu avait été libéré, car non conforme aux normes de sécurité selon la municipalité.

La fille de Gérard Filoche, socialiste radical (contributeur à différents media extrélistes (L’HumanitéMediapart, etc.) venu de la LCR, membre du conseil scientifique d’Attac et de la Fondation Copernic et donneur de sperme, Léa Filoche, adjointe à la Ville de Paris, en charge des en charge des solidarités, de la lutte contre les inégalités et contre l’exclusion, contestait les faits en octobre dernier, dans Libération : « Le lieu était parfaitement aux normes en juin, nous l’avons abandonné car il était en sous-occupation, les résidents comme les agents le trouvant souvent trop loin de Paris et des transports »… 

Selon Le Parisien, la fille Filoche devait visiter le squat. « Plus de 3 semaines après la transmission du rapport alarmant et de l’arrêté municipal, la Ville de Paris n’a rien engagé pour évacuer les occupants compte tenu de l’urgence de la situation. Quand il y a un danger immédiat, la trêve hivernale ne peut être évoquée. Dans ces conditions de danger, nul n’est à l’abri malheureusement d’une conséquence dramatique. Il conviendrait alors d’en identifier les responsabilités », conclut le maire de Thiais. 

Les députées LFI organisent le désordre en concertation

Les deux néo-députées du groupe NUPES-LFI ont visité la résidence désaffectée des Baudemons à Thiais, où 135 migrants sans-papiers sont installés depuis le 11 octobre. En janvier, la justice avait ordonné leur évacuation «sans délai», au motif de l’état «dangereux» du bâtiment.

Il y a quelques jours, un multirécidiviste d’origine ivoirienne prénommé, disons, Moussa B. et radicalisé en prison, a été expulsé vers la Côte d’Ivoire. Toutefois, avant son expulsion, l’individu avait reçu l’assistance juridique des associations, des juristes militants, et tout fait pour s’opposer à la décision du ministère de l’Intérieur et avait reçu le soutien d’une députée Insoumise.

Alors que, pour son parcours de délinquant, il est visé par un arrêté permettant son expulsion en Côte d’Ivoire, son pays d’origine, Mousse B., un multirécidiviste, a été soutenu par la députée Insoumise Rachel Keke, elle-même Ivoirienne exprimant sa solidarité nationale contre la République dont elle est une représentante rebelle.

Né en 1984 en Côte d’Ivoire, Mousse B. est arrivé régulièrement en France à l’âge de 4 ans. Adolescent, il s’est livré à des actions délictueuses. En effet, l’individu est connu des services de police depuis 1999 et a été condamné à de multiples reprises de 2003 à 2021. Moussa B. a été incarcéré de 2012 à 2020 et son casier judiciaire porte 20 mentions.

Parmi les motifs de son incarcération figurent le port et le transport d’armes, la participation à la préparation d’un crime, la conduite sans permis, le refus d’obtempérer et plusieurs violences et rébellions sur personnes dépositaires de l’autorité publique.

Durant sa détention, le jeune homme s’est radicalisé et le service de renseignements français l’a classé, en 2018, au fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT).

En juillet 2022, le ministère de l’Intérieur a décidé de prendre un arrêté à son encontre permettant l’expulsion du jeune homme. Mousse B. est en situation irrégulière en France depuis plus de dix ans. Et bénéficie de toutes les aides et couvertures sociales.

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Or, avec le soutien d’associations et leurs juristes » bénévoles », le migrant clandestin a refusé huit fois de se soumettre à un test PCR nécessaire à son expulsion et ses conseils juridiques ont fait annuler sept retours vers son pays d’origine.

Il a ensuite été condamné pour ces refus par le Tribunal de Meaux et a été placé en centre de rétention administratif (CRA) à sa sortie de prison le 5 novembre dernier.

Keke et Guetté sont venues entraver l’action de l’Etat

Les occupants de la résidence des Baudemons à Thiais (Val-de-Marne) ont reçu ce vendredi la visite des parlementaires Rachel Keke et Clémence Guetté.

Le 14 novembre, Mousse B. a reçu la visite de la députée Insoumise Rachel Keke.

Une association a également déposé plainte contre l’Etat pour «Islamophobie».

Malgré ces soutiens, le multirécidiviste a fini par quitter le territoire français, le 15 novembre dernier. Et bientôt de retour ?

