Des mineurs non accompagné́s africains occupent une église de Lyon

140 « migrants », selon l’AFP, avec la complicité d’un collectif subventionné

Si visible de loin soit-elle,
la Grande mosquée de Lyon 3e
n’a pas été retenue par
le collectif de la Croix-Rousse
pour mettre à l’abri des illégaux

Ni la mosquée Es-Salem, ni la grande mosquée Badr Eddine de Lyon 3e n’est accueillante… Pour « échapper au rats » et au froid de l’hiver, quelque 140 Africains ont été conduits et installés par un collectif dans une église de Lyon avec l’accord provisoire du diocèse, appelant à des conditions d’accueil « plus dignes », en attendant une réaction du maire Les Ecologistes.

La plupart de ces faux mineurs et vrais clandestins sont de nationalité guinéenne, sénégalaise et malienne. Ils se sont installés il y a plusieurs mois dans le square situé en face de l’église, en attendant d’être reconnus comme mineurs, selon le collectif Soutiens/Migrants Croix-Rousse au profit de Exilé-es – Soutiens Lyon. En même temps, la junte malienne a chassé les militaires français de l’opération Barkhane d’ici Noël 2023.

« Dormir au sec et échapper aux rats »: une quarantaine de jeunes clandestins musulmans ont passé le week-end dans l’église du Saint-Sacrement de Lyon. Installés dans un square du 3e arrondissement depuis plusieurs mois, ces quelques dizaines de migrants illégaux ont investi depuis vendredi soir l’église du Saint-Sacrement qui jouxte leur campement. «A l’intérieur de l’église, on est quelques-uns à dormir au sec, avoir un peu de chauffage le matin et recharger les téléphones», raconte Alhassane, un Guinéen de 16 ans, qui campait depuis quatre mois à l’extérieur du bâtiment avec 140 autres personnes. Des scolaires de la diversité de troisième génération refusent en revanche d’entrer dans une église pour une visite culturelle…

De jeunes migrants devant l'église occupée à Lyon

«On a espoir qu’une solution pérenne soit trouvée», indique Jean-Paul Vilain, un des membres du collectif local d’aide aux migrants en situation irrégulière et directeur chez Centre Social et Socioculturel de Gerland, dans le 7e arrondissement (EELV). «On demande pour eux un hébergement digne et humain». Ce dont ne disposent pas les SDF.

« Sans violence et dans le dialogue »

Ils ont demandé à dormir sur place « sans violence et dans le dialogue », précise le diocèse. L’archevêque de Lyon, Mgr Olivier de Germay, « a choisi de ne pas demander leur expulsion des lieux mais plutôt de les accueillir en attendant qu’une solution soit trouvée ».

Le diocèse étudie les possibilités pour accueillir une partie d’entre eux, « regrettant de ne pas pouvoir tous les héberger ». Est-ce sa vocation, si ce n’est pas celle du collectif ?

Mise au sec impossible dans la mosquée de Lyon 3e ?

« On a espoir qu’une solution pérenne soit trouvée », indique Jean-Paul Vilain, un des membres du collectif local d’aide aux migrants et président de la Coordination urgence migrants (CUM) qui propose des solutions d' »hébergement sous toutes ses form : « On demande pour eux un hébergement digne et humain », mais chez les autres.

    Mardi, la préfecture, la métropole de Lyon et la ville de Lyon se réuniront à leur sujet. Le vice-président de la métropole chargé de l’habitat et du logement social, Renaud Payre, affirme que « ces jeunes ont besoin d’être pris en charge », mais qu’ils ont été évalués « majeurs«  et « qu’ils dépendent donc du droit commun de l’Etat ».

    « Cette situation sera au centre des discussions de mardi », la métropole « fait déjà beaucoup: l’Etat doit prendre ses responsabilités », estime-t-il.

    Mineurs non accompagnés : 2023, l’année record en France

    Les départements doivent faire face à la charge des MNA et la presse relate leurs agressions à la « rubrique des chiens écrasés »

    Le poids des mineurs étrangers devient de plus en plus insoutenable pour les départements, dont dépend la protection de l’enfance alors que Marcial, un Palois de 86 ans, a succombé à ses blessures ce dimanche 26 novembre 2023, après avoir été roué de coups la veille par un jeune homme de 17 ans originaire de Roumanie et déjà connu pour des faits similaires, selon Le Figaro. Le mineur a depuis été mis en examen et écroué. Le JDD et Data Realis reviennent aujourd’hui sur les chiffres des mineurs non accompagnés (MNA) pour 2023, l’année de tous les records.

    Alors, info ou intox ? Y a-t-il bel et bien explosion du nombre de MNA ou n’a-t-on à faire qu’à un « sentiment d’explosion » ? Le JDD et Data Realis révèlent les chiffres officiels des placements de MNA dans les départements français pour 2023.

    La question migratoire est redevenue centrale cette année en raison de la reprise des flux en Méditerranée centrale et de l’interdiction faite par l’Union européenne à l’Italie de Giorgia Meloni de reprendre le blocus naval mis en place par Matteo Salvini en 2018.

    Si le ministère de l’Intérieur italien communique chaque jour les données des entrées d’immigrés clandestins sur le sol transalpin, et en fournit chaque mois un tableau de bord complet depuis 2017, le gouvernement français est bien moins généreux et constant en la matière. Toutefois, le ministère de la Justice vient de livrer le tableau du « Nombre de MNA confiés par décisions judiciaires du 1er janvier au 24 novembre 2023 » sur le territoire métropolitain.

    Le résultat est sans appel : le record de 2018 est battu. Tant pis pour l’Unicef. En effet, près de 17.260 clandestins reconnus mineurs ont été confiés à l’Aide sociale à l’enfance (ASE) par les départements métropolitains depuis le début de l’année. Le chiffre de 17.022 pour toute l’année 2018 est donc dépassé.

    Après une légère baisse liée à la crise sanitaire, les arrivées de « mineurs non accompagnés » se sont multipliés en 2023, notamment après la crise de Lampedusa en Italie. Dans les Alpes-Maritimes, les MNA ont été 5.600 à passer la frontière depuis le début de l’année, contre 3.400 à la même date en 2022. Des chiffres notamment avancés par les départements de France, dont dépend la protection de l’enfance. Ces derniers estiment à 50.000 euros le coût moyen de la prise en charge d’un mineur non accompagné.

