Racisme anti-Noirs réactivé en France par l’islamo-gauchisme

Une cliente en garde à vue pour avoir injurié une caissière de Carrefour à Annemasse

L’Algérie a toujours été colonisée, d’abord par les Romains et
aussi les Ottomans

« Sale négresse va, sale Noire ! (…) Tu vois les Africains comme toi, ça donne envie de les tuer », avait lancé une Franco-algérienne.

Une femme filmée en train de proférer des injures racistes contre une caissière d’un magasin Carrefour d’Annemasse (Haute-Savoie) a été placée en garde à vue, a-t-on appris lundi 7 juin au soir auprès du procureur de Thonon.

« La personne mise en cause, convoquée ce jour par les enquêteurs, s’est présentée au commissariat en fin d’après-midi. Elle a été placée en garde à vue », indique Bruno Badré.

La chaîne de supermarchés Carrefour avait annoncé samedi qu’elle portait plainte pour agression verbale à caractère raciste et menace de mort visant cette caissière de couleur employée par le groupe.

Quelle est la part de responsabilité des identitaires musulmans?

« Solidarité avec notre collègue injuriée. Ces propos racistes sont inacceptables. Nous les condamnons très fermement et portons plainte », avait tweeté l’enseigne.

« Sale négresse va, sale Noire ! Y a que les Noirs pour faire ça. Tu vois les Africains comme toi, ça donne envie de les tuer », pouvait-on entendre sur la vidéo publiée sur Twitter.

Samedi, un message audio attribué à la cliente mise en cause a été diffusé sur ce même réseau social dans lequel elle explique avoir été elle-même insultée par la caissière, en se défendant d’être raciste.

« Je suis de conviction musulmane, je suis africaine comme elle [la caissière], mais le problème c’est qu’il faut qu’ils arrêtent de se cacher derrière leur pseudo-racisme, alors que ce sont eux qui attaquent les gens », affirme-t-elle.

Exemple tunisien: LIEN

Agression raciste devant un restaurant à Cergy (PS) dimanche soir

Ce weekend, le maire PS d’Annemasse, Christian Dupessey avait dit sa « totale condamnation des propos racistes », tout en lançant « un appel au calme sur les réseaux sociaux ».

La traite négrière menée par les Arabes fût un génocide

Des ouvrages négligés des idéologues révèlent les rouages d’un système criminel sur lequel s’est construit en grande partie notre monde actuel.

Arrachés violemment à leur terre et à leurs proches, les Noirs furent des millions à se retrouver enchaînés, entassés comme des bêtes dans des bateaux, contraints à traverser à pied forêts ou déserts dans des conditions tellement inhumaines que peut-être la moitié d’entre eux en mouraient. Ce crime effroyable, qui a dévasté l’Afrique subsaharienne, a pris de nombreux visages au cours des siècles. Car ses exécuteurs et ses commanditaires sont issus de tous les horizons: de l’Afrique elle-même avec la traite interne, des différentes terres musulmanes avec les traites orientales, de l’Europe avec la traite atlantique.

Les islamo-gauchistes répandent pourtant – de l’université à l’école, en passant par les formations au journalisme –  l’idée fausse, mais validée par des savants universitaires que l’esclavage des Noirs, c’est l’Occident seul, le Blanc européen ! Les quartiers des banlieues l’affirment, les media entretiennent abondamment cette désinformation politiquement correcte et les partis politiques versent même dans la repentance coloniale ou la discrimination éthnique, les autorités françaises le ritualisant à des fins électoralistes.

