Après 3 féminicides depuis 2022, les féministes rappellent Macron à ses affichages d’empathie

Qu’est-il advenu de la grande « cause nationale » de Macron ?

Militantes du collectif #NousToutes se sont rassemblées devant la Tour Eiffel, le 1er septembre 2019

Le président Macron avait posté un message sur Facebook pour annonce que Marlène Schiappa dévoilerait de nouvelles mesures pour protéger les femmes. Il y citait le prénom des 73 femmes mortes sous les coups de leurs conjoints depuis le début de l’année 2019, soit près de trois par semaine. « La violence qui vous a coûté la vie nous écœure, nous révolte », écrivit le sensible président de la République qui annonça en même temps que Marlène Schiappa allait dévoiler, lundi 8 juillet 2017, de nouvelles mesures pour lutter contre les violences et même prévenir les féminicides.

Quel est le suivi de cette annonce du « Grenelle des violences conjugales » ?

« La République française se doit de protéger toutes celles dont la vie est aujourd’hui en danger », assura Macron. Il invitait les victimes de violences et leur entourage à utiliser le dispositif de signalement mis en place par le ministère de l’Intérieur. En novembre 2018, un portail de signalement des violences sexuelles et sexistes était lancé. Il doit permettre d’être accompagné pour un dépôt de plainte ou d’obtenir une aide psychologique de la part du ministère.

Dans la presse, Marlène Schiappa claironna le lancement en septembre d’un Grenelle des violences conjugales qui se tiendrait en grandes pompes à Matignon pour mettre un terme aux féminicides et de la prévenir.

Que reste-t-il des annonces du laïusseur?

En l’espace d’une seule matinée, l’année 2022 compte déjà deux féminicides. Le corps d’une jeune femme a en effet été retrouvé, ce samedi 1er janvier, tôt dans la matinée, à Bellevigne-les-Châteaux, près de Saumur, sur le palier d’un petit immeuble, dans les parties communes. Son ex-conjoint a été interpellé. Un second crime a eu lieu, en Meurthe-et-Moselle cette fois. Une femme de 56 ans a été retrouvée morte samedi matin à Labry, un village de Meurthe-et-Moselle, et son conjoint a été interpellé et placé en garde à vue.

Le 2 janvier 2022, Nice-Matin annonce une troisième victime retrouvée morte dans le coffre d’une voiture à Nice et la garde à vue de son compagnon. Le Parquet de Nice a ouvert une enquête pour « homicide volontaire par conjoint »: pas de présomption d’innocence au ministère de la Justice de Dupond-Moretti…

En août 2021, Gérald Darmanin n’avait-il pas pourtant annoncé une série de mesures destinées à lutter contre ce fléau comme, notamment, le traitement prioritaire des plaintes pour violences conjugales, un officier spécialisé dans ces violences dans chaque commissariat et chaque brigade de gendarmerie, tirant les leçons du féminicide de Mérignac. Les associations avaient critiqué cette « annonce de mesures déjà existantes ».

Les associations et collectifs revendiquent un savoir-faire meilleur et des sous

Manifestation #NousToutes à Paris, le 24 novembre 2018, où des comédiennes tiennent à être vues

Elles battent … le fer pendant qu’il est chaud. Plus de budget et davantage de moyens, c’est la principale demande des associations féministes pour lutter plus efficacement contre les