    Nombre de MNA à la charge des départements chaque année depuis 2015.
*avant 2017, les MNA étaient désignés par l’acronyme MIE (Mineur Isolé Étranger) 
** les chiffres de 2023 sont ceux du 1er janvier au 24 novembre et portent donc sur une année incomplète
    Nombre de MNA à la charge des départements chaque année depuis 2015. *avant 2017, les MNA étaient désignés par l’acronyme MIE (Mineur Isolé Étranger) ** les chiffres de 2023 sont ceux du 1er janvier au 24 novembre et portent donc sur une année incomplète © JDD avec Data Realis

    A quelques exceptions près, les départements où la hausse est la plus importante sont ceux de la France rurale (Creuse, Corse, Cantal, Corrèze, Lot, Gers, Dordogne, Ariège, Landes, Nièvre, Aveyron, etc.) et sont bien plus nombreux que ceux où la baisse est importante (régions parisiennes, lyonnaise et lilloise),

    Moins de MNA dans les centres urbains, plus dans les périphéries rurales. On a là une première traduction de l’invitation faite aux préfets par Emmanuel Macron lors de son discours du 15 septembre 2022, où le président de la République dévoilait son projet de loi sur l’asile :

    « Notre politique aujourd’hui elle est absurde, elle consiste à mettre les femmes et les hommes qui arrivent, qui souvent ne parlent pas notre langue, qui sont dans la plus grande misère dans les quartiers où il y a de l’hébergement d’urgence qui sont déjà les quartiers les plus pauvres de la République. […] 

    Plusieurs d’entre vous sont dans des territoires ruraux. Quels que soient les engagements pris, nous devrons fermer des classes et vraisemblablement des écoles et des collèges. Si nous savons offrir de l’hébergement, de l’urgence et de l’intégration dans ces régions à des femmes et des hommes qui arrivent sur notre sol, les conditions de leur accueil seront bien meilleures que si nous les mettons dans des zones qui sont déjà densément peuplées, avec une concentration de problèmes économiques et sociaux massifs. »

    Un an plus tard, Macron a été entendu et les autorités ont bel et bien commencé à répartir les migrants en zone rurale pour en organiser la « transition démographique ».

    Extrait de l’arrêté précisant le nombre de MNA supplémentaires accueillis en 2022 par les départements de métropole.
    Extrait de l’arrêté précisant le nombre de MNA supplémentaires accueillis en 2022 par les départements de métropole. © Legifrance

    Chaque année, depuis la loi du 14 mars 2016 relative à la protection de l’enfant – qui a donné son fondement légal au dispositif de répartition des mineurs non accompagnés (MNA) entre les départements – un arrêté fixe le montant du financement exceptionnel de l’État pour la prise en charge des MNA supplémentaires accueillis d’une année sur l’autre.

    Ainsi, l’arrêté du 19 septembre 2023 a précisé les montants pris en charge pour 2022, département par département. Or, en lisant cet arrêté on découvre que le département qui a accueilli le plus de MNA supplémentaires en 2022, c’est le Puy-de-Dôme, avec 220 jeunes ! La transition est bel et bien en marche.

    A Pau, l’avocat de Marcial dénonce un « silence absolu » du maire MoDem (et emploi fictif de Haut-commissaire au plan depuis plus de trois ans) et les enfants de l’octogénaire condamnent « l’indifférence générale » entourant la mort de leur père. En effet, ni la mairie MoDem de François Bayrou, ni la députée MoDem de circonscription, Josy Poueyto, ni aucune association ne s’est exprimée et n’a eu une marque d’attention ou une autre « démarche » pour la famille. « Il n’y a pas eu un seul mot de soutien, de compassion pour eux », a fustigé Me Sagardoytho qui a ajouté : « Nous devons une attention maximale à nos aînés tout au long de l’année. Pas seulement lors des cérémonies de vœux ou lors des élections. »

    A 12 ans, le cambrioleur dérobe de 200.000 euros de montres de luxe

    Pris en charge par des passeurs « vertueux », infiltré par les « humanitaires«  de SOS Méditerranée et jeté sur le pavé parisien

    En 2016, pour 200.000 euros, les malfrats s’y mettaient à plusieurs

    Ce enfant marocain a été arrêté et confondu pour ce vol. Mais compte tenu de son jeune âge, il a été remis en liberté avec un lot de mesures d’accompagnement éducatif. Le méfait n’entre pas en ligne de compte: le délinquant est sanctionné à hauteur de son âge. Est-on un « mineur de 13 ans » quand on commet des vols avec effraction, voire avec violences et a fortiori des actes de barbarie ? Ici, il ne s’agit ni de Dragibus, ni de Fraise Tagada…

    Parce que le Maroc est un régime dictatorial, en guerre et sans écoles, a Mineur non accompagné (MNA), l’enfant de 12 ans a été interpellé dans le quartier multiculturel de la Goutte-d’Or à Paris (XVIIIe), la semaine dernière. Amené sur zone communautariste par l’association exemplaire Utopia 56, cet enfant est « soupçonné » d’avoir cambriolé fin juillet un appartement du XVIe au cours duquel il s’est emparé d’un important butin constitué de montres de luxe.

    L’affaire commence début août quand une femme, âgée de 48 ans, rentre de vacances. Cette pharmacienne découvre que son appartement de la rue Scheffer a été cambriolé. Le vol a été commis avec effraction en cassant une fenêtre coulissante qui se trouve au premier étage. L’ensemble des pièces a été fouillé et le ou les malfaiteurs se sont emparés de montres de luxe et de bijoux d’une valeur de 200.000 euros.

    Déjà bien connu du fichier des auteurs d’infractions

    Les enquêteurs du premier district de police judiciaire de Paris sont chargés de mener les investigations. Les techniciens de la police scientifique relèvent les traces et indices sur les lieux du vol et découvrent une empreinte digitale appartenant à un petit voleur sans domicile, déjà bien connu du fichier des auteurs d’infractions. Les forces de l’ordre diffusent son signalement dans toute la région parisienne.

    Et le 23 août, vers 18 heures, ce jeune suspect est contrôlé par une patrouille de police dans la rue de la Goutte-d’Or, une cour des miracles à l’échelle d’un arrondissement. La députée est Danièle Obono, LFI. Il est interpellé et placé en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire sur le boulevard Bessières (XVIIe). Durant les auditions, le mineur non accompagné a gardé le silence. Le lendemain, il a été remis en liberté avec une convocation devant le juge des enfants chargé de mettre en place des mesures éducatives. Nul doute qu’il se présentera…

    Le juge pour enfants n’envisage même pas une OQTF

    Point de vue de Geoffroy Lejeune (si les staliniens permettent…)

    Un garçon de 12 ans roué de coups et forcé à se déshabiller en pleine rue des Hauts-de-Seine

    Sous la menace d’un couteau : suisse multifonction ou sacrificiel, nul ne doit savoir

    Le port d’arme est illégal, mais passe encore crème dans ce pays de tous les renoncements, comme le montre une nouvelle affaire sordide, hors du commun hier, mais en fait aujourd’hui banale, puisque le couteau dans la poche de toutes les variétés de racailles autorise tout désormais.

