Dupond-Moretti, ministre qui passe ses nerfs sur le RN

Activateur de racisme, il accuse le RN d’opposer « la France rurale » à « la France des cités et des Mohamed »

Ministre partisan et agressif,
EDM fracture le pays

Le garde des Sceaux développe en France la dialectique de l’inversion des valeurs. Pompier incendiaire, il a dénoncé « les propos incendiaires » des élus du groupe de Marine Le Pen, après des violences de l’ultradroite liés à la mort du jeune Thomas à Crépol ce week-end. En colère, les députés RN ont quitté l’hémicycle. Se disant « insultée », Marine Le Pen a annoncé le dépôt d’une plainte.

Ce ministre ne se veut pas celui de tous les Français. Après Elisabeth Borne, Gérald Darmanin et Olivier Véran, c’est au tour d’Eric Dupond-Moretti d’attaquer le Rassemblement national, après les échauffourées attaques racistes de Crépol et Romans-sur-Isère menées d’abord par un groupe de Maghrébins déterminés à « planter du Blanc », d’une part, et un groupe d’ultra-droite, motivé par plus d’équité judiciaire, d’autre part, et dans un contexte de chute du gouvernement « cool » du centristre Mark Rutte et de montée de la droite nationale aux Pays-Bas. Lien PaSiDupes

« Vous voulez opposer la France rurale et tranquille, catholique et blanche à la France des cités, des Mohamed, des Mouloud et des Rachid », a accusé le garde des Sceaux, plus irritable que jamais depuis son procès, en réponse à une question de la députée RN Michèle Martinez.

Le ministre a par ailleurs demandé au RN de « faire le ménage » dans ses troupes. « Chassez de vos rangs les identitaires, les nazillons, les racistes, les antisémites », a-t-il sommé.

« Vos propos sont incendiaires »

Cette agression a suscité l’indignation du Rassemblement national qui a alors quitté l’hémicycle. Le mouvement est resté en retrait après les actions violentes démonstrations bruyantes menées par des militants d’ultradroite venus réclamer « justice » pour Thomas. Vingt interpellations ont éte effectuées, mais aucune violence n’a pourtant été à déplorer à Romans-sur-Isère.

Près de 36 heures après les faits, Jordan Bardella a pris ses distances ce lundi à l’occasion d’un entretien sur France 2. « On ne répond pas à la violence par la violence », a opposé le patron du mouvement.

« Je pense aux Français qui vivent dans nos quartiers, dans les cités et qui ne méritent pas de lire sur les murs ‘morts aux Arabes’. Nos frères juifs ont peur, nos frères musulmans aussi. Vos propos sont incendiaires », a encore tancé Éric Dupond-Moretti.

Marine Le Pen va déposer plainte

L’ex-avocat a encore accusé le RN de ne « pas écouter le grand-père de Thomas ». Lors des obsèques de l’adolescent la semaine dernière, il avait indiqué attendre « avec impatience » le verdict de la justice.

Après la mort du jeune Thomas, tué à la sortie d’un bal à Crépol dans la nuit de samedi 18 à dimanche 19 novembre, le RN s’est immédiatement saisi de ce drame, tout comme Les Républicains et Reconquête.

Au lendemain des faits, Jordan Bardella a dénoncé une « sauvagerie qui bouleverse les vies et en brise d’autres », quand Marine Le Pen a évoqué, elle, des « razzias ». A la sortie de l’hémicycle ce mercredi après-midi, la candidate arrivée deux fois seconde à la présidentielle a annoncé son intention de déposer plainte contre Eric Dupond-Moretti pour insulte aux députés RN. Et à l’électorat du RN, 13.288.686 participants au scrutin avril 2022.

Un député LR rend hommage à Maurice Barrès

La gauche totalitaire, antisioniste et pro-palestinienne, wokiste et décoloniale, reproche à LR son libéralisme

Le député Les Républicains Jean-Louis Thiériot, historien de formation, s’attire les foudres de la gauche politique parce qu’il a rendu hommage à l’écrivain Maurice Barrès, né le 17 août 1862 et réduit à la « figure de proue du nationalisme français » par Anthony Berthelier, journaliste (ISCPA) et fonctionnaire depuis sept ans au HuffPost et tire l’expression de Wikipedia… A-t-il lu Barrès ou est-il en service commandé ad hominem, à la suite de Sartre, Beauvoir et autres thuriféraires de Staline, Mao, Hô Chi Minh ou Castro, génocidaires fameux auprès de la gauche binaire pour qui le camp du Bien est celui qui combat les anti-communistes? Or, ce sont les antisémites de gauche qui sont les plus virulents, eux qui, antisionistes, soutiennent les Palestiniens combattant leurs frères sémites israéliens… L’impudence de la gauche est merveilleuse !

