Guadeloupe: Macron passe au chantage à l’autonomie

Stupéfaction des oppositions; majorité impavide

En lançant le débat sur plus d’autonomie en Guadeloupe, le gouvernement stupéfie la gauche comme la droite.

L’opposition de droite a dénoncé samedi la proposition gouvernementale d’un débat sur plus d’autonomie en Guadeloupe en proie à une crise sociale, la cheffe du RN Marine Le Pen estimant pour sa part que l’Etat tente « d’acheter les indépendantistes radicaux ».

Etant donné qu’en Guadeloupe « certains élus ont posé la question en creux de l’autonomie », « le gouvernement est prêt à en parler. Il n’y a pas de mauvais débats du moment que ces débats servent à résoudre les vrais problèmes du quotidien », a affirmé vendredi le ministre des Outre-mer dans une allocution télévisée aux Guadeloupéens. Il a également annoncé la création de « 1.000 emplois aidés pour les jeunes ».

« Les Guadeloupéens ne veulent pas moins d’Etat » 

« La réponse gouvernementale à la crise aux Antilles, c’est l’autonomie! Les Guadeloupéens et les Martiniquais ne veulent pas moins d’Etat, au contraire : ils entendent que l’Etat se tienne à leurs côtés et assume ses responsabilités », a tweeté Xavier Bertrand, candidat à l’investiture des Républicains pour la présidentielle. 

Sébastien Lecornu a immédiatement répondu sur le même réseau social : « Stop aux mensonges et approximations @xavierbertrand ! Après les avoir consultés, je constate que des élus antillais souhaitent que certaines questions, notamment sanitaires soient à l’avenir traitées localement = + d’autonomie. Nous ne refusons pas ce débat », a-t-il souligné.

« Le macronisme cède encore face à la rue »

Autre candidat chez LR à l’investiture pour la présidentielle, Michel Barnier a estimé que ce qui était « en jeu, c’est l’unité de la Nation ». « Ce que l’on attend du gouvernement aux Antilles, c’est de l’autorité, du dialogue et un soutien sanitaire et économique. Ni panique, ni improvisation. Il n’est pas permis de semer le doute sur notre attachement à la France d’outre-mer », a-t-il mis en garde.

Eric Ciotti, également dans la course à l’investiture LR, a lui dénoncé un recul de l’exécutif. « Après Notre-Dame-des-Landes, le macronisme cède encore face à la rue et aux émeutiers aux Antilles – ouverture d’une dialogue sur l’autonomie de la Guadeloupe – report de l’obligation vaccinale des soignants Avec Macron, la République cède et recule face à la violence », a-t-il twitté.

Marine Le Pen dénonce un lâchage

A l’extrême droite, la candidate à la présidentielle du RN Marine Le Pen a elle estimé que « pour essayer d’acheter les indépendantistes radicaux, le gouvernement se dit prêt à lâcher la Guadeloupe ». « Ce n’est pas ce que les Guadeloupéens attendent! Ils attendent de l’État d’être protégés et respectés et qu’on leur offre des perspectives d’avenir », a-t-elle ajouté dans un tweet.

La gauche monomaniaque détourne le problème

Après LFI, le PCF…

Sans oublier les révolutionnaires trotskistes:

La Guadeloupe et la Martinique, deux îles des Caraïbes frappées par une pauvreté, un taux de chômage importants et une corruption qui interroge sur le devenir des aides sont secouées par une crise sociale née d’une contestation du vaccin anti-Covid obligatoire pour les soignants et les pompiers, sur fond de scandale à la chlordécone, lien PaSiDupes, mais aussi d’un chantage à l’autonomie. 

Le scandale de la chlordécone et du cancer de la prostate aux Antilles justifie-t-il la révolte antivax?

Les pouvoirs métropolitains de droite et de gauche se sont décrédibilisés

Lien L’Express

Le chlordécone, c’est un pesticide utilisé pendant plus de vingt ans, de 1972 à 1993, dans les bananeraies en Guadeloupe et en Martinique. Or, la chlordécone interfère avec le fonctionnement du système hormonal, c’est un perturbateur endocrinien. Son activité oestrogénique, déjà documentée chez l’animal, pourrait être à l’origine d’effets sur la grossesse et le développement des jeunes enfants.

Question orale n° 0587S du sénateur Dominique Théophile (LREM, Guadeloupe), publiée dans le JO Sénat du 10/01/2019 – page 81 – 15e législature

Dominique Théophile interroge Mme la ministre des solidarités et de la santé [Agnès Buzyn] sur les études nécessaires à mener pour connaître les possibles liens entre le taux de cancer de la prostate aux Antilles, le plus élevé au monde, en Martinique, et l’usage du pesticide chlordécone.