    Lien PaSiDupes 1

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    Lien PaSiDupes 3

    Cette fois, un adolescent de 12 ans a été roué de coups par deux jeunes à Garches, commune LR des Hauts-de-Seine, ce samedi 19 août 2023: pour un regard, selon la formule consacrée qui dissimule aussi bien le vol que le vice ou les deux, puisque la fonction première de la presse est plus que jamais d’endormir l’opinion. Il ne suffit pas de détrousser un Blanc sans défense: il faut l’avilir.

    Ses agresseurs auraient volé son téléphone portable avant de le forcer à se déshabiller en pleine rue et de filmer la scène. Quel est le rapport, sinon d’ajouter l’humilation au racket, quand le Code pénal évoque  » la soustraction frauduleuse de la chose d’autrui « : qu’en termes stupides les législateurs déconnectés et lénifiants conçoivent la vraie vie ! Les policiers du commissariat de Garches (Hauts-de-Seine) ont ouvert une enquête. Voilà la victime bien avancée.

    Rien n’est dévoilé de l’identité et de l’origine des deux sadiques.

    Le garçon âgé de 12 ans a été victime de cette agression armée ce samedi 19 août 2023. Il s’apprêtait à rejoindre un adolescent pour lui vendre une casquette lorsque deux jeunes l’ont accosté et l’ont « guidé  » (sic) vers une impasse, rapporte TF1 Info .

    La chronologie des faits présentée par cette chaîne est d’ailleurs inversée : « mis à nu et frappé dans la rue » qui nous apprend que les auteurs de l’abus sexuel sont des « jeunes ». Qu’ils aient douze ou seize ans, voire dix-sept, semble être du pareil au même. Savoir s’ils sont basanés ou pâles est sans intérêt pour les enquêteurs ! L’agression a-t-elle été commise en plein jour ? Trop de flou subsiste qui cache un loup. Les Garchois sont-ils donc indifférents au fait de savoir s’ils ont élevé des salopards ?

    Ils lui demandent de se déshabiller et le filment

    Les deux suspects l’auraient alors roué de coups pour lui voler son téléphone portable. Puis ils auraient demandé à leur victime de se déshabiller en pleine rue et de se mettre à quatre pattes. Scène de film réaliste et éducatif diffusé par les chaînes nationales hyper-libérales où on présente des scènes gore, de sexe trash ou de défonce conviviale et où a repris à fumer: rien qui émeuve l’Arcom, le ministre de la Santé ou de la Jeunesse. La pseudo « première dame » a fait de la jeunesse sa priorité ? On retiendra seulement d’elle ses jambes sexy, selon Closer, amateur de coton-tiges, ou ses extensions capilaires qui font fantasmer les chauves au coucher. Sans parler de ses prothèses dentaires.

    Le garçon a refusé, mais ses agresseurs l’ont alors menacé avec un couteau pour le forcer à s’exécuter. Que se serait-il passé si un passant n’était arrivé au même moment dans l’impasse et si les détraqués n’avaient été contraints de prendre la fuite.

    L’adolescent s’est rendu un peu plus tard au commissariat pour déposer une plainte. Il a precisé aux enquêteurs que ses agresseurs l’avaient filmé lorsqu’il se déshabillait. La vidéo a été diffusée en direct sur l’application Snapchat.

    Les policiers de Garches ont ouvert une enquête pour tenter d’identifier les auteurs de ce agression armée. Ils disposent de portraits-robots et il serait inconcevable de ne pas réussir à mettre la main dessus.

    A noter que Garches accueille une Maison d’Enfants à Caractère Social pour adolescents et jeunes majeurs assujettis à une mesure de l’ASE, Aide Sociale à l’Enfance. Ces jeunes oeuvent être remis par la famille sur décision judiciaire, voire au titre de la protection de l’enfance délinquante.

    Garches accueille des « déplacés » ukrainiens , mais les journalistes d’investigation n’investiguent pas toujours… Le témoignage d’Abdelkader Yassini, agent d’accueil chez CADA Garches, a-t-il été sollicité ?

    Autre piste délaissée qui soulagerait les familles de Garches de la honte, est aussi l’accueil d’exilés mineurs non-accompagnés, MNA, de toutes origines.  

    L’unique hôtel d’une commune des Alpes-Maritimes devient centre d’accueil et d’hébergement de migrants mineurs

    Sa proximité avec la frontière-passoire fait le bonheur de la famille Arnault, mais le malheur de la population

    Symphony, le yacht de Bernard Arnault en baie de Monaco, aurait pu accueillir des clandestins « mineurs » à 67 km de Grasse

    A Châteauneuf-Grasse, le panneau de l’hôtel Campanile a été retiré le mardi 20 juin 2023.  Depuis le démontage de l’enseigne détenue par le Groupe du Louvre dirigé par Elisa Niel Arnault (fille de Delphine Arnault, directrice générale adjointe de Louis Vuitton, LVMH, et de Xavier Niel, également milliardaire, propriétaire du groupe de télécommunications Iliad-Free et actionnaire du quotidien Le Monde ou de Deezer), 21 ans (née à Londres le 17 août 2012), la colère des riverains est montée d’un cran. Ils redoutent qu’un centre d’accueil de migrants ne s’installe à côté de chez eux à Châteauneuf-Grasse, 3.700 habitants, dans les Alpes-Maritimes. Le maire a mis l’affaire dans les mains des avocats. Le Département a, quant à lui, signé une convention qu’il finance par plus de deux millions d’euros.

    C’est le symbole d’une crise migratoire

    A Châteauneuf-Grasse, le panneau de l’hôtel Campanile a été enlevé ce mardi 20 juin. Il ne s’agit pas d’une réquisition, l’hôtel a accepté de louer 21 chambres sur les 47 pour l’accueil des mineurs migrants et de deux accompagnateurs associatifs. 