Dans un texte publié dans Le Figaro Magazine et diffusé sur Le Figaro Vox dimanche 13 août, l’historien Jean-Louis Thiériot, élu de Seine-et-Marne, salue « la place de Maurice Barrès dans l’édification de notre imaginaire national », sans trop s’appesantir sur son antisémitisme et son antidreyfusisme qui conduira l’auteur – et parlementaire – à déclarer : « Dreyfus est un traître, je le déduis de sa race. » En le déduisant de sa race, il n’essentialisait donc pas sa « traîtrise »… Des propos qu’il a d’ailleurs explicités ensuite, mais sans convaincre les idéologues charognards. Barrès est aussi l’auteur invisibilisé de La Colline inspirée (1913), roman post-symboliste qui fut inclus dans la liste du Grand prix des Meilleurs romans du demi-siècle.

Thomas Portes, député LFI, illuminé révolutionnaire
et sans limites

Un siècle après la mort de Maurice Barrès, auteur façonné par la Grande Guerre, le texte de Jean-Louis Thiériot, avocat et essayiste, apparaît donc à certains observateurs ou élus comme une tentative de réhabilitation insupportable. « Sans aucun problème Le Figaro fait l’éloge d’un antisémite notoire », regrette ainsi le député insoumis de Seine-Saint-Denis Thomas Portes sur X (Twitter) quand son collègue Matthias Tavel évoque, lui, une entreprise « abjecte ». Si Portes est footballeur barbare avec la tête d’O. Dussopt, Jean-Louis Thiériot est l’auteur de plusieurs ouvrages historiques dont Margaret Thatcher : de l’épicerie à la Chambre des Lords, 2007, prix de la Biographie Politique et prix Joseph-du-Teil de l’Académie des sciences morales et politiques.

« Euphémisme inacceptable » ou « révisionnisme antirépublicain »

Pour dénoncer l’hommage rendu par leur collègue LR, plusieurs élus, surtout à gauche, rappellent sur les réseaux sociaux certaines déclarations de l’écrivain présenté dans Le Figaro sous le titre de « héraut de l’union sacrée. » Au-delà de la sentence concernant Alfred Dreyfus, devenue tristement célèbre.

Hadrien Clouet, élu LFI et historien à la mode stalinienne historien

Le député LFI Hadrien Clouet, par exemple, exhume une kyrielle de citations attribuées à Maurice Barrès, à l’image de celle-ci : « ‘A bas les Juifs ! Sera‑t‑il le titre d’un chapitre particulier de notre histoire intérieure ? La foule eut toujours besoin d’un mot de guerre pour se rallier, elle veut quelque cri de passion.’ » Des mots écrits par l’écrivain en février 1890souligne le député qui ne cite pas la précision des Cahiers de Barrès, alors que la Lorraine était encore allemande en 1870 : « on ne tuait pas le juif, mais Pilate « . Aujourd’hui, les tueries sont réelles et LFI est du côté palestinien.

Dans son évocation, le député LR émet des réserves à l’égard du positionnement de Maurice Barrès. Il estime effectivement qu’il a « largement contribué » à la « mosaïque de haines » du début du XXe siècle, « quand il s’est jeté dans l’arène, pour le pire lors de l’affaire Dreyfus, pour le meilleur quand il parviendra à faire adopter une loi imposant l’entretien des églises de France, malgré la loi de séparation. »

« Le Figaro fait donc l’apologie d’un antisémite et raciste acharné, antidreyfusard donc traître à la patrie républicaine. Il n’est pas ’exilé’ mais justement condamné par tous les partisans des droits de l’homme », cingle encore l’élu de Haute-Garonne, pour qui « résumer » la « pensée » de Maurice Barrès en « enracinement, libertés locales, quête d’unité », comme tend à le faire Jean-Louis Thiériot, « c’est soit de l’euphémisme inacceptable, soit du révisionnisme antirépublicain. »

