Jusqu’à 90% des pharmacies pourraient être fermées jeudi 30

Macron avait promis monts et merveilles il y a un an…

Bilan: jusqu’à 90% des pharmacies pourraient être fermées jeudi 30 mai 2024, selon l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO).

De nombreux pharmaciens sont en grève, jeudi 30 mai, à l’appel des deux principaux syndicats de la profession. La Fédération des pharmaciens d’officine (FSPF) et l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) ont déposé un préavis. Déserts pharmaceutiques, pénuries de médicaments ou encore revalorisation d’honoraires : les revendications sont nombreuses.

Journée « portes closes »

Alors qu’une trentaine de rassemblements sont prévus dans toute la France, dont une manifestation à Paris qui s’élancera à 16 heures entre la Faculté de pharmacie et le ministère de l’Economie, la mobilisation s’annonce massive. Jusqu’à 90% des officines pourraient être fermées, selon les chiffres communiqués par l’USPO. Certaines pharmacies seront néanmoins réquisitionnées par les autorités et resteront donc ouvertes.

Interpeller le gouvernement sur la pénurie de médicaments

Les pharmaciens défileront aussi dans les rues pour dénoncer « la persistance des pénuries que les pharmaciens subissent au quotidien, au détriment de leurs patients, qui sont les premiers pénalisés », selon l’USPO et la FSPF. En 2023, près de 5.000 médicaments ont été signalés en « rupture de stock » ou en « risque de rupture » par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), contre 3.761 en 2022 et 2.160 l’année précédente. Cela concernait notamment l’amoxicilline, les traitements anticancéreux et l’insuline.

Dans le même temps, les pharmaciens s’inquiètent d’une dérégulation du marché des médicaments et de « la vente en ligne de médicaments par des plateformes commerciales avec des stocks déportés », expliquent les syndicats. « Favoriser la vente de médicaments sur internet avec un stock déporté est une atteinte du réseau pharmaceutique et la destruction de maillage (…) On va être dans une course aux prix et on va faire du médicament un bien de consommation et non plus de soin », alerte le président de l’USPO, Pierre-Olivier Variot, auprès de France 3.

Alerter sur les déserts pharmaceutiques

« Les fermetures d’officines sur les territoires fragiles mettent en péril l’accès aux soins pour de nombreuses communautés », alertent les syndicats dans leur appel à la mobilisation. Selon eux, près de 2.000 pharmacies ont fermé en dix ans, portant leur nombre total à environ 20.000 officines en 2024.

« On voit le phénomène du pharmacien qui part à la retraite sans avoir cédé son officine ou du pharmacien en liquidation judiciaire. On ne voyait pas ça avant », explique Marie Halm-Bongard, présidente de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de Bourgogne (FSPF)v. Cette revendication fait notamment écho à un rapport de la Cour des comptes (PDF) publié en mai, qui affirme que « les Français ont de plus en plus de mal à accéder aux soins de premier recours ».

Réclamer une revalorisation de leurs honoraires

Alors que des négociations avec l’Assurance-maladie sur la revalorisation de leurs honoraires sont en cours, les pharmaciens réclament « une revalorisation significative » de leur rémunération dès 2025. Si les pharmaciens se rémunèrent sur les marges des médicaments ou les gardes, une partie importante de leur salaire dépend des honoraires. Ces montants sont versés par l’Assurance-maladie pour chaque vente de médicament et dépendent de la prescription.

Les syndicats évoquent un « mécontentement généralisé de ces professionnels de santé sur les difficultés économiques auxquelles ils font face depuis près de trois ans ». Les différents syndicats mobilisés exigent aussi une « réforme du 3e cycle des études pharmaceutiques ».

Interrogé mardi à l’Assemblée nationale sur la grève des pharmaciens, Frédéric Valletoux, ministre délégué à la Santé et à la Prévention, a expliqué que « la rémunération des pharmaciens s’est élevée à 7,3 milliards d’euros en 2023: ça a augmenté de 20% depuis 2019 ». Mais il a aussi assuré vouloir « les écouter »...