Au 1er janvier 2019, les produits pesticides ont été interdits à la vente aux particuliers. C’est une excellente nouvelle pour les citoyens des départements d’outre-mer, grands consommateurs de pesticides. Pour mémoire, La Réunion, la Martinique et la Guadeloupe sont classées respectivement en deuxième, troisième et sixième position dans l’usage du glyphosate qui, d’ici à trois ans, devrait être interdit sur le territoire national.

Lors de sa visite aux Antilles fin septembre 2018, le président de la République [Macron] a reconnu la pollution des sols de Martinique et de Guadeloupe par le chlordécone comme un « scandale environnemental » pour lequel l’État devait assumer sa part de responsabilité.

Le chlordécone n’a été interdit en France que tardivement, soit quinze ans après les alertes de l’organisation mondiale de la santé (OMS), et alors que des centaines de tonnes de cette substance avaient été déversées sur les bananeraies de Guadeloupe et de Martinique. Les travailleurs de ces bananeraies ont été surexposés à la molécule et, à travers la consommation de produits maraîchers, la quasi-totalité de la population a été contaminée. Le chlordécone fait donc peser un risque sanitaire grave sur les citoyens d’outre-mer pour plusieurs centaines d’années.

Le 27 septembre 2018, le président de la République a annoncé l’ouverture d’une procédure de reconnaissance de l’exposition au chlordécone comme maladie professionnelle. Il salue cette initiative, mais voudrait signaler que demeure la question du cancer de la prostate.

Les Antilles françaises détiennent le triste record du monde en la matière, le taux d’incidence annuel de ce cancer en Martinique étant de 227,2 cas sur 100 000 hommes et celui de Guadeloupe étant d’un niveau proche. Or, les études sont encore trop peu nombreuses sur le lien entre le chlordécone et le cancer de la prostate alors qu’elles sont indispensables pour ne pas exclure ce phénomène massif et dramatique de la démarche présidentielle.

Il lui demande si l’étude confiée à l’institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) et à l’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) sur le lien entre l’exposition à la chlordécone et les pathologies constatées, qui constituera la base de leur reconnaissance comme maladies professionnelles, concernera le cancer de la prostate. Dans le cas contraire, il lui demande si le Gouvernement compte lancer un appel à projets pour qu’une étude soit menée sur ce record malheureux.

Lien

Réponse du Secrétariat d’État auprès de la ministre des solidarités et de la santé

publiée dans le JO Sénat du 23/01/2019 – page 156

M. Dominique Théophile. Madame la secrétaire d’État, lors de sa visite aux Antilles à la fin du mois de septembre dernier, le Président de la République a reconnu la pollution des sols de Martinique et de Guadeloupe par la chlordécone comme un « scandale environnemental », pour lequel l’État doit assumer sa part de responsabilité.

Comme vous le savez, la chlordécone n’a été interdite en France que tardivement, soit quinze ans après les alertes de l’OMS, l’Organisation mondiale de la santé, et alors que des centaines de tonnes de cette substance avaient été déversées sur les bananeraies de Guadeloupe et de Martinique. Les travailleurs de ces bananeraies ont été surexposés à la molécule et, par la consommation de produits maraîchers, un grand nombre de la population a été contaminé. La chlordécone fait donc peser un risque sanitaire grave sur les citoyens d’outre-mer pour plusieurs centaines d’années.

A gauche, la pantalon sur les genoux?

Le 27 septembre 2018, le Président de la République a annoncé l’ouverture d’une procédure de reconnaissance de l’exposition à la chlordécone comme maladie professionnelle. Nous saluons cette initiative. Cependant, la question du cancer de la prostate demeure.

En effet, je tiens à le rappeler, les Antilles françaises détiennent un triste record en la matière, le taux d’incidence annuel de ce cancer en Martinique étant de 227 cas sur 100 000 hommes. En Guadeloupe, la situation est quasiment identique. Or les études sur le lien entre la chlordécone et le cancer de la prostate sont encore trop peu nombreuses, bien qu’elles soient indispensables pour ne pas exclure ce phénomène massif et dramatique de la démarche présidentielle.

J’en viens à ma question. L’étude confiée à l’INSERM, l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, et à l’ANSES, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail, sur le lien entre l’exposition à la chlordécone et les pathologies constatées, qui sera la base de leur reconnaissance comme maladies professionnelles, concernera-t-elle le cancer de la prostate ?

Dans le cas contraire, le Gouvernement compte-t-il lancer un appel à projets pour qu’une étude soit menée sur ce record malheureux ?

Mme la présidente. La parole est à Mme la secrétaire d’État.

