Les tueries de la Révolution d’Octobre ou de la SS, inspirés de la Grande Terreur en Vendée

Pornic et Oradour, références de Lé⁷nine et Hitler

Le nom d’Oradour-sur-Glane reste attaché au massacre de sa population par la division SS das Reich le 10 juin 1944 la tuerie, par pendaison, fusillade et lance-flamme fit au moins 643 victimes, hommes, femmes et enfants.

La rébellion vendéenne initiée en 1791 par la Constitution civile du clergé tourna en jacquerie paysanne en mars 1793, avant de prendre la forme d’un mouvement contre-révolutionnaire avec la levée en masse en France de trois cent mille hommes, pris par la Convention parmi les célibataires ou veufs de 18 à 25 ans. Les guerres de Vendée durèrent de 1793 à 1832 en quatre vagues successives faisant un total de 200.000 morts.

Guerre de Vendée

La Vendée militaire, qui débuta en mars 1793, quand les jeuues d’une dizaine de départements refusèrent la conscription. L’insurrection partit de Cholet et Angers fut prise par les insurgés « blancs » (royalistes) sur les « bleus » (républicains). L’une des premières tueries, le 23 mars 1793, est une lourde défaite, à la première bataille de Pornic, où 200 à 500 insurgés royalistes sont tués au combat ou exécutés sommairement par les républicains. D’autres massacres s’ensuivirent qui furent une source d’inspiration pour Lénine.

Les vacances de Lénine à Pornic

A l’été 1910, sept ans avant la révolution d’Octobre et encore peu connu du grand public, Lénine est au creux de la vague  depuis l’échec de la révolution de 1905 et passe ses vacances à Pornic en juillet, à l’hôtel de la plage de la Noëveillard, avec des militants du parti socialiste français, entre nage et pêche à la crevette. Vladimir Ilitch Oulianov, 40 ans, est alors un exilé nanti qui parcourt l’Europe en compagnie de sa femme, Nadejda Kroupskaïa, et qui pose ses valises en terre chouanne jusqu’à la moelle.

Pour les marxistes-léninistes, il reste « le chef », « le vieux » ; pour ses adversaires, « le doctrinaire » ou « le tyran rouge ». Mais en ce bel été de 1910, Vladimir Ilitch Oulianov, 40 ans, a les pieds dans l’eau, pantalon retroussé, et pousse un haveneau sur la plage de Pornic, département de la Loire-Inférieure. Il porte casquette et moustache, mais pas de bouc au menton. 

Avec la Révolution d’Octobre, tout cela est balayé : tout le monde dénonce tout le monde ; personne n’est à l’abri d’une spoliation, d’une torture, d’une exécution.

A l’international, certains historiens comparent parfois Lénine à Oliver Cromwell et Maximilien de Robespierre, notamment en tant que principaux responsables de régicides, tout en se rendant ultérieurement responsables de pratiques répressives et d’expériences dictatoriales, voire proto-totalitaires éloignées des idéaux de libertés affichés lors des révolutions menées. La continuité politique entre Lénine et Staline fait l’objet de controverses idéologiques, mais certains auteurs ont souligné que la philosophie politique et la pratique du pouvoir de Lénine contiennent des éléments clés de la dictature au sens moderne du terme, voire du totalitarisme, inspirés, selon certains, de la Convention et des guerres fe Vendée dont Lénine a pu s’inspirer à Pornic.

Auteur de la doctrine bolchévique et animateur du gouvernement des soviets, peut-on encore passer sous silence la violence et le fanatisme de Lénine ? Au nom de l’idéal marxiste, le père de la révolution d’Octobre annihila toute forme de contestation, musela les libertés et créa, pour les plus récalcitrants, les sinistres goulags. Il spolia d’innombrables paysans, exterminant des pans entiers de la population, en vertu d’une haine viscérale de la bourgeoisie. Comment expliquer, dès lors, que le léninisme ait survécu près de trois quarts de siècle à son fondateur ? Ni les dénonciations des crimes de Staline, ni les échecs de Khrouchtchev n’ont entamé son statut de  » héros de l’Union soviétique « .

La guerre civile russe est l’ensemble des atrocités qui déchirèrent l’ancien empire russe durant plus de quatre années, de la fin 1917 à 1921. Elle se situe dans le prolongement de la révolution russe d’octobre 1917. 

Dans Le Livre noir du communisme, l’historien Stéphane Courtois, cumulant les exactions commises sous les différents régimes communistes, les famines provoquées par leurs politiques, et les divers crimes liés aux mouvances se réclamant de cette idéologie, avance, pour le bilan humain du communisme, un chiffre approximatif proche « la barre des cent millions de morts ». Puisque les chaires d’histoire dans l’Université française sont confisquées par des communistes, le chiffrage a fait l’objet de nombreuses polémiques et de critiques d’ordre méthodologique à prétention « scientifique », en ce qu’il additionne des éléments provenant de régimes et de phénomènes politiques très divers, s’étalant sur plusieurs décennies, mais néanmoins générés par la même idéologie mortifère, que les marxistes le veuillent ou non. Le chiffre de 85 millions de morts – évoqué sur le bandeau du Livre noir du communisme, et qui correspond à l’addition des 20 millions de victimes en URSS et de 65 millions en Chine, calculée par Stéphane Courtois – est le bilan des crimes du communisme que nie le PCF.

Lénine (1870-1924) continua de susciter des vocations. Pensez à l’ayatollah Khomeini, hébergé par la France, terre d’asile des tyrans, toutes nuances de rouge étant égales.

Laissez un commentaire (il sera "modéré)

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.