Le Figaro, le 24 août 2023

Dans le même temps, les amis de Clouet combattaient déjà l’Eglise. La loi de séparation des Eglises et de l’Etat codifiant la laïcité, le 9 décembre 1905, conclua près de 25 années d’affrontements haineux qui avaient opposé deux conceptions sur la place des Églises dans la société française. De quel côté Clouet se serait-il trouvé, si ce n’est contre les Juifs et les Catholiques, ensemble… Etrangement, La France Insoumise du révolutionnaire trotskiste Mélenchon n’impose pas à la religion musulmane en France le cadre laïc tel que les partisans de la séparation des Eglises et de l’Etat l’ont conçu entre 1870 et 1905 contre les Catholiques et les Juifs qu’ils continuent de mêler dans la même haine, réactivée par l’ambigü Clouet et les siens, soutiens des islamistes Tariq Ramadan, Hassan Iquioussen ou Médine Zaouiche.

Fin 2019 et début 2020, le magazine Marianne et le journal Le Point accusent Anne-Lise Dufour-Tonini de « complaisance » envers les Frères musulmans, dénonçant notamment ses « amitiés douteuses » avec la « famille » d’Hassan Iquioussen et sa responsabilité dans l’entrisme des Musulmans de France. Au titre de « maire de Denain », la socialiste Anne-Lise Dufour-Tonini est élevée au grade de chevalier dans l’ordre national du Mérite le 2 juin 2023. 

Dans ce contexte, l’indignation face à cet éloge dépasse les frontières de la gauche. « Maurice Barrès était surtout le héraut de l’antisémitisme et du racisme », écrit par exemple de son côté Ronan Loas, le maire (Horizons) de la commune bretonne de Ploemeur, en soulignant le silence de l’état-major du parti LR.

« Aucune réaction des Républicains ? », ajoute Ronan Loas, en établissant un parallèle entre les louanges du député et la présence du rappeur Médine – notamment accusé d’avoir fait un jeu de mots antisémite visant Rachel Khan – aux universités d’été de La France Insoumise et d’EELV, « Que chacun balaie devant sa porte. » Lien PaSiDupes vers les paroles du rappeur algérien protégé de LFI et EELV.


Le petit-fils du député quatre fois élu Maurice Barrès, cible du HuffPost, le capitaine Claude Barrès, est mort au combat le 26 mai 1959 à Djebel Harraba, en Algérie. A 17 ans, quand d’autres aujourd’hui refusent d’obtempérer lors de contrôles de police, il s’engagea dans les Forces françaises libres. Le 15 août 1944, Claude Barrès fut parachuté en territoire occupé au nord de Lyon et, à la tête d’un commando, parvint à infliger d’importants dégâts matériels aux Allemands ce qui lui valut la Médaille militaire. Affecté à la 2e Brigade coloniale des commandos parachutistes en Indochine, il combattit en Corée où il fut blessé et reçut la Légion d’Honneur. Il fut fait commandeur de la légion d’honneur à titre posthume.

Mémorial de la déportation tagué: les émeutiers contre le racisme sont des antisémites

La « marche pour Nahel » révèle le séparatisme politique de séditieux en France

Bêtise crasse de primates ou amalgame d’écologistes séditieux égarés de Sainte-Soline? Des anarchistes de l’ultra-gauche pro-palestinienne antisémite.

Des magasins et restaurants tenus par des Juifs ont aussi été visés par des incendiaires à Sarcelles ; une insulte antisémite a pu en outre être entendue lors d’un live du medium Brut.

Les violences ont repris jeudi en banlieue parisienne et en régions pour la troisième nuit consécutive après la mort mardi à Nanterre de Nahel, un jeune homme de 17 ans mort au volant, sans permis, d’une puissante Mercedes AMG, suite à deux délits de fuite consécutifs, par un policier qui a été mis en examen pour homicide volontaire et écroué.

D’importantes dégradations, des scènes de chaos et des pillages ont été constatés dans toute la France, en « hommage » à Nahel B. Des centaines d’interpellations ont eu lieu au cours de la nuit.

Tentant de nier les sentiments anti-français d’étrangers et le séparatisme politique de bi-nationaux, la presse et les acteurs politiques mentionnent très peu que des drapeaux tricolores ont été brûlés comme au Mémorial de Nanterre (ci-dessous) et des drapeaux algériens arborés dans les émeutes ou substitués au fronton de lieux publics.

