« Varsovie, Tréblinka et maintenant Gaza » : ignominie des révisionnistes pro-palestiniens, Place de la République

Négationnisme de la Shoah sur la place publique à Paris

Quand Macron pava la voie de Mélenchon

Hier après-midi mardi, veille de l’Armistice du 8-Mai 1945, une manifestation pro-palestinienne avait lieu Place de la République à Paris. Des slogans révisionnistes y ont été scandés par une jeunesse inculte et grégaire aux esprits colonisés par LFI.

Savent-ils ce qu’ils disent sans honte, ces déficients à qui personne n’a le cran de dire qu’ils sont des buses ? On a ainsi entendu: ”Varsovie, Treblinka et maintenant Gaza, on avait dit plus jamais ça!”.

Par ailleurs, des banderoles appelant explicitement à la destruction d’Israël ont été brandis: ”Palestine martyrisée, Israël expulsé” pouvait-on lire.

Et si les pro-palestiniens de Scienes Po et de La Sorbonne se mettaient au travail

Le journaliste français, Claude Moniquet, spécialiste du terrorisme et des renseignements, s’est indigné sur X: ”A Paris, Place de la République, cet après-midi. Un nouveau seuil a été franchi dans la connerie et l’ignominie par ceux qui hurlent ”Varsovie, Treblinka et maintenant Gaza! On avait dit plus jamais ça”. Que dire devant une telle haine des juifs et un tel révisionnisme?”.

La haine antisémite s’étend en France: aux manifestations dans les universités s’ajoutent maintenant les profanations de tombes. Ainsi dans un cimetière en Dordogne, des inscriptions ”Habib, sioniste”, ”Zemmour, juif”, ”Hanouna, juif” ont été taguées.

En Grèce, un groupe de touristes israéliens a échappé de peu au lynchage par une foule pro-palestinienne qui manifestait devant un hôtel appartenant à des Israéliens.

Gilles Kepel avait mis en garde contre la prévalence de l’idéologie sur le savoir dans l’enseignement de nos universités:

Taha Bouhafs définitivement condamné pour injure raciste envers une syndicaliste policière,  » arabe de service »

Un journaliste sans diplôme qui conserve sa carte professionnelle et son abattement fiscal (7.650€)

« Il a employé cette expression »,cexplique vaguement l’AFP et France info, sans la nommer, pour qualifier, en juin 2020, Linda Kebbab, déléguée nationale du syndicat de police Unité SGP-FO,.

Taha Bouhafs est définitivement condamné pour injure raciste envers une policière, Linda Kebbab. La Cour de cassation a rejeté le pourvoi du journaliste et militant, selon une décision du 19 décembre.

En juin 2020, au lendemain d’une manifestation contre les violences policières organisée par des proches d’Adama Traoré, homme noir mort en 2016 après un refus violent d’obtempérer et après son interpellation finale par des gendarmes, Linda Kebbab, déléguée nationale du syndicat de police Unité SGP-FO, était invitée sur franceinfo. Elle avait affirmé alors que, tout en comprenant « la colère et la souffrance » de la famille d’Adama Traoré, son décès n’avait « absolument rien à voir » avec celui de George Floyd aux Etats-Unis, mort étouffé après son interpellation.

Twitter n’a pas banni ce raciste et antisémite forcéné et il continue d’éructer sur son compte. Taha Bouhafs avait commenté ces déclarations, en détournant l’acronyme ADS (adjoint de sécurité). Il avait qualifié la syndicaliste policière d’« ADS : Arabe de service ». Un tweet supprimé quelques minutes plus tard car « provocant », avait-il expliqué à l’audience, niant le racisme. Le journaliste a été condamné à 1.500 euros d’amende en première instance à l’automne 2021, puis à 1.000 euros d’amende avec sursis en appel en octobre 2022. Car il avait fallu aller en appel… Trois avocats ont plaidé l’indéfendable: William Bourdon, Raphaël Kempf et Vincent Brengarth, 

« Terme outrageant », selon la Cour de cassation

Le tweet de Taha Bouhafs était « méprisant à l’égard de » Linda Kebbab, « définie par sa seule origine supposée et désignée par un terme outrageant » et « dépassait les limites admissibles de la liberté d’expression », souligne la Cour de cassation dans son arrêt.

« La Cour de cassation a rejeté le pourvoi de Taha Bouhafs. Il est ad vitam condamné pour injure RACISTE. Durant les audiences, il a enchaîné mensonge sur mensonge pour couvrir son ignominie. Mensonges que seuls ses idolâtres gobent. Les juges eux n’ont pas été convaincus », a réagi sur X Linda Kebbab.

« Je m’en cogne de ce que pensent une poignée de juges blancs et bourgeois qui n’ont jamais connu le racisme de leur vie et qui ne comprennent même pas ce que ça veut dire« , lui a répondu Taha Bouhafs sur le même réseau.

La déchéance de nationalité, c’est à partir de quel niveau d’infamie haineuse ?