    Un changement en apparence anodin mais, en fait, l’hôtel serait en train de devenir un centre d’accueil trois étoiles et d’hébergement de jeunes migrants en situation irrégulière. Depuis le 15 mars, c’est déjà le cas. L’association entraide Pierre Valdo loue des chambres à l’hôtel Campanile, le seul de cette commune de 7300 habitants. 

    Soutenue par un partenariat avec Leroy Merlin, cette association qui, selon ses termes « est spécialisée dans l’accueil des publics étrangers en demande d’asile et réfugiés, ainsi que dans l’accompagnement des Mineurs Non Accompagnés, » favorise l’accueil de migrants clandestins, d’origines maghrébine, subsaharienne ou est-africaine, tchétchène et orientale (pakistanienne ou afghane), comme ukrainienne, notamment en secteur rural, encore au moment où se multiplient les actes anti-blancs tragiques dans nos campagnes.

    En avril, certains élus et riverains s’étaient déjà indignés de cette situation.  » Face à l’afflux de clandestins mineurs, dont 70% ne sont pas mineurs, une association loue des chambres de l’hôtel Campanile de cette commune des Alpes-Maritimes. Les structures d’accueil sont saturées, » écrivait déjà France 3 provence-alpes
    côte d’azur, en avril 2023. Le nombre de mineurs isolés étrangers accueillis dans les Alpes-Maritimes ne cesse d’augmenter, observait le medium. Plus de 1.800 mineurs non accompagnés avaient alors été pris en charge par les services du conseil départemental depuis janvier 2023, en trois mois : le chiffre date du vendredi 28 avril dernier. 

    Depuis le démontage de l’enseigne, la colère est montée d’un cran, car les riverains pensent que le propriétaire louera l’Hôtel Campanile de manière définitive. Ce que confirme le maire de la commune joint par téléphone, rapporte la presse.

    Le cuisinier a déjà reçu sa lettre de licenciement pour motif économique, ainsi que sept salariés de l’hôtel. Aucune offre de reclassement n’avait encore été proposée à ces salariés, ce jeudi 22 juin.

    Une convention signée 

    Une convention a été signée entre le Département et l’association en question, à qui l’Etat délègue. Cet accord change ainsi la destination de l’établissement hôtelier en créant « une structure d’accueil pour Mineurs Non Accompagnés », dixit le document. 

    Une somme de 2.396.210 euros a été octroyée par l’Etat le Département, permettant de prendre en charge les dépenses nettes de la structure d’accueil.

    Ce sont ainsi précisément 26.280 journées prises en charge, selon le chiffrage prévisionnel pour l’année 2023. Soit 91,18 euros pour une journée d’hébergement.

    « Business social »

    Le château de Bernard Arnault à Rambouillet pourra héberger les prochains mineurs isolés sensibles à l’appel d’air français

    Emmanuel Delmotte, maire sans étiquette, de cette commune réputée tranquille, est le dernier informé dans cette affaire. Il l’a appris presque par hasard, lorsque les réservations de la troupe de théâtre ont été annulées par l’hôtel Campanile. Officiellement, pour travaux. Comme l’hôtel n’a pas été mis en vente, il ne peut pas non plus le préempter.

    Aujourd’hui, il constate que « sept salariés français vont être licenciés pour un centre d’hébergement censé servir de gare de triage. » Certains travaillent à l’hôtel depuis longtemps. Une réunion est prévue ce jeudi matin à l’hôtel Campanile.

    Selon lui, l’hôtel gagnerait plus d’argent en hébergeant des migrants illégaux qu’avec une activité commerciale classique. Bénéficiaire, la famille Arnault devra toutefois investir dans des travaux de remise en état..

    Mais, Emmanuel Delmotte a choisi de s’opposer à ce changement par la voie légale, en transmettant le dossier à des avocats. Il dénonce la gabegie d’argent public et un « business social ».

    Au passage, il accuse l’association chargée d’aider les clandestins mineurs isolés : « Je pense que cette association est un marchand de sommeil (… ) ils n’ont aucun intérêt humanitaire, rien à faire des migrants et des voisins et le plus dramatique, c’est que c’est financé par l’argent public. » Et, quoi qu’en pense François Hollande, ce n’est pas l’Etat qui paie…

    « Ils sont montés à 100 dans les 49 chambres »

    Depuis plus de deux mois, le nombre de migrants accueillis à l’hôtel a augmenté, passant d’une vingtaine à une centaine. Selon l’élu, « cela crée des problèmes d’ordre public, ils sont montés à 100 dans les 49 chambres. »

    En perdant l’hôtel, la commune perd aussi 20.000 à 30.000 euros de taxe de séjour, soit l’équivalent d’un emploi.

    Si ce n’est plus un hôtel, il n’y aura pas de commission de sécurité, mais l’établissement deviendrait de fait un ERP (établissement recevant du public). Surtout, en cas de problème ou d’incendie, c’est le maire qui deviendrait responsable.

    « 50 personnes qui parlent et qui crient devant la chambre »

    L’une des voisines de l’hôtel est excédée. Elle habite à Châteauneuf-Grasse depuis 30 ans, une maison à crédit : « je vais vendre à perte… Pour leur laisser la place… » Elle fait partie des six co-propriétaires qui ont une petite maison derrière l’hôtel. Elle décrit les lieux, selon elle pas adaptés : « Nos maisons sont à 20 mètres de l’hôtel et comme les chambres sont avec des coursives quand vous avez 50 personnes qui parlent et qui crient devant la chambre, c’est comme si vous aviez 50 personnes qui crient dans votre jardin, depuis le mois de mars. » Elle se sent abandonnée et vit avec les fenêtres fermées malgré la chaleur estivale.

    Son coeur balance entre tolérance et ras-le-bol : « Nous notre vie, elle est pourrie, nous personne ne nous aide. On vit à 20 mètres d’un centre de migrants. J’aurais été tolérante… Mais depuis le mois de mars, on est moins tolérants parce que c’est à côté de chez nous. Les gens ont peur de parler, d’être pris pour des « fachos ».

    Dans l’immeuble qui jouxte l’hôtel, il y aurait une centaine de résidents. L’endroit était calme, le cadre champêtre.

    En contrebas, il y a un jardin pour enfants. Depuis ce qui s’est passé à Annecy, moins d’enfants se risquent à y jouer. Même si aucun incident n’est à déplorer à ce jour, « les gens ne sortent plus parce qu’ils ont peur. » 

    Enjeux politiques

    Face aux nuisances sonores répétées, une autre voisine, aux arrières-pensées politiques, appelle les gendarmes tous les jours. « On est lâchés par les élus, mais pas par notre maire, le problème, c’est le Conseil départemental : ils se déchargent. »

    Les riverains se réunissent fréquemment en assemblée pour parler de ces problèmes de cohabitation.

