Le nouveau site de Caroline de Haas grassement financé par les media

Détournement des aides d’Etat et de la redevance audiovisuelle par France Télévisions ou Mediapart

2018, la féministe Caroline De Haas quitte les réseaux sociaux;
2020, des media lui tendent la main: les mordra-t-elle ?

« Les milliardaires qui possèdent la presse plument l’Etat, » assure Mediapart

Le 8 juillet 2020, Laurent Mauduit n’hésitait pas à écrire: « Pour faire face aux effets de la crise sanitaire, le gouvernement précédent a débloqué 666 millions d’euros d’aides à la presse sans la moindre contrepartie. Et les propriétaires ne sont quasiment pas mis à contribution. » Et  l’ancien journaliste au journal de l’Organisation communiste internationaliste (OCI) d’ajouter sur le site Mediapart: « une poignée de milliardaires garde bien de mettre la main au portefeuille à chaque fois que cela serait nécessaire et, par mille pressions, sollicitent des aides publiques et vivent aux crochets de l’Etat ».

Les vertueux comme lui détournent pourtant les aides de l’Etat. Pour le nouveau site internet de Caroline de Haas, la plupart des media redistribueront la bagatelle de 210.000 euros sur trois ans et, le plus grand nombre d’entre eux empoche les aides de l’Etat à la presse. Grâce à ce détour, Haas sera-t-elle plus libre et indépendante?

Un outil féministe à disposition de la presse: retour sur investissement aux frais du contribuable

Fakenews de la presse de désinformation:
Assa Traoré n’est pas en Une de Time, mais en page intérieur

« Expertes », c’est le nom feminin du nouveau site de la célèbre féministe Caroline de Haas. Expertes, du seul fait de leur genre et par obligation légale de parité ! Haas aura les fonds, 210.000 euros, on l’a dit. Lui manquera-t-il les expertes estampillées par les féministes totalitaires ? C’est peu probable, si on songe à l’article que Time consacre à Assa Traoré, la soeur du délinquant qui est mort d’avoir refusé une interpellation de policiers: le magazine démocrate américain qui soutient Biden, comme il a soutenu Obama, adopte une posture résolument anti-raciste racialisée en donnant de la visibilité à un comité anti-républicain soutenu par les islamo-gauchistes. Depuis 2018, Time est détenu par Marc Russell Benioff, président-directeur général de la société de cloud computing (logiciels de gestion et stockage de données informatiques) Salesforce qui compte plus de cent mille entreprises clientes, dont Pernod Ricard, Renault, Engie Cofely ou Suez, et partenaire de Blackberry, Oracle ou Microsoft. En France, Salesforce dispose de deux implantations, à Paris et à Grenoble où l’entreprise a ouvert un centre de recherche et développement en mai 2013.

Le site de Caroline de Haas sera un annuaire de femmes spécialisées dans divers domaines à destination des journalistes, précise Le Figaro, suggérant un catalogue de la bien-pensance genrée. Ainsi la gauche radicale fragmente-t-elle notre société en factions anti-racistes, LGBTQ ou féministe. Il fait suite à un annuaire papier lancé en 2012. Actuellement, plus de 4.000 profils d’expertes sont recensés et plus de 6.000 journalistes inscrits peuvent accéder gratuitement à leurs coordonnées.

Dans la liste à la Prévert des donateurs figurent notamment « France Télévisions, Radio France, France Médias Monde, le groupe Le Monde (donc Courrier international, Télérama ou le Huffington Post et L’Obs), TF1 (TFX), Aufeminin et LCI, TV5MONDE, Mediapart, Ouest-France et 20 minutes, Centre France (La Montagne, etc), Arte, Bayard Presse (La Croix, etc) et le Groupe CANAL+ », dont CNews, rapporte le communiqué d’Egaé, groupe créé et dirigée par Caroline de Haas. On s’en doute, c’est une agence de conseil, de formation et de communication dédiée à l’égalité entre les femmes et les hommes. Surprise, en revanche, on ne cite pas BFM, ni donc Liberation. Ce qui est édifiant, par ailleurs, c’est que les soutiens sont politiquement divers, comme si ces organes de presse s’étaient fait tordre le bras.

