La presse accable une victime de viol à Paris

Où sont les féministes ?

Rien, en titre, sur le criminel…

« L’agresseur présumé de cette étudiante de l’Essec a été mis en examen mardi et placé en détention provisoire. Il avait été interpellé en flagrant délit dans la nuit du 16 au 17 septembre par une patrouille de police qui passait par là »: étudiante et à l’Essec, précisions utiles ? « Patrouille qui passait par là », indication bienveillante? Le Parisien ne dit encore rien du violeur…

Le Parisien cherche-t-il à accabler la victime ? « Un homme [sic] a-t-il profité [opportunité !] de l’ivresse manifeste d’une jeune étudiante, qui sortait d’une boîte de nuit de la très chic avenue Foch, à Paris (XVIe), dans la nuit du 16 au 17 septembre, pour la violer sur le trottoir ? Selon nos informations [désinformation du Parisien], confirmées par le Parquet de Paris [inversement !], un homme [un homme, un vrai, selon Le Parisien détenu par le Groupe Les Echos-Le Parisien propriété de Bernard Arnault] de 31 ans a été mis en examen pour viol mardi, et écroué dans la foulée. La victime, pour sa part, n’a pas de souvenirs précis sur le déroulement des événements [formule malheureuse]. Elle a pu être secourue grâce à l’intervention de policiers en patrouille, tombés nez à nez avec l’agresseur présumé en train d’abuser [c’est peu dire…] d’elle, selon les journalistes Caroline Piquet et Denis Courtine.

Le Point n’est pas plus respectable

L’hebdomadaire de François Pinault précise que la victime a été « plaquée contre une voiture par un inconnu qui l’a violée ». Indication scabreuse dans la lignée d’un précédent titre du 07-10-2022 : Paris : un prédateur sexuel «très dangereux» – « qui voulait se faire une belle blanche » – tente de violer une femme en pleine rue

« L’homme [si on veut], qui a, dans un premier temps, réussi à prendre la fuite, a été interpellé quelques centaines de mètres plus loin, dans le 8e arrondissement. Placé en garde à vue, il conteste les faits et soutient qu’il a rencontré la victime au Duplex avant d’avoir eu des rapports consentis avec elle dans la rue »…

L’individu de 31 ans a été déféré au Parquet de Paris, « mis en examen du chef de viol » et placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de la Santé, dans le 14e arrondissement, mardi 19 septembre. Une information judiciaire a été ouverte le 19 septembre. L’essentiel est-il dit ?

« Ce Malien de 31 ans est déjà connu des services de police pour un précédent viol présumé, commis au sein de cette même boîte de nuit, en août 2022. Laissé libre au terme de sa garde à vue, il avait écopé d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) et avait été conduit au Centre de rétention administrative de Vincennes (Val-de-Marne), rapporte Nathan Joubioux.

L’homme déjà connu des services de police

La victime, en pleurs, « raconte » [suggestion d’un mensonge ?] « aux forces de l’ordre avoir passé la soirée au Duplex [… et] affirme être sortie de la discothèque seule, quand elle a été plaquée contre une voiture par un inconnu, qui l’a violée ».

L’homme qui, dans un premier temps, a réussi à prendre la fuite, a été interpellé quelques centaines de mètres plus loin, dans le 8e arrondissement. Placé en garde à vue, il conteste les faits et soutient qu’il a rencontré la victime au Duplex avant d’avoir des rapports consentis avec elle dans la rue.

Ce Malien de 31 ans, sans papiers, est déjà connu des services de police pour un précédent viol présumé, commis au sein de cette même boîte de nuit, en août 2022, indique encore Le Point. Laissé libre au terme de sa garde à vue, il avait écopé [sévère !] d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) et avait été conduit au Centre de rétention administrative de Vincennes (Val-de-Marne).

La victime est sortie avec son agresseur présumé, affirme Le Point

Sur les images de vidéosurveillance, les enquêteurs aperçoivent la jeune femme sortant du Duplex en compagnie de son agresseur présumé. Réinterrogée, elle affirme ne pas se souvenir d’avoir rencontré cet homme. Les policiers étant intervenus affirment, eux, qu’ils ont vu l’individu dans une position sexuelle sans équivoque et une victime ivre et en pleurs.

Le Figaro ne sait pas ce qu’il dit ?

Sera-il acquitté comme ce Bangladais de 21 ans acquitté du viol d’une lycéenne, en novembre 2018, au motif qu’ «  il ne possédait pas les codes culturels « , bien que résidant à Saint-Lô (Manche) ? L’accusé venait d’une culture l’empêchant de réaliser l’illégalité de ses actes. Il est ressorti libre… L’homme devait répondre de deux affaires différentes, un viol et une agression sexuelle : la première le 29 septembre 2015, l’autre le 10 décembre. Dans les deux cas, il avait emmené des lycéennes (dont une mineure) dans son foyer de jeunes travailleurs et tenté d’obtenir un rapport sexuel.