    Principale question : combien de temps cela va-t-il durer ? La date un temps évoquée du 30 septembre, semble s’éloigner chaque jour. Alors un an ? Dix ans ?

    Alerté dès les premiers jours, le député RN Lionel Tivoli trouve scandaleux que cette association d’accompagnement des migrants soit subventionnée par le Conseil départemental des Alpes-Maritimes.

    Le député RN demande que les subventions soient annulées.

    Le maire de Châteauneuf-Grasse, SE (ex-adjoint au maire UDI sortant) est bien conscient des enjeux politiques : « Le risque, c’est que tout le monde aille voter Rassemblement national. »

    Seuil de tolérance

    Ancien directeur-adjoint du lycée horticole d’Antibes, il plaint les jeunes clandestins déracinés : « c’est lamentable ! Ça va retomber sur ces jeunes, ça va faire monter le racisme tout ça à cause de l’incompétence de ces opérateurs. Les fautifs, ce sont ceux qui créent les situations de conflit. »

    A Châteauneuf-Grasse, le seuil de tolérance de la population semble en revanche avoir été atteint. 

    L’élu propose sans rire d’autres solutions de logement : « Et pourquoi pas un hôtel de luxe à Cannes ? Ou le fort de Brégançon ? » [Il s’agit de la résidence des présidents de la République dans le Var].

    Surtout, il redoute en même temps que sa paisible commune, d’habitude ouverte à l’accueil des migrants en situation irrégulière, s’ajoute à la liste déjà longue des tragédies humaines.

    Jusqu’ici, elle était réputée pour son panorama, ses oliviers centenaires et ses bâtisses du 16ème siècle. Et, à 12 minutes, ses parfums, à Grasse.

    Un camp de migrants devant le Conseil d’Etat

    Provocation des associations, dites humanitaires, autrefois respectables

    Ces clandestins ont-ils trouvé d’eux-mêmes ce symbole ? En fait, un retour de boomerang: le Conseil d’Etat est une institution qui a beaucoup fait pour les migrants en situation irrégulière. Ils ont été conduits au Palais Royal, au coeur de Paris: une escalade politique d’humanitaires dévoyés, comme les anti-républicains de La France Insoumise, fer de lance de la NUPES.

    200 jeunes migrants sans-abri installent des tentes devant le Conseil d’Etat, pour exiger leur prise en charge et l’accès à un hébergement d’urgence. Ne veulent-ils donc plus transiter vers le Royaume-Uni, et sans avoir accepté leur instrumentalisation par les associations d’extrême gauche, de Emmaüs France et le Secours catholique à Utopia 56, en passant par Amnesty international?

    Ces jeunes se prétendant mineurs, en attente d’une décision de justice pour trancher sur leur âge, sont accompagnés par plusieurs associations dont Utopia 56, Médecins sans frontières (MSF) ou Médecins du monde, font partie des 470 migrants qui vivent depuis six mois sur un campement d’Ivry-sur-Seine, commune communiste du Val-de-Marne, PCF de 1968 à 2021. Par quel hasard se sont-ils ainsi retrouvés à Ivry?…

    Les associations ont décidé de contester les évaluations des services départementaux. Un recours a été déposé auprès du juge des enfants et ils sont venus sous leurs fenêtres pour intimider les juges administratifs. En attendant, les associations les ont regroupés dans un camp à côté de Paris, dans la commune amie d’Ivry-sur-Seine (94). «Puisque cette crise humanitaire rencontre le silence des autorités, en se tenant à Ivry-sur-Seine, associations et jeunes décident de se déplacer devant le Conseil d’Etat pour visibiliser cette situation et accéder à des hébergements d’urgence en Ile-de-France», a expliqué Médecins sans frontières, proche du Parti communiste français

    Ces mineurs ont installé les tentes fournies devant la haute juridiction administrative vers 14h00, vite encadrés par un dispositif des forces de l’ordre. Une action symbolique pour médiatiser la cause de ces jeunes en situation irrégulière. Et les associations de victimiser les hors-la-loi. «On en a marre, on ne devrait pas laisser ces jeunes dans la rue. L’Etat se rend complice de la violence qu’elle dénonce», a par exemple fustigé le cofondateur d’Utopia 56, Yann Manzi, « citoyen du monde » et fondateur du festival des Vieilles charrues à Carhaix (Finistère), dont le maire, Christian Troadec, est altermondialiste.

    «Cette nuit, il faisait trop froid, ils n’en peuvent plus. Il y a de graves problèmes de santé, (allant) de la gale aux stress post-traumatiques», a abondé Kahina (elle n’a pas souhaité donner son nom..), une bénévole de l’association. En vérité, Kahina Lattef est Responsable Projets Métropole à Lille3000.

    «Je ne me sens pas en sécurité dans ce camp et il fait de plus en plus froid», a confié Seiku Kanté, livre de français entre les mains, six mois après son arrivée en France.

    Recours auprès du juge pour enfants

    Comme une partie des jeunes présents, originaires d’Afrique de l’ouest ou encore d’Afghanistan, il n’a pas été reconnu mineurs non accompagnés (MNA) à ce stade. Beaucoup ont déposé des recours auprès d’un juge pour enfants, dans l’espoir de bénéficier d’une prise en charge par l’aide sociale à l’enfance.

    Les associations qui les manipulent – à moins qu’ils ne fuient leurs pays pour des raisons politiques – déplorent la situation dans laquelle se trouvent ces jeunes se sont mis ces jeunes clandestins, ni mineurs certifiés (ils ont détruit leurs papiers…), ni majeurs désirés (non choisis, non adaptés à nos besoins), ce qui complexifie leur prise en charge dans les structures d’hébergement d’urgence pendant les recours judiciaires compliqués par des brouillages de professionnels de la subversion politique.

    «Les conditions de vie sur le camp (à Ivry-sur-Seine) ne sont pas dignes. Près de 470 jeunes doivent partager quatre toilettes, six robinets et seulement douze douches», a également dénoncé Euphrasie Kalolwa, responsable du plaidoyer chez MSF. Le 9 novembre, la préfecture du Val-de-Marne avait reçu une délégation d’élus et d’associatifs sur le sujet. Un «diagnostic sanitaire et social» est en cours avant une éventuelle mise à l’abri, avait répondu la préfecture.

