Seine-Saint-Denis: expulsion d’un squat opposé à la  rénovation d’un quartier

La gentrification qui supprime des subventions est combattue par la gauche

Les occupants du squat ont refusé de quitter les lieux et déployé un drapeau arc-en-ciel sur le toit. 

Près d’une centaine de membres des forces de l’ordre a été mobilisée pour l’opération de libération des lieux qui a débutée à 7 heures.

Un immeuble illégalement occupé, rue de la République (ironie du sort), par un collectif se définissant comme féministe, anarchiste et LGBT+ et opposé à la gentrification de la ville de Montreuil (Seine-Saint-Denis) a été vidé de ses occupants mardi matin, a déclaré le préfet du département.

« En exécution d’une décision de justice, l’évacuation du squat dit ‘de la Baudrière’ à Montreuil, dont Patrice Bessac est le maire PCF, a eu lieu ce (mardi) matin. Face à la détermination des parasites à se maintenir dans les lieux par la force, d’importants moyens ont été mobilisés », a précisé le préfet de la Seine-Saint-Denis, Jacques Witkowski, dans un communiqué. Pour  » près d’une cinquantaine de personnes qui était à l’intérieur », selon une source policière, il aura fallu une centaine de policiers pour exécuter la décision de justice.

Les anars font de la résistance

Les anti-républicains « anarcha-féministe transpédégouine » affichent leur inadaptation au monde

L’opération « était complexe parce que les occupants ont voulu ralentir l’intervention des forces de l’ordre en se barricadant, en allant sur le toit et en mettant des obstacles mais il n’y a pas eu de grosses violences », a indiqué cette source. D’après un bilan provisoire de la préfecture, une vingtaine de réfractaires anti-républicains a été interpellée. Pour un rappel à la loi ?

« Les évacuations sont terminées et la sécurisation du site est en cours », écrit Jacques Witkowski, expliquant mener « une politique volontariste de résorption des occupations illicites de biens privés dans le département ».

« Squatter, c’est une manière de lutter contre la propriété privée, qui produit précarité, mal-logement, isolement et ravage écologique », écrivent les asociaux du squat sur leur site internet, décrivant la Baudrière comme « un squat anarcha-féministe transpédégouine qui a ouvert en novembre …2021 à Montreuil ». D’après eux, « le projet immobilier prévu à la place de la Baudrière s’inscrit parfaitement dans le processus de gentrification à l’oeuvre à Montreuil: une résidence privée, des appartements luxueux accompagnés de commerces hors de prix ».

Un monde parallèle

Alors que, le 2 juin 2023, l’adjoint à la mairie de Montreuil, Luc Di Gallo, a été victime d’un guet-apens homophobe via une application spécifique dénoncée par Nathan Kuentz, président de l’association Mousse (association loi 1901 d’intérêt général créée en 2000 par des étudiants de Science Po Paris : Marc Fesneau est diplômé de Sciences Po en 2003), qui lutte au quotidien contre les violences anti-LGBTQIA+, une manifestation est prévue mardi soir dans le centre-ville de Montreuil en soutien au squat.

LIEN PaSiDupes : opposants à la gentrification du Cours Julien et de Noailles, à Marseille. Par ailleurs dans le quartier du Panier, la gentrification était un argument de contestation de l’opposition de mauvaise foi : « Dans le quartier du Panier, les habitants se sentent abandonnés par la municipalité », écrivait, le 27 janvier 2020, France info qui titrait même: « On a laissé pourrir les habitations pauvres »…

Parvis de la gare de …Saint-Ouen:

Macronisme : des mal-logés plus nombreux, vulnérables, pas assez aidés…

A quoi servent Droit au Logement (DAL) et Jean-Baptiste Eyraud ?