Quels sont les médicaments bientôt relocalisés en France?

La production de Doliprane devrait être augmentée dans les prochaines semaines. 

Macron était quelque part « en Ardèche », ce mardi 13 juin, pour présenter un grand plan de renforcerment la souveraineté industrielle de la France dans le domaine du médicament. Où exactement? Mystère et boule de gomme: la peur des casserolades bride la libre circulation de l’information… Les syndicats l’ont cherché en vain et seule était présente la claque de militants.

Ainsi, une liste de 450 médicaments « à relocaliser ou dont la production doit être augmentée«  a été établie pour éviter de nouvelles pénuries dans l’Hexagone. Pourtant, la production hexagonale est-elle prioritairement destinée à la France ? Rien n’est garanti…

Paracétamol, Fentanyl, Salbutamol… Au total, 450 médicaments « essentiels » vont être relocalisés en France ou voir leur production augmenter dans les prochaines années, a assuré Macron, ce mardi 13 juin, lors d’un déplacement « dans l’Ardèche », dans « le nord de l’Ardèche », apprend-on après coup : plus précisément « sur les terres de son ministre du Travail Olivier Dussopt, natif d’Annonay ». 

Le hasard a donc ainsi fait que ce sont deux entreprises de la circonscription d’un ministre qui ont bénéficié du soutien de l’Etat dans le cadre du plan France Relance mis en place après la crise de Covid.

Ce plan doit permettre de remédier aux pénuries de médicaments qui s’accroissent dans l’Hexagone depuis plusieurs mois.

50 médicaments – sur les 450 – classés « prioritaires »

La liste de ces 450 médicaments n’est pas encore bouclée. On sait en revanche quels sont les 50 « pour lesquels notre dépendance aux importations extra-européennes est avérée » ou dont la production est insuffisante par rapport à la demande. Ils ont été classés « prioritaires ». Au final, seulement la moitié d’entre eux, soit seulement 25 produits, seront relocalisés dans les prochaines semaines.

« Un certain nombre de ces médicaments sont non seulement critiques pour notre système de santé, mais connaissent également une certaine vulnérabilité dans leurs chaînes d’approvisionnement. Ce sont notamment des médicaments pour lesquels nous sommes fortement dépendants de sites de production extra-européens ou pour lesquels le nombre de sources est insuffisant pour sécuriser suffisamment l’approvisionnement en cas de difficulté sur la chaîne de production », indique le ministère de la Santé.

La liste des 25 médicaments relocalisés dans les prochaines semaines

Antibiotiques :

  • Amoxicilline
  • Ciprofloxacine

Anticancéreux :

  • Topotecan
  • Melphalan
  • Busulfan
  • Fludarabine
  • Paclitaxel
  • Oxaliplatine

Médicaments utilisés dans la réanimation et l’urgence :

  • Paracétamol
  • Morphine
  • Fentanyl
  • Propofol
  • Midazolam
  • Diazépam
  • Clonazépam
  • Rocuronium
  • Adrénaline
  • Noradrénaline

Médicaments utilisés dans la prise en charge d’affections chroniques touchant une large population :

  • Méthylprednisolone
  • Esoméprazole
  • Furosémide
  • Clopidogrel
  • Salbutamol

Comment réussir cette relocalisation ?

Pour réussir ces projets de relocalisations, qui devraient « être lancés dans les semaines et mois qui viennent », l’Etat va financer certaines usines de production.

Sur le court terme, huit entreprises vont entamer la relocation dans les semaines à venir et, des semaines, ça peut faire des mois. Il s’agit des entreprises Interor, à Calais ; Sequens, à Porcheville et à Limay (Yvelines), et aussi à Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine); Euroapi, à Vertolaye (Puy-de-Dôme); Aguettant, à Lyon ; Skyepharma, à Saint-Quentin-Fallavier (Isère); Ethypharm, à Grand-Quevilly (Rouen) ; GSK, à Mayenne et Benta Lyon, à Saint-Genis-Laval (métropole de Lyon).

