Zemmour, interdit sur le service « public »

Le journaliste Gilles Bornstein se flatte de la censure sur Radio France

L’élu communiste Ian Brossat, adjoint au Logement deprès de la maire Hidalgo, est chez lui sur les chaînes du service public. Il a pu y accuser les media, les autres, d’alimenter la dynamique sondagière d’Eric Zemmour en lui offrant une exposition que ce stalinien juge démesurée. 

L’auteur du Suicide français et désormais de La France n’a pas dit son dernier mot aurait ainsi été «promu depuis des années» par les media. «Pas sur votre chaîne», a toutefois corrigé le porte-parole du parti communiste, pour s’en flatter.

Gilles Bornstein lui fait aussitôt écho : Eric Zemmour «n’a pas le droit de venir ici». L’éditorialiste politique de France Info, qui n’a pas précisé de quel «droit» il s’agissait, s’est aussitôt attiré les foudres de nombreux Français qui n’ont que les réseaux sociaux pour s’exprimer, favorables, ou non, à une candidature du chroniqueur de droite. Bornstein est venu de France Inter. Tout est dit!

Directeur de l’information de France Télévisions, Laurent Guimier en personne a rectifié les propos de Gilles Bornstein. Cet éditorialiste politique a en effet expliqué, froidement, sur l’émission Instant Politique de France Info, dans son édition du jeudi 7 octobre, qu’Eric Zemmour ne sera pas invité sur le service… public !

Ce n’est pas de la censure, puisqu’on est sur un groupe de gauche, arbitre des élégances démocratiques… Jeudi dernier, sur France Info, la chaîne d’information en continu du service public, qui prétznd livrer une infirmation « juste », l’élu communiste Ian Brossat, adjoint en charge du Logement auprès de la maire Hidalgo, candidate au mieux à 6% dans les sondages, a accusé sans rire les media (généralisation incluant l’ensemble du service public radio-télévisé) d’alimenter la dynamique sondagière d’Eric Zemmour en lui offrant une exposition qu’il juge démesurée. Les sondages L’auteur du Suicide français et désormais de La France n’a pas dit son dernier mot aurait ainsi été «promu depuis des années» par les media. «Pas sur votre chaîne», a toutefois corrigé le porte-parole du parti communiste. Au centre de toutes les conversations politiques en France, Zemmour n’existe pas sur France Info…

C’est alors qu’en réponse, Gilles Bornstein ostracise : Eric Zemmour «n’a pas le droit de venir ici». L’éditorialiste politique de France Info, qui n’a pas précisé de quel «droit» il s’agissait, s’est aussitôt attiré les foudres de nombreux internautes, favorables, ou non, à une candidature du chroniqueur de droite.

Le premier intéressé n’a pas tardé à réagir sur Twitter. «Qui êtes-vous, Gilles Bornstein, pour m’interdire de parler sur le service public ? Les Français méritent que vous leur rendiez leurs impôts !», a réagi Eric Zemmour en faisant allusion au financement public de France Info.

Subvention de l’Etat et abattement fiscal de 7.650 euros à tout détenteur d’une carte de presse. Indépendamment de toute entorse à la déontologie mrofessionnelle:

Vendredi dans l’après-midi, l’éditorialiste de France Info s’est fendu à son tour d’un tweet pour reconnaître qu’il s’était «mal exprimé». «La direction de l’info de france télé a décidé de ne pas l’inviter tant qu’il n’est pas candidat. Bien sûr il sera invité sur comme les autres candidats, s’il décide de l’être», a-t-il précisé.

Dans la foulée, la direction de la chaîne elle-même a confirmé cette stratégie. «En aucun cas Eric Zemmour et le courant de pensée qu’il représente ne sont interdits d’antenne à @FranceTele. Eric Zemmour sera bien évidemment invité dans nos rendez-vous politiques s’il se porte candidat à l’élection présidentielle», a écrit sur Twitter Laurent Guimier, le directeur de l’information de France Télévisions. Propos quelque peu ambigu puisque, pour l’instant, n’étant pas candidat, Eric Zemmour est bien privé d’antenne.