Le communiqué ne dissimule pas son parti-pris féministe, précisant que ces sommes permettront de faire fonctionner « un moteur de recherche plus performant, la possibilité d’identifier les mots-clés les plus recherchés sur le site ou encore un espace vidéo pour chacune des expertes » validées par ces censeures de la bien-pensance , « des formations mediatraining d’expertes seront » en outre « programmées chaque mois », reformatage régulier des cerveaux, tandis qu’un travail « de recensement de nouveaux profils de femmes expertes [harponnage au faciès féministe] en matière de santé, de libertés publiques, de sécurité ou d’environnement sera mené pour renforcer la base » existante. Cette annonce arrive trois mois après la publication d’un rapport dans lequel une ex-MJS, Céline Calvez, députée LREM, membre de la commission permanente des Affaires culturelles et de l’Education, ainsi que de la Délégation aux droits des femmes, préconisait notamment de « soutenir l’initiative du site expertes.fr sur une période minimale de trois ans renouvelable via des financements croisés publics et privés ». Lorsque de Rugy présidait l’Assemblée, il avait nommé Céline Calvez au conseil d’administration de Radio France où elle peut orienter les journalistes vers Haas et son site. Puis, en avril 2020, lorsque Marlène Schiappa était encore secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, elle lui confia une mission, dans le cadre de la pandémie de Covid-19 en France, concernant « la place des femmes dans les médias en période de crise ». Savoir, au final, si l’initiative de ce site revient à de Haas ou à la députée de la majorité présidentielle, hypothèse qui jette le trouble sur un retour à l’ORTF avec Sibyle Veil (pédégère de Radio France) ou l’autre pédégère du service public, Delphine Ernotte (France Télévisions), et les liens des organes de presse donateurs, qu’il s’agisse du groupe Le Monde, du Figaro ou de Mediapart.

Macron et la macronie sont visiblement entrés en campagne présidentielle 2022.

Anne Saurat-Dubois crispe Mélenchon: on peut comprendre !

« Vous ne servez à rien », lance-t-il à la Barbie de BFMTV

La résistance des « invités » de la presse a des limites et Anne Saurat-Dubois les a fait dépasser à Mélenchon, la journaliste manucurée, brushée et habillée de blanc qui prend la pose sous son meilleur profil, pour sortir des banalités lues et entendues ailleurs. La finesse de ses analyses n’impressionne pas même son miroir. Lui dire est un outrage.

La résistance des « invités » de la presse est mise à rude épreuve et Jean-Luc Mélenchon a craqué face à cet étalage de suffisance et de vanité. « Vous ne servez à rien !  » : s’est exclamé le député de Marseille sur BFMTV, chaîne privée macronienne d’information en continu.

Ce jeudi 12 novembre, Jean-Luc Mélenchon était l’invité de « 22h Max » sur BFMTV. En plateau, le chef de La France insoumise (LFI) a mal supporté la mijorée dont la seule vue indispose quiconque retourne soi-même son matelas et ne fréquente pas le teinturier. Le face-à-face se tendit quand la journaliste de plateau l’interrogea justement sur sa relation aux journalistes…

Anne Saurat-Dubois chercha les coups, sollicitant l’élu populiste sur sa relation aux media. « Cet amour des réseaux sociaux, c’est aussi une marque de la défiance que vous nourrissez vis-à-vis des media« , lança-t-elle en préambule, se faisant rattraper au vol par le parachuté sur Marseille : « Non, pourquoi vous dites ça?« . Et son interlocutrice de poursuivre : « Parce que vous le dites, vous le dites dans vos revues de la semaine sur votre blog, via des tweets, de façon parfois très dures. » Un brin agacé, le président du groupe LFI à l’Assemblée nationale a tenu à réagir à ka provocation: « C’est vous qui allez rendre la soirée désagréable, moi j’avais rien dit encore! »

Après une séquence de montage de plusieurs de ses critiques des mzdia, le candidat à l’élection présidentielle 2922 était incité à donner une nouvelle fois son avis sur le sujet, face à des journalistes. « Je vais vous répondre très clairement, le président de la République que je serai ne permettra pas que neuf personnes possèdent 90% des media. Vous m’entendez ? Un certain nombre de grands groupes seront démantelés », a-t-il prévenu. Et d’ajouter au sujet de la presse : « C’est à vous de faire le boulot, de trier pour que les gens puissent prendre de bonnes décisions (…) Si les gens ont l’impression que dorénavant, vous pouvez être remplacés par des robots pour réciter la même chose toute la journée, vous ne servez à rien!« , a-t-il estimé.

