Procès des sondages de l’Elysée: réouverture des débats en plein délibéré

Décision exceptionnelle, pour examiner de nouveaux documents concernant Claude Guéant.

Dans le cadre du proces des sondages de l'Elysee, le tribunal a pris la decision rare de rouvrir les debats lors d'une audience le 3 decembre, afin d'examiner de nouveaux documents concernant Claude Gueant.

Deux semaines après la fin du procès des sondages de l’Elysée, le tribunal a pris la décision rare de rouvrir les débats, lors d’une audience le 3 décembre, pour examiner de nouveaux documents concernant Claude Guéant, 76 ans, a annoncé mercredi 24 novembre le Parquet national financier (PNF). A l’issue d’un mois d’audience, la 32e chambre correctionnelle du tribunal de Paris avait indiqué, le 10 novembre, qu’elle trancherait le 21 janvier sur le sort de cinq anciens conseillers et collaborateurs de Nicolas Sarkozy, lorsqu’il était président de la République. Au cours de cette période dite de délibéré, entre la fin du procès et le prononcé de la décision, il est exceptionnel qu’une juridiction décide de rouvrir les débats, c’est-à-dire de faire revenir les parties afin qu’elles s’expriment sur un sujet qui n’a pas pu être évoqué lors du procès.

« Suite à la communication, en cours de délibéré, par le Parquet National Financier, de nouvelles pièces de personnalité concernant Claude Guéant, le tribunal a décidé de rouvrir les débats dans le procès dit des ‘sondages de l’Elysée’, le vendredi 3 décembre 2021 à 14h00 », a indiqué le PNF dans un communiqué.

L’examen de la « personnalité » d’un prévenu est nécessaire au tribunal pour lui permettre, si elle le reconnaît coupable, d’adapter la peine à chacun. Les pièces transmises sont deux arrêts de la Cour d’Appel de Paris, qui concernent l’application de la peine prononcée contre Claude Guéant dans l’affaire des primes en liquide du ministère de l’Intérieur, selon une source proche du dossier.

Une partie du sursis de Claude Guéant révoquée en novembre

L’ancien « premier flic » de France s’est vu infliger en janvier 2017 en appel deux ans d’emprisonnement, dont un an avec sursis probatoire, ainsi que 75.000 euros d’amende, pour complicité de détournement de fonds publics et recel. Il a aussi été condamné à payer, solidairement avec quatre autres prévenus, 210.000 euros en dommages et intérêts à l’Etat.

Le 9 novembre, la Chambre d’application des peines de la Cour d’Appel a révoqué une partie du sursis de Claude Guéant – trois mois – car elle a considéré qu’il ne procède pas aux versements nécessaires.

Dans l’affaire des sondages de l’Elysée, d’anciens proches de Nicolas Sarkozy ont comparu pour favoritisme ou détournement de fonds publics, selon les cas, autour de prestations de conseil et de sondages facturées sans appel d’offre. Un an d’emprisonnement dont six mois ferme et 10 000 euros d’amende ont été requis à l’encontre de Claude Guéant, qui a contesté avoir enfreint la loi.

DEVOIR de MEMOIRE : Michel Sapin promet: « on va s’occuper des enquêtes de Sarkozy »

Sapin l’a promis, le Syndicat de la Magistrature le fait: la police de Manuel Valls a fait placer l’ancien président en garde-à-vue, le 1er juillet 2014.

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Prénoms chrétiens, signes d’intégration, selon Zemmour: qu’en pense Martin Hirsch?

Qui a dit que la vraie intégration, c’est quand des catholiques appelleront leur enfant Mohamed ?

On croyait avoir tout entendu dans le domaine de la propagande en faveur de l’islamisation volontaire du peuple français, mais Martin Hirsch avait déjà crevé le plafond de verre en 2010. A ce moment-là, les acteurs politiques et les élus en France n’ont de cesse que de vouloir faire de l’islam la religion officieuse de la République française. Après Delanoë et sa mosquée à 22 millions d’euros payée par le contribuable parisien, après François Rebsammen, maire de Dijon et son barbecue hallal géant, après avoir vu le premier Ministre, François Fillon, inaugurer une mosquée à côté d’une petite fille voilée, mais avant Najat Vallaud-Belkacem ministre voilée au Maroc, Martin Hirsch a fixé la feuille de route dans une émission de Canal + du premier juillet 2010.

Rappelons que Martin Hirsch, ancien président d’Emmaüs France, a occupé un poste quasi ministériel de 2007 à mars 2010, celui de  » haut commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté  » (2007-mars 2010) au gouvernement de François Fillon. Il est alors considéré comme une sorte de prise de guerre de la droite, puisqu’il était auparavant en 1997 directeur de cabinet de Bernard Kouchner, puis conseiller chargé de la santé au Cabinet de Martine Aubry. Il est également au Conseil d’Etat. Il est alors Président de  » l’agence du service civique «  (le service civique est emploi fictif :quand on n’est plus membre du gouvernement, on est néanmoins placé à la tête d’un comité Théodule. L’agence du service civique a été créée en mai 2010, deux mois après son départ du gouvernement, pour mission de mettre en place et d’encadrer le service civique, système de volontariat destiné aux jeunes de 16 à 25 ans pour l’« engagement de service civique », et sans limite d’âge pour les variantes de « volontariat de service civique » et de « volontariat international ». Les volontaires doivent participer à des missions d’intérêt collectif en France ou l’étranger.  L’ex-secrétaire général de la CFDT, François Chérèque, lui succédera, preuve que cette agence est un cimetière de vieilles gloires du socialisme, à défaut d’éléphants. Chérèque obtiendra son bâton de maréchal le 3 janvier 2013, quand il sera nommé inspecteur général des affaires sociales (5e tour) en conseil des ministres à compter du 7 janvier 2013, avec le statut et les avantages de haut fonctionnaire. Or, l’inspection générale des affaires sociales est un repaire de protégés en disgrâce des pouvoirs successifs, tels Aquilino Morelle (lequel a néanmoins sorti un bouquin, L’Abdication, pour assassiner son protecteur François Hollande: lien PaSiDupes

Invité du « News show » de Canal+ (version socialiste), animé par Bruce Toussaint (aujourd’hui perfide journaliste sur France Info), la question posée à Martin Hirsch dans une sorte de quizz portait sur le dernier livre de Zemmour (Mélancolie française) dont il était dit à cette occasion le plus grand mal (rien d’étonnant à cela : Canal + est encore le temple du politiquement correct et de la  » bien-pensance », anti-pluraliste comme les anti-fascistes sont fascistes et les antisionistes, antisémites).

Et brusquement , sans que personne ne lui demande rien, Martin Hirsch fait cette déclaration stupéfiante :  » la vraie intégration, c’est quand des catholiques appelleront leur enfant Mohamed « .

Laurent Neumann ne cache pas sa joie sectaire.

Lien Dailymotion : Martin Hirsch, aka Mohamed, indigne Elisabeth Lévy

Le roi Hassan II a conseillé aux Européens de renoncer à l’idée d’intégrer des musulmans :