Donné en deuxième position derrière Emmanuel Macron dans un sondage paru la semaine dernière après une percée très rapide dans les enquêtes d’opinion consacrées à l’élection présidentielle qui se tient dans six mois, le pas-encore-candidat Éric Zemmour sait donc à quoi s’en tenir. S’il veut passer sur France Info, il devra se porter officiellement candidat à la présidence de la République, sujet sur lequel il entretient le mystère depuis plusieurs semaines, quoique de plus en plus mollement. «Ces sondages m’encouragent plutôt, je vous l’accorde», a-t-il reconnu le 6 octobre sur Europe 1.

Sa présence physique est interdite, mais sa personne morale hante les studios nauséabonds de Radio France et de France Télévisions hystérisés par l’idéologie:

Zemmour tardé à réagir sur Twitter.

«Qui êtes-vous, Gilles Bornstein, pour m’interdire de parler sur le service public ? Les Français méritent que vous leur rendiez leurs impôts !», a réagi Éric Zemmour en faisant allusion au financement public de France Info.

Vendredi dans l’après-midi, l’éditorialiste de France Info s’est fendu à son tour d’un tweet pour reconnaître qu’il s’était «mal exprimé». «La direction de l’info de france télé a décidé de ne pas l’inviter tant qu’il n’est pas candidat. Bien sûr il sera invité sur comme les autres candidats, s’il décide de l’être», a-t-il précisé.

Emprise de l’extrême gauche internationale: Decathlon retire ses publicités d’une chaîne d’info en continu

Victime de chantage, le groupe Auchan exerce une pression politique sur la presse et les Français, sous la contrainte

TWITTER, GOOGLE ou YAHOO, en FLAGRANTS DELITS de CENSURE POLITIQUE

On connaît la malfaisance d’ONG supranationales et illégitimes. On découvre un groupe de pression actif sur les réseaux sociaux partisans et qui instrumentalise les enseignes commerciales. Réseau occulte d’ultras, développant une stratégie d’infiltration de la société civile, sans tête, comme les ‘Black bloc – dit citoyen , comme d’autres se disent « anticapitalistes », « humanitaires » ou « anti-racistes » – , des activistes politiques obtiennent de Decathlon qu’il proteste contre « l’orientation délétère », selon eux, de CNews, chaîne montante d’information en continu du groupe Canal+.

Sleeping Giants, collectif citoyen de lutte contre le financement du discours de haine, s’est targué jeudi d’avoir poussé Decathlon a retirer ses publicités de CNews pour Noël. La raison? « Parce que l’orientation délétère de CNews ne peut plus être ignorée », explique subjectivement… Sleeping Giants sur … Twitter.

Le mode opératoire de ce collectif d’extrême gauche consiste à interpeller publiquement les annonceurs de publicités sur les réseaux sociaux sympathisants. Ils ciblent les media qu’ils ont étiquetés d’extrême droite ou des émissions relayant des discours jugés racistes ou sexistes. Le collectif est né aux Etats-Unis en novembre 2016 en réaction à la victoire du Républicain Donald Trump à l’élection présidentielle américaine. Twitter héberge leur compte Twitter depuis une première action de boycottage contre Breitbart News, media conservateur dont le président exécutif depuis 2012 était Steve Bannon jusqu’à ce qu’il quitte son poste en 2016 pour diriger la campagne du candidat du Parti Républicain qui, en 2020, représentera encore près de 50% de l’électorat américain.

Un collectif totalitaire ? La branche française de Sleeping Giants est apparue le 17 février 2017 et a d’abord pris pour cible deux sites catalogués d’extrême droite par la gauche radicale: le site d’information généraliste Boulevard Voltaire, fondé par Robert Ménard et Dominique Jamet, et le blog Breiz atao, créé par Boris Le Lay. Les annonceurs cèdent aux pressions des despotes de l’extrême gauche: plus de 1.000 d’entre eux – qui condamnent probablement Amazon (et AliBaba ou eBay ?) – bloquent Boulevard Voltaire, tandis que Google Ads bannit Breiz atao. On comprend dès lors que la presse n’est pas libre – si le pouvoir ne garantit pas son indépendance – et que des diplômes universitaires sont offerts aux militants sectaires et aux activistes bien-pensants.