Un individu tire des coups de fusil dans l’enceinte de la gendarmerie

La tendance? Quand on est éméché, on tire sur une gendarmerie …

Vers 7 h 30 du matin, ce mardi 11 juillet, un homme, sous l’empire de l’alcool et de… stupéfiant, a surgi, fusil à la main, devant la gendarmerie de Castillonnès, entre Bergerac et Agen, dans le Lot-et-Garonne, et a tiré par deux fois sur l’entrée. Il est ensuite entré dans la cour du bâtiment pour réitérer son geste à plusieurs reprises avant de prendre la fuite.

Les militaires l’ont arrêté peu après les faits, à son domicile: l’homme n’est pas un anonyme dans le bourg. Ils ont alors constaté qu’il était fortement éméché et drogué. Il n’y a eu aucun blessé.

Placé en cellule de dégrisement, il devrait être interrogé sous le régime de la garde à vue pour faire la lumière sur ses motivations profondes qui l’ont conduit devant la gendarmerie plutôt que devant le bistrot ou le centre pour toxicos.

Gaspard Proust s’en penché sur le sujet du désamour pour la police :

Le Salon de l’Agriculture verse de dégustations abusives en beuveries

Les organisateurs doivent prendre des mesures

Pénuries d’électricité, de carburants et de médicaments,
mais abondance d’alcools
en France (lien PaSiDupes)

Le weekend des 25 et 26 février a été particulièrement important dans le débit de boissons au Salon de l’agriculture, parfois jusqu’à l’excès. L’organisation de l’événement a d’ailleurs pris les devants pour limiter cette tendance.

Depuis son inauguration, le 25 février dernier, le Salon de l’agriculture attire des milliers de visiteurs. Une occasion pour les familles de se rencontrer dans une ambiance conviviale et déguster les spécialités régionales. Néanmoins, cette année, les organisateurs et exposants ont constaté une consommation excessive d’alcool par certains visiteurs.

«C’est une tendance qui n’est pas simplement celle du salon de l’agriculture. Elle est un peu dans la société. On boit plus et plus vite, avec un certain nombre de conséquences. On ne serait pas honnêtes de ne pas le constater au salon. C’est pour cela que l’on va prendre un certain nombre de dispositions autant en prévention qu’en sanction», a affirmé Arnaud Lemoine, président de CENECA (Centre national des expositions et concours agricoles) et organisateur du Salon de l’agriculture.

Pour faire face à cette consommation excessive, l’organisation du salon a envoyé un mail aux exposants leur demandant d’adapter un certain type de vente. «Nous avons constaté une forte augmentation de ventes de bouteilles (…) qu’ils consomment dans les allées de façon déraisonnable», peut-on lire dans le courrier envoyé en date du 26 février 2023.

Sociologie de la biture, selon la tranche d’âge

Les visiteurs du Salon sont représentatifs de la société, pour laquelle faire la fête, c’est prendre une bonne cuite. «Nous appelons une fois encore à la contribution de tous pour maintenir une ambiance festive et familiale en favorisant la consommation raisonnable d’alcool», rappelle-t-on, en urgence.

La forte consommation d’alcool varie en fonction du jour de visite et la tranche d’âges des visiteurs «notamment les samedi où c’est beaucoup de jeunes dans la trentaine, 25-35 ans, qui viennent pour vraiment consommer et faire la fête [notion dévoyée] entre amis. Sur des journées comme les dimanches, par exemple, c’est beaucoup plus familial», a expliqué le brasseur Emmanuel Alfaïa (brasserie de l’Aurore,d’Indre-et-Loire). Un pari sur l’avenir.

Même constat pour Jean Wahl, commercial CHR. «Il y a eu beaucoup de consommations, les gens venaient pour boire. Après, le public qui arrivait par la suite, ce n’était vraiment pas le même», a-t-il indiqué.

En 2015, la session nocturne du salon de l’agriculture avait été supprimée, déjà dans le but de limiter la consommation excessive d’alcool.

2023: fermeture avancée de l’accès au Salon

Salon de l’agriculture : une fermeture avancée pour raisons de sécurité

Les entrées ont été interrompues en avance, deux heures plus tôt que l’horaire officiel de fermeture, officiellement pour des raisons de sécurité, du fait de l’affluence qui rend difficile la circulation dans les allées, ont annoncé les organisateurs.