    Val de Marne : un campement d’environ 400 jeunes migrants sous des ponts, selon des associations

    Ivry-sur-Seine (1944-…) et le Val de Marne (1967-2021) sont communistes

    Environ 400 jeunes migrants, originaires d’Afrique de l’Ouest et d’Afghanistan – en majorité dans l’attente que la justice se prononce sur leur minorité, vivent actuellement dans un campement à Ivry-sur-Seine dans le Val-de-Marne. Des associations et des élus immigrationnistes réclament leur mise à l’abri d’urgence.

    Près de 200 tentes sont installées, certaines depuis cet été, aux portes de Paris, sur un quai au bord de la Seine, sous deux ponts qui relient Ivry à Charenton.

    Pour la majorité d’entre eux, ces jeunes sans papiers, qui se déclarent mineurs et dorment souvent à deux par tente, n’ont pas encore été déclarés mineurs non accompagnés (MNA) et leurs avocats mis à disposition par des associations, ont déposé un recours auprès d’un juge des enfants. Ils attendent le jugement qui va leur permettre d’être pris en charge par l’Aide sociale à l’enfance (ASE) et être mis à l’abri.

    « La nuit, on n’arrive pas à dormir à cause du froid et du bruit des voitures, et il y a de plus en plus de bagarres », raconte Adama, arrivé de Côte d’Ivoire et rencontré, jeudi, lors d’une distribution de repas. Selon Agathe Nadimi, présidente du collectif, Les midi du Mie, dédié aux mineurs isolés uniquement étrangers,  » la situation ici devient critique, ce n’est pas normal qu’il n’existe pas de solution d’hébergement pour ces mineurs en recours qui peuvent durer plusieurs mois », déplore-t-elle, bien qu’ils soient en situation irrégulière. 

    De plus en plus de jeunes, selon les associations

    Comme toutes les associations, dites caritatives ou humanitaires, présentes sur place, dont Utopia56 et Médecins sans frontières, Agathe Nadimi espère « une solution de mise à l’abri urgente » car, « tous les soirs, de nouveaux jeunes, à qui on a refusé la minorité, arrivent sur le campement ». Conduits par ces associations politiques…

    A leurs côtés, Philippe Bouyssou – le maire PCF d’Ivry qui les « accueille » sans les héberger – a demandé à la préfecture l’ouverture de places d’hébergement, le temps du traitement des dossiers. « A l’entrée de l’hiver, je suis très inquiet de la situation sanitaire et psychologique de ces jeunes« , a minaudé le politicien de la NUPES. 

    Le département du Val-de-Marne, dont dépend l’Aide sociale à l’enfance, affirme avoir « pleinement conscience de la situation préoccupante » tout en étant à « la disposition des services de l’Etat pour toutes les questions liées à la protection de l’enfance »

    Un « diagnostic sanitaire et social » est en cours pour « dresser un état des lieux du campement« , avant une éventuelle mise à l’abri, a indiqué la préfecture du Val-de-Marne, qui a reçu le 9 novembre une délégation d’élus et de membres d’associations sur le sujet.

    Montpellier: des combats de rues à la machette entre dealers

    Les François et les Mathieu sont-ils devenus des barbares ?

    Contrôle de police à Montpellier:
    des plus Français que les autres, contrôlés au faciès ?
    Ce n’est pas cohérent…

    Une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux montre un règlement de comptes violent le long d’une ligne de tramway. Un délinquant a été blessé par arme blanche, non pas un couteau Opinel, mais une machette. Une enquête a été ouverte: c’est le moins qui puisse être fait. Ensuite, la vie des malfrats en voitures de luxe et allocations continue.

    Ca devait mal se terminer, puisque, depuis plusieurs jours, la tension montait entre bandes rivales liées au banditisme et au trafic de stupéfiants, secouant la ville socialiste de Montpellier.

    Mardi, un des règlements de comptes entre trafiquants de stupéfiants, « par vagues », selon un témoin. Bâton ou chaise en main. A droite, l’homme avec le casque et la machette.

    Les combats de rues impliquent à chaque fois entre cinq et dix individus. Une première rixe violente [une rixe est violente par définition…] a été filmée mardi 19 juillet. Ca en touche une à Macron, sans bouger l’autre. Pendant que la maison brûle dans la préfecture de l’Hérault, Macron fait le beau en Gironde auprès des pompiers. La « rixe violente » a débuté sur une terrasse, à l’angle du cours Gambetta et de la rue Daru, débordant sur la ligne de tramway. Des commerçants ont prévenu la police et ont posé des chaises sur la ligne 4 pour se faire entendre, « détaille » Midi Libre . Un geste de révolte de la population est un détail, dans une certaine presse de gauche. La sûreté départementale de l’Hérault et la Direction territoriale de la police judiciaire de Montpellier procèdent à des enquêtes et investigations, selon le Métropolitain de Montpellier.

    Le fond du dossier semble être un trafic de cigarettes de contrebande. « Quand on y passe, bien sûr qu’ils nous proposent aussi du shit », explique un riverain, témoin des altercations de mardi et mercredi. Il précise : « C’était très violent. Après, il y a beaucoup d’esbroufe. Ça gueule, ça se provoque, ça se bouscule surtout. Mais oui, c’est violent dans les attitudes et dans l’ambiance que cela met dans le quartier. » L’enquête avance donc… une diligence adaptée à la canicule !

    La vidéo de 36 secondes, filmée mardi et publiée par le medium local, est édifiante. On y voit un jeune dissimulé par un casque de moto et armé d’une « longue machette » [pléonasme], quasiment un sabre, se défendre face à d’autres jeunes hommes voyous essayant de le neutraliser en lui jetant des chaises, ou en se servant d’elles pour se protéger face à ses assauts.

    Deux blessés légers ont été pris en charge après cetre flambée de violence.

    Mais 24 heures plus tard, une nouvelle intervention des forces de l’ordre était rendue nécessaire par l’agression d’un « jeune dealer » qui avait reçu mercredi 20 juillet un coup de couteau au même endroit. Un hasard…

    A droite, le « jeune » voyou
    a de la bouteille..

    Le lien entre les deux affaires n’est pas encore établi, mais selon Métropolitain, très judicieusement, la victime pourrait faire partie d’une des bandes rivales ! Les membres « refusent » la plupart du temps de porter plainte lorsqu’ils sont pris dans un règlement de comptes, nous explique la journaliste nunuche de Midi Libre.