Marseille : encore un Algérien visé par une OQTF, en flagrant délit de viol et en pleine rue

Les islamistes appellent-ils au viol des femmes européennes ?

« Au secours, aidez-moi, il va me tuer« . Des agents de la BAC sont intervenus après avoir entendu les cris de la victime. Le « suspect » – bien que pris au moment de l’acte – se trouve actuellement en détention provisoire.

Des appels au secours ont été entendus par des agents de la BAC, la brigade anticriminalité de Marseille, en pleine patrouille. Dans la nuit du vendredi 21 au samedi 22 octobre, aux alentours de 2 heures du matin, ils ont intercepté les cris d’une femme en détresse dans une rue du 15e arrondissement des quartiers Nord. Après avoir identifié la provenance de ces appels à l’aide, les agents ont aperçu « un homme, préservatif à la main, en lutte avec sa victime, dénudée et blessée, » selon Le Figaro. A moins que ce ne fut une victime aux prises avec un violeur précautionneux veillant à ne pas livrer son ADN…

L’Algérien en situation irrégulière lui aurait dit: « laisse-toi violer, sinon je te tue ». Les agents de la BAC ont pu l’interpeller et le placer en garde à vue. Il est maintenant, selon la police, en détention provisoire. L’individu est un Algérien sans domicile fixe, visé par une obligation de quitter le territoire français (OQTF), a rapporté une source policière au Figaro, confirmant une information de CNEWS.

Selon ses déclarations à la police, relayées par CNEWS, la victime serait montée à bord d’un véhicule en compagnie de quatre hommes pour aller acheter de la drogue. Se rendant compte qu’ils n’allaient pas dans la bonne direction, elle aurait voulu sortir du véhicule et aurait alors été accompagnée par le mis en cause. Il l’aurait alors pénétrée digitalement, avant l’arrivée des agents et son interpellation.

L’Algérien a été identifié, puisque les autirités avouent qu’il est en situation et sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français non exécutée. Or, une OQTF est exécutoire – par ses propres moyens ! – dans un délai de 30 jours. L’étranger en situation irrégulière devrait être renvoyé s’il ne respecte pas le délai de départ volontaire (sic). Pour aggraver le cas de la France, les OQTF sont susceptibles de recours devant le tribunal administratif. Les victimes des migrants sous OQTF crient vive la France à Macron, leur « protecteur ».

Les bien-pensants assèneront que toutes les femmes violées ne sont pas détruites par des Algériens… Et pourtant, le meurtre de la jeune Lola, 12 ans, qui a soulevé le coeur d’indignation et d’incompréhension des êtres civilisés, a déjà été commis par une suspecte de nationalité algérienne arrivée en France en 2016 de manière légale et qui avait obtenu, pour un CAP, un titre de séjour « étudiant », aujourd’hui périmé depuis plusieurs années. Le 21 août dernier, alors qu’elle voulait prendre l’avion, la jeune femme a été interpellée par la police de l’air et des frontières (PAF) qui a constaté qu’elle ne disposait pas de titre de séjour valide. Elle s’est alors vue délivrer une obligation de quitter le territoire français (OQTF) sous 30 jours. Quelle négligence administrative criminelle a fait que, dans un pays que le monde entier admirerait encore, ces dangereux clandestins se trouvaient-ils encore en France ? 

L’obligation de quitter le territoire français, abrégée en OQTF, est une mesure d’éloignement disposée par le Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile. C’est une décision prise par l’autorité administrative, c’est-à-dire en général le préfet lorsqu’il refuse la délivrance ou le renouvellement d’un titre de séjour à un étranger. Combien de préfets criminels Macron et Dupond-Moretti laissent-ils encore en liberté ?

Agression sexuelle de femme dans un ascenseur du métro

Un homme en situation irrégulière accusé de tentative de viol à Paris

Eric Pliez,
maire PS du 20e de Paris

Les faits ont eu lieu à la station «Porte des Lilas», à Paris, mardi 15 février. « Un homme » de 32 ans a été interpellé.

« Une femme » (blanche ?) de 47 ans a été victime d’une agression sexuelle, en plein jour, dans le métro parisien, mardi 15 février peu après 15 heures, à la station «Porte des Lilas», a-t-on appris de source policière. L’agression a eu lieu dans un ascenseur permettant d’accéder aux quais du métro, où un homme a tenté d’introduire sa main dans sa culotte.