Hôtel de Castries
(ancien hôtel de Broglie), actuellement ministère chargé des relations avec le parlement,
qui héberge celui du Logement (246, boulevard Saint Germain, 75007 Paris)

Manuel Domergue, directeur des études de la Fondation Abbé Pierre, est revenu dans « Apolline Matin », ce mercredi sur RMC et RMC Story, sur le nouveau rapport de son entité concernant le mal-logement des personnes défavorisées, ô surprise ! (mais les Français aiment avoir les points sur les « i ») en France, avec des conclusions inquiétantes. Il tacle le manque, voire l’inexistance, de réponses politiques à ce sujet.

La pauvreté n’en finit pas de grimper en France. Le rapport annuel de la Fondation Abbé Pierre sur l’état du mal-logement a été publié mardi 31 janvier, avec de nombreux enseignements inquiétants.

Le nombre de personnes sans domicile a plus que doublé en dix ans de socialisme. La Fondation Abbé Pierre évalue à 330.000 personnes le nombre de sans-abri dans le pays. Les personnes sans domicile fixe (SDF), en hébergement d’urgence ou en centre pour demandeurs d’asile ont été comptabilisées pour atteindre ce chiffre qui augmente de près de 130% depuis 2012.

Il y a également 4,15 millions de personnes « mal-logées » en France. Ce chiffre est obtenu en comptabilisant les personnes en hébergement contraint chez des tiers -y compris leur famille, pour les plus de 25 ans-, ainsi que celles vivant dans un lieu beaucoup trop petit ou privé du confort de base (cuisine, toilettes, chauffage…).

« Ce qui nous alerte, c’est qu’on a l’impression que le gouvernement ne prend pas la mesure du problème », explique sur RMC ce mercredi matin Manuel Domergue, directeur des études de la Fondation.

Il n’y a rien dans le programme de Macron

Ce qui inquiète d’autant plus la Fondation, c’est que, selon Manuel Domergue, il n’y a pas de réponse politique qui pourrait pallier les manquements énumérés par ce constat.

« Pendant sa campagne présidentielle, Emmanuel Macron n’a quasiment jamais parlé de logement. Il n’y a rien dans son programme. Le ministre du Logement, Olivier Klein, a une page blanche comme feuille de route », tacle-t-il. Avant lui, deux ministres étaient en charge, un de trop, Emmanuelle Wargon (Logement, après l’écologiste Emmanuelle Cosse) et
Nadia Hai (Ville, après …Julien Denormandie) : l’une et l’autre ont donc « regardé », au sens littéral, le dossier « sur la table ».

La première a été nommée pour six ans, à la tête de la Commission de régulation de l’énergie (CRE) par décret présidentiel en août 2022, et la seconde, a démissionné quand elle a été élue à l’Assemblée. Denormandie qui a préféré aller pantoufler à la tête d’un fonds d’investissement français, le cabinet Raise, « dédié » tous azimuts notamment aux crèches d’entreprise, en passant par la fabrication de vêtement, mais aussi bien le consulting, l’intelligence économique, la cybersécurité, que l’éducation ou encore …l’immobilier. Raise a invedti au capital du specialiste des …bornes de recharge électrique WAAT.

Bilan du premier quinquennat Macron, « l’écart a rarement semblé aussi grand entre, d’un côté, l’état du mal-logement (…) et, d’un autre côté, l’insuffisance des réponses publiques pour rendre le logement abordable », écrit la Fondation dans son rapport.

L’inquiétante situation des femmes mal-logées 

Des actions insuffisantes et même des actions négatives selon la fondation: reprise forte des expulsions locatives, record d’expulsions de bidonvilles sans solutions derrière, proposition de loi anti-squat… Depuis le précédent quinquennat ? L’énumération de Manuel Domergue n’incite pas à l’optimisme, d’autant que le rapport de la Fondation Abbé Pierre insiste également sur le fait que les femmes sont de plus en plus exposées au mal-logement.

« Elles sont touchées à des moments-clés de leur vie où la trajectoire des hommes et femmes est différente. Notamment en cas de séparation conjugale. C’est très dur pour les femmes, notamment quand elles ont dû s’arrêter de travailler pour élever des enfants. Au moment de la séparation, elles n’ont pas capitalisé là-dessus. Et, souvent, la femme perd tout », note-t-il.