Mme Christelle Dubos, secrétaire d’État auprès de la ministre des solidarités et de la santé. Monsieur le sénateur, le ministère chargé de la santé copilote, avec le ministère des outre-mer et en liaison avec les ministères concernés, à savoir les ministères de l’agriculture, de l’environnement, de l’économie et de la recherche, le plan Chlordécone III.

Dans ce cadre, le ministère chargé de la santé a contribué au financement d’une étude sur le cancer de la prostate réalisée par l’INSERM au cours de la période 2004-2007 en Guadeloupe.

Cette étude était destinée à identifier les facteurs de risques environnementaux et génétiques de survenue du cancer de la prostate. Il s’agissait également d’étudier le lien éventuel entre l’exposition à la chlordécone et le risque de survenue de ce cancer.

Ses conclusions, publiées dès 2010, ont montré que, chez les hommes dont la concentration en chlordécone dans le sang est la plus forte, le risque de survenue du cancer de la prostate est plus élevé. Cette probabilité est influencée par l’âge, le patrimoine génétique, les habitudes alimentaires et les habitudes de vie des hommes exposés.

Une autre étude – l’étude de cohorte KP Caraïbes –, également cofinancée par le ministère chargé de la santé, est actuellement menée par l’INSERM afin d’évaluer en Guadeloupe, et si possible en Martinique, l’impact des expositions à la chlordécone dans l’évolution du cancer de la prostate en fonction des parcours thérapeutiques.

En outre, l’Institut national du cancer a été saisi par le ministère chargé de la santé en avril 2018, en vue d’explorer la possibilité de mettre en place une étude pour répondre à la question du lien entre exposition à la chlordécone et survenue d’un cancer de la prostate, et d’organiser le lancement d’un appel à projets.

Cet institut a, dans ce cadre, réuni un comité d’experts internationaux sur la question. Il a rendu ses propositions au ministère en décembre 2018 sur la construction d’un programme de recherche interdisciplinaire sur le sujet, incluant une étude cas-témoins.

La proposition est en cours d’analyse avec le ministère chargé de la recherche. Un appel à projets sera donc lancé au cours du premier semestre 2019.

S’agissant des travaux sur la reconnaissance des maladies professionnelles en lien avec le cancer de la prostate et l’exposition aux pesticides, en particulier à la chlordécone, le ministère chargé de la santé a effectivement saisi l’INSERM et l’ANSES, respectivement le 24 avril 2018, avec un addendum le 28 septembre 2018 priorisant les travaux sur la chlordécone, et le 26 novembre 2018.

Ces travaux d’expertise, qui doivent être rendus dans le courant du premier semestre 2019, seront versés à l’instruction des commissions chargées de la création des tableaux de maladies.

A l’issue des travaux menés dans le cadre de ces instances, tout nouveau tableau de maladie professionnelle doit faire l’objet d’un décret du ministère chargé de la santé pour le régime général et d’un décret du ministère chargé de l’agriculture pour le régime agricole. Aussi, il sera nécessaire d’attendre la fin du second semestre 2019 pour voir aboutir la procédure en cours.

Mme la présidente. La parole est à M. Dominique Théophile, pour répondre à Mme la secrétaire d’État.

M. Dominique Théophile. Madame la secrétaire d’État, je constate que les choses sont lancées. Nous attendons avec beaucoup d’intérêt les conclusions des différentes actions menées.

Chlordécone: Quand Macron voulut que l’Etat prenne ses responsabilités !

Le président de la République a affirmé que l’Etat doit « avancer sur le chemin de la réparation ».

Le chef de l’Etat a pris position face au scandale sanitaire du chlordécone, cet insecticide classé cancérogène possible par l’OMS dès 1979. « L’Etat doit prendre sa part de responsabilité, » a-t-il affirmé ce jeudi lors de son déplacement aux Antilles. Macron s’exprimait depuis une exploitation agricole de Morne rouge, dans le nord de l’île, lors de la rencontre avec un agriculteur concerné par la pollution de ses terres par ce pesticide ultra-toxique. 

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Selon l’agence Santé publique France, « plus de 90% de la population adulte » en Guadeloupe et Martinique est contaminée par l’insecticide et perturbateur endocrinien. Le produit est soupçonné notamment d’être responsable d’une explosion des cancers de la prostate aux Antilles.  

Naissances prématurées et retards de développement cérébral

Le chlordécone, interdit dès 1977 aux Etats-Unis, mais utilisé jusqu’en 1993 aux Antilles par les producteurs de bananes, est toujours présent dans les sols où il peut persister environ 600 ans et se retrouver dans certaines denrées végétales ou animales et certains captages d’eau. 