Président du Samu social de 2013 à sa démission en 2019, le maire socialiste du 20e (depuis 2020), Eric Pliez est un féministe de la mouvance Génération.s de Benoît Hamon. Il est issu du monde associatif: Aurore est une association qui œuvre pour l’accompagnement social, le soin et la réinsertion socio-professionnelle de personnes en situation d’exclusion ou de précarité. A l’origine, en 1871, la Société Générale pour le Patronage des Libérés (SGPL) fut écartelée entre catholicisme et laïcité, mais c’est la communauté catholique de la Légion de Marie qui relança l’association en 1946. Mais, en 1967, un décret du premier ministre Georges Pompidou la voua à « la réadaptation sociale et professionnelle des personnes que la maladie, l’isolement, les détresses morales ou matérielles, un séjour en prison ou à l’hôpital ont privées d’une vie normale. »  Aurore est actuellement dirigée par Florian Guyot, un ancien collaborateur de Michel Sapin, PS, puis de Christophe Sirugue (PS).

La victime s’est défendue, a reçu des coups au visage et a été poursuivie par son agresseur, avant de parvenir à demander la protection d’un conducteur de métro. Les policiers ont interpellé l’agresseur, désigné par la victime, sur le quai de la ligne 3 bis en plein après-midi, aux alentours de 15h40.

Très choquée, la victime a été conduite à l’hôpital tandis que le mis en cause a été placé en garde à vue. Selon le journal Le Parisien, l’agresseur est en situation irrégulière sur le territoire français.

Contacté, le Parquet de Paris n’a pas encore informé la population sur l’identité et la situation exactes du violeur bénéficiaire de l’AME. Et du SAMU social du maire Eric Pliez, par délegation de l’Etat, de l’Agence Régionale de Santé (l’autocratique ARS, célèbre pour son totalitarisme avec certains plutôt que d’autres) et de la Ville de Paris et ses maires d’arrondissement.

Brest : un migrant clandestin libyen fauche un père et sa fille

Mais sans s’arrêter: a-t-il un permis et une assurance ?

Aucune précision sur ce que peut être la puissance d’un véhicule de migrant en situation irrégulière

Un père de famille qui circulait à vélo avec sa petite fille a été percuté par l’arrière par un véhicule qui a pris la fuite.

Le drame a été évité de peu samedi 26 décembre. Alors qu’il circulait à vélo sur une piste cyclable avec sa petite fille d’à peine18 mois sur le porte-bagage, un père de famille a été percuté par l’arrière par un véhicule qui a pris la fuite. Par chance, le père de famille âgé de 35 ans et la petite fille n’ont été que légèrement blessés. La fillette a toutefois été conduite à l’hôpital Morvan en observation.

Selon les précisions du quotidien régional, le chauffard est un migrant clandestin libyen âgé de 31 ans. Un témoin de la scène a précisé aux policiers avoir vu deux véhicules qui semblaient faire la course à vive allure.

Le chauffard alcoolisé…

Après quelques investigations, les forces de l’ordre ont pu identifier un véhicule à Brest. Les policiers ont alors convoqué le migrant clandestin qui s’est présenté au commissariat mercredi 30 décembre. Une fois placé en garde à vue, il aurait reconnu être au volant au moment de l’accident, et estimé que ce n’est pas de sa faute: il conduisait en état d’ivresse. Ce n’est pas facile en effet d’être jeune en 2020, en plein couvre-feu !

Inconnu des services de police et de justice, ce Libyen parfait est convoqué au tribunal le 26 septembre 2021.

En situation irrégulière, le « suspect » s’est vu signifier par la préfecture du Finistère, une obligation de quitter le territoire français, sans exécuter de peine, si toutefois la LDH et les associations le veulent bien, car elles pourraient porter plainte pour décision au faciès et islamophobie.

Toujours selon Ouest-France, l’enquête de police est en cours.

Expulsion des Bosniaques qui ont tondu et tabassé une fille de leur famille

Retour à Sarajevo de ces cinq « réfugiés » musulmans christianophobes

Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin.
Tribunal de Besançon

Selma, 17 ans, avait été tondue et battue à Besançon en août parce qu’elle était amoureuse d’un jeune Serbe chrétien. Ses parents, ainsi que leurs trois autres enfants, ont été expulsés vers Sarajevo ce samedi, a annoncé Gérald Darmanin.