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« Ne retournez pas la situation »

Anne Saurat-Dubois cherche alors à savoir ce que Mélenchon pense des fake news  infox et des théories complotistes qui voient le jour sur les réseaux sociaux. Comme dans la presse, laquelle s’affiche d’ailleurs sur ces réseaux dont elle ne relève visiblement pas le niveau.

Et le réquisitoire continue.« Dans vos followers (…) il y a des anti-vaccins, des anti-masques, des anti-confinement. C’est du complotisme de très haute volée (…) Si les réseaux sociaux se retrouvent à le faire, c’est aussi parce que les politiques ne le font pas et parfois même, surfent dessus« , a expliqué la consoeur de Maxime Switek.

Le sexagénaire réagit à la hauteur de la bravade: « Oui, ou les journalistes », se retient-il. « Parce que les journalistes qui inventent les islamo-gauchistes dans le pays, ils racontent n’importe quoi, ce n’est pas vrai ! Ne retournez pas la situation, c’est trop facile !« , dénonce-t-il. Et de conclure : « Il faut s’y faire Madame, ça s’appelle la démocratie, que voulez-vous! » 

‘Gala’ considère que « Anne-Saurat Dubois a tenu la dragée haute à Jean-Luc Mélenchon« … Au final, un échange dans lequel le chef de parti répond à fleuret moucheté aux assauts de sa harceleuse. La donzelle a déjà accusé de harcèlement sexuel son ancien chef à France 2 Eric Monier. A-t-elle un problème avec les hommes ? Dommage, cette fois, la dame blanche ne peut pousser des cris de pucelle effarouchée.

Défiance envers la presse: elle publie de fausses informations, estiment les Français

La colère des Français monte contre les media.

La moitié des sondés est irritée, Les études se suivent et se ressemblent. La dernière, réalisée par Ipsos, montre que la confiance à l’égard des media s’est encore dégradée ces dernières années.Après le baromètre annuel de La Croix-Kantar qui, en janvier, avait pointé une véritable crise de confiance, une nouvelle étude d’Ipsos publiée vendredi confirme cette tendance. Réalisée en ligne dans 27 pays du monde entier auprès de 19.541 personnes, l’étude dresse un état des lieux de la vision que portent les citoyens sur les media.Les réseaux sociaux sont-ils tellement pires ?Les prétentieux journalistes, prétendant analyser, décrypter et « vous aider à comprendre » (sic), sont en fait incultes, spécialistes en rien, pas même capables de prendre leur respiration à bon escient ou d’éviter les « eh bien », les « au sein de » ou les « pour » à toutes les sauces (aider pour) et les liaisons malencontreuses, sauf en reformulation des dépêches AFP, la bible des ‘éléments de langage’ du pouvoir, et les mots anglo-saxons mal prononcés mais qui font si bien dans le tableau de ces illettrés. « La culture, c’est comme la confiture: moins il y en a, plus on l’étale » (F. Sagan, une lecture appropriée à Anne Saurat-Dubois chez son coiffeur).

● L’information de proximité privilégiée

La cote de confiance des Français dans les media est en baisse constante et tous les supports sont touchés par cette tendance de fond.

Seulement 37% de nos concitoyens affirment avoir confiance dans la télévision et la radio, 36% pour ce qui est des journaux et magazines papier. On retrouve nombre de signatures dans l’un et l’autre et les cumulards nous éloignent des deux plus qu’ils nous attirent. On retrouve même plusieurs générations des mêmes dynasties quatre Duhamel-Saint Cricq, celle-ci petite-fille et fille de journalistes) ou des Tesson.A titre de comparaison, dans le bas du classement, en Serbie, ces taux sont respectivement de 17% et 11%.

Ipsos note que plus d’un quart des Français (26%) fait davantage confiance à une information « délivrée » (anglicisme pour « donner ») par l’un de leurs proches. 65% d’entre eux pensent même que ces informations sont intéressantes alors qu’ils ne sont que 46% à juger pertinentes celles délivrées par les media audiovisuels et la presse écrite.

