En France, on se traite de facho à la télévision: au secours, le CSA !

Yassine Belattar injurie Eric Naulleau impunément à plusieurs reprises

Le terrorisme s’invite à la télé

De même que la racaille exige des habitants une pièce d’identité à Nantes, Rennes ou Carpentras, un animateur de radio (détenue par le Crédit mutuel)-télé, protégé de Pascale Clark (Arrêt sur images avec Daniel Schneidermann sur France 5), puis de Pierre Lescure sur Canal+ (septembre 2007-juin 2008),  Yacine Belatt8ar, né en France de parents franco-marocains, s’est attaqué à Eric Naulleau.

Invité de « Touche pas à mon poste » en direct sur C8, Yacine Belattar a commencé par proférer des menaces contre ceux qui soutiennent Eric Zemmour ou le Rassemblement National en espérant que « ces gens paieront un jour ».

Belattar milite-t-il pour une cohabitation harmonieuse ?

L’islamo-gauchiste a continué sur sa lancée en traitant Eric Naulleau de « facho« . Face à la passivité de Cyril Hanouna, l’éditeur, essayiste, traducteur, critique littéraire, chroniqueur sportif, animateur de radio et de télévision français a dû se faire respecter et lever pour laver son honneur d’homme à homme, tandis que Cyril Hanouna comptait les points d’audience.

Il a fallu l’intervention d’un membre de la sécurité pour rétablir l’ordre et protéger le fauteur de troubles.

Des menaces qui avaient fait bondir également Jordan Bardella, le Président du Rassemblement National présent sur le plateau qui estima que « c’est avec ce type de menaces et de fatwa » que quelqu’un comme Samuel Paty avait été décapité.

« Mâles blancs » intimidés par des harpies de couleur dans les quartiers et sur les plateaux de télé, comme à l’université

En France, à la suite des USA,

Jeudi dernier, deux étudiantes de l’université Arizona State University aux Etats-Unis ont posté sur leurs comptes Instagram une vidéo devenue virale. Filmée par l’une des deux jeunes femmes, la vidéo montre les étudiantes sommant deux de leurs camarades blancs de quitter la bibliothèque universitaire où ils étudiaient, car elles jugeaient leur présence « offensante ». Alors qu’ils étaient en train d’étudier dans une des bibliothèques universitaires du campus, ils ont été vertement sermonnés par deux jeunes militantes noires de Black Lives Matter. Un autocollant figurant sur l’ordinateur de l’un des deux étudiants comportait l’inscription « Police Lives Matter »… Une opinion censurée – en milieu universitaire – par des anti-racistes racisées: retour des milices.

En 1989, pour avoir proposé des gants de boxe aux débatteurs, ses invités Bernard Tapie et Jean-Marie le Pen, le journaliste du service public, Paul Amar, avait été viré.

Bellatar peut en revanche sévir depuis quelque 15 ans. Macron a-t-il donné son maximum le 29 septembre 2021 en faisant prononcer la dissolution de la Ligue de défense noire africaine (LDNA) qui « diffuse une idéologie appelant à la haine, à la discrimination et à la violence en raison de l’origine, de l’orientation sexuelle ». 

Life matters to both police officers and black citizens.

Dissolution de la LDNA: les ligueurs sont racistes, haineux et dangereux

La décision gouvernementale a scandaleusement tardé

Macron a toléré une milice haineuse de la France et menaçante depuis 2018

Selon le décret de dissolution, la LDNA « diffuse une idéologie appelant à la haine, à la discrimination et à la violence en raison de l’origine, de l’orientation sexuelle ». Selon le ministère de l’Intérieur, « ses actions » ont causé des « troubles à l’ordre public ».

Macron a-t-il encouragé les propos et le développement de la LDNA ?

Gérald Darmanin l’avait demandé, le 13 septembre. Deux semaines plus tard, la Ligue de défense noire africaine (LDNA), qualifiée d’organisation « raciste » par le ministre de l’intérieur après des tensions à Val-de-Reuil (Eure), a été dissoute en conseil des ministres, a annoncé sur Twitter M. Darmanin mercredi 29 septembre.

Selon le décret de dissolution, la LDNA « diffuse une idéologie appelant à la haine, à la discrimination et à la violence en raison de l’origine, de l’orientation sexuelle » et est « impliquée de manière récurrente dans l’organisation d’actions coup-de-poing isolées ou à l’occasion de manifestations commettant ou appelant à commettre des agissements violents ».