Il y a eu ce samedi trop de visiteurs dans les allées. Le Salon de l’Agriculture a été obligé de fermer ses accès en avance, deux heures plus tôt que l’horaire officiel de fermeture

Plus aucun visiteur n’est autorisé à pénétrer samedi au Salon international de l’agriculture à Paris, qui ferme ainsi ses portes deux heures plus tôt que d’habitude afin de « sécuriser » la manifestation parisienne, en raison d’une forte affluence qui rend difficile la circulation dans les allées, ont annoncé les organisateurs.

L’événement reprendra normalement à 09 h 00 dimanche pour sa dernière journée. « Il ne s’agit pas d’empêcher mais de sécuriser », soulignent-ils.

De mémoire (courte) d’organisateurs du salon (cf. 2015), c’est la première fois que « sous la pression du succès » (de la binouze ?), la manifestation a été contrainte de fermer ses portes à 16 h 30. Dès la mi-journée, le Comexposium et Ceneca, organisateurs de l’événement, étaient étonnés de la hausse de la fréquentation sans pour autant présager qu’elle monterait encore en puissance dans l’après-midi. « Au point que [parce que hyper-réactifs] nous avons pris la décision de fermer les portes du parc des expositions de la Porte de Versailles aux nouveaux visiteurs à 16 h 30 (au lieu de 18 h 30, le salon fermant quotidiennement depuis le 25 février à 19 heures). Et ce, pour des raisons de sécurité, tant pour le public et les animaux, que pour des raisons de confort de visite », prétend-on dans les coulisses de l’organisation. La gerbe n’est pas très glamour ?

Macron parle d’atmosphère « conviviale »:

En vérité, le salon qui, le week-end dernier déjà, avait vécu une affluence extrêmement …festive, voire débridée sous l’effet de l’alcool facile à « déguster ». Difficile donc pour des marchands d’anticiper une menace sur l’atmosphère peu familiale !…

« Pas un festival »

Dès la matinée de cette avant-dernière journée, les allées du parc des expositions de la Porte de Versailles se sont densifiées, rendant par endroits les déplacements difficiles. Le public, supposé familial, est aussi composé de groupes de visiteurs alcoolisés, de plus en plus désinhibés, à mesure que les heures de visite s’étirent et que les fûts de bière se vident, ont rapporté les journalistes sur place.

En milieu de semaine, Arnaud Lemoine, directeur du Centre national des expositions et concours agricoles (Ceneca), propriétaire du Salon, avait appelé à préserver cette « grande fête populaire » des excès de l’alcool. « Ce salon est une fête populaire, familiale, et doit le rester. On n’est pas un festival », avait-il souligné.

Le nombre d’agents de sécurité « a pratiquement doublé par rapport à l’an dernier », avait-il expliqué, et les stands vendant bières ou liqueurs ont été invités à ne pas offrir de verres de dégustation. De même, les bouteilles de vin doivent être vendues fermées. « Un verre entre amis, oui mais avec modération » : le message résonne régulièrement dans les haut-parleurs et, pour faire tomber un peu la tension éthylique, des « désoiffeurs » – des employés chargés de bidons d’eau pour réhydrater les visiteurs – sont mobilisés.

Les députés picolent pendant les débats: les élus NUPES plus que les autres ?

L’article 49.3, antidote à la prise d’alcool face aux budgets de l’Etat et de la Sécurité sociale comme à la réforme des retraites ?

La  bouteille ferait des ravages jusque dans les travées du Palais-Bourbon. Le bureau de l’Assemblée a dû « regarder » le « sujet » des consommations excessives des député(e)s « sur la table ». La virulence des débats sur la retraite et les séances nocturnes ont accentué la tendance.

Rupture de stock de Get 27 : c’est ce qu’indiquait, la semaine passée, une pancarte affichée à la buvette des députés. Le sujet de l’addiction à l’alcool de nos élus a en tout cas été jugé suffisamment sérieux pour être abordé le 8 février lors de la réunion du bureau de l’Assemblée nationale, qui réunit la présidente, les questeurs, les vice-présidents, les secrétaires et les présidents des groupes parlementaires.

Outre la question des comportements insultants et outranciers, inscrite à l’ordre du jour par la cheffe des députés Renaissance, Aurore Bergé, celle de l’alcoolisation excessive de certains élus l’avait également été, à la demande de sa collègue Insoumise Caroline Fiat.

Le pic de consommation d’alcool à l’heure du dîner, soit entre 20 heures et 21 h 30

L’hypothèse d’une interdiction de l’alcool à la buvette des députés après 21 h 30 a même été évoquée – sur le ton de la boutade – par l’élu RN Sébastien Chenu, lieutenant de Marine Le Pen. Avant que la première questeure, Marie Guévenoux (Renaissance), chargée de la gestion administrative et financière, ne précise que le pic de consommation d’alcool se situe en réalité à l’heure du dîner, soit entre 20 heures et 21 h 30. En attendant que la députée, qui a demandé à ses services d’établir des comparaisons chiffrées avec la précédente législature, ne les présente au prochain bureau, le 7 avril, un modus operandi a été établi : la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, « a souhaité que chaque président de groupe concerné par le comportement d’un de ses membres gère ce type de situation si elle se présente », selon un proche. A chaque chef de file de repérer les comportements problématiques, donc, et d’alerter immédiatement les huissiers. « C’est aussi notre job de faire attention aux écarts et d’être attentifs aux autres », explique Aurore Bergé.