Macron a souligné en Martinique que « l’état des connaissances scientifiques (…) ne permet pas de certifier » la dangerosité de la molécule pour la santé humaine, bien que l’on « présume le lien avec les naissances prématurées, les retards de développement cérébral et d’autres pathologies ».

Pas de réparation individuelle pour tous

Il en conclut qu’il « ne serait pas responsable de dire qu’il y a une réparation individuelle pour tous », mais qu’il est en revanche « possible d’avancer davantage sur la question des maladies professionnelles pour les personnes particulièrement exposées à la molécule. » 

En conséquence, a-t-il annoncé, « la procédure d’ouverture du registre des maladies professionnelles sera engagée par le gouvernement dès le 2 octobre pour le régime général (de la Sécurité sociale) et le 9 octobre pour le régime agricole ». Elus locaux et population dénoncent régulièrement ce scandale sanitaire qui a déjà fait l’objet de trois plans de prévention. 

Un candidat écolo veut faire taire Macron

Il appelle Macron à ne pas s’ériger en « grand communicant de la vaccination »…

Jadot demande a Macron de ne pas s'eriger en "grand communicant de la vaccination"
On reconnaît un écolo « modéré » au poing levé !

Ce « modéré » d’EELV est-il un démocrate?

Yannick Jadot, ce candidat à la présidence qui demande au président en exercice de ne pas s’adresser au peuple, c’est nouveau, et c’est écolo, mais contre les « circuits courts »… Il accuse Macron de s’ériger en « grand communicant de la vaccination«  ! Tous peuvent le penser, mais tous ne peuvent le dire, encore moins un impétrant !

L’apparatchik de l’écologie Yannick Jadot, eurodéputé EELV, qu’on pourrait croire fin tacticien et maître de sa parole, depuis le temps qu’on voit traîner sa longue et lourde silhouette et son profil gaullien, a enjoint lundi à Macron de ne pas se poser en « grand communicant de la vaccination », estimant que « ce n’est pas lui qui va convaincre » les réfractaires car il suscite de la « détestation« .

« Il ne faut surtout pas que ce soit le président de la République qui s’autoproclame le grand communicant de la vaccination », a déclaré Y. Jadot sur BFMTV.

Et si le président américain Joe Biden peut se permettre d’endosser ce rôle, c’est seulement parce qu’il « ne cristallise pas dans la société autant de détestation » que Macron, a assené Jadot, modèle républicain.

L’écologiste professionnel exprime un sentiment. « Il y a plein de personnes qui doutent », a relevé le candidat à la primaire écologiste, mais « ce n’est pas lui qui va les convaincre ». LIEN PaSiDupes: Jadot a pris le melon

« Comment voulez vous qu’il convainque les personnes de la Guadeloupe ou de la Martinique sur la vaccination, quand il y a deux ans il contestait le caractère cancérogène du chlordécone », a-t-il notamment estimé.

Le chef de l’Etat a fait de la vaccination « un référendum pour ou contre lui », à l’approche de la présidentielle, a encore jugé Jadot.

Il a donc appelé Macron au sens des « responsabilités »: « qu’il mette des malades, des médecins, des scientifiques pour communiquer sur la vaccination« , a-t-il insisté, ignorant que tous nous saoûlent: qu’ils cherchent, en silence, pour le coup, et reviennent devant nous quand ils ont un traitement. Quant à la presse, elle peut continuer à brasser du vent: elle est décrédibilisée par ses compromissions, ses erreurs et son arrogance de « sachant » décrypteur.

De son côté, le secrétaire national d’Europe Ecologie – Les Verts Julien Bayou, ex-clown de Jeudi Noir ou Il faut sauver les riches, a étrillé la conduite de la politique sanitaire du gouvernement qu’il accuse de « semer la confusion ». Propos aussi modérés que ceux tenus par son candidat favori.

Agitateur vert

« L’annonce en précipité en plein de mois de juillet » de l’élargissement du passe sanitaire, » a jeté beaucoup de désorganisation, de stress pour beaucoup de monde », a-t-il sentencieusement commenté sur Franceinfo. Avant de créer partout en France le même chaos qu’au sein de son parti?

Bayou a notamment dit « appréhender la rentrée », notamment en raison d’une possible « suspension des salaires pour les salariés qui n’auront pas pu » se faire vacciner à temps.

Il conseilla Eva Joly,
autre modérée !

Concernant la rentrée scolaire, Bayou a déploré avoir « perdu 4 mois pour équiper les bâtiments scolaires » en purificateurs d’air et capteurs de CO2. Et ces derniers « sont à la charge des mairies », a-t-il regretté, « ce qui signifie que selon que les mairies sont plus ou moins dotées, il y a une inégalité vis à vis de la santé ».