La LDNA se définit sur les réseaux sociaux comme un « mouvement révolutionnaire pour la défense des droits des Afrodescendants et des Africains ». Près de 300 000 personnes sont abonnées à sa page Facebook. Son président et fondateur se présente sur son compte Twitter comme un « activiste politique, résistant panafricain, combattant de la liberté, révolutionnaire ». Plusieurs politiques, dont des membres du Rassemblement national, demandaient la dissolution de l’association, notamment depuis une manifestation organisée contre les violences policières le 6 juin 2020 devant l’ambassade des Etats-Unis.

« Défendre la République »

Manifestation de la Ligue de défense noire africaine contre les violences policières à proximité de la place de la Concorde et de l’ambassade des Etats-Unis, le 6 juin 2020.
Manifestation de la Ligue de défense noire africaine contre les violences policières à proximité de la place de la Concorde et de l’ambassade des Etats-Unis, le 6 juin 2020. 

Selon le ministre de l’intérieur, « ses actions » ont causé des « troubles à l’ordre public » comme à Val-de-Reuil, où l’organisation avait appelé à manifester contre le maire socialiste de la ville, Marc-Antoine Jamet, après une semaine de tensions, ayant pour origine une rixe entre deux enfants le 5 septembre.

Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a qualifié cette dissolution de « mesure forte », en disant à l’issue du conseil des ministres : « Notre main ne tremble pas quand il s’agit de défendre la République face à ceux qui croient pouvoir la faire plier. » Il a reproché à l’association d’avoir « tenté d’envahir la mairie de Val-de-Reuil ».

La LDNA n’a pas daigné faire de commentaires. Elle travaille déjà à sa transformation.

La maison d’édition Nawa dissoute

Par ailleurs, la maison d’édition Nawa Centre d’études orientales et de traduction, sise en Ariège, a été également dissoute en conseil des ministres, en raison notamment de la diffusion de « plusieurs ouvrages légitimant le djihad », selon le ministère de l’intérieur, pour qui « sa ligne éditoriale est clairement anti-universaliste et en contestation directe des valeurs occidentales ».

G. Attal lui a reproché d’avoir fait « l’apologie du djihad »« sous le prétexte de la traduction ». L’association, qui est une « maison d’édition associative », a-t-on détaillé de source ministérielle, avait été déclarée à la sous-préfecture de Pamiers en 2008. Elle se présente sur son site Internet comme une maison d’édition ayant « la volonté de valoriser les sciences humaines et politiques issues de l’héritage musulman ». Dans un communiqué diffusé le 20 septembre sur Twitter, Nawa estime que les accusations « reposent quasi exclusivement sur d’hypothétiques délits d’opinion, de croyance » et qu’« elles entravent la liberté d’expression et d’édition, qui en aucun cas n’ont troublé l’ordre public à ce jour ».

Depuis plus de dix ans, les ouvrages de Nawa, « quelle que soit la critique que l’on peut en faire, ne justifient en aucun cas le terrorisme, la haine, l’antisémitisme », a assuré l’association.

« Ligue de Défense noire africaine »: procédure lancée de dissolution

Gérald Darmanin se décide à dissoudre cette milice victimaire

La Ligue de Défense Noire Africaine (LDNA) s’est distinguée par des offensives violentes

Gérald Darmanin a demandé la dissolution de la Ligue de Défense Noire Africaine (LDNA), a annoncé le ministre de l’Intérieur.

«Les discours de cette structure raciste appellent à la haine et à la discrimination. Ses actions causent des troubles à l’ordre public, comme ce week-end à Val-de-Rueil», s’est justifié le membre du gouvernement sur le réseau social Twitter.

Il réagit ainsi aux violences physiques et matérielles contre des symboles républicains intervenus samedi, dans cette ville de l’Eure, dans le canton des Andelys.

Or, ce canton et ce département sont ceux de Sébastien Lecornu, lequel y a été président du Conseil départemental, avant de devenir ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, et actuellement ministre des… Outre-Mer, ce qui a, semble-t-il, échappé aux journalistes partisans de gauche ou serviles (Patrick Cohen, Jean-Michel Aphatie, Thomas Legrand, Benjamin Duhamel, Nicolas Demorand, Bruce Toussaint, Laurent Neumann et Thomas Sotto ou Léa Salamé et Natacha Polony), dont leurs chaînes nous assurent de leurs « éclairages » !