Les données chiffrées de la questure, pas encore disponibles, indiqueront si l’appel de l’apéritif s’est amplifié depuis les élections législatives de juin, après une mandature 2017-2022 où la consommation d’alcool avait nettement baissé et celle de Coca Zero fortement augmenté.

Mais des agissements douteux ont été récemment relevés, notamment à l’occasion des dix jours de débats houleux sur la réforme des retraites. « La buvette, ça va devenir un problème, estime une députée Renaissance. Certains commandent des coupettes dès 11 heures du matin, d’autres sont au rhum à 16 heures… Au début de l’examen du texte, j’ai vu un député se faire ramasser par les serveurs de la buvette tellement il était mal. »

Un député Insoumis aurait même été aperçu vomissant dans une poubelle

Dernière révélation en date : un député Insoumis, qui dément les faits, aurait même été aperçu par des collègues vomissant dans une poubelle.

Et cette élue macroniste de raconter la conclusion des débats sur les retraites, vendredi 17  février dans la nuit : « Dans la buvette et dans les jardins, c’était alcool à gogo jusqu’à 3 heures du matin. Après qu’on a donné ce spectacle pitoyable en séance, ça a bu, dans notre groupe et dans les autres… »

Les orateurs les plus violents et insultants ont-ils le taux d’alcoolémie le plus élevé ? Qu’importe la circonscription ou l’étiquette partisane pourvu qu’on ait l’ivresse… « Tout le monde est susceptible d’en avoir dans son groupe », indique un haut cadre du Palais-Bourbon. Dans la ­majorité, on pointe cependant ­volontiers les adversaires politiques, ­notamment à gauche. « Chez nous, on blague sur le fait que les Insoumis seront plus chauds ce soir parce qu’ils seront passés par la buvette », sourit un élu macroniste. Réplique d’un député de la Nupes, qui crie à la tentative d’intoxication : « Ça fait partie de l’anti-LFI primaire. C’est assez classique de décrire l’ennemi comme un soûlard. Mais je vois plus de vieux députés LR qui boivent que de députés LFI… » Après le « mâle blanc hétéro », la stigmatisation du « vieux LR. » Et, en la matière, à chacun son arbitre des beautés : « Il y a quand même un effet générationnel : plus de vin pour les anciens, plus de bière et de cocktails genre Spritz pour les jeunes, mais moins d’alcools forts, genre whisky », assure cet élu de gauche, un statisticien et pilier de la buvette.

Une tradition parlementaire solidement ancrée

Beaucoup relativisent, invoquant une tradition parlementaire solidement ancrée. « C’est ma septième mandature et j’ai toujours vu des incidents liés à l’alcool », assure un cadre de l’Assemblée. « Il y a vingt-cinq ans, le problème de l’alcool était plus fort », renchérit Sébastien Chenu. D’autres évoquent la spécificité du travail des parlementaires, notamment dans leurs circonscriptions : « En France, quel que soit le territoire, on estime que la convivialité est liée au fait de boire, résume un poids lourd macroniste. Quand vous avez cinq cérémonies de vœux par jour, chaque fois on vous propose un verre. À vous d’imposer vos limites. »

Lever le pied sur le rythme intense des débats

Pas facile pourtant, poursuit cet élu, de s’astreindre à telle discipline, d’autant plus quand les esprits s’échauffent : « Dès qu’il y a suspension de séance, vous allez prendre un verre à la buvette pour relâcher la pression du chaudron. Et ça devient régulier. J’ai vu des gens devenir alcooliques… » Pour beaucoup, cette « pression », intense dans les dernières semaines ­d’affrontement sur le recul de l’âge légal de départ à la retraite, a pu favoriser certains écarts. « Quand on est enfermés depuis quinze jours et qu’on est dans une situation de stress permanent, ça peut arriver d’aller boire un coup pour décompresser », plaide un député ­Renaissance.