Un autre paramètre est retrouvé également très fréquemment chez les femmes mal-logées: la violence. « C’est un élément-clé dans tout leur parcours de vie, qu’on retrouve souvent dans les personnes à la rue et dans les hébergements d’urgence. A un moment où un autre, très souvent, il y a des violences », confirme Manuel Domergue.

Les 5 chiffres alarmants de la Fondation Abbé Pierre en 2023

Un service pour venir en aide aux sans domicile fixe
En 2022, le nombre de mal-logés en France a augmenté.

Selon les chiffres du 38e rapport de la fondation sur le mal-logement, les mal-logés sont plus nombreux et plus fragilisés en 2022 qu’en 2012 après dix ans de socialisme et une pression migratoire croissante et continue et des accueils contraints sans capacités réelles.

« D’ici à la fin de l’année, je ne veux plus personne dans les rues » : ce voeu, c’est Macron qui l’a émis inconsiderément en 2017. Fraîchement élu à la tête de l’Etat, il avait indiqué que « la première bataille [était de] loger tout le monde dignement ».

Ce mercredi 1er février 2023, à l’issue d’un conseil des ministres, le porte-parole du gouvernement Olivier Véran est revenu sur la question, assurant que « 203.000 logements d’urgence étaient accessibles hier dans notre pays ». Un « record », a-t-il commenté devant la presse.

« La politique gouvernementale contre le sans-abrisme n’a jamais atteint ce niveau-là dans l’Histoire de notre pays. » (Olivier Véran, porte-parole du gouvernement)

Le constat de la Fondation Abbé Pierre fait état d’un nombre croissant de victimes de la politique molle de l’ex-banquier, sur fond de pénuries multiples, par négligence ou choix politiques désastreux, une inflation qui n’avait rien de fatal, mais qui a amputé le pouvoir d’achat du plus grand nombre confronté aux restrictions et privations.

Une personne sur cinq en situation de pauvreté

L’année 2022 a vu le nombre de Français en situation de précarité s’accroitre encore.

En toile de fond d’abord : la hausse des prix à la consommation. Selon les dernières statistiques de l’Insee, les prix à la consommation ont évolué de +6 % en un an, sur la période de janvier. En décembre 2022, cette hausse était de 5,9 % sur un an. La macronie passe sous silence l’effet cumulé de ces hausses.

Deuxième facteur : la crise énergétique à la suite de la guerre en Ukraine, selon Christophe Robert, le délégué général de la Fondation, bien qu’elle soit celle de Joe Biden et non la nôtre. Mais Macron s’est aligné sur la diplomatie américaine hostile à la Russie et nous a exposés aux représailles russes au boycottage et aux envois d’armes, y compris offensives.

C’est quoi une personne pauvre, si le taux de chômage est vraiment au plus bas ?

« Un individu (ou un ménage) est considéré comme pauvre lorsqu’il vit dans un ménage dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté. En France et en Europe, le seuil est le plus souvent fixé à 60 % du niveau de vie médian », explique l’INSEE sur son site internet.

Selon Christophe Robert, le taux de pauvreté concerne aujourd’hui entre 14 et 15 % de la population française, « soit environ 10 millions de personnes dans le pays ». Mais ce nombre pourrait être sous-estimé, car selon le rapport, 1,6 million de personnes concernées échappent aux statistiques de l’Insee.

« On compterait donc, non pas 8 ou 9, mais 10,5 millions de personnes pauvres en France », indique le rapport de la Fondation Abbé Pierre. « On est plutôt face à 21 % de Français concernés par la privation et la pauvreté, soit une personne sur cinq ! », s’alarme Christophe Robert.

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330.000 personnes sans domicile fixe

Là aussi, un chiffre en hausse, dont BFM va devoir parler. En 2022, parmi les presque 1,1 million de personnes privées de logement personnel, le nombre de sans domicile fixe (SDF) dépasse les 330 000. Soit une explosion de 130 % en 10 ans.