    C’est un banditisme nouvellement implanté qui commence à faire la loi sur place, détaille une source proche du dossier au medium : «Il y a en réalité quatre bandes qui se font la guerre depuis plusieurs mois dans le quartier de Plan Cabanes pour s’accaparer le trafic de drogue et de tabac, qui transite notamment par des épiceries. Des familles sont à la tête de ce trafic, dont deux exploitent trois commerces à Montpellier, avec leurs enfants. Elles gèrent un business illégal qui rapporte gros», explique-t-elle. Une alliance de deux bandes contre les deux autres aurait mis le feu aux poudres.

    Deux suspects interpellés en début de soirée jeudi sont en garde à vue au commissariat central.

    L’une des victimes est l’auteur présumé d’un coup de machette porté lundi à un voyou en situation irrégulière. Il s’agit d’un mineur non accompagné – MNA– âgé de 16 ans, dont le pays d’origine ne veut pas, mais qui tape l’incruste sur le territoire français. Il est sorti de l’hôpital mardi, après avoir reçu les soins nécessaires réglés par la solidarité nationale: pour lui, l’hôpital public n’est pas surchargé. Il fait donc partie des deux suspects interpellés jeudi soir, lors de l’opération de police conjointe entre la nationale et la municipale et jouit d’un régime de faveur.

    A Montpellier (1re circonscription de l’Hérault, celle de ), le candidat NUPES Julien Colet est crédité de 57,8 % des votes au second tour des élections législatives 2022.

    La députée macronienne de l’Hérault, Patricia Mirallès, ex-PS, est en charge des …anciens combattants et de la mémoire auprès du ministre des Armées.

    En mai 2022, un article de Mediapart affirme que l’élue de l’Hérault a fait passer le déménagement de son fils, la réparation du disque dur de sa fille, ou encore un séjour à l’hôtel avec son conjoint en notes de frais. Le jour même, à la suite de ce qu’elle dénonce comme des « accusations calomnieuses », elle affirme apporter les preuves de son innocence dans un entretien au journal Midi Libre. Mediapart maintient sa version, corroborée par des échanges de SMS.

    Selon une enquête publiée par le journal Le Monde le 7 juin 2022, l’équipe parlementaire de la députée aurait tenté de modifier l’article Wikipédia qui lui est consacré, et en particulier la section mentionnant cette sombre affaire.

    Quant à Coralie Dubost, une ex-d’Olivier Véran, elle était députée PS de l’Hérault jusqu’à ce que soit mise au jour sa gestion douteuse de ses frais de mandats et qu’elle annonce son retrait de la vie politique trois semaines avant les élections législatives de 2022.

    Les malfrats montpelliérains n’ont pa reçu de bons exempkes.

    Marseille: la mairie attire les mineurs isolés clandestins et accuse d’abandon le département

    La malveillance des gauches est ‘no limit’

    Des mineurs non accompagnés sont instrumentalisés par des gauches sans honneur qui ont posé leurs tentes devant la mairie de la ville, le 2 mars, pour dénoncer la défaillance du Conseil départemental et de sa présidente, Martine Vassal: logique ?

    Parce que la prise en charge des migrants illégaux relève des compétences du Conseil départemental, les gauchistes de la Mairie appellent les migrants à venir à Marseille pour accuser la majorité LR au département de ne pas s’occuper des mineurs non accompagnés. Le ‘Printemps marseillais’ qui squatte l’Hôtel de Ville, suite à un tour de passe-passe entre Rubirola et Payan, a fait le recensement de plus de 160 jeunes exilés migrants illégaux qui dorment à la rue dans Marseille. Ils peuvent compter sur l’aide des associations subventionnées qui, avec eux, tiennent un moyen de contestation et de pression politiques.

    Tombant dans le panneau, la Défenseuse des droits, Claire Hédon, sort les chiffres des associations et collectifs qui font leur miel de la misère humaine quand, à l’instar des passeurs mercantiles, ils ne l’entretiennent pas. «Le département des Bouches-du-Rhône ne respecte pas ses obligations légales de recueil provisoire d’urgence et porte ainsi atteinte aux droits fondamentaux des mineurs non accompagnés et à leur intérêt supérieur,» accusent les gauchistes. A Marseille, plus de 160 mineurs non accompagnés (MNA) vivraient actuellement dans la rue. Avec des délais d’attente de mise à l’abri record dans les Bouches-du-Rhône : environ quatre à cinq mois, plus qu’ailleurs en France, où il faut en général attendre quelques semaines. «Un délai qui en décourage au moins la moitié», explique Isabelle Audureau, membre active de l’association Soutien à 59 Saint-Just, du nom d’un squat marseillais qui hébergeait plusieurs centaines d’exilés jusqu’à ce qu’un incendie le ravage, en juin 2020. Au mieux, ces mineurs – dont la minorité n’est pas démontrée – découragés partent dans un autre département, au pire ils se répandent dans la nature.

    Emanation du Collectif 59 St Just, cette association soutenue par Ramina (Réseau d’Accueil des MInots Non Accompagnés  présent à Marseille depuis 2019), Médecins Sans Frontières (pourtant en lutte contre les maladies infectieuses) et CIMADE de surcroît subventionnées, est censée « oeuvrer », exclusivement et sans parti-pris politique, ni instrumentalisation malsaine, au « soutien aux mineurs.es non accompagné.es et jeunes majeurs-es [sic], et personnes en situations de migration. »

    Le squat du 59 Saint-Just, c’est L’Arche

    Les communautés de L’Arche sont originellement des associations qui accueillent des adultes porteurs d’un handicap. A L’Arche

    Lundi 8 juin 2020, entre 100 et 150 migrants, dont des familles avec enfants, avaient été évacués  dans la précipitation du squat St-Just à L’Arche de Marseille, où un incendie s’était déclaré au petit matin. Ouverts depuis fin 2018, ces lieux de vie étaient sous le coup d’une procédure d’expulsion.

    « C’est très brutal, ça ne devait pas se passer comme ça. » Bénévoles et habitants du squat St-Just à Marseille sont sous le choc. « Le feu a pris au rez-de-chaussée au fond du couloir dans la pièce que l’on appelle ‘la chapelle’ (immeuble appartenant au diocèse). Cette pièce servait au stockage de vêtements, chaussures, outils ou encore linge de maison et n’a jamais était habitée. Il y avait beaucoup de fumée, heureusement, personne n’est blessé », explique à InfoMigrants une bénévole du Collectif 59 St-Just, qui aide au fonctionnement du lieu depuis son ouverture en décembre 2018.