C’est d’ailleurs surtout face au rythme effréné des discussions sur la réforme, et à la violence des échanges dans une assemblée éclatée en quatre blocs antagonistes, que la tentation du petit remontant gagnerait du terrain. « On est le seul Parlement européen à continuer le travail de nuit, peste un député MoDem. Il faut arrêter. Si certains boivent un coup, c’est qu’il faut tenir des rythmes qui ne sont pas normaux. » Un député écologiste implore même : « Ne faites pas fermer la buvette ! Dans une ­Assemblée très tumultueuse, c’est un lieu préservé du combat politique où on peut souffler un peu. J’aime bien y papoter avec des collègues macronistes. » Personne, au fond, ne préconise une cure de désintoxication forcée des parlementaires. Mais plutôt de lever le pied sur le rythme intense des débats, en somme, afin d’éviter aux députés d’être tentés de lever le coude…

Louis Boyard est-il passé de la drogue à l’alcool ou au Spritz ?

Aurélien Taché, député EELV « totalement saoul », perturbe une pièce de théâtre

A-t-il arrosé la victoire du Maroc sur l’Espagne et hissé aussi le drapeau chérifien à… Amiens ?

Le metteur en scène des « Lettres de Anne », qui était donné au théâtre Lepic, dans le 18ᵉ arrondissement de Paris, sur la butte Montmartre, ce mardi 6 décembre, s’est indigne que le député EELV Aurélien Taché ait interrompu la représentation. L’ancien macronien aurait notamment « applaudi de manière absurde », « invectivé le comédien » et « menacé le régisseur », ce qu’a confirmé l’équipe du théâtre.

Le député EELV Aurélien Taché, venu en spectateur, a perturbé la représentation, selon le metteur en scène Benjamin Guillard.

Benjamin Guillard s’insurge contre l’ancien député EELV : « Pour qui vous prenez-vous Aurélien Taché ? Dans quel monde vivez-vous ? ». Ce dernier, « totalement saoul », qui a été invité à sortir de la salle, a alors « lamentablement menacé le régisseur ».

1/2 Je suis le metteur en scène de « Lettres à Anne » qui se joue au théâtre Lepic actuellement.
Ce soir, le député @Aurelientache , totalement saoule a profondément perturbé la représentation. Parlant fort, applaudissant de manière absurde, invectivant le comédien…— Guillard Benjamin (@GuillardB) December 6, 2022

Interrogé par Libération, Aurélien Taché s’est dit « vraiment surpris » de l’ampleur prise par une scène « qui a duré deux minutes » : « J’ai applaudi, et donc j’ai un peu naïvement perturbé la représentation. Et au même moment un téléphone a sonné, ce qui a contribué au brouhaha. Ensuite j’ai voulu applaudir sans faire de bruit, en agitant les mains. Ce que l’acteur n’a pas compris, et il m’a donc demandé de sortir. Ce que j’ai fait ! Certes en râlant, en disant que c’était inadmissible, mais je suis sorti. Je suis surtout surpris de la réaction du metteur en scène, qui se permet en plus des accusations… Je sortais simplement d’un dîner où j’avais bu un verre ou deux avant. »

Aussitôt, de nombreux commentaires sur les réseaux sociaux ont rappelé un précédent épisode impliquant le parlementaire, passé de la Macronie à la Nupes. Le 7 septembre dernier, il avait été condamné à 5.000 euros d’amende par le tribunal de Niort pour violence et outrage. Impliqué dans une bagarre dans la nuit du 8 au 9 février, il avait insulté et menacé les policiers qui avaient été envoyés sur place, rappelle France Bleu. A l’audience, son avocate avait expliqué que les faits avaient eu lieu dans un « contexte personnel très difficile ».

L’ex députée écologiste Cécile Duflot s’est joint aux commentaires…sans qu’on sache s’il s’agissait de prendre la défense ou non d’Aurélien Tâché. Dans un tweet plutôt maladroit, elle a rappelé que « l’alcoolisme est une maladie (et même une maladie professionnelle de la politique) et que le tabou qui subsiste autour de l’alcool empêche de le traiter comme telle. ». La désormais directrice générale d’Oxfam France, a ajouté qu’elle souhaitait « qu’il soit accompagné. ». Un macroniste qui l’a bien connu indique également, à Marianne, que « ses problèmes commencent à dater, malheureusement… Il faut qu’il se fasse soigner, car je pense que c’est devenu pathologique ».

L’islamo-gauchiste Taché a-t-il arrosé la victoire du Maroc sur l’Espagne au Mondial de foot ?

Tirs de mortiers, dégradations : des violences dans plusieurs villes après la victoire du Maroc contre l’Espagne. Des boutiques ont notamment été dégradées à Paris, sur les Champs-Elysées, tandis que les policiers ont été pris pour cible à Lille, Nice ou encore Fréjus.