Ces personnes sans abri sont celles « en habitation de fortune, en hébergement collectif, à l’hôtel, en CADA [centre d’accueil de demandeurs d’asile, NDLR.] ou hébergés dans un logement associatif », au sens de l’Insee, souligne le rapport de la Fondation Abbé Pierre.

En 2017, 100 000 personnes étaient dans des habitations de fortune, et en 2013, 25 000 vivaient à l’hôtel par leurs propres moyens.

4,1 millions de personnes mal logées

Outre le nombre croissant de sans-abri, le rapport estime que plus de 4,1 millions de personnes sont mal logées ou souffrent d’une « absence de logement » (sic) en France en 2022.

Sont concernées donc, les personnes n’ayant pas de logement personnel, vivant dans un espace trop restreint ou étant dépourvu d’équipements de base (comme une cuisine, un chauffage ou des toilettes).

La quasi totalité des logements a l’eau courante

« Seul indicateur encourageant » selon la Fondation Abbé Pierre : l’amélioration du confort sanitaire de base concernant l’accès à l’eau courante. « 99 % des logements disposent désormais d’eau courante, WC intérieurs et chauffage », peut-on lire ainsi dans le rapport 2023.

« Autour de ce noyau dur du mal-logement […] se dessine un halo beaucoup plus large, aux contours parfois flous, de personnes affectées par la crise du logement », note encore la Fondation Abbé Pierre.

Par exemple, près de 4,3 millions de Français modestes vivent en situation de surpeuplement dit « modéré ». Il s’agit des foyers pour qui il manque une pièce par rapport à la norme d’occupation.

Les Français sont 44 % de plus à se priver de chauffage avec l’inflation

C’est l’enjeu pointé du doigt par le rapport. Alors que le logement reste, depuis plusieurs années, le premier poste de dépense des ménages (27,8 % en 2021, contre 20 % en 1990, précise Christophe Robert), l’inflation, elle, continue de grimper.

Pour certains Français les plus modestes, cela implique donc de faire des choix dans leur budget mensuel. « D’autant que 27,8 %, c’est une moyenne. Pour des personnes, c’est beaucoup plus, 40 %, 50 %… »‘, souffle le délégué général de la fondation.

Or, la hausse des prix du gaz et de l’électricité – due à la casse du nucléaire et au bellicisme de Macron – a poussé de nombreux foyers à baisser, voire éteindre leur chauffage pour faire des économies. Ainsi, les Français sont 44 % de plus à se priver de chauffage à cause de son coût et 42 % de plus « à subir un effort financier excessif pour payer son logement ».

Résultat, le nombre de personnes modestes ayant eu froid à leur domicile pour des raisons liées à la précarité s’est accru de 25 % entre 2006 et 2013. (28e rapport de la Fondation Abbé Pierre)

Si Christophe Robert reconnaît que les boucliers tarifaires ont « atténué » la hausse des prix de l’énergie pour les Français, il déplore une mesure « inégalitaire » selon les foyers. « Quand on bloque les prix, les plus aisés peuvent toujours s’en sortir. Mais avec la relève du bouclier tarifaire à 15 % [pour le gaz et l’électricité], ça reste une énorme dépense pour ceux dont les revenus sont les plus faibles », poursuit-il.

Il réclame, au nom de la fondation, des mesures « plus ciblées » comme « l’augmentation et l’élargissement du chèque énergie ».

Les femmes plus souvent en situation de précarité

Autre inégalité mentionnée par la Fondation Abbé Pierre : la précarité plus importante pour les personnes LGBTQ+ (singulièrement parmi les réfugiés, clandestins ou non), mais aussi chez les femmes par rapport aux hommes.

Au total, 40 % des femmes célibataires avec un enfant (notamment en situation de polygamie ?) sont « fragilisées par rapport au logement », un taux qui grimpe à 59 % s’il s’agit d’une mère célibataire avec trois enfants et plus à charge.

