Bizutage à caractère sexuel dans un palace à Biarritz : la victime présumée dément

Le procureur et les dénonciateurs en sont quittes pour leur emballement sous la pression d’associations

Sud-Ouest, dont le capital est détenu à 80 % par la famille Lemoîne, s’est-il refait la cerise sans contrôle de ses sources ?

Une enquête préliminaire pour agression sexuelle et violences a été ouverte jeudi 28 décembre par le Parquet de Bayonne, qui s’est saisi de l’affaire : aucune plainte n’a été déposée.

« Une petite blague entre amis. » La victime présumée, un commis de cuisine sur le départ de l’Hôtel du Palais sous les ordres du chef Aurélien Largeau, à Biarritz, dément toute agression, dans un article paru vendredi 29 décembre : « Ce qui se passe actuellement ne reflète en rien ce qui a pu se passer, (…) je ne me suis pas fait licencier, j’ai décidé de partir pour un [autre] cursus. » Sur Instagram, la victime présumée écrit : « Une carotte dans les fesses ? Vraiment ? Violence ? Agression ? Tout ceci n’est que mensonge. »

Le journal Sud-Ouest avait pointé du doigt des faits [avérés ??] qui se seraient déroulés le 2 décembre en cuisine. Durant plusieurs heures [sic], le jeune commis y aurait été attaché nu à une chaise, une pomme dans la bouche et une carotte dans les fesses, devant des membres de la brigade et en présence du chef Aurélien Largeau. Le quotidien régional parle de « bizutage humiliant ». Un jugement moral, au-delà de soi-disant faits. Assis et une carotte dans les fesses, c’est humiliant et forcément malaisant.

Un bizutage de départ ? Une enquête préliminaire pour agression sexuelle et violences a été diligentée jeudi par le Parquet de Bayonne, qui s’est saisi de l’affaire. Aucune plainte n’a en effet été déposée et si le procureur a fait preuve d’un zèle inspiré par la peur du tribunal médiatique, le quotidien local a vigoureusement buzzé zvec grand plaisir: ses finances n’étaient pas au mieux rendant nécessaires plusieurs fournées de licenciements depuis 2012.

Le chef Aurélien Largeau « dément formellement ces accusations »

« Les faits rapportés ne reflètent en rien la réalité, » affirme le chef limogé qui se dit « dévasté par les atteintes portées » à son image et à son honneur. Sur Instagram, il a déclaré à France Bleu Pays basque qu’il « dément formellement ces accusations ». « Je condamne toute forme de maltraitance, bizutage ou humiliation au sein des brigades (…) et jamais je ne m’associerai à de tels comportements », ajoute-t-il.

Interrogée jeudi sur l’affaire, la direction du groupe Hyatt, qui exploite l’hôtel cinq étoiles, a répondu à la presse qu’elle est informée d’un « incident préoccupant qui a eu lieu dans les locaux de l’hôtel et d’images ayant circulé » sur les réseaux sociaux. « Une investigation a été menée et les décisions adéquates ont été prises », a-t-elle jugé.

Le départ du chef de 31 ans, qui avait décroché une étoile au guide Michelin en 2022, a eu lieu le 21 décembre selon Sud-Ouest. Le commis est parti quant à lui travailler dans un hôtel parisien, « de son plein gré ,» selon ses déclarations à France Bleu.

Sud-Ouest a donc fait un mauvais usage de la liberté de la presse et du secret des sources mais, comme les juges, les journalistes jouissent du privilège archaïque de ne pas avoir à rendre compte de leurs bavures. Peuvent-ils, à l’instar des politiques, déclarer « j’assume » et être quittes ?

Dans la version de Loopsider, qui ne fait pas les choses à moitié, la carotte aurait été plantée dans l’anus : lien TikTok

Sur une chaîne d’information en continu, une représentante d’association pour le moins radicale évoqua même une… banane. Quand la presse libère la parole sacrée de militantes féministes vertueuses, mais sans limites, les outrages prennent de redoutables proportions…

Quant au chef étoilé, il est licencié par la rumeur, mais le tribunal médiatique n’a pas à réparer ses dégâts aux personnes.