Les Français devraient voir la différence d’ici peu, si l’Ukraine, au final, n’est pas prioritaire : c’est la vocation humaniste et humanitaire des Français…

Crise sanitaire: les pénuries de médicaments et d’anesthésiants sont-elles surmontées?

L’Etat a-t-il reconstitué les stocks durablement?

Face à la pandémie de Covid-19, les stocks de médicaments anesthésiants avaient menacé de manquer, dès avril, en plus des tenues de protection. L’Etat a dû contingenter les commandes, mais aussi l’usage de certains produits proches de la rupture de stocks. A la veille du déconfinement, début mai, on craignait la pénurie dans les hôpitaux français.

L’Agence nationale de la sécurité du médicament [ANSM] porta une “attention toute particulière” à la gestion des stocks de cinq molécules utilisées en anesthésie et en réanimation. Olivier Véran, ministre de la Santé, le reconnaissait dès le 31 mars, à l’Assemblée nationale : “Il y a des tensions sur les stocks de produits anesthésique”. Il s’agit de deux hypnotiques : le propofol et le midazolam, utilisés pour placer les patients dans un coma artificiel et trois curares : l’atracurium, le cisatracurium et le rocuronium, des paralysants musculaires qui permettent notamment aux patients de supporter leur respirateur et de favoriser une bonne ventilation. 

Ces produits anesthésiants sont essentiellement fabriqués en Chine et en Inde. Dans ce contexte de pandémie mondiale, la chaîne d’approvisionnement en France se retrouva perturbée, tandis que la demande explosait.

Philippe Lamoureux, directeur général de la Fédération des entreprises du médicament le signala : “Pour certains de ces produits, des commandes 1.000 fois supérieures à leur volume habituel ont été passées. Il y a eu tensions d’approvisionnement absolument colossales.” Pas étonnant, quand on sait qu’ils sont utilisés à des doses considérables pour soigner les patients atteints du Covid-19 intubés, qui restent en réanimation en moyenne quatorze jours. 

Un problème national : l’Etat rationne

Pour pallier les difficultés d’approvisionnement et éviter la pénurie, l’Etat a pris un décret pour l’achat et la distribution de ces cinq molécules essentielles. Depuis le 27 avril, pour éviter que certains établissements ne provisionnent des stocks au détriment d’autres, les pharmacies hospitalières ne peuvent plus passer commande auprès des laboratoires pharmaceutiques.

Dans les hôpitaux, la consigne est d’économiser un maximum les médicaments anesthésiants. Pierre Albaladejo, secrétaire général de la société française des anesthésistes et des réanimateurs (SFAR) et deux experts proposent dans une vidéo pédagogique des solutions d’utilisation parcimonieuse de ces médicaments en réanimation. Les médecins peuvent également se référer à un guide, publié par la SFAR, pour éviter tout gaspillage. 

 https://www.youtube.com/embed/IzhZaoOSAmM?enablejsapi=1&amp=1&playsinline=1 

Les protocoles furent assouplis quand ils furent durcis dans l’emploi de l’hydroxychloroquine

Si les Français devaient se faire opérer, les praticiens privilégiaient l’anesthésie locale. “Pour économiser les molécules en tension, on oriente les patients vers l’anesthésie locorégionale – en endormant une seule partie de l’organisme –  plutôt que l’anesthésie générale”, explique Guillaume Chatelain, anesthésiste à l’hôpital privé Le bois à Lille. 

Dans la clinique de Guillaume Chatelain, des alternatives thérapeutiques ont été trouvées : “près de 50% des interventions qui nécessitaient l’utilisation de ces molécules peuvent finalement être réalisées avec d’autres médicaments ou d’autres techniques.” A Nantes, même problème, même solution : “pour les opérations hors Covid-19, on ressort d’anciennes molécules comme le penthotal. On endort les gens autrement, avec de la kétamine par exemple”, indiqua un anesthésiste-réanimateur nantais.  