Pour expliquer cette différence, le rapport pointe notamment l’inégalité des ressources financières, en particulier pour les mères célibataires, qui sont par ailleurs « bien plus pénalisées par l’arrivée d’un ou plusieurs enfants ».

Les familles monoparentales (et polygames ?), constituées à 83 % de femmes seules avec enfants, sont surreprésentées parmi les familles en difficulté économique : plus du tiers d’entre elles (36 %) vit sous le seuil de pauvreté. (28e rapport de la Fondation Abbé Pierre)

Autre explication : les violences conjugales, qui concernent majoritairement les femmes. Elles sont environ 210 000 à les subir chaque année et 17 % ont besoin d’un hébergement pour ne plus vivre avec leur conjoint violent, selon l’Insee.

D’après la Fédération Nationale Solidarité Femmes (FNSF), 80 % des femmes victimes de violence sont hébergées dans des dispositifs qui ne sont pas adaptés à leur situation et près de 40 % des femmes victimes de violences en demande d’hébergement seraient sans solution (30 % des femmes avec enfants et la moitié des femmes sans enfants). (28e rapport de la Fondation Abbé Pierre)

« Les violences conjugales sont un facteur hyper dominant dans le parcours de vie des femmes concernées par la perte de logement », note Christophe Robert, sans mettre en cause les flux migratoires. Avec des répercussions à court et long terme : ainsi, un tiers des femmes SDF auraient subi des violences avant leurs 18 ans.

Logements sociaux: 34 communes des Bouches-du-Rhône peinent face à la loi SRU

25% des résidences principales, n’est-ce pas excessif ? Un Français sur quatre est-il mal-logé ?

Bon bout d’an et à dans trois ans. 34 communes des Bouches-du-Rhône terminent l’année avec une pénalité de la préfecture car elles n’ont pas rempli leurs objectifs de rattrapage de leur retard en termes de logements sociaux. Les arrêtés ont été signés le 22 décembre et publiés le 25, remarque La Marseillaise.

Actuellement, la loi SRU (Solidarité et Renouvellement Urbain) oblige les communes de plus de 3.500 habitants (1.500 en Ile-de-France) à disposer, d’ici à 2020 ou 2025, d’un nombre minimum de logements locatifs sociaux de 20 ou 25 % du total des résidences principales.

Plusieurs communes n’ont pas atteint les 25% de logements sociaux en 2025 comme l’impose la loi adoptée sous le gouvernement socialiste de Lionel Jospin, et portée par son ministre communiste de l’équipement et du Logement Jean-Claude Gayssot. Des objectifs de constructions avaient été fixés sur la période 2017-2019 pour que les villes loin du seuil réglementaire puissent combler leur retard de manière progressive.

Eyguières et Ceyreste devaient par exemple construire 215 et 152 logements sociaux sur cette période. Elles en ont réalisé respectivement un et zéro. Le préfet leur applique donc une amende majorée à 400%.

LA LISTE DES COMMUNES MISES A L’AMENDE

Lambesc, Rognac, Cabriès, Eyragues, Jouques, Allauch, Barbentane, Bouc-Bel-Air, Carry-le-Rouet, Ceyreste, Eguilles, Ensuès-la-Redonne, Eyguières, Fuveau, Gémenos, Gignac-la-Nerthe, Lançon-de-Provence, Les Pennes-Mirabeau, Mallemort, Meyrargues, Mimet, Pelissanne, Peypin, Plan-de-Cuques, Rognes, Rognonas, Roquefort-la-Bédoule, Saint-Mitre-les-Remparts, Sausset-les-Pins, Simiane-Collongue, Saint-Chamas, Trets, Velaux, Venelles. Source : La Marseillaise

La Ville de Marseille de Jean-Claude Gaudin s’est-elle endettée pour entrer dans les clous? Elle n’est pas au nombre des mauvais élèves…