Golfe de Gascogne : colère des pêcheurs face à l’interdiction de la pêche par l’UE

Article bloqué par Google il y a 13 heures, après la 1ère visite

Les pêcheurs du sud-ouest de la France sont en grande difficulté. Depuis le lundi 22 janvier, ils ont interdiction de pêcher dans le golfe de Gascogne pendant un mois, pour préserver les dauphins. Plus de 450 navires sont concernés.

Dès avant la fermeture d’une zone de pêche dans le golfe de Gascogne, l’incompréhension régnait. « On accueille des observateurs à bord pour savoir, pour essayer de recueillir de la donnée (…). Le deal, c’était justement qu’on essaie de s’adapter pour éviter ces fermetures« , regrette David Lamourous, président du comité des pêches de la Gironde. Le conseil d’Etat a pris la décision d’interdire la pêche durant un mois face au nombre grandissant de dauphins blessés ou tués par les filets de pêche.

« 80% des dauphins qui sont trouvés morts sont marqués par des engins de pêche »

Pour les associations à l’origine de la saisie de l’UE, ces fermetures temporaires sont une nécessité. « Aujourd’hui la pêche, c’est quatre, cinq fois la mortalité naturelle. C’est-à-dire que 80% des dauphins qui sont trouvés morts sont marqués par des engins de pêche« , rappelle Jérôme Graffe, juriste France Nature Environnement, fédération française des associations de protection de la nature et de l’environnement, proche de Nouvelle Donne (New deal), qui cible explicitement le PS et LR, et de Pierre Larrouturou. La fermeture de la pêche sur de courtes périodes pourrait permettre aux ressources de se reconstituer et d’offrir de meilleurs rendements.

Guerre en Ukraine : Raphaël Glucksmann, le député européen va-t-en guerre

La livraison d’avions de chasse « est un tabou qui doit sauter », selon le BHL rouge.

R. Glucksmann exalté au Parlement européen pour instrumentaliser l’affaire du maire de Saint-Brévin-les-Pins et dénoncer l’extrême droite
sans preuves

Ancien conseiller de Mikheil Saakachvili, président de la Géorgie, de 2009 à 2012, en délicatesse avec Poutine, Raphaël Glucksmann, est un fils de… (le philosophe André Glucksmann) élu à Bruxelles ‘Place publique’, un mouvement politique citoyen qui prétend construire un nouveau projet de société pour que justice sociale et justice écologique deviennent indissociables. Cet eurodéputé, tête d’une liste réunissant Place publique, le Parti socialiste et Nouvelle Donne, est co-fondateur de PP , avec Claire Nouvian, une « hystérique » qui insulta les chroniqueurs de CNews, et co-auteur, avec le réalisateur de Tuez-les tous ! (Rwanda : Histoire d’un génocide « sans importance »), David Hazan, d’un documentaire sur la révolution orange en Ukraine.

Ce serait « l’honneur de la France » d’« initier le mouvement » parce que « c’est un tabou qui doit sauter », a affirmé lundi 15 mai sur franceinfo Raphaël Glucksmann, député européen Place publique et président de la commission spéciale sur les ingérences étrangères dans le processus démocratique de l’Union européenne, alors que Volodymyr Zelensky continue de réclamer des avions de combat. Le président de l’Ukraine a rencontré Macron dimanche soir à Paris. Pour des raisons de sécurité, la presse avait accepté de faire de la rétention d’information sur ce passage par Paris, entre Berlin et Londres. Une précaution partagée avec Macron qui apparaît aux quatre coins de la France par surprise, dans la crainte des huees et casserolades.

Les deux présidents ont annoncé conjointement que la France continuera de former et d’équiper « plusieurs [?] bataillons avec des dizaines [combien?] de véhicules blindés et de chars légers » dans les prochaines semaines, mais la livraison d’avions de chasse est … »prématurée » pour l’Elysée. 

« Nous prenons du retard et ce retard se paye en vies humaines sur le terrain », a regretté Raphaël Glucksmann, considérant sans diute que les chars sont des véhicules sanitaires, humanitaires…. « Nous devrions faire tout ce que nous pouvons pour aider la résistance ukrainienne », pour « nous-mêmes, pour notre propre sécurité, pour notre propre stabilité », a-t-il expliqué.