Autre mesure exceptionnelle : en cas d’indisponibilité de certains produits à usage humain, dès le 3 avril 2020, les établissements de santé furent  autorisés à recourir à des médicaments vétérinaires, dont la composition en principe actif, le dosage et la voie d’administration sont identiques. 

On est proche de la rupture de stock.

La France se dirige-t-elle alors vers une pénurie totale de médicaments anesthésiants ? Selon Philippe Lamoureux, directeur général de la Fédération des entreprises du médicament, “la tension devrait durer au moins 6 mois, voire un an. Pas forcément parce qu’il va y avoir une deuxième vague de coronavirus mais surtout parce que les demandes mondiales vont rester à un niveau extrêmement élevé pendant un moment.” 

Ca s’annonce très tendu. On est proche de la rupture de stock. Pour l’instant, on est encore en capacité de travailler, mais pour combien de temps ?” Avec une conséquence désastreuse : “On risque, par faute de produits anesthésiques, de ne pas reprendre l’activité hors-Covid et hors-urgences, bientôt,” avait alerté Christian Erb, anesthésiste au CHU de Lille,

Véran ne communique plus que sur les masques

Loading video

Les entreprises devront acheter 10 semaines de stocks de masques, confirme Olivier Véran

Fin juilket, la nouvelle contrainte du ministre de la Santé sur les entreprises était d’avoir 10 semaines de stocks de masques pour permettre de « décentraliser » les stocks d’équipements de protection sanitaire face à un éventuel rebond de l’épidémie…

Le gouvernement veut ainsi préparer la France au risque d’une seconde vague de Covid-19… Lors d’une audition par la délégation aux entreprises du Sénat, la secrétaire d’Etat à l’Economie Agnès Pannier-Runacher avait déjà annoncé cette obligation aux les entreprises.

« C’est une consigne qu’il est fondamentale de respecter. Nous l’avons vu : notre pays n’était pas suffisamment doté de masques. Il y avait eu des consignes qui n’étaient pas suffisamment appliquées, sans doute, pas suffisamment claires et qui datent de plusieurs années », s’était-il défaussé sur ‘RTL’.

https://pms.orange.fr/module/embed/2124/sandbox?url=%2F%2Fwww.dailymotion.com%2Fvideo%2Fx7urkt5&format=amp&confIdPm=1553&frm=0f75b9f84bc948db165be71469177f50&maxWidth=500#amp=1

Cette nouvelle décharge de l’Etat sur les entreprises s’intègre au « plan en cas de rebond de l’épidémie, afin d‘éviter à tout prix de revenir à une solution de confinement généralisé », avait précisé le ministre, qui disait également prévoir « une protection des personnes les plus fragiles, une protection dans les Ehpad » et « une politique renforcée de tests ».

Interrogé sur le financement de cette mesure « obligatoire » pour les entreprises, Olivier Véran s’est contenté de rappeler que « les entreprises ont vocation à protéger leurs salariés ». « Il y a un Code du travail et des règles qui existent. Nous les accompagnons depuis le début; nous continuerons à le faire et nous verrons sous quelle forme… », a-t-il conclu.

Fin mai, l’Etat était fier d’annoncer une commande d’1 milliard de masques sanitaires fabriqués en France et désigne quatre nouveaux fabricants,  les entreprises françaises Celluloses de Brocéliande, Bioserenity, Savoy Internation, ajoutés aux quatre producteurs d’origine (Kolmi-Hopen, Valmy, Paul Boyé Technologies et Macopharma), pour la production de masques chirurgicaux et FFP2 en France.