Em marge d’une « marche blanche » organisée jeudi après-midi en la mémoire du délinquant routier à Nanterre, le monument de la Résistance et de la Déportation de la ville a été dégradé par des tags anti-police.

« On va faire une Shoah », aurait également été tagué à proximité, comme en atteste une vidéo du compte Twitter « Observatoire du Décolonialisme ».

« C’est un scandale absolu et une honte. Rien n’est respecté », a posté sur Twitter Ariel Goldmann, président du Fonds social juif unifié. Le Congrès juif européen a lui aussi exprimé son effroi face à ces dégradations.

Pas spécifiquement visés, des magasins et restaurants tenus par des Juifs ont aussi été incendiés à Sarcelles, a rapporté Radio Shalom. De nombreux commerces non-juifs ont aussi été dégradés.

Enfin, un « Mort aux Juifs » a été entendu distinctement pendant un live du média Brut sur les réseaux sociaux. Le journaliste présentateur du live, Rémy Buisine, n’a pas réagi.

Le fonctionnaire de police auteur du tir mortel contre Nahel a exprimé ses regrets suite à son geste lors de sa garde à vue. « Les premiers mots qu’il a prononcés étaient pour dire pardon et les derniers mots qu’il a prononcés étaient pour dire pardon à la famille », a indiqué son avocat, Me Laurent-Franck Liénard, sur BFMTV.

Son tir à bout portant, mortel, sur l’adolescent lors d’un contrôle routier suivi d’un refus d’obtempérer a embrasé de nombreux quartiers populaires du pays.

Gérald Darmanin a annoncé que 667 personnes avaient été interpellées dans la nuit de jeudi à vendredi en France après une nouvelle nuit de violences, marquée par des saccages, pillages et dégradations de biens publics.

« Cette nuit, nos policiers, gendarmes et sapeurs-pompiers ont encore fait face, avec courage, à une rare violence. Conformément à mes instructions de fermeté, ils ont procédé à 667 interpellations », a tweeté le ministre de l’Intérieur.

Le président Macron a convoqué vendredi une nouvelle réunion de crise après une troisième nuit consécutive de violences urbaines déclenchées par la mort d’un adolescent tué par un policier, qui a été inculpé depuis pour homicide volontaire et placé en détention.

Le chef de l’Etat a dû écourter sa présence à Bruxelles, où il se trouvait depuis la veille pour un sommet européen, afin de regagner Paris et diriger une cellule interministérielle à 13H00 (11h00 GMT).

Des voitures incendiées à Bordeaux, le 29 juin 2023, dans les émeutes faisant suite à la mort mardi à Nanterre de Nahel, un jeune homme de 17 ans tué par un policier qui a été mis en examen pour homicide volontaire et écroué.

La mort de l’adolescent avait déjà entraîné deux nuits de violences en France, notamment en région parisienne, et le scénario s’est répété dans la nuit de jeudi à vendredi, les services de renseignement craignant une « généralisation » des violences lors des prochaines.

Au moins 421 personnes, âgées de 14 à 18 ans pour l’ »essentiel », ont été interpellées au niveau national, selon un bilan dressé durant la nuit par l’entourage du ministre de l’Intérieur.

« Marche blanche »

Au moins trois villes proches de la capitale ont décidé d’instaurer un couvre-feu, parfois sur plusieurs jours, sur tout leur territoire ou certains quartiers seulement, pour tous ou pour les mineurs uniquement.

Dans le département de Seine-Saint-Denis, au nord-est de Paris, « quasiment toutes les communes » ont été touchées, souvent par des actions éclairs, avec de nombreux bâtiments publics pris pour cibles comme la mairie de Clichy-sous-Bois, selon une source policière.

A Paris même, les célèbres Halles et la rue de Rivoli qui mène au musée du Louvre ont vu certains de leurs commerces et magasins « vandalisés », « pillés voire incendiés », a détaillé un haut-gradé de la police nationale. Clamart, près de Paris, et Compiègne, au nord de la capitale, ont ainsi pris cette mesure de 21H00 à 06h00 du matin (19h00 à 04h00 GMT).

En région parisienne, bus et tramways ont été interdits de circulation depuis 21h00 (19h00 GMT) jeudi. Egalement dans certaines villes de province.

