Un militant d’ultra-droite grièvement blessé et déshabillé lors d’un rassemblement à Romans-sur-Isère

Atteinte au droit de manifester en faveur de la justice pour tous

Gravement blessé, son pronostic vital n’est pas engagé. Aux cris de «justice pour Thomas» ou d’«islam hors d’Europe», 80 personnes s’étaient rendues au quartier de la Monnaie samedi soir.

En marge d’un rassemblement organisé par des membres de l’ultra-droite, samedi soir, à Romans-sur-Isère (Drôme), un militant de 20 ans a été violemment pris à partie par un autre groupe d’individus dans la cité de la Monnaie. Né en Mayenne, le jeune homme a expliqué lors de son audition qu’il a été violemment extrait de sa voiture avant d’être roué de coups.

D’après les informations du medium Livre Noir, un militant nationaliste a été kidnappé, déshabillé, humilié et frappé par des jeunes de la cité. Il est actuellement pris en charge par les pompiers.

L’homme, gravement blessé mais conscient, a été transporté à l’hôpital par les pompiers. Son pronostic vital n’est pas engagé, assure une source policière. La victime n’est pas connue des services de police.

Sur les réseaux sociaux, X notamment, des vidéos d’un jeune homme, présenté comme ce militant, en caleçon recroquevillé sur le trottoir ou gisant dans un hall d’immeuble, la tête maculée de sang, ont circulé.

25/11/2023 – Les racailles de la cité ont brisé son pare-brise pour le sortir de son véhicule. Il s’était mis à l’abri d’une nouvelle charge policière contre les nationalistes. Il a ensuite évidemment été tabassé et déshabillé en toute tranquillité par la horde ! La police avait bien fait son travail, le quartier était rendu aux barbares. Il est actuellement pris en charge par les pompiers.” (Livre noir)

Vingt interpellations

Aux cris de «justice pour Thomas» ou de «Islam hors d’Europe», 80 personnes se sont rendues au quartier de la Monnaie, à Romans-sur-Isère (Drôme), prêts à en découdre. C’est de cette cité que sont originaires plusieurs des suspects interpellés après le meurtre de Thomas, 16 ans, tué à coups de couteau au bal d’hiver de Crépol, dans la nuit de samedi 18 à dimanche 19 novembre. A l’issue de leur manifestation, vingt individus liés à l’ultra-droite ont été interpellés et 17 ont été placés en garde à vue.

Le même jour, les neuf suspects impliqués dans la mort de Thomas ont été mis en examen, notamment pour «meurtre en bande organisée». Six individus, dont deux mineurs, ont été incarcérés en détention provisoire. Trois autres, dont un mineur, ont été placés sous contrôle judiciaire.

Une journaliste, frappée par des fascistes antifa à coups de casque, à Marseille

Violence politique sur femme active: ça en touche une à Alice Coffin sans faire bouger l’autre

Femme photoreporter

A deux, des individus en noir – décrits par le directeur du medium comme des «antifas» – ont agressé une personne au genre non-déterminé, selon l’idéologie woke. Pas de tabou en revanche pour indiquer que la femme (oops) caméraman (comment doit-on dire, sous la dictature anti-binaire? Au secours, le Robert ?) travaille pour la chaîne Youtube Livre Noir: c’est son seul défaut, mais il suffit pour se faire tabasser, un vendredi à Marseille. Et ce n’est pas une pulsion, ni un doigt d’honneur, mais simplement la justice politique de rue en action, telle que l’ultra gauche conçoit la démocratie populaire, modèle 1793. Celle que décrit Zemmour pour la combattre.

Méthodes musclées d’islamo-gauchistes dans le silence complice de la presse institutionnelle sectaire

BFM préfère ne plus envoyer ses photoreporters sur le terrain, laissant la place à la chienlit anarcho- révolutionnaire. Les faits de violences physiques et de censure politique se seraient déroulés en pleine enquête sur le déplacement d’Eric Zemmour à Marseille. Selon Erik Tegner, de Livre Noir, la journaliste aurait reçu «des coups de casque» par une première personne, avant d’être forcée par une autre «à supprimer ses rushs (les images filmées, ndlr)».

Notre caméraman de Livre Noir @MaudPK s’est fait violemment agresser [pléonasme] aujourd’hui à #Marseille par un antifas, qui lui a asséné des coups de casque, avant qu’un autre l’oblige à supprimer ses rushs (encore!). Il est vraiment temps que la peur change de camp.

— Erik Tegnér (@tegnererik) November 26, 2021

La victime présumée, Maud Koffler, a publié elle aussi un message sur les réseaux sociaux, affirmant que «les antifas détestent la liberté. Leur seul but est de mettre leurs adversaires hors d’état de nuire. Pour cela, ils sont prêts à tout. Jusqu’à vous frapper à coups de casque devant vos confrères».