Affaire Guillaume Meurice: un droit à l’antisémitisme des syndicalistes de Sud

La liberté d’expression n’est pas un casse-tête pour l’Arcom, soumise à l’extrême gauche révolutionnaire

L’antisémitisme est un sujet de « blagues« , selon l’AFP
et le groupe Les Echos-Le Parisien de Bernard Arnault, qui avait expliqué dès 2017 combien le programme de Macron lui paraissait « éminemment souhaitable »

Pourquoi Guillaume Meurice est-il toujours à Radio France? La direction des chaînes de service public avait peu d’options de sanctions, l’humoriste bénéficiant du statut de …«salarié protégé».

«Si j’attaquais mon employeur, je ne suis pas sûr que l’on me laisserait à l’antenne», confie un salarié d’un groupe audiovisuel privé. «Dans n’importe quelle entreprise, cette situation serait intenable», souligne un autre. Depuis la diffusion de son sketch, le 29 octobre dernier, qualifiant le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, de «Nazi sans prépuce», Radio France a reçu des centaines de messages d’indignation en provenance des auditeurs pourtant blasés par les attaques tous azimuths de France inter, chaîne militant à l’extrême gauche, par le biais notamment de chroniqueurs classés humoristes et protégés par ce viatique sacré de la liberté d’expression en démocratie.

France inter, victime consentante de l’« humour vache » de ses humoristes et protectrice de son agresseur tout azimuth

Sibyle Veil, la présidente de la Maison de la Radio, a tenté de raisonner son protégé pour qu’il reconnaisse une erreur d’appréciation, compte tenu du contexte de tensions extrêmes sur toutes les questions ayant trait au conflit entre Israël et le Hamas. Hors tensions extrêmes, l’erreur, si ce n’était que çà, était en soi suffisamment répréhensible, avec ou sans prépuce, en tant qu’accusation de nazisme, la Shoah étant un génocide historique de Juifs par les Nazis. Guillaume Meurice ayant refusé, il a écopé d’un simple… avertissement qu’il a même décidé de contester en justice. La pédégère de Radio France est l’épouse de Sébastien Veil, petit-fils de Simone Veil, laquelle fut déportée à Auschwitz à l’âge de 16 ans, durant la Shoah, où  son père, son frère et sa mère furent exterminés. 

L’Arcom saisie pour des propos de Guillaume Meurice et Caroline Fourest

Le régulateur de l’audiovisuel va instruire deux dossiers concernant deux séquences impliquant l’humoriste sur France Inter d’une part, l’essayiste sur BFMTV d’autre part. Ils sont accusés respectivement d’antisémitisme et de relativisme dans la mort d’enfants palestiniens.

En cause, une « sortie » de Guillaume Meurice, selon Telerama, groupe Le Monde, à propos du premier ministre israélien Benjamin Netanyahu : suggérant une idée de « déguisement pour faire peur » à l’occasion d’Halloween, l’humoriste a évoqué un « déguisement Netanyahu »« une sorte de nazi mais sans prépuce ». S’en est suivie une simple « polémique » pzrmi d’autre, toujours selon le groupe du milliardaire Xavier Niel, gendre de Bernard Arnault, sur les réseaux sociaux. « Prépuce ou pas : Moi je serais plutôt en faveur de circoncire le temps d’antenne de Guillaume Meurice. (Et le mandat de Netanyahou aussi, mais c’est une autre histoire) », a notamment déploré sur X la rabbin et écrivaine Delphine Horvilleur.

« Je trouve invraisemblable que trois semaines après le plus grand massacre de juifs depuis la Seconde guerre mondiale, dans une radio publique, on en vienne à comparer un juif à un nazi » a abondé sur BFMTV le président des éclaireuses et éclaireurs israélites de France, Jérémie Haddad, fustigeant également les « réactions du plateau (de France inter) qui rit à gorge déployée ».

Adèle Van Reeth, la directrice de France Inter, a répondu aux auditeurs de la station dans un texte publié sur le site de la médiatrice : « Vous avez été très nombreux à réagir aux propos de Guillaume Meurice. […] Je rejoins le malaise [sic] que vous avez été nombreux à exprimer. […] Pour beaucoup, une limite a été franchie : non pas celle du droit, qu’il reste à établir, mais celle du respect et de la dignité. Si je suis garante de la liberté d’expression sur France Inter, je le suis aussi des propos qui s’y tiennent. C’est ce que j’ai rappelé aujourd’hui à Guillaume Meurice. » L’une et l’autre sont toujours à leur poste…

Meurice devrait s’exprimer à l’antenne ce dimanche sur son sketch accusant Benyamin Netanyahou de …nazisme.