Dans un avis, rendu public mardi 24 mars, l’Académie de médecine observa qu’en 2009, juste avant la pandémie de grippe H1N1, l’Etat avait un stock de 1 milliard de masques chirurgicaux. Un stock presque dix fois plus important que celui disponible aujourd’hui contre le coronavirus.

M. Véran, dites-nous où en est la reconstitution des stocks de médicaments et d’anesthésiants

Entre 2015 et 2019, le volume du stock a en effet été divisé par deux, en quantité comme en valeur. On est ainsi passé en cinq ans de 86 millions d’unités d’antibiotiques à 12 millions, de 141 millions d’unités d’antidotes à 96 millions, et de 303 millions d’antiviraux à 51 millions. Les masques FFP2 ont quasiment disparu tandis que le nombre de masques chirurgicaux est passé de 795 millions à 459 millions.

Les médicaments anti-Alzheimer ne seront plus remboursés

Ces médicaments ne seront plus remboursés à partir du 1er août

Pour justifier la suppression de leur remboursement, ces médicaments contre la maladie d’Alzheimer sont officiellement déclarés insuffisamment efficaces et potentiellement risqués

Un arrêté du ministère de la Santé publié vendredi au Journal officiel fixe la liste des médicaments déremboursés : la mesure concerne quatre médicaments (Aricept, Ebixa, Exelon, Reminyl) et leurs génériques qui traitent les symptômes d’Alzheimer. Ils étaient jusque-là remboursés à hauteur de 15 % par l’Assurance maladie, pour un coût de quelque 90 millions d’euros en 2015.

Agnès Buzyn avait annoncé lundi sa décision, se retranchant derrière la Haute Autorité de santé (HAS) … qu’elle dirigeait avant son entrée au gouvernement.
C’est une autorité « indépendante«  dont le/la président(e) est  nommé(e) par le président de la République…

En octobre 2016, la commission de transparence de la HAS, qui évalue les traitements en vue de leur remboursement, avait jugé que tous ces médicaments avaient « un intérêt médical insuffisant pour justifier leur prise en charge ».

Elle pointait aussi « l’existence d’effets indésirables potentiellement graves ».

Un protocole dévoilé le 25 mai


Devant l’inquiétude d’associations de malades, la ministre de la Santé de l’époque, Marisol Touraine, s’était refusée à suivre cet avis. Elle avait posé comme préalable à un éventuel déremboursement la mise en place d’un « protocole de soins élaboré par les scientifiques en lien avec les associations de patients ».

Ce protocole a été dévoilé le 25 mai par la HAS, via un guide et des fiches pratiques sur la prise en charge des patients souffrant d’Alzheimer et de maladies apparentées. Leur publication a ouvert la voie au déremboursement officialisé vendredi.

« La qualité de vie des patients ne pèse pas très lourd »


Dès lundi, France Alzheimer a jugé cette décision « infondée et dangereuse ». « Il semblerait […] que dans la balance économique, la qualité de vie des personnes malades et de leurs proches ne pèse pas très lourd », a écrit l’association dans un communiqué. « Au-delà de la question de l’efficacité, la prescription des médicaments participait grandement à maintenir un lien thérapeutique entre le médecin et le patient », a-t-elle fait valoir.

Mesure « purement médicale », assure Buzyn

Elle n’est pas motivée par des raisons budgétaires, mais par le fait que ces médicaments sont considérés par la HAS comme « plus nocifs pour les patients que bénéfiques ».

« Tout l’argent qui va être économisé sera intégralement réorienté vers l’accompagnement des personnes atteintes de maladie d’Alzheimer, soit pour les centres mémoire soit pour le secteur médico-social qui les prends en charge, a-t-elle promis sur Europe 1.

Il n’y aura aucune économie faite sur les malades, il va sans dire, mais « ce qui compte c’est que les malades soient bien accompagnés. »

La vie en Ehpad est un rêve devenu réalité.

Randonnée Ski Découverte de Martigues

Marcher est dans notre Nature

PaSiDupes

Blog satirique et indépendant d'actualité politique française et d'opinion