Une statistique inquiétante logique quand on sait que c’est, entre autres, de cette dérive dont la presse institutionnelle accuse les réseaux sociaux. Outre que celle-ci s’y trouve et qu’elle y puise, à bon compte, des documents (BFM fait ouvertement appel à ces « témoins »), elle y fait son marché, sans frais de correspondants locaux… Le phénomène des groupes Facebook pendant le mouvement des Gilets Jaunes en est le parfait exemple. Ces media arrogants dénigrent les internautes qu’ils pillent.L’étude souligne aussi que la confiance à l’égard des media s’est particulièrement dégradée depuis ces cinq dernières années, les annés Macron, de Bercy à l’Elysée, quel que soit le support.

● Des media perçus comme promoteurs de fausses informations

Au moment où les deep-fakes (« hyper-trucages », en français: l’hypertrucage, est une technique de synthèse d’images), ces vidéos manipulées à l’aide d’outils d’intelligence artificielle, commencent à trouver un certain écho sur le web et, alors que les groupes de presse capitalistiques défendant leur monopole font pression sur le pouvoir, l’exécutif s’exécute pour contrer ce qu’il appelke avec eux la manipulation de l’information, un pré-carré qu’il entend protéger.

Comme l’Elysée, ces media sont perçus comme des promoteurs de «fake news» (un mot de chez nous existe, « infox » mais, comme le latin des apothicaires de Molière, l’américain rend malin et hermétique: ka teansparence, ça va un peu !).48% des Français estiment que la presse papier (journaux et magazines) produit «beaucoup de fausses informations». Ce qui est écrit n’est plus oarole d’évangile, pas plus que la parole des politiciens, vecteurs de mensonges à l’instar de Sibeth Ndiaye: il leur suffit de dire qu’on n’a rien compris, Laurent Neumann ou Patrick Cohen se chargeant des faux témoignages…Un taux qui grimpe à 52% pour la télévision et la radio. Pour ce qui est de l’information en ligne, Ipsos a choisi un spectre très large regroupant ce qu’on peut lire sur les sites d’information mais aussi sur les réseaux sociaux. Dans cette catégorie, 63% pensent que «beaucoup» des informations qu’ils lisent sont fausses. Deux sur trois: jolie performance de cette presse méprisante et donneuse de leçons.

Dans certains pays, les statistiques sont encore plus inquiétantes: la technique comparative du pire est encore efficace, selon la presse ringarde qii prend ses lecteurs pour des billes. Ainsi, 82% des Serbes, 78% des Hongrois et 68% des Russes pensent que leurs journaux et magazines partagent de fausses informations. Des exemples qui n’ont pas la réputation de oays démicratiqyes: Ipsos suggère-il que le régime de Macron évolue vers une dictature ? Pour la télévision et la radio, ces taux sont respectivement de 74%, 73% et 71%.

A la question: «Pensez-vous que les media agissent avec de bonnes intentions quand ils vous informent?». Seuls 46% des Français répondent par « oui » pour ce qui est de la télévision et de la radio, 47% pour les journaux et magazine papiers et 43% pour les informations en ligne.

● Le service public audiovisuel reconnu

En France, seulement 40% des personnes interrogées jugent «nécessaire» le service fourni par l’audiovisuel public (Radio France, France Télévisions, Arte, France Médias Monde).

Alors qu’un projet de loi censé réformer ces media financés par le contribuable sera présenté d’ici à la fin du mois d’octobre, un tiers des Français (30%) les juge «dépassés, élitistes ou bureaucratiques». En clair, ils ne les suivent pas, puisqu’il en ignorent jusqu’à l’existence et leur disparition ne leur ferait ni chaud ni froid, et pas seulement à 16 ans.En France, plus de 1.000 personnes, âgées de 16 à 64 ans, représentatives de la population ont participé à cette enquête Ipsos.

Ce qui change à la rentrée à la radio et la télé

Rentrée des media: nouveau tour saisonnier de chaises musicales

D’une chaîne l’autre, la valse estivale des présentateurs, chroniqueurs et intervieweurs est lancée.

A la télévision

  • Franceinfo TV

Salhia Brakhlia, chroniqueuse pour l’émission « Quotidien » de Yann Barthès sur TMC, va rejoindre à la rentrée la matinale de Franceinfo pour assurer, au côté de Marc Fauvelle, le « 8 h 30 France info », l’entretien politique diffusé en simultané à la radio et à la télévision.