A Marseille, deuxième ville de France, la devanture d’une bibliothèque municipale a été endommagée, selon la mairie. Et dans le célèbre quartier du Vieux-Port donnant sur la Méditerranée, des échauffourées ont opposé les forces de l’ordre à un groupe de 100 à 150 personnes qui aurait tenté de monter des barricades.

A Pau (sud-ouest), un cocktail Molotov a été jeté sur le commissariat de police, a informé la préfecture du département.

A Lille (nord), la mairie d’un quartier populaire du sud a été incendiée et une autre, dans l’est de la ville, a été caillassée, selon l’Hôtel de ville.

Les brasiers se sont multipliés à Roubaix, commune pauvre au nord-est de Lille, sous les sirènes des pompiers et le projecteur d’un hélicoptère de la police. « En deux jours, ils ont fait ce que les Gilets Jaunes ont fait en deux ans », a commenté un passant à propos des émeutiers.

Le gouvernement avait annoncé la mobilisation jeudi soir de 40 000 policiers et gendarmes, dont 5 000 à Paris (contre 2 000 la nuit précédente).

Selon une source policière, le Raid et le GIGN, unités d’élite d’intervention respectivement de la police et de la gendarmerie, ont été déployés dans de grandes villes du pays telles que Toulouse (sud-ouest), Marseille (sud-est), Lyon (sud-est), Lille (nord), ou Bordeaux (sud-ouest).

Le gouvernement a assuré que le déclenchement de l’état d’urgence, réclamé par certaines voix de la droite politique, n’était « pas une option envisagée aujourd’hui ».

L’affaire a relancé la controverse sur l’action des forces de l’ordre en France, où un nombre record de 13 décès a été enregistré en 2022 après des refus d’obtempérer.

« Je n’en veux pas à la police, j’en veux à une personne : celui qui a enlevé la vie de mon fils », a déclaré Mounia M., la mère de l’adolescent, dans une interview diffusée jeudi soir sur la chaîne de télévision France 5.

« Le parquet considère que les conditions légales d’usage de l’arme » par le policier auteur du tir, âgé de 38 ans, « ne sont pas réunies », a souligné jeudi matin le procureur de la République de Nanterre, Pascal Prache.

Le policier a été inculpé pour homicide volontaire et placé en détention provisoire, a ensuite annoncé le parquet.

En garde à vue, « les premiers » et les « derniers mots » du policier auteur du tir ont été des excuses à la famille, a rapporté jeudi son avocat, Me Laurent-Franck Liénard, sur la chaîne de télévision BFMTV, affirmant que son client « n’a pas voulu tuer ».

Le drame à l’origine de l’embrasement s’est produit lors d’un contrôle de police de la voiture conduite par Nahel, connu pour des refus d’obtempérer, les derniers ayant donné lieu à sa présentation au parquet dimanche dernier, en vue d’une convocation en septembre devant un tribunal pour enfants.

La mère de Nahel, lors de la marche blanche le 29 juin 2023 à Nanterre faisant suite à la mort mardi de son fils, un jeune homme de 17 ans tué par un policier qui a été mis en examen pour homicide volontaire et écroué.

Le sens civique d’une certaine population de Sarcelles s’est illustrée aussi dans le pillage, la rapine, ce qui a justifié l’intervention française en Algérie – alors province de l’Empire ottoman – et la conquête du territoire en 1830, laquelle a mis fin à l’insécurité entretenue par les corsaires barbaresques :

Jérôme Guedj condamne une proposition de résolution accusant Israël d’apartheid

Des ONG des droits de l’homme peuvent être antisionistes par antisémitisme, comme les antifascistes sont fascisés

Des députés d’extrême gauche, en majorité communistes (qualifiés de radicaux par Wikipedia) ont signé une proposition de résolution condamnant le « régime d’apartheid institutionnalisé » par Israël contre les Palestiniens, s’attirant une condamnation du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) qui dénonce de l’« antisémitisme » sous couvert d’« antisionisme ».

La NUPES, coalition électorale d’extrême gauche débridée, se désagrège. Le député socialiste Jérôme Guedj a en effet vivement désapprouvé certains de ses camarades de la Nupes qui ont déposé une proposition de résolution ciblant l’Etat d’Israël. Il a clamé que ce texte n’est pas défendu par le PS.

Le terme d’« apartheid », que de nombreux organismes de défense des « droits humains » (terminologie nouvelle due aux féministes, pour le coup « radicales ») ont adopté ces derniers mois, pour qualifier les rapports entre Palestiniens et Israëliens, a été imposé à l’Assemblée nationale, pourtant censée être accaparée par l’examen de plusieurs projets.