Mais voici que le travail de Tidiane N’Diaye, anthropologue sénégalais et spécialiste des civilisations africaines, jette un pavé dans  la mare islamique, éclaboussant le dogme de la pensée unique. Ce chercheur musulman a publié il y a quelques années « Le génocide voilé », une enquête historique, une réflexion inédite toujours actuelle – à lire absolument – sur le volet volontairement occulté de l’esclavagisme arabo-musulman, de Mahomet à nos jours.
Si la traite négrière perpétrée par les Occidentaux durant deux siècles et demi a été une atteinte à la dignité humaine dénoncée à juste titre, il était utile que soit démontrée historiquement l’origine islamique de la traite. Et qu’on ne perde pas de vue le fait que la mise en esclavage des Noirs remonte à 10 siècles auparavant, dès l’arrivée des conquérants d’Allah en Afrique, qui ont aussitôt mis en place leurs filières de captures et leurs marchés aux esclaves.
Ainsi, dès 652, le chef de guerre Abdallah ben Saïd imposait aux Soudanais un accord de livraison permanente d’esclaves qui s’est amplifiée au cours des siècles.
De ce fait, M. N’Diaye révèle dans son étude très documentée que l’ensemble du commerce négrier mené par les Arabes en Afrique (une vingtaine de millions de victimes), ceci avec la complicité active des souverains et roitelets locaux, a constitué une hémorragie humaine infiniment plus dévastatrice que les méfaits esclavagistes des seuls Occidentaux.
Il souligne entre autres le fait que les Arabo-musulmans ont systématiquement émasculé leurs esclaves pour ne laisser aucune mémoire possible de ce génocide lucratif s’étendant sur plus d’un millénaire. Alors que les descendants des Noirs déportés par les Occidentaux – et donc beaucoup moins nombreux – à travers le commerce triangulaire durant deux siècles et demi en Amérique sont aujourd’hui 70 millions.
Cet ouvrage est une contribution essentielle à l’encontre du déni habituel de l’esclavage lié au djihad, et cette étude exhaustive signée d’un chercheur musulman critique offre le complément d’information indispensable pour battre en brèche la condamnation médiatique toujours focalisée sur la seule traite négrière occidentale.

Lien Pasidupes: Surenchère anti-raciste du socialiste racialisé Jean-Marc Ayrault ou le progressisme français acculturé


Les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne pendant treize siècles sans interruption. La plupart des millions d’hommes qu’ils ont déportés ont disparu du fait des traitements inhumains. Cette douloureuse page de l’histoire des peuples noirs n’est apparemment pas définitivement tournée. La traite négrière a commencé lorsque l’émir et général arabe Abdallah ben Saïd a imposé aux Soudanais un bakht (accord), conclu en 652, les obligeant à livrer annuellement des centaines d’esclaves. La majorité de ces hommes était prélevée sur les populations du Darfour. Et ce fut le point de départ d’une énorme ponction humaine qui devait s’arrêter officiellement au début du XXe siècle.

Les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne pendant treize siècles sans interruption. La plupart des millions d’hommes qu’ils ont déportés ont disparu du fait des traitements inhumains. Cette douloureuse page de l’histoire des peuples noirs n’est apparemment pas définitivement tournée. La traite négrière a commencé lorsque l’émir et général arabe Abdallah ben Saïd a imposé aux Soudanais un bakht (accord), conclu en 652, les obligeant à livrer annuellement des centaines d’esclaves. La majorité de ces hommes était prélevée sur les populations du Darfour (Ouest du Soudan, s’étendant sur le Sahara et le Sahel subsaharien. Sa population est musulmane. Le Darfour est riche en uranium et cuivre). Et ce fut le point de départ d’une énorme ponction humaine qui devait s’arrêter officiellement au début du XXe siècle.

« La pire des négrophobies, moi je l’ai subie au Maghreb
M’appelle pas “khouya” : on sait qu’vous êtes racistes
Et aucun Nègre n’oubliera que les Arabes étaient esclavagistes. » (rappeurs Youssoupha et Médine, « Blokkk identitaire », 2013)

Livreur noir agressé à Cergy : insultes racistes d’un Algérien

L’auteur présumé des insultes racistes et de l’agression, en garde à vue

L’homme, filmé dimanche soir en train de proférer des menaces racistes près du ‘Brasco’ après avoir insulté et frappé un livreur Uber Eats, a été interpellé au volant de sa voiture à Paris ce mardi, vers midi. Le journal Le Dauphiné ne retient en titre que l’agression raciste devant un restaurant « fait le tour des réseaux sociaux. »

L’Algérien a été rapidement identifié par les policiers de Cergy, puis débusqué à Paris. Son agression d’un livreur Uber Eats, suivie d’insultes racistes devant le restaurant de Cergy, a embrasé les réseaux sociaux après la diffusion d’une vidéo, et son auteur a été placé en garde à vue ce mardi. Une procédure a été ouverte pour violences aggravées et menaces de mort aggravées, a précisé le Parquet de Pontoise.