Candidat aux élections des représentants du personnel, Guillaume Meurice est devenu intouchable

La direction de France Inter ne peut rien contre un syndicaliste de SUD, branche « armée » du NPA, Nouveau Parti anticapitaliste, révolutionnaire trotskiste.

En se présentant aux élections professionnelles des représentants du personnel, « l’humoriste » Guillaume Meurice est devenu quasiment intouchable par la direction de France Inter. Mais est-elle motivée ? Une enquête du Figaro est consacrée à cette affaire qui au-delà de la radio publique, secoue l’opinion. Signe de la tension qui entoure ses propos, dans le contexte très sensible des massacres initiés par les terroristes islamistes du Hamas en Israël, cette émission, « Le grand dimanche soir », présentée par Charline Vanhoenacker, aura exceptionnellement lieu sans public, de 18h à 20h.

Une décision prise « pour la sécurité des équipes », selon le groupe public de Radio France, à cause de menaces de mort reçues par Guillaume Meurice. Point de départ de l’affaire: une « blague » qu’il a faite lors du précédent numéro, le 29 octobre.

En évoquant des idées de « déguisement pour faire peur » à Halloween, le blagueur a imaginé un « déguisement Netanyahu », « une sorte de nazi mais sans prépuce », selon le trotskiste et sous les éclats de rires de ses camarades, sélectionnés par Charline Vanhoenacker, louve belge introduite dans le noeud de vipères par l’agressive Pascale Clark, cooptée par Daniel Schneidermann (en avril 2023, pour sa couleur de peau, il compare Christine Kelly à Pépita, « hôtesse » dans le jeu Pyramide sur France 2), qui a aussi infiltré Mehdi Meklat, un blogueur du Bondy Blog connu pour des tweets racistes, antisémites, homophobes et misogynes, faisant l’apologie d’Hitler et de Ben Laden, menaçant de mort Marine Le Pen ou les journalistes de Charlie Hebdo… Cette dernière séquence de Meurice a suscité de nombreuses réactions indignées d’auditeurs, qui y ont vu une dimension antisémite, et des saisines de l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel. Elle a également valu au « petit taquin » de 42 ans un « avertissement » de la direction de Radio France lundi, qu’il entend contester en justice.

Mais Le Figaro rappelle ce qui s’est vraiment passé : 

« Si la question de son licenciement s’est bien posée, la direction de Radio France n’a pas vraiment eu le choix, en définitive. Selon nos informations, Guillaume Meurice bénéficie depuis quelques mois du statut de « salarié protégé« Il s’était présenté sur la liste SUD aux dernières élections professionnelles des représentants du personnel. Il est donc intouchable pour le moment. En plus de la liberté d’expression, droit de dire n’importe quoi, de blesser et donc d’inciter à la haine antisémite.

Dans l’arsenal des pénalités possibles, seul l’avertissement permettait d’agir vite. Mais il n’est pas de nature à interdire d’antenne un salarié. L’ensemble des autres sanctions prévues dans le règlement doit passer par un avis conforme de l’Inspection du travail et une consultation des élus du personnel. Autant dire que Meurice peut dormir l’âme en paix…

S’engager dans cette voie aurait pris des semaines, voire des mois, avec un résultat incertain. Contactée, la direction de Radio France s’est refusée à tout commentaire. » Sans blague ? Elle n’abuse pas de sa liberté d’expression…

Photo de classe en qamis au lycée de La Seyne-sur-Mer

Une atteinte à la laïcité qualifiée de « blague »

Selon Var Matin, la provocation
ne dépasse pas La Seyne-sur-Mer

Après l’affaire de l’abaya en milieu scolaire (lien PaSiDupes), l’offensive clairement concertée. Un rapport interministériel a donné l’alerte concernant la hausse du port de tenues religieuses dans les écoles, collèges et lycées.