Une cinquantaine d’extrémistes décoloniaux anti-Blanc, voire une centaine, selon les sources et d’une semaine à l’autre, ont fait intrusion par la force dans la mairie, dont ces machos noirs ont fracassé une porte pour s’en prendre au maire, ainsi qu’à une femme, une de ses adjointes, qu’ils ont bousculée. Des activistes anti-racistes racisés qui étaient venus manifester à l’appel de la Ligue de Défense Noire Africaine.

Or, ce n’est pas la première fois que le mouvement exerce des intimidations et des violences. Ces derniers mois, il a notamment été à l’initiative de plusieurs manifestations panafricaines, à chaque fois interdites par les autorités, pour dénoncer une soi-disant « négrophobie » ou appeler à «l’émancipation de l’Afrique» (en France ?).

Des poursuites pour viol ont également conduit à la condamnation (à 7 ans en 2014 -> 2021 ?) de son président.

Dernièrement, alors que la procédure de dissolution de Génération identitaire était lancée, David Rachline, le maire RN de Fréjus (Var) avait interpellé Gérald Darmanin au sujet de la Ligue de Défense Noire Africaine.

En janvier 2021, Rachline avait placé Gérald Darmanin devant ses responsabilités, soulignant que le ministre « veut la dissolution de #GenerationIdentitaire ! Et la LDNA (Ligue de défense noire africaine) qui qualifiait il y a peu les militaires Français morts au Mali de’’terroristes’’ vous comptez la dissoudre ? Ou bien vous faites juste de la communication politique ? », avait tweeté le maire ré-élu de Fréjus.

Il aura fallu neuf mois et une nouvelle demande de dissolution réclamée par Julien Odoul, autre membre du Rassemblement national, ce matin sur CNews, pour que Macron pousse Darmanin à l’action.

Le leader de la LDNA tente de brûler le drapeau tricolore devant l’ambassade de France au Mali

Les ligueurs testent jusqu’où ils peuvent aller trop loin

Le suprémaciste Sylvain Afoua a estimé qu’il en a le droit parce qu’il est « français », avant que la police malienne n’intervienne.

Pour Egountchi Behanzin, l’Etat français est « totalitaire, terroriste, esclavagiste, colonialiste ».

Nouvelle provocation de la part de Sylvain Afoua, ci-dessus, qui préfère qu’on l’appelle Egountchi Behanzin et dit lutter contre la “négrophobie“, leader de la LDNA (Ligue de défense noire africaine), a été filmé au Mali devant l’ambassade de France. On y voit le suprémaciste aux côtés d’une autre personne au t-shirt rouge, en train d’essayer de brûler le drapeau français. Essayer, parce qu’après s’être assuré qu’un troisième homme filmait bien la scène, Sylvain Afoua  (ou « Gucci IG », son nom de rappeur raté) tente pendant de longues secondes, et sans réussite, d’allumer un briquet et de mettre le feu à l’étendard.


Il est ensuite rejoint par des militaires maliens qui viennent s’enquérir de la situation. Visiblement agacé, le leader de la LDNA qui dit lutter contre la négrophobie, rappelle qu’il fait ce qu’il veut parce qu’il est « français »« J’ai le droit d’être là. Nous sommes là, la France opprime le peuple africain », s’emporte-t-il. Ce après quoi, la vidéo se coupe.

Intrusion dans les locaux de Valeurs actuelles

Il faut dire que l’homme n’en est pas à son coup d’essai. Dans le portrait qui lui était consacré au mois de juin, Valeurs actuelles rappelait ses nombreux coups d’éclats racistes contre la France. Il avait notamment déclaré que « la France est un Etat totalitaire, terroriste, esclavagiste et colonialiste ». En 2014, il avait été condamné à sept ans de prison pour « viol sur une personne vulnérable » (il dit aimer les culs de blanches), et en 2019, à six mois de prison pour « acte d’intimidation envers un élu public »: il s’en était pris à Patrick Balkany.

Né Togolais, le commandant des paramilitaires de LDNA est un prédateur sexuel: https://twitter.com/SJallamion/status/1269311097871446016?s=19

Plus récemment, à la suite de l’affaire Daniele Obono, la LDNA et son leader s’étaient introduits dans les locaux de Valeurs Actuelles pour dénoncer « l’incitation à la haine anti-noirs ». Ils avaient appelé à revenir. Si lui est suivi par plus de 27.000 personnes sur Facebook, son groupe la LDNA compterait 135.000 abonnés sur le réseau social.

Dès 2018, le site Conspiracy Watch place sur « liste noire » LDNA pour divers propos antisémites et complotistes.