Une riveraine noire assure qu’il aurait proféré des insultes racistes. Elle a filmé la suite de l’agression, où l’on voit un jeune homme très énervé proférer des insultes racistes négrophobes. « On vous a vendu comme du bétail », assure l’Algérien qui évoque la traite des Noirs par le colon ottoman de l’Algérie, insultant du même coup la voisine qui le filme, elle aussi noire. Quand elle lui demande d’enlever sa capuche, il s’exécute volontiers, comme par défi. Convaincu de son impunité, le jeune homme a poursuivi son discours à visage découvert : « il est tombé dans le panneau, il a montré son visage« , explique la voisine.

Interpellé au volant de sa voiture

Le suspect a été interpellé vers midi au volant de sa voiture, alors que son portable avait été localisé dans le Xe arrondissement. Les policiers parisiens, avertis par leurs collègues de Cergy, ont ainsi pu le localiser avant de l’intercepter.

Ce jeune homme de 24 ans est employé par une société d’intérim, ne travaille pas pour le restaurant Brasco de Cergy, du moins pas officiellement. Il circulerait entre Argenteuil, Cergy et Herblay, avait pris une chambre à l’hôtel Formule 1 situé juste à côté du fast-food de la rue Traversière, dans le quartier de la Préfecture. C’est en retournant à l’hôtel qu’il s’est arrêté devant le restaurant Brasco pour acheter à manger.

Or, il est autour de 22h30 et le fast-food refuse de le servir en raison du couvre-feu. En partant, il s’en prend à un livreur Uber Eats venu récupérer une commande. Il lui reproche d’avoir mis sa musique trop fort sur son enceinte et lui demande de baisser le volume. Le livreur obtempère mais pas suffisamment au goût du client déçu. Il se rapproche alors de lui et le somme d’éteindre sa musique. Menacé, le livreur explique lui avoir dit: ‘J’ai pas peur de toi’ en expliquant ne pas vouloir de cette histoire de bagarre. » A ce moment, toujours selon le récit du livreur, l’altercation monte d’un cran. « Casse toi. (…) Je te donne trente secondes pour te casser, » lance l’auteur de l’agression. « En retournant, il m’a donné un coup de poing. Après, je me suis retrouvé par terre », mime-t-il sur BFM TV. « Ses potes, ils étaient à côté. Ils n’ont rien fait. Il est venu sur moi. Il commence à me tabasser. J’ai dit : ‘Au secours, au secours’. » « Il y a une dame là-haut, c’est elle qui a alerté la police, » précise le livreur.

Face au refus du livreur, les coups pleuvent, tout comme les injures racistes. Dans la vidéo de plusieurs minutes, on entend très clairement l’agresseur tenir des propos racistes au faciès contre le livreur et la personne filmant l’incident, notamment : « Espèce de sale noir, personne te touche même avec un bâton (sic) ». La victime de l’Algérien porte un prénom chrétien.

Fermeture administrative du restaurant pour sept jours

Une riveraine, alertée par les cris du livreur noir à terre, filme la scène. Elle est alors à son tour la cible de propos violents. Elle diffusera la vidéo sur Instagram, qui deviendra très vite virale.

La voisine qui a filmé l’altercation a raconté : « J’ai entendu un appel au secours. C’était le cri de quelqu’un qui avait peur. J’ouvre la fenêtre et je vois une personne qui en frappe une autre en le traitant de sale noir, d’esclave. Il disait : va chez toi, je vais niquer ta mère« .

Trois plaintes ont été déposées et la préfecture a pris un arrêté de fermeture administrative de l’établissement pour sept jours pour « nécessité de l’ordre, de la tranquillité publique ». Lundi, plus de 150 personnes s’étaient rassemblées devant cet établissement, la plupart pour faire part de leur indignation par ces propos, mais d’autres avec la volonté affichée d’en découdre avec le gérant, qui a reçu des menaces de mort.

Le maire de Cergy, Jean-Paul Jeandon (PS), a déclaré au Parisien : « Je dénonce très fortement les propos qui ont été tenus dans cette vidéo. Ce que je demande c’est que la justice avance vite ». 

Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté, ex-élue municipale socialiste au Mans parachutée à Paris, a aussi réagi : « Face à cette nouvelle agression choquante, violente et raciste d’un livreur de repas à domicile, j’ai demandé que l’on étudie la possibilité d’un article 40 pour signaler les faits au procureur de la République. Le racisme n’est pas une opinion ! »

Marseille: l’école Bugeaud débaptisée, volonté Vallaud-Belkacem

La rue du même nom deviendra-t-elle aussi « caporal Ahmed-Litim »?