Place Publique est membre de la NUPES, alliance anti-républicaine

franceinfo : La France ne livrera pas pour l’instant d’avions de combat. Vous le regrettez ?

Raphaël Glucksmann : Comme à chaque fois, comme à chaque étape dans les livraisons d’armes, nous prenons du retard et ce retard se paye en vies humaines sur le terrain. Nous avons hésité pendant des mois et des mois avant de livrer des tanks, avant de livrer des missiles. Nous refaisons la même chose sur les avions. C’est dommage parce que depuis le début, notre stratégie devrait être claire. Nous n’interviendrons pas militairement directement sur le front ukrainien. Ce sont les Ukrainiens qui vont mourir et qu’ils vont combattre. Par contre, en dessous de cette ligne rouge, nous devrions faire tout ce que nous pouvons pour aider la résistance ukrainienne, parce que ce n’est pas simplement pour l’Ukraine que nous le faisons, c’est aussi pour nous-mêmes, pour notre propre sécurité, pour notre propre stabilité. Chaque retard pris se paye en matière de sécurité et en question de vies humaines sur le terrain. [Dans l’idéal, Zelensky aurait dû réfléchir avant de se poser en victime et de revêtir l’uniforme du général Dourakine].

Chef de guerre fantoche rameutant les Atlantistes

L’Elysée dit que c’est un « peu prématuré ». On finira par livrer ces avions ?

On y viendra comme sur toutes les autres questions. Au début, nous avons hésité avant les armes lourdes. On ne voulait livrer que des casques et du matériel médical. Puis finalement, on a accepté de livrer des armes. Et puis, la question des tanks qui est arrivée, la question des missiles longue portée est arrivée et à chaque fois, la même décision a été prise, non pas par altruisme, mais par réalisme parce que nous savons bien, au fond, que ce qui est en jeu en Ukraine, c’est notre propre sécurité, de notre propre stabilité. [Poutine ne menacerait donc plus seulement l’Ukraine, maintenant, mais aussi l’Europe entière : l’agité doit consulter d’urgence ! ]

« Il n’y a pas d’investissement dans la sécurité meilleure que celui de l’armement que nous transmettons que nous fournissons à la résistance ukrainienne. C’est aujourd’hui notre première ligne de défense. » (délire de Raphaël Glucksmann, eurodéputé français d’extrême gauche, à franceinfo)

Ce n’est pas simplement la solidarité à l’égard d’un peuple [solidaridé controversée en France] qui lutte de manière héroïque [sous perfusion atlantiste permanente des USA, de l’Allemagne et du Royaume-Uni] pour sa survie [l’Ukraine n’était pourtant pas opprimée par la Russie de Poutine] et pour nos principes. C’est au fond de l’égoïsme bien intelligent, de l’égoïsme bien senti. Il faut que Vladimir Poutine perde cette guerre, sinon nous ne connaîtrons plus la paix et la stabilité en Europe dans les prochaines années et les prochaines décennies [sic].

Si la France refuse ces livraisons, c’est peut-être pour ne pas démunir sa propre armée ?

Il y a des Mirage 2000 [Dassault…] qui ont été vendus aux Emirats arabes unis et qui aujourd’hui ne sont plus utiles, qui ne sont plus utilisés par personne [reste Le Bon Coin, assez bien pour l’Ukraine?]. Il ne s’agit pas simplement de désarmer l’armée française, il s’agit de prendre la décision politique symbolique de livrer des avions. C’est ça qui bloque aujourd’hui. Il serait l’honneur de la France et aussi son intelligence que de prendre les devants y compris par rapport aux Etats-Unis, et d’initier le mouvement parce que c’est un tabou qui doit sauter comme ont sauté les tabous précédents sur les livraisons de tanks ou sur les livraisons de missiles. C’est plus un geste politique qu’une question de disponibilité de matériel.

Papa Dédé Glucksmann a commencé à l’extrème gauche comme maoïste avant de virer néo-libérale. L’épouse du quadra exalté (43 ans), la journaliste Léa Salamé, est nièce de diamantaires. Avec Rapha, la famille Glucksmann est donc promise à une nouveau cheminement vers la droitisation. Les marchands d’armes ont déjà trouvé en lui un VRP prometteur.