Cinq membres de la famille de la jeune fille bosniaque battue et tondue pour avoir voulu se marier avec un Serbe chrétien ont été expulsés ce samedi matin vers Sarajevo, a annoncé le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin. Il s’agit des parents de la jeune fille et de leurs trois autres enfants, a précisé l’entourage du ministre.

Le 17 août dernier, après avoir annoncé son intention de se marier avec Dusan, son ami serbe et chrétien de 20 ans, Selma, 17 ans, avait été passée à tabac par ses parents bosniaques musulmans, mais aussi par son oncle et sa tante, qui disposent, eux, du statut de réfugiés. Cette affaire avait soulevé une vive émotion en France et à l’étranger, rappelant autant le sort de milliers de femmes tondues à la Libération pour avoir entretenu une liaison avec un soldat allemand sous l’Occupation que les violences inter-ethniques et religieuses commises dans les années 90 lors de l’explosion de l’ex-Yougoslavie communiste.

«Comme nous nous étions engagés avec Marlène Schiappa [ministre déléguée à la Citoyenneté], la famille qui s’en est prise lâchement à leur fille et nièce en la frappant et allant jusqu’à la tondre de force parce qu’elle était amoureuse d’un homme d’une autre confession, a été expulsée ce matin», a annoncé le ministre dans un communiqué. Fin août, il avait assuré qu’une procédure de reconduite à la frontière serait menée «dès la fin de la procédure judiciaire».

Prise en charge par l’aide sociale à l’enfance

Interpellés à l’issue de leur procès, vendredi soir, les cinq membres de la famille de la jeune fille ont été acheminés au Centre de rétention administrative de Metz, puis conduits ce samedi matin à Nancy pour rallier Sarajevo. «Je suis scandalisée», a réagi Me Catherine Bresson, avocate des parents, précisant qu’elle ignore la présence de fonctionnaires de la Police de l’air et des frontières au tribunal et ne trouve «pas normal» que l’expulsion «ait été faite dans le dos de tout le monde, en catimini». L’avocate a toutefois admis que cette expulsion était «légale» et n’avoir «juridiquement aucun moyen de s’y opposer».

Les parents de Selma, arrivés clandestinement en 2018, avaient été déboutés du droit d’asile en décembre 2019. Ses clients, a-t-elle expliqué, avaient «signé les documents pour rentrer dans leur pays bien avant les faits», leur retour étant repoussé en raison de la Covid et pour des questions administratives. «Ils n’avaient pas besoin de Darmanin», a insisté Me Bresson. Où est par conséquent le problème?

L’oncle et la tante également condamnés par la Justice

Avocate de la victime, Me Céline Party, a relevé de la même manière que les parents «faisaient l’objet d’une obligation de quitter le territoire français» et «avaient opté pour un départ volontaire qui n’a pu se mettre en place à cause du confinement». «J’aurais souhaité que les choses ne se fassent pas de cette manière pour que ma cliente puisse dire au revoir à ses frères et sœurs», a-t-elle toutefois ajouté.

La veille dans la soirée, ils avaient été condamnés en première instance pour «violences sur mineur en présence de mineurs [les autres enfants du couple] et en réunion» à un an de prison dont quatre mois de sursis, assorti d’une interdiction du territoire français (ITF) pendant cinq ans.

En revanche, le motif religieux des violences n’a pas été retenu par la Justice, malgré les dires de la jeune fille agressée sur le sujet. Pour quel autre motif, sinon?

L’oncle, qui est celui qui l’aurait tondue, et la tante de la jeune fille, ont également été condamnés à la même peine d’emprisonnement, mais sans ITF. « Réfugiés », mais clandestins, ils sont arrivés en France en novembre 2015. Mais le ministère de l’Intérieur n’indique pas de suites éventuelles à l’égard de l’oncle et de la tante. En théorie, le ministère peut engager une procédure auprès de l’OFPRA, l’office français de protection des réfugiés et apatrides, pour demander le retrait de leur statut de réfugiés.

La jeune femme âgée de 17 ans sera «prise en charge par l’aide sociale à l’enfance et obtiendra à sa majorité un titre de séjour», ont précisé le ministre de l’Intérieur et la ministre déléguée à la Citoyenneté dans leur communiqué commun.