La ministre Najat Vallaud-Belkacem (c)
et le député Patrick Mennucci (d) à l’école Bugeaud à Marseille, le 28 novembre 2016

Après Colbert, le général Bugeaud…

Louis-Georges Tin, président du Conseil représentatif des associations noires (CRAN), a proposé de remplacer les «statues de la honte», notamment celles de Colbert à qui on ne semble devoir que le Code noir de 1685 pour ceux qui vivent toujours les difficultés du 17e siècle, quatre siècles plus tard. Celui-là même qui – à la suite des Ottomans, colonisateurs de l’Algérie – de 1516 à 1830 – a organisé juridiquement la traite et l’esclavage des noirs jusqu’à son abolition par décret de la Convention, le 4 février 1794, presque cinq ans après la glorieuse Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (26 août 1789).

Jusqu’en 1830, la régence d’Alger était vassale de l’Empire ottoman. Les descendants des Turcs établis dans le pays à cette période se définissent comme algériens-turcs ou encore turcs-algériens.  Certains descendent des Janissaires, un ordre militaire très puissant composé d’esclaves d’origine européenne et initialement de confession chrétienne avant leur « conversion » à l’islam, constituant l’élite de l’infanterie de l’armée ottomane à l’apogée de l’Empire. Pendant la colonisation ottomane de l’Algérie, la descendance turque constitue les kouloughlis (« fils de serviteur »). Au début du XXIe siècle, des estimations suggèrent que les Algériens descendants de colons turcs représenteraient encore environ 5 % de la population.

Sans nivellement par le bas, ni déni du passé, l’école Bugeaud sera rebaptisée école Ahmed-Litim, en hommage à un tirailleur algérien tombé en Provence en 1944. Un débat d’historiographie qui interroge sur notre rapport au passé mais tire en fait un trait sur un maréchal de France.

Question mémorielle ou politique ?

Le maire PS de Marseille, Benoît Payan, a proposé le 21 mai dernier à ce que soit renommée l’école Bugeaud, du nom du maréchal promu par Louis-Philippe en 1843 et personnage clef de la colonisation de l’Algérie, au profit du caporal Ahmed-Litim, tirailleur algérien mort pendant les combats de libération de la Provence, sur les pentes de la colline de la Garde. Les débats du conseil municipal, rapportés par le quotidien La Provence, traduisent bien la controverse idéologique qui se joue autour de l’histoire de France. Le maréchal Bugeaud, a expliqué Benoît Payan, fut acteur de la « traque sauvage, sanglante en brûlant les terres et les villages » de la conquête de l’Algérie. « Rien dans l’histoire de Bugeaud n’a le début du commencement de la gloire », a-t-il jugé.  Et de rappeler qu’en 1845, Bugeaud « ordonna que l’on enfume les grottes où avaient trouvé refuge des combattants mais aussi des femmes et des enfants ». Par opposition, le caporal Ahmed Litim est une « mémoire (qui) nous permet de faire œuvre d’histoire ».

La « cancel culture », autre concept importé

La notion de « cancel culture » imprègne les débats menés par la droite du conseil municipal. Car c’est la crainte que figure ce changement de nom : vouloir réécrire l’histoire à l’aune de l’idéologie. Le député (LR) Guy Teissier, par ailleurs colonel à titre honoraire, n’a pas tranché entre les deux militaires, qui répondaient aux ordres de l’armée. « Ils étaient tous les deux soldats. Et quand vous êtes un soldat, vous obéissez au pouvoir », a-t-il indiqué, avant d’ajouter qu’il y a aussi « une place à Marseille du nom d’un psychopathe aux mains pleines de sang, Robespierre ». Il a ainsi proposé d’ « attendre d’inaugurer une nouvelle école pour lui donner le nom d’Ahmed-Litim. » 

De leur côté, les élus du RN y ont vu une manœuvre idéologique : « Il faut rendre hommage sans communautarisme ni électoralisme, accuse-t-il. Vous êtes dans l’idéologie et pas dans l’idée de servir », a martelé Stéphane Ravier, conseiller municipal. Le RN a voté contre, certains élus LR aussi.