En octobre 2019, les trolls numériques de l’antenne française menacent la société Ferrero sur… Twitter. L’entreprise agroalimentaire italienne, connue par des produits phares tels que Nutella, Kinder, Ferrero Rocher, Mon Chéri ou Tic Tac, retire dare-dare l’émission Zemmour & Naulleau sur Paris Première (Groupe M6) de la liste de diffusion des publicités Nutella. Après la capitulation de Ferrero, les mutuelles la MAIF (liée à la FSU), Groupama, autre mutuelle (Gan, Amaguiz et Orange Bank) et Monabanq (Crédit mutuel et Cofidis) se soumettent aux assaillants. Sur Twitter, la branche Ferrero France avait frémi pour son image: les maîtres-chanteurs se présentaient en chevaliers blancs, un « collectif de citoyens qui lutte contre les discours de haine ». Les Sleeping Giants avaient demandé à la marque : « En passant vos pubs sur Paris Première ce mercredi 2 octobre pendant l’émission de Zemmour, vous le cautionnez et le financez. Est-ce délibéré ? ». Ferrero et le quarteron de mutuelles s’étaient couchés, mettant le doigt dans l’engrenage de l’intimidation.

La presse institutionnelle se protège-t-elle solidairement des maîtres-chanteurs ?

CNews, privée de Noël par des « trolls numériques » radicaux anonymes

Le grand commerce appelle à la compassion pour les petits commerçants face au coronavirus mais, « en même temps », il porte atteinte à la liberté de penser

« En effet nous avons retiré nos publicités de CNews en cette fin d’année », a avoué la chaîne de magasins de produits de sports, sur son compte Twitter , partenaire objectif du collectif. Auprès du magazine LSA, Decathlon confirme un « retrait immédiat et pour la fin de l’année » mais se refuse à tout commentaire sur les raisons de cette décision et sur la possibilité évoquée par Sleeping Giants de la prolonger sur toute l’année 2021.

Paul-Bisquit joue les ingénus, mais c’est un troll pro, parmi d’autres, de la censure vertueuse : LCI est une autre cible qui ne troublera pas non plus BFMTV bien longtemps encore. La République se laissera-t-elle gangrener : à la menace islamiste s’ajoutent les atteintes au pluralisme?

Decathlon (Auchan) qui inonde le pays de produits chinois et turcs a gagné

La chaîne de télévision CNews est régulièrement la cible de critiques sur le choix de ses intervenants [le père de Laurent Joffrin était d’extrême droite, comme celui de François Hollande, mais le sont-ils pour autant eux-mêmes parce que chroniqueurs de L’Heure des Pros?]. Certains sites, comme toutelatele.fr, se font une spécialité de chercher des poux à ces intervenants, mais occulte la prestation de Bruno Le Maire, cette semaine… La tonalité de ses débats, jugés très clivants, est incriminée, bien que juste décapants, ou soupçonnés de « flirter » (sic !) avec une idéologie d’extrême droite (laquelle ?), bien que juste en antithèse de la pensée unique, à laquelle s’accroche la gauche radicale rejetée par l’électorat qu’elle accuse, du coup, de tous les maux et dérives. La majorité silencieuse – la « Sleeping majority » ! (« silent majority« ) – est-elle fasciste ?

La direction de CNews assume être une « chaîne d’opinions ». Les analyses de l’essayiste Eric Zemmour mettent à mal les thèses de la gauche et ses réflexes de survie sont compréhensibles, mais ses attaques ad hominem, ses diffamations, ses coups fourrés, ses appels à la censure et son agitation de l’opinion, via les réseaux sociaux, sont autant d’attaques contre la liberté d’expression et aux valeurs de la République.

En ne bloquant pas les tweets diffamatoires, Twitter participe au totalitarisme d’extrême gauche

Twitter est très réactif aux demandes de fermeture de comptes déplaisants aux ultras, mais autorise les insultes sectaires.

On peut être ultra de gauche et manquer d’orthographe:

TWITTER paie-t-il des impôts sur ses profits commerciaux en France ? Si PaSiDupes est muselé, ne vous interrogez pas sur les causes de son silence: ce ne sera pas une catalepsie ! Le blog s’est déjà retiré de Facebook au vu d’étranges dysfonctionnements et filtrages, également constatés sur Blogger de Google (comme WordPress) – et des embrouilles injustes sur YouTube de Google, la pieuvre ! Le virus rôde, mais le plus dangereux pour la démocratie n’est pas celui qu’on pense. A bientôt peut-être…