Vendredi 22 juillet, a été rendue publique une proposition de résolution, cosignée par trente-sept députés de gauche antisémite, qui condamnent le « régime d’apartheid institué par Israël à l’encontre du peuple palestinien ».

Le texte accuse l’Etat hébreu d’avoir instauré un « système d’oppression et de discrimination systématique »« dans l’intention de maintenir la domination d’un groupe ethnique‑national‑racial sur un autre », ce qui correspond à la définition du crime d’apartheid, telle qu’elle figure dans le statut de Rome de 1998, fondateur de la Cour pénale internationale.

La Nupes. 38 députés, douche électorale comprise depuis juin, en majorité communiste (12, contre 18 LFI, ont récemment déposé une proposition parlementaire qui vise à interpeller le gouvernement français et qui accuse Israël d’institutionnaliser « un régime d’apartheid à l’encontre du peuple palestinien ». Dans ce document de 24 pages, les députés assurent que le gouvernement israélien a « perpétré plusieurs actes inhumains énumérés par la Convention sur le crime d’apartheid à l’encontre du peuple palestinien. »

Déposé le 13 juillet par le communiste Jean-Paul Lecoq, ce texte réclame par ailleurs « la reconnaissance de l’État de Palestine aux côtés de celui d’Israël. » Il a été signé par de nombreux députés membres du PCF tels que Fabien Roussel, André Chassaigne ou Elsa Faucillon. Du côté de La France Insoumise, Adrien Quatennens, Mathilde Panot et David Guiraud ont eux aussi soutenu cette proposition.

Rafle du Vél’ d’Hiv’: tweet offensant de Mathilde Panot

Une odieuse assimilation par l’extrême gauche islamo-gauchiste

Antisémitisme de l’anti-sioniste Mathilde Panot,
islamo-gauchiste agressive

Macron « rend honneur à Pétain et 89 députés RN », a estimé la présidente débridée du groupe LFI à l’Assemblée nationale.

Ce dimanche 17 juillet marquera le 80e anniversaire de la rafle du Vél’ d’Hiv’, ce vélodrome parisien dans lequel 8000 juifs furent enfermés avant d’être envoyés en camp de concentration durant la Seconde Guerre mondiale.

L’occasion pour la présidente du groupe LFI à l’Assemblée nationale. Mathilde Panot, de commettre, ce samedi 16 juillet, un tweet qui a choqué de nombreux élus ou ex-élus du parti présidentiel, dont plusieurs ministres.

“Il y a 80 ans, les collaborationnistes du régime de Vichy ont organisé la rafle du Vél’ d’Hiv’. Ne pas oublier ces crimes, aujourd’hui plus que jamais, avec un président de la République qui rend honneur à Pétain et 89 députés RN!”, a écrit l’élue, ignorante du Pacte germano-soviétique, traité de non-agression entre l’Allemagne nazie et l’Union soviétique, un accord diplomatique signé le 23 août 1939 à Moscou, par les ministres des Affaires étrangères de Hitler, Joachim von Ribbentrop, et soviétique, Viatcheslav Molotov, en présence de Joseph Staline

Staline et le ministre d’Hitler se serrant la main après la signature du pacte au Kremlin de Moscou

Ces mots ont aussitôt indigné des membres du gouvernement, tel le ministre des Transports Clément Beaune, d’ascendance juive comme Gabriel Attal, qui demande à l’antisioniste pro-palestinienne de ”[retirer] ce message et [présenter ses] excuses à la France, vite”.

Totalitaire

“Aucune limite dans l’indécence”, a quant à lui réagi le ministre du Travail Olivier Dussopt, tandis que pour la ministre chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, Isabelle Rome, c’est “la nausée”.

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Gérard Darmon dans La Face Katché : « Il y a des antisémites en France, mais la France n’est pas un pays profondément antisémite« 

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Pour mémoire, Panot est une admiratrice de Jéremy Corbyn, antisémite britannique que le parti travailliste a chassé.

Jadot (EELV) qualifie Zemmour de « juif de service »: la presse dit l’écologiste « critiqué » !