Des fauteurs de troubles ont commencé à se regrouper vers 23h. Des magasins ont notamment fait l’objet de dégradations ou de vols. Des individus ont tenté d’entrer, sans succès, dans la boutique de bijoux Pandora et dans l’enseigne de prêt-à-porter Celio. De nombreux articles de sport ont en revanche été volés dans la boutique Lepape, rue d’Artois. Au total, 22 interpellations ont eu lieu, et le bilan des dégradations est toujours en cours d’évaluation, nous précise la préfecture de police de Paris.

Des violences liées à la victoire du Maroc ont également éclaté en Seine-Saint-Denis à partir de 19h30. À Bondy, environ 300 individus agitant des drapeaux marocains se sont réunis près de l’Hôtel de ville et ont tiré des mortiers de feux d’artifice. Selon nos informations, des tirs de mortiers et une bouteille en verre ont visé les policiers, qui ont notamment riposté avec un tir de LBD (lanceur de balles de défense, NDLR). Du côté de Clichy-sous-Bois, plusieurs individus se sont rassemblés à proximité du commissariat, et des mortiers ont été lancés en l’air. Un mineur de 15 ans a été interpellé en flagrant délit alors qu’il allumait un tube de mortier.

A la mairie d’Amiens, le drapeau tricolore a été remplacé par le drapeau du Maroc

Les supporters marocains ont fêté la qualification de l’équipe du Maroc en quarts de finale de la Coupe du monde en hissant un drapeau marocain sur la mairie Amiens Nord, chère à Macron, mardi 6 décembre.

Espagne: les touristes français choquent

La présence de nombreux touristes, notamment des Français, exaspère les Espagnols qui pointent l’incohérence de la situation avec les restrictions de déplacement imposées localement. Les Franciliens ne sont pas autorisés à faire plus de 30 kilomètres autour de chez eux, mais peuvent prendre un vol pour l’Espagne…

“Ça n’a pas de sens de nous demander de faire des efforts et en même temps de transformer le pays en bistrot de l’Europe!“. Cette critique du député d’opposition de la région de Madrid, Íñigo Errejón, décrit bien l’incompréhension et la désapprobation de nombreux Madrilènes et Espagnols face à la présence de nombreux touristes dans les rues de la capitale, mais aussi à Barcelone, ces derniers jours.

Une colère également résumée par le célèbre chef basque, Karlos Arguiñano, dès le weekend dernier lors de son émission de cuisine sur Antena 3. “Vous pouvez m’expliquer pourquoi nous n’avons pas le droit d’aller saluer nos grands-parents, mais que les Français viennent chez nous se pinter comme des ours?”

https://platform.twitter.com/embed/Tweet.html?dnt=true&embedId=twitter-widget-0&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1375749143541473282&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.huffingtonpost.fr%2Fentry%2Fen-espagne-les-images-de-touristes-francais-venus-se-saouler-ne-passent-pas_fr_605f011dc5b65d1c2815d4e9&siteScreenName=LeHuffPost&theme=light&widgetsVersion=e1ffbdb%3A1614796141937&width=550px

L’ambiance hier soir (vendredi 26 mars) dans la rue Espoz y Mina, dans le centre de Madrid, où des dizaines de touristes, pour la plupart français, faisaient encore la fête après le couvre-feu, partagé par le quotidien espagnol El Pais, le 27 mars 2021.

Déjà première destination touristique des Français, l’Espagne a renforcé son pouvoir d’attraction en écartant, dès janvier et en plein rebond épidémique, tout nouveau reconfinement en raison “des dommages économiques, sociaux et mentaux” qu’il pourrait engendrer. Les bars et les restaurants sont ouverts jusqu’à au couvre-feu fixé à 23h dans plusieurs grandes villes, ainsi que les musées et les théâtres.

Les touristes étrangers ont ainsi transformé Madrid en refuge pour fêtards irresponsables mais également irrespectueux de leurs hôtes, cela alors que, paradoxalement, les déplacements sont désormais interdits entre les 17 régions espagnoles – sauf vers les Iles Canaries (lieu de transit de clandestins venus dAfrique) ou cas de force majeure – jusqu’au 9 avril pour éviter un rebond des contaminations à l’occasion de la Semaine Sainte, véritable institution dans le pays et la Chrétienté. “On a quitté la France pour venir à Madrid et c’est surréaliste de boire une bière en terrasse, quand je pense qu’on est confinés à Paris … c’est magique!”, délirait vendredi un étudiant, crétin de 22 ans, arrivé deux heures plus tôt à l’aéroport de la capitale.

