Edito polémique de Patrick Cohen sur les Maghrébins suspects de la mort de Thomas à Crépol

«Ils sont venus pour s’amuser, draguer des filles», raconte le journaliste désinformateur de France 5

« On va y planter des Blancs », ont lancé les agresseurs lors de leur descente de la ville de Romans sur le village de Crépol, affichant leur intention de tuer non pas seulement des Français mais surtout des Blancs. Leur haine raciste est claire

Lundi 27 novembre, Patrick Cohen a donné son sentiment sur l’expédition mortelle de Crépol dans un édito pointé sur les réseaux sociaux quand la presse détourne le regard. Il y fait un récit de «la mécanique de la haine et du mensonge», en livrant un récit personnel du déroulé de la soirée.

Le journaliste Patrick Cohen ne s’en tient pas aux faits, bafouant la déontologie de sa profession. Selon lui, les mis en cause seraient venus «s’amuser», «draguer des filles». «Un rugbyman aurait tiré les cheveux longs» d’un des mis en cause, évoque le journaliste. Et de conclure : «La mort de Thomas ne résulte pas d’une expédition punitive». De quoi, donc ? D’une provocation qui fait des victimes les responsables du drame: un renversement des valeurs. Une falsification des faits.

Des dragueurs armés de couteaux de 20 cm…

Lundi soir, au début de « C à vous » sur France 5, Patrick Cohen a développé son édito quotidien, intitulé « Crépol : la mécanique de la haine et du mensonge ». Le chroniqueur de France 5 a choisi d’évoquer le meurtre de Thomas survenu à Crépol, il y a plus d’une semaine.

« Dans ce village de la Drôme, il y avait un bal dans la salle des fêtes. En fin de soirée, une dizaine de jeunes se mêlent aux 400 participants. Ils ne sont pas du village, ils sont venus pour s’amuser, pour draguer des filles« , débute le journaliste.

Et d’ajouter : « Pas d’incident jusqu’à la dernière chanson de la soirée : « Tchikita » du rappeur marseillais Jul. C’est là que, d’après les mis en cause, l’un des participants au bal, un rugbyman, aurait tiré les cheveux longs d’un des membres du groupe en le traitant de ‘chiquita‘, c’est-à-dire de « fille sexy ».

« Altercations, bagarres… Les offensés sortent des couteaux. Un adolescent de 16 ans s’effondre, poignardé à mort. Il s’appelait Thomas. Il jouait au rugby, c’était l’une de ses premières sorties », ajoute Patrick Cohen, en quelques phrases lapidaires.

Lundi 27 novembre, Patrick Cohen a donné son point de vue sur le drame de Crépol dans un édito très commenté sur les réseaux sociaux. Il y décrypte «la mécanique de la haine et du mensonge», en retraçant le déroulé de la soirée. Les mis en cause seraient venus «s’amuser», «draguer des filles». «Un rugbyman aurait tiré les cheveux longs» d’un des mis en cause, relate le journaliste. Et d’ajouter: «La mort de Thomas ne résulte pas d’une expédition punitive». Lien video Le Figaro

« Voilà ce que l’on connaît des faits et de l’enquête de gendarmerie, d’après les communiqués du procureur et d’après l’enquête du journal Le Monde« , assure-t-il.

Très vite, l’édito de Patrick Cohen a fait réagir les internautes sur les réseaux sociaux. « Signalons tous cet éditorial ordurier », déclare un internaute. Un autre ajoute : « Absolument écoeurant ».

Un député connu pour son alcoolisme lui emboîte le pas

« Totalement saoul », le député écologiste, ex-macronien (dans un parcours sinusoïdal), Aurélien Taché a perturbé une représentation théâtrale mardi 6 décembre dernier soir au point de faire interrompre la pièce « Lettres à Anne » au théâtre Lepic à Paris. Il a reconnu avoir « naïvement perturbé » la représentation.

Cette fois, ce même député négationniste a tweeté son délire personnel à propos de la tragédie mortelle de Crépol.

(tweet retiré, en attente )

Cet esprit dérangé a retiré son tweet indigne. Reste un précédent message édifiant à souhait…

Vous en revoulez?

Michel Onfray à Apolline de Malherbe : « Le suspect principal de Crépol qui fuit au Maghreb ? Ça n’allait pas être l’Islande… Vous l’avez présenté comme “il est Français et habite le centre-ville” (…) C’est un Français de papier » (25/11/2023)