Point de Nicolas Sarkozy sur le sujet: lien TikTok

Glücksmann peut-il entendre ceci ?

Primaire populaire de 2022 : Mélenchon se retire de la liste des candidats

Taubira restera-t-elle seule sur sa liste ?

2022: Mélenchon ne veut par refaire du Hollande et peaufine sa réputation…

«Il est temps que la campagne électorale soit débarrassée de ces pratiques déloyales», estime Manuel Bompard, directeur de campagne de Jean-Luc Mélenchon. Le tribun populiste n’est pas le camarade de Taubira et Hidalgo. Yannick Jadot (EELV) l’est donc, en revanche, mais se serait bien passé de cette étiquette…

La France Insoumise a appelé les organisateurs de la «primaire populaire» à ne plus impliquer leur candidat Jean-Luc Mélenchon. Mardi 18 janvier au soir, le parti d’extrême gauche a dénoncé une démarche «insincère» qui, selon lui, «instrumentalise les aspirations au rassemblement» de la gauche. «Jean-Luc Mélenchon n’a jamais donné son accord pour figurer dans ce scrutin : nous demandons donc que son nom soit retiré de tous les supports physiques et numériques» de cette primaire, écrit dans un communiqué Manuel Bompard, directeur de campagne de Jean-Luc Mélenchon. Pour les Insoumis, cette démarche est «manifestement problématique et insincère».

Des candidats soumis au vote sans leur accord

Manuel Bompard dénonce «le caractère délibérément brutal de cette initiative, sans respect des personnes engagées dans cette élection présidentielle. Ainsi, les candidats seront soumis au vote sans leur accord. D’autres n’y seront pas, sans leurs avis non plus», écrit-il.

Pour les insoumis, «ce vote s’apparente donc à une sorte de sondage sans qu’aucune des règles de bases permettant d’en garantir la sincérité ne soit respectée». «Ce n’est pas acceptable. Aucun d’entre nous n’a eu accès au fichier des votants et la commission de contrôle mise en place a été dissoute par les organisateurs», affirme-t-il.

Pour lui, «il est temps que la campagne électorale soit débarrassée de ces pratiques déloyales qui instrumentalisent les aspirations au rassemblement et fonctionnent depuis des semaines comme un harcèlement permanent contre la légitimité des candidatures de gauche». Ce qui, pour Manuel Bompard, pose question «sur les intentions politiques réelles de cette organisation» avec laquelle les Insoumis veulent se «mettre clairement à distance».

Près de 300.000 inscrits

Kak_Présidentielle_Primaire_populaire_grand_bazar 19/01/2022

La «Primaire populaire» a, elle, revendiqué mardi avoir franchi la barre des 288.000 inscrits au vote d’«investiture» qui aura lieu du 27 au 30 janvier pour désigner le candidat qu’elle soutiendra parmi sept personnalités.

Ce chiffre est d’ores et déjà le plus important des primaires qui ont eu lieu, dépassant la primaire écologiste de septembre (122.000) et le congrès des Républicains début décembre (près de 140.000), dans des conditions volontairement réduites qui leur donnent sens et valeur.

Or, outre Jean-Luc Mélenchon, l’écologiste Yannick Jadot et la socialiste Anne Hidalgo ont refusé d’y participer. L’ancienne garde des Sceaux Christiane Taubira – déclarée candidate à la présidentielle samedi -, le député européen Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne) et les candidats issus de la société civile, Anna Agueb-Porterie, Charlotte Marchandise (en mars 2017, cette fondatrice d’un collège pratiquant la pédagogie Montessori dans les environs de Rennes ne recueillit que 135 parrainages sur les 500 nécessaires pour se présenter à la présidentielle) ont, quant à eux, dit qu’ils se plieront aux résultats. Sans nouvelles, en revanche, de l’ancien socialiste Gérard Filoche, donneur de sperme et fondateur de la Gauche démocratique et sociale, GDS…

Benoît Hamon refuse de débattre sur CNews: fracture ou appel à la haine?