Nauséabonds, les media victimisent le géant vert antisémite

Dans un entretien avec Frédéric Haziza sur Radio J, dimanche, le candidat écologiste à l’élection présidentielle a estimé que le candidat de Reconquête! fait office de « juif de service pour les antisémites ».

Une déclaration qui passe mal. Invité de Radio J, dimanche 13 février, le candidat écologiste Yannick Jadot a qualifié Eric Zemmour de « juif de service ». Une affirmation qui provoque de nombreuses réactions.

« Zemmour porte des pulsions de mort, je porte des pulsions de vie. Zemmour essaie de réconcilier une partie de la France avec l’Algérie française, avec Pétain, avec l’antisémitisme. Ce que le père Le Pen n’avait pas réussi à faire, il arrive à le faire », a affirmé M. Jadot, avant d’ajouter : « Zemmour a une différence avec Le Pen père, la différence la plus perverse. C’est que Zemmour est juif, il fait le juif de service pour les antisémites. (…) Il inocule le poison de la division. »

« L’expression n’est pas très heureuse »…

Interrogé sur cette déclaration, lundi, dans l’émission des « Grandes Gueules » sur RMC, il a précisé : « Zemmour porte l’antisémitisme, il condamne Dreyfus et réhabilite Pétain (…). Quand c’était [Jean-Marie] Le Pen qui tenait ces propos-là, ça scandalisait tout le monde. Zemmour se sert de la religion pour servir d’excuse à l’extrême droite qui n’attendait qu’un tel représentant pour libérer la parole. » Dans cette même émission, le candidat écologiste a insisté : « Il y a toute une partie de la population qui a trouvé en Zemmour quelqu’un de bien pratique pour assumer l’antisémitisme, il est l’idiot utile de l’antisémitisme. »

Questionné sur l’expression « juif de service », le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a estimé sur Franceinfo, lundi, que « l’expression n’[était] pas très heureuse » : « Je ne crois pas qu’il faille qualifier les gens par ce qu’ils sont, on n’a pas à essentialiser qui que ce soit. C’est un fait qu’Eric Zemmour, aujourd’hui, est celui qui réhabilite la pensée de Vichy, [qu’]il est celui qui a osé dire que le maréchal Pétain avait sauvé les juifs français en livrant les juifs étrangers. Rien que ça, ça devrait nous faire sursauter. »

« C’est choquant, c’est honteux cette résurgence de l’antisémitisme d’extrême gauche et on doit condamner ces propos », a dénoncé le finaliste malheureux de la primaire de la droite, Eric Ciotti, lundi matin sur BFM-TV. L’eurodéputé Gilbert Collard, nouveau soutien de M. Zemmour, a, lui, critiqué le candidat écologiste, déclarant qu’il « se vautre dans l’antisémitisme de service ».

Le Huffington Post donne la parole à l’agresseur

Jadot n’en démord pas.

″Eric Zemmour porte l’antisémitisme, le racisme, le révisionnisme”, a ainsi  développé Jadot, ce lundi 14 février sur RMC dans “Les Grandes Gueules”. “Il y a une sorte de libération de la parole […] Eric Zemmour, au fond, se sert de sa religion pour servir d’excuse à toute l’extrême droite qui n’attendait qu’un tel représentant pour libérer la parole. […] Donc, au fond, il est l’idiot utile de l’antisémitisme. Moi, ce que j’ai voulu, peu importe la formule, c’est qu’on parle de cet antisémitisme” a développé la vainqueur de la primaire des Verts, face à un plateau qui tentait de reformuler sa pensée.

Un sursaut urgent

“Il faut que notre pays se réveille par rapport à de tels propos”, avait préalablement expliqué le candidat. “Les actes antisémites ont augmenté encore ces dernières années. Il y a une sorte de libération de la parole. Je vous rappelle aussi les propos du Grand rabbin de France appelant à ce qu’il n’y ait pas un seul vote juif pour Eric Zemmour”, a-t-il évoqué en appelant ensuite à une sorte de sursaut du pays.

Ses propos du 13 février face au journaliste Frédéric Haziza avait soulevé les critiques à droite de Gilbert Collard à Éric Ciotti cités pour alléger la faute de l’écologiste radical.

A gauche, les réactions, les réactions ont semblé plus hésitantes. “Je comprends ce qu’il a voulu dire, assure Olivier Faure, même si l’expression n’est pas très heureuse”, a faiblement réagi sur France Info le secrétaire général du PS, pour qui le bon Juif est de gauche.