    Depuis plusieurs semaines, le squat Saint-Just, bâtiment diocésain occupé depuis décembre 2018, fait l’objet d’un intense combat juridique, pas seulement pour la question de son expulsion potentielle – toujours en suspens devant le tribunal d’instance – mais aussi quant à son statut en tant que lieu d’accueil pour les mineurs. Cette bataille là se joue au tribunal administratif, qui a eu à se pencher sur le sujet plusieurs fois, et jusqu’au conseil d’Etat.

    A son lancement, le squat s’était fixé pour mission de mettre à l’abri les migrants mineurs isolés et les familles avec enfants. Pour ce qui est des premiers, il est très fréquent que les tribunaux administratifs aient à statuer sur leur situation en urgence, c’est-à-dire sous la forme d’un référé. Et le Conseil départemental est régulièrement condamné à des amendes pour ne pas parvenir à les prendre en charge comme il le devrait, c’est-à-dire avec un logement adapté, un suivi social et médical, ainsi qu’une scolarisation. La collectivité fait valoir qu’elle est dans l’incapacité de faire face à la hausse des arrivées de jeunes migrants que Michèle Rubirola (EELV): en août 2020, avant que la féministe ne s’efface devant le « mâle blanc » Benoît Payan, la maire fantoche de transition souhaita que sa cité « ville d’accueil et solidaire » ouvre son port. L’ouverture de plusieurs centaines de places d’hébergement sont alors annoncées. Mais, au cours de l’été, un argument nouveau s’est glissé dans l’argumentaire des juristes du département, qui a fait mouche.

    Le collectif opposa un mineur isolé hébergé à Saint-Just au Conseil départemental et bénéficiant d’une ordonnance de placement provisoire. Son avocat a eu la surprise de lire dans les conclusions écrites de la partie adverse que son client disposait “d’une solution d’hébergement” et ne pouvait “être regardé comme étant dans une situation d’urgence”. Les juristes du département faisaient ainsi l’éloge de ce lieu, situé sous leurs fenêtres et avec qui ils ferraillent depuis des mois. “L’établissement de Saint-Just n’est pas le plus adapté [mais] celui-ci bénéficie d’un accueil raisonnable, avec nourriture, vêtements et d’un accompagnement éducatif par des bénévoles. Qui plus est, cette prise en charge ne fait aucunement obstacle à l’accompagnement proposé par les services du département”. Ainsi, pour la collectivité, la demande de mise à l’abri en urgence auprès du tribunal n’était pas justifiée, puisque le jeune en question bénéficiait d’un toit, fût-il un squat.

    Une vision approuvée sans surprise par le Conseil d’Etat

    Même si l’éloge fait à Saint-Just sonne comme une reconnaissance des épreuves traversées par les habitants et du travail effectué par les solidaires, nous sommes un squat, a commenté le collectif 59 Saint-Just, responsable du lieu, sur les réseaux sociaux début septembre. Et, à cause de leur irresponsabilité, le squat offre un accueil toujours plus compliqué car saturé”. Et d’ironiser : “Où est notre subvention de fonctionnement 2019 pour l’établissement Saint-Just accueillant des mineurs ?” Parmi les problèmes pointés par le collectif, la cohabitation entre mineurs isolés et majeurs dans le squat, comme au cours de leur traversées de l’Afrique et de la Méditerranée, contrairement à ce qui est autorisé en foyer adapté.

    Mais le tribunal administratif a été sensible à la bonne volonté du département et a rejeté cette demande de mise à l’abri en urgence, le 3 septembre.

    Le cas a alors été porté au Conseil d’Etat, compétent pour juger les procédures d’appel pour les référés. Lequel a conclu de la même façon, estimant que, logé au squat, le mineur en question n’était pas en situation d’urgence :

    “Il ne résulte (…) pas davantage que les conditions de cet hébergement mettraient en danger sa santé, sa sécurité ou sa moralité, notamment du fait d’une vulnérabilité particulière. (…) Dans ces conditions, et alors même que le département ne serait pas à l’origine des mesures dont l’intéressé bénéficie, l’absence de prise en charge adaptée de M. X par le département des Bouches-du-Rhône n’apparaît pas (…) entraîner de conséquences graves pour l’intéressé. Si le département ne saurait pour autant s’en satisfaire et s’il lui incombe ainsi, non seulement de prendre les mesures, (…) la situation ne caractérise toutefois pas une atteinte grave et manifestement illégale à une liberté fondamentale.”

    Une nouvelle audience

    Cette décision de justice crée ainsi une jurisprudence favorable au Conseil départemental. Malgré tout, des avocats racisés ont décidé de repartir à la charge, en présentant six nouveaux cas devant le tribunal administratif de Marseille. Une audience y a eu lieu pour déterminer si le squat Saint-Just constituait une mise à l’abri convenable. Les avocates militantes des six mineurs, Me Laurie Quinson (droit des étrangers) et Me Marlène Youchenko (droit des étrangers) – ils sont une soixantaine à Marseille – y ont prétendu que, malgré le travail des bénévoles, l’état du squat va en se dégradant, notamment depuis son affectation aux migrants. Après une première audience quelques jours plus tôt, la présidente du tribunal avait convoqué de nouveau les parties, après avoir reçu des photographies de l’état actuel du squat transmises par les avocats des mineurs.

    “Le département ne conteste pas que c’est un refuge, on est bien conscient que ce n’est pas une situation acceptable, a répondu une représentante du département. Ce n’est pas une situation où l’on aimerait voir nos enfants. Mais ces éléments sont connus, la situation était déjà insatisfaisante par le passé.” Une affirmation qui a fait hausser les sourcils de la présidente. “Non, les dernières photos produites n’ont rien à voir avec celles que nous avions pu voir précédemment, a-t-elle objecté.

    Des images que la magistrate a jugé “suffisamment déterminantes” pour écouter une seconde fois les arguments des deux parties. “A ce jour, il y a des matelas partout, Saint-Just est en surpopulation car l’accueil est inconditionnel, a expliqué Me Youchenko, en montrant des extraits vidéos à l’audience. Il y a de la promiscuité, on ne peut pas faire plus serré au niveau des matelas.”

    « La situation n’est pas du tout la même. Les pièces donnaient l’impression d’un lieu d’hébergement, pas de grand luxe, mais correct”, commente-t-elle, feignant d’ignorer que les handicapés, et, avant eux, les religieux, étaient plus respectueux des lieux.