Les gauches et la presse populistes se décrédibilisent dans leur compassion politicienne pour les étudiants

Des hordes de touristes, en plus des migrants illégaux

https://twitter.com/gabrielrufian/status/1374663872611762176?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1374663872611762176%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_c10&ref_url=https%3A%2F%2Flepetitjournal.com%2Fmadrid%2Fcommunaute%2Fdes-hordes-de-francais-venus-salcooliser-madrid-vraiment-301535

Nombre d’Espagnols s’irritent, parfois railleurs sur les réseaux sociaux, dénonçant un débarquement intempestif de touristes indécents, le plus souvent venus pour se bourrer ka gueule, au point que le hashtag #turistasfranceses se partagent de plus en plus sur Twitter pour diffuser les images de touristes “venus se saouler” ou chanter la Marseillaise sans respecter les gestes barrière et les restrictions de regroupement en extérieur imposées par le gouvernement.

https://platform.twitter.com/embed/Tweet.html?dnt=true&embedId=twitter-widget-1&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1375746841044746244&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.huffingtonpost.fr%2Fentry%2Fen-espagne-les-images-de-touristes-francais-venus-se-saouler-ne-passent-pas_fr_605f011dc5b65d1c2815d4e9&siteScreenName=LeHuffPost&theme=light&widgetsVersion=e1ffbdb%3A1614796141937&width=550px

“Des touristes français enthousiastes à l’idée d’aller au théâtre de Madrid.”

https://platform.twitter.com/embed/Tweet.html?dnt=true&embedId=twitter-widget-2&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1375741241451806724&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.huffingtonpost.fr%2Fentry%2Fen-espagne-les-images-de-touristes-francais-venus-se-saouler-ne-passent-pas_fr_605f011dc5b65d1c2815d4e9&siteScreenName=LeHuffPost&theme=light&widgetsVersion=e1ffbdb%3A1614796141937&width=550px

“Des touristes français, admirant les peintures de Rubens dans le Prado.
Merci d’être venu.”

https://platform.twitter.com/embed/Tweet.html?dnt=true&embedId=twitter-widget-3&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1375734257797234689&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.huffingtonpost.fr%2Fentry%2Fen-espagne-les-images-de-touristes-francais-venus-se-saouler-ne-passent-pas_fr_605f011dc5b65d1c2815d4e9&siteScreenName=LeHuffPost&theme=light&widgetsVersion=e1ffbdb%3A1614796141937&width=550px

“Ici un groupe de tourisme culturel français recréant ‘La Liberté guidant le peuple’ d’Eugène Delacroix dans les rues de Madrid.”

https://platform.twitter.com/embed/Tweet.html?dnt=true&embedId=twitter-widget-4&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1374726437593362435&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.huffingtonpost.fr%2Fentry%2Fen-espagne-les-images-de-touristes-francais-venus-se-saouler-ne-passent-pas_fr_605f011dc5b65d1c2815d4e9&siteScreenName=LeHuffPost&theme=light&widgetsVersion=e1ffbdb%3A1614796141937&width=550px

“Deux touristes français épuisés de fatigue, visitant 25 musées à Madrid en une journée.”

Un enjeu devenu politique à Madrid

Face à ce contraste entre Espagnols contraints et touristes débridés mettant en danger la vie des plus responsables, plusieurs personnalités politiques se sont fait entendre. Le député d’opposition, Íñigo Errejón, a notamment dénoncé une situation “absolument incompréhensible” où un Espagnol ne peut pas “aller voir son grand-père à Santander”, mais “un Allemand de Düsseldorf, lui, peut se rendre à Majorque”. 

“La présidente de la communauté de Madrid, Isabel Díaz Ayuso doit arrêter de poser le tapis rouge aux hordes de Français qui viennent se saouler”, a quant à elle demandé Mónica García, candidate aux élections régionales du 4 mai prochain dans la communauté de Madrid, parlant d’un “tourisme d’ivresse”. “On demande aux Madrilènes d’être responsables, on ne peut pas aller voir notre famille mais, dans les appartements d’à côté, se tiennent des fêtes illégales”, a-t-elle dénoncé.

Ces soirées organisées dans des appartements de touristme, loués sur des plateformes type Airbnb et où se rendent parfois plusieurs dizaines de personnes sans respect des gestes barrières, sont celles qui attirent tous les regards. Le maire de Madrid, José Luis Martinez-Almeida, a beau défendre ces étrangers venus non pour “boire”, mais “pour nos théâtres, nos cinémas, notre opéra, profiter de la culture”, les Madrilènes vivent très mal tant de mépris.

Un test PCR négatif exigé à la frontière à partir de mardi

L’un des porte-paroles de la Commission européenne, Christian Wigand, a pour sa pzrt demandé à Madrid plus de “cohérence” dans ses mesures de restriction. “Ce que les touristes ont le droit de faire, les Espagnols doivent pouvoir le faire aussi”, a-t-il expliqué.