« On ne débat pas avec Pascal Praud »: discrimination islamo-gauchiste?

Que l’ancien ministre de l’Education de Hollande est sectaire, c’est peu dire. Invité de la matinale de… France Inter, lundi 24 mai, Benoît Hamon a notamment reparlé de la chaîne de télévision CNews pour expliquer pourquoi il ne veut pas se rendre sur un de ses plateaux. Non seulement il ne débat qu’avec ceux de son bord – curieuse conception du débat d’idées – mais il fait la leçon. On peut même considérer qu’il lance une consigne de boycottage contre une chaîne d’information françaiseau nom du pluralisme et de la liberté de la presse ? -, lui qui se range au côté des Palestiniens, notamment du Hamas, organisation armée terroriste, et soutient des opérations telles qu’ « un bateau pour Gaza » (2010 et 2011) et a fait 6% des voix à la présidentielle de 2017..

Benoît Hamon est sorti de la pénombre à l’occasion d’un nouveau conflit israélo-palestinien, mais après la bataille, alors qu’un cessez-le-feu était trouvé après onze jours. C’est la journaliste franco-libanaise Léa Salamé qui lui offrait l’antenne de la radio de service publique pour souffler sur les braises et verser du fiel sur les plaies encore ouvertes.

Glucksmann-Hamon

Depuis 2016, Léa Salamé est en couple avec l’essayiste et homme politique Raphaël Glucksmann. Ce fils de… lança en 2018 le parti Place publique (PP). A la tête d’une liste réunissant Place publique, le Parti socialiste et Nouvelle Donne, le conjoint de la journaliste est élu aux élections européennes de 2019. Or, arrivée 6e et dernière, celle de Benoît Hamon, Génération.s (G.s) n’obtiendra aucun siège: le pro-palestinien et ex-salarié d’Ipsos ne dispose plus d‘aucun mandat qui légitimerait sa parole, pas même celui de maire de Trappes occupé par son ancien assistant parlementaire, puis membre de son cabinet, Ali Rabeh.

Il est notamment revenu sur CNews et l’opinion qu’il s’en fait. L’homme politique a notamment critiqué la ligne éditoriale de la chaîne et assuré une nouvelle fois qu’il ne compte pas se rendre sur un de ses plateaux.

Eliminé aux législatives et tête de liste refoulée aux élections européennes de 2019 avec 3,27 % des suffrages exprimés, l’aigri est favorable, en 2010, à un rapprochement du PS avec le Parti socialiste vénézuélien fondé par Hugo Chávez qui se réclame du bolivarisme.

« Je ne reproche pas l’existence de media d’opinions. Je n’y vais pas [exceptions faites de France Inter ou France 5] car je n’ai pas envie de tomber dans ce registre-là », s’est justifié le méprisant bac+3, partisan du dialogue entre soi, avant d’ajouter: « On ne débat pas avec Pascal Praud. On ne débat pas avec Eric Zemmour ». Un appel à l’ostracisme et à l’antisémitisme.

L’islamo-gauchiste s’est atraqué à Vincent Bolloré, en tout pacifisme

Propagateur de l’écriture inclusive, Benoît Hamon a estimé, sans apporter d’exemples en appui de ses accusations, que le chroniqueur énonce des « contre-vérités historiques » (Hamon n’a pas réussi à décrocher sa licence d’histoire) en direct sur la chaîne et que ces dernières ne pouvaient être immédiatement démenties, le temps que les historiens mènent à bien leur « contre-expertise ». Et d’ajouter : « Ce qui se raconte sur cette chaîne – et dont les journalistes sont coproducteurs – c’est souvent une ligne ultra-conservatrice, discriminatoire, islamophobe, parfois raciste », a ajouté Benoît Hamon, partisan d’une chaîne unique, stalinienne.

Peu après, le fondateur de Génération.s s’en est pris à Vincent Bolloré, le propriétaire de CNews via le groupe Canal + et Vivendi. Il a regretté que ce dernier soit « champion pour déclencher des procès aux uns et aux autres » tout en maltraitant ses propres salariés. Diffamation?

LIRE comment, soys la plume de Pascal Boniface l’IRIS prend la défense du communautarisme de Hamon