  • LCI

La chaîne du groupe TF1 a recruté Eric Brunet, polémiste officiant sur RMC et BFM-TV, ainsi que Darius Rochebin, présentateur pendant plus de vingt ans du journal télévisé de 20 heures de la RTS et figure de la télévision suisse. Marie-Aline Meliyi reprendra la case du 9 heures-12 heures, en remplacement d’Audrey Crespo-Mara, qui assurera le grand entretien de l’émission « Sept à huit » sur TF1.

  • BFM-TV

Le journaliste Bruce Toussaint arrête le « Tonight Bruce Infos » pour prendre le « Live BFM » quotidien, entre 9 heures et 12 heures. Maxime Switek, ex-Europe 1 et chroniqueur de l’émission « C à vous » sur France 5, prend sa suite pour présenter la tranche d’informations de 22 heures à minuit.

  • CNews

Eugénie Bastié, chroniqueuse au Figaro, habituée des plateaux de BFM-TV, est recrutée par la chaîne du groupe Canal.

  • C8

L’ex-candidat à la Mairie de Paris, rallié à Agnès Buzyn, Gaspard Gantzer, conseiller com’ de François Hollande à l’Elysée, rejoint les rangs des chroniqueurs de l’émission… « Balance ton poste », présentée par Cyril Hanouna.

A la radio

  • France Culture

L’écrivain français Mathias Enard, prix Goncourt en 2015 pour son roman Boussole, animera dès le 30 août une émission littéraire dominicale sur France Culture. « Salle des machines » remplace « Le Temps des écrivains » de Christophe Ono-dit-Biot.

  • France Inter

L’écrivain Frédéric Beigbeder reprendra à partir de la rentrée des critiques littéraires dans l’émission « Le Masque et la Plume ».

  • France Bleu

Bixente Lizarazu quitte RTL, où il intervenait depuis plus de dix ans, pour Radio France. Sur France Bleu, l’ancien footballeur animera une émission hebdomadaire le dimanche, entre 19 heures et 20 heures, « dédiée à l’aventure humaine, la découverte, l’exploration et le partage d’expériences ». Il continuera a tuer les matches de football de ses commentaires creux et ternes sur TF1, mais également sur la future chaîne du groupe Mediapro, Téléfoot.

  • Virgin Radio

L’humoriste et comédien Manu Payet va présenter « Virgin Tonic », la matinale de la radio musicale, en remplacement de Camille Combal.

  • RTL

Bruno Guillon prend en semaine la succession de Stéphane Bern (et de l’émission quotidienne « A la bonne heure ») en fin de matinée pour une émission de jeu. Il reste aux commandes de la matinale de Fun Radio qui appartient, comme RTL, au groupe M6.

Karine Le Marchand et Laurent Baffie présenteront un talk-show hebdomadaire « impertinent autour d’invités qui font l’actualité », le samedi de 10 heures à 11 h 30. « On ne répond plus de rien » réunit les deux animateurs qui participaient déjà aux « Grosses Têtes » sur la station.

  • Europe 1

Patrick Cohen animera une nouvelle émission quotidienne de génuflexion sur Europe 1, qui mise sur ses partis-pris pour faire le buzz et redresser son audience, de 12 h 30 à 13 h 10. Le thuriféraire de Macron présentera un journal suivi d’un entretien approfondi avec un ou deux invités. Le journaliste sournois de 57 ans reste sur « C à vous » et sur « LCP ». Les émissions « C’est arrivé cette semaine » et « C’est arrivé demain », qu’il présentait sur la station le week-end seront reprises par Frédéric Taddeï.

Stéphane Bern revient sur Europe 1 avec un divertissement quotidien autour de l’histoire, avec le journaliste chroniqueur Matthieu Noël, entre 16 heures et 18 heures.

La tranche 18-20 heures sur la station du groupe Lagardère est confiée à Julian Bugier. Il reste le joker des JT de 20 heures et le présentateur de l’émission hebdomadaire sur l’économie « Tout compte fait » sur France 2.

Les femmes, notamment lesbiennes et noires, restent dominées par les « mâles blancs » hétérosexuels.