Des prosélytes islamistes, associatifs et religieux, encouragent les élèves à porter voiles et autres qamis en cours. Or, la loi interdit le port de tout signe religieux dans les établissements scolaires, quelle que soit la religion. Mais l’abaya et le qamis (ou kamis), qui sont originellement des vêtements traditionnels, sont portés en France à des fins politiques de séparatisme.

Transformationnisme et subversion:

Objet pourtant religieux avoué à ceux qui ne partagent pas sa « foi » (sic):

https://vm.tiktok.com/ZMFYQEDRX/

https://vm.tiktok.com/ZMFYQUs6Q/

« Les services de l’Etat mettent en garde contre la recrudescence de discours islamistes sur les réseaux sociaux remettant en cause le principe de laïcité », écrit Le Parisien, qui s’est procuré ce document daté de fin août et évoqué. « Des prosélytes islamistes qui encouragent les jeunes pratiquants à porter des tenues religieuses, voire à prier à l’intérieur des établissements scolaires », ajoute le medium.

https://vm.tiktok.com/ZMFYQQBH6/

https://vm.tiktok.com/ZMFYQw3uh/

https://vm.tiktok.com/ZMFYQWMmn/

Une vidéo tournée au lycée polyvalent Paul-Langevin à La Seyne-sur-Mer et notamment relayée par le député RN de la 7e circonscription du Var, Frédéric Boccaletti, fait le buzz sur les réseaux sociaux où elle soulève l’indignation.

Twitter et TikTok autorisent le prosélytisme des influenceurs islamistes

Le Parisien précise que « les auteurs de la note citent l’exemple d’une jeune fille de Langeac [3.800 habitants, à 43 km par la route du… Puy-en-Velay], Haute-Loire, qui s’était vu reprocher le port du burkini, un maillot de bain très couvrant, lors d’une séance de natation, entraînant un conflit entre la direction de l’établissement et le père de l’élève. »

Le Parisien évoque également « des comptes anonymes sur Tik Tok et Twitter accusés ‘d’entrisme salafo-frériste’ encourageant les élèves à porter des vêtements manifestant leur appartenance religieuse. »

https://vm.tiktok.com/ZMFYQKNXk/

Le grand frère d’une lycéenne a menacé une enseignante du lycée Simone-Weil situé rue de Poitou, dans le 3e arrondissement de Paris, PS, le 17 septembre, au prétexte que la professeur a demandé à son élève d’enlever son voile lors d’une sortie scolaire. 

Khamis pakistanais…

Légendée « On a voulu faire la photo de classe en khamis mais ça s’est mal passé », la vidéo a d’abord été publiée sur le réseau social Tiktok avant d’être partagées par de nombreuses personnalités d’extrême droite.

On y voit un groupe de lycéens en kamis (qamis), ces vêtements longs que portent généralement les musulmans pour se rendre à la mosquée, poser pour une photo de classe.

Pour affirmer leur pudeur exemplaire et se distinguer des mécréants (en même temps, TikTok héberge le prosélytisme des influenceuses vendant des abayas et montrant comment berner les professeurs en les transformant):

« Oui, vous êtes très beaux, mais vous pouvez comprendre que les professeurs qui vous ont croisés, ça les a choqués« , commente une enseignante dont on entend la voix dans la suite de la vidéo et qui invite les lycéens à refaire la photo « dans une tenue scolaire » appropriée.

https://vm.tiktok.com/ZMFYQHnVy/

« La photo de classe a été refaite normalement« 

Loin d’y voir une dérive intégriste, on évoque plutôt une blague potache de « jeunes qui ont voulu faire le buzz sur TikTok« .

https://vm.tiktok.com/ZMFYQMfE4/

« La proviseure a bien géré et l’enseignante a réagi de manière appropriée. La photo de classe a été refaite normalement avec les jeunes portant des vêtements adaptés  » européens, indique-t-on encore du côté du rectorat. Les parents ont toutefois été avisés de cet « incident« .

Le chinois TikTok n’a pas de souci avec ça:

https://vm.tiktok.com/ZMFYQ9son/

Le roi Hassan II du Maroc a donné un éclairage sur le caractère religieux d’un bout de tissu:

Prosélytisme sur internet:

Humour