L’ambassade de France en Espagne a d’abord temporisé, avant d’annoncer, ce samedi 27 mars, que des tests PCR négatifs de moins de 72 heures seront désormais demandés aux voyageurs arrivant par la route depuis la France, à compter de mardi prochain. C’est la première fois qu’une telle exigence est imposée à ceux qui franchissent la frontière terrestre entre les deux pays. Jusqu’à présent, cela n’avait été exigé que pour des arrivées par les airs.

https://platform.twitter.com/embed/Tweet.html?dnt=true&embedId=twitter-widget-5&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1375736675553439745&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.huffingtonpost.fr%2Fentry%2Fen-espagne-les-images-de-touristes-francais-venus-se-saouler-ne-passent-pas_fr_605f011dc5b65d1c2815d4e9&siteScreenName=LeHuffPost&theme=light&widgetsVersion=e1ffbdb%3A1614796141937&width=550px

Seules les personnes travaillant dans le transport routier et les travailleurs transfontaliers seront exemptés, ainsi que les personnes qui vivent dans la zone frontalière tant qu’elles restent dans un rayon de 30 kilomètres autour de leur domicile.

Après une chute spectaculaire des cas de contamination et du taux d’incidence depuis le début du mois de février, l’Espagne voit la tendance s’arrêter et ses taux repartir à la hausse ces dernières heures avec 7.586 nouveaux cas en 24 heures vendredi.

https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&time=40..425&pickerSort=desc&pickerMetric=total_cases&hideControls=true&Metric=Confirmed+cases&Interval=7-day+rolling+average&Relative+to+Population=false&Align+outbreaks=false&country=~ESP

Aux Baléares, où les touristes majoritairement allemands et anglais sont attendus ces jours-ci notamment à Majorque, l’inquiétude monte également poussant l’un de ses hauts fonctionnaires, à demander au pouvoir central l’interdiction des visiteurs pendant les vacances de Pâques en raison des craintes d’un pic d’infection à Covid.

Violences raciales dans le métro: la presse condamne sur un extrait

Un homme mis KO par un Noir pour ses propos racistes

CNEWS prend parti sans connaître l’origine du différend et L’Indépendant titre: « Il profère des insultes racistes avant d’être mis sèchement KO »

Cette presse ignore si l’affrontement durait depuis plusieurs stations. Sur la base d’une video dont on ne sait rien de son auteur, CNews hurle avec les loups, applaudissant à un acte violent de justice sommaire, justifiant l’auto-défense Loading video[https://www.youtube.com/embed/wn3WyNchO2s?enablejsapi=1&amp=1&playsinline=1]

Sans raison apparente, ce qui pourrait interpeller, voire indiquer un antécédent non filmé, dans la video d’un extrait de la scène largement relayée sur les réseaux sociaux, un homme blanc très agité tient des propos racistes – ou xénophobes – contre trois hommes noirs dans le métro londonien.

Datée du 15 août, un samedi, jour de « pub crawling« , la vidéo montre un homme au crâne rasé, suggestion qu’il s’agirait d’un « skinhead » (mais il en existe de gauche comme de droite), sans masque, suggérant un rebelle (mais personne n’en porte non plus), se tenant aux barres d’une rame de métro et lançant : «C’est ma maison (je suis chez moi) et vous allez tous y retourner (??). Vous le savez aussi». Propos peu cohérents, indiquant un possible état d’ébriété, Ajoutant à l’intention des autres passagers de la rame, dont certains le filment : «Ils sont moins que nous […] Vous êtes mes animaux de compagnie.» L’individu n’est pas dans un état normal.

Le groupe félicité par les autres passagers

Dans un premier temps, les Noirs ne réagissent pas, ou peu, plus stupéfaits qu’indignés. L’incompréhension des témoins est totale. L’un d’entre eux – clairement rangé du côté des plus nombreux et plus forts, aurait même déclaré, hors champ de la caméra : «Je pense qu’il a envie de mourir. Je pense qu’il veut que quelqu’un lui saute dessus et lui donne un coup de pied à la tête.» Un témoignage sous l’emprise de la peur…

Les arrêts passent, et l’homme continue sa harangue. Puis, en gare de Bank and Monument, au coeur de Londres, le groupe d’hommes noirs sort du métro. L’homme blanc en profite pour lâcher un dernier «Allez!» tout en s’approchant d’eux, les poings serrés.

C’est alors qu’un des trois hommes se retourne en sortant du wagon et lui envoie un pain au visage qui suffit à le déséquilibrer et à le faire tomber à terre comme un masse, inconscient. Des passagères, qui avaient excité l’agité en alimentant son délire en lui apportant la contradiction, ont jugé bon de féliciter le cogneur noir avec des «bien joué!».

La police britannique des transports a pris connaissance de deux vidéos dévoilant assez explicitement ce moment de tension dans cette rame. Une enquête est en cours. Mais, de Perpignan et Carcassonne, L’Indépendant a entendu des « insultes » et, de Paris, CNews a jugé.