Les antifas détestent la liberté. Leur seul but est de mettre leurs adversaires hors d’état de nuire. Pour cela, ils sont prêts à tout. Jusqu’à vous frapper à coups de casque devant vos confrères. Ce qu’ils ignorent, c’est que dans cette bataille, nous serons toujours vainqueurs. https://t.co/H4XAwIDGJU

— Maud Koffler (@MaudPK) November 26, 2021

De quoi faire réagir l’eurodéputé du Rassemblement national, Gilbert Collard, qui a visé directement le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, estimant que s’il «continue à se taire, c’est qu’il profite des antifas. Dissolution ou démission», a-t-il estimé.

Un journaliste de Livre Noir agressé par un antifa à Marseille : « qui ne dit mot consent », si #Darmanin continue à se taire, c’est qu’il profite des #antifas ! Dissolution ou démission !

Src : @tegnererik pic.twitter.com/oYJJOxn2Au

— Gilbert Collard (@GilbertCollard) November 27, 2021

Quant à la douce écologiste féministe Alice Coffin, elle légitime les violences faites aux femmes, si elles sont idéologiques ! Il ne semble pas que cette journaliste ait été envoyée un peu se former en Afghanistan.

L’ayatollah écologiste Coffin est cofondatrice de la Conférence européenne lesbienne et membre de … l’Association des journalistes LGBT (AJL). La sororité s’arrête où commence le sectarisme…  Cerise sur le gâteau, « iel » a enseigné le journalisme à l’Institut catholique de Paris. Pour le Dieu des catholiques aussi , il est devenu un peu dur d’être aimé par des « c*ns« …

Erik Tegnér

Slate vient d’accuser Livre noir de « faire reluire l’extrême droite ». Livre noir, nouveau medium lancé en février dernier et aussitôt diabolisé parce que de droite suscite sur YouTube un engouement que peuvent lui envier les haineux de Slate. Tout ce qui est à droite de ce magazine en ligne créé à l’imitation de sa version originale américaine est nécessairement à l’extrême. Car, en six mois, Livre noir a obtenu plus de 80.000 abonnés et totalise 2.600.000 vues. Outre ceux de ténors de la droite, on y trouve le témoignage de la députée LREM Aurore Bergé, celui du journaliste de Libération Jean Quatremer ou du politologue Thomas Guénolé (ancien cadre de La France Insoumise et ex-conseiller d’Arnaud Montebourg). Il n’en fallait pas tant pour faire persifler les progressistes de Slate  : “Autant dire peau de chagrin si on compare (…) aux vidéos les plus regardées de la chaîne avec, dans l’ordre, Éric Zemmour (700.000 vues), Marion Maréchal (200.000), Charlotte d’Ornellas (140.000) et Florian Philippot (120.000). Ce qui dessine un contour assez précis des attentes du public de Livre Noir”… Et de l’électorat.

Eric Zemmour, déclaration officielle de candidature

Les entretiens sont des formats longs et Livre Noir en met en ligne un nouveau chaque dimanche à 18h, ainsi qu’un autre avec un expert chaque mercredi soir. Pour le moment, le tournage se fait dans une chambre de 12m2 dans le 15e arrondissement avec un rideau noir pour seul décor, un fauteuil rouge confortable et trois caméras. « Son objectif : apporter un regard différent sur les grands thèmes de société contemporains en rupture avec la culture du zapping occupationnel, de la censure et du résiduel » poursuit la présentation. Or, on qualifie communément de « livre noir » un ouvrage à portée politique qui dévoile des mensonges en se basant sur des documents inédits et des témoignages. Livre noir entendrait-il occuper le fameux créneau de la “réinformation” ? Notons aussi qu’en 1998 Eric Zemmour avait lui-même publié chez Grasset Le Livre noir de la droite. Coïncidence ? Quant à Erik Tegnér, son cofondateur, il est passé par l’école de Marion Maréchal. Pour ce qui est de Livre noir, il ressemble beaucoup à la chaîne Thinkerview. François de Voyer confirme d’ailleurs s’être inspiré de ce modèle, même s’il reconnaît, lui, offrir une atmosphère plus détendue et confortable à ses invités. Voyez la photo jointe de Erik Tegnér et demandez-vous si elle n’évoque pas le cadre et l’atmosphère de la déclaration officielle de candidature d’Eric Zemmour à la présidentielle.

La chaîne Livre Noir s’est déjà retrouvée au cœur la cible des islamo-gauchistes il y a peu, puisque deux membres de son équipe accusent l’humoriste Yassine Belattar de séquestration et de menaces dans le théâtre où il se produisait, le 19 novembre. Des faits que ce dernier dément, en indiquant que les deux jeunes hommes avaient filmé des images «illégalement». Une plainte aurait été déposée.

Entre Sandrine Rousseau et Alice Coffin, le candidat Yannick Jadot est dans de sales mains. A l’Elysée, ce candidat EELV n’en mènerait pas large; Et nous, donc ! Hidalgo à Matignon, Rousseau à l’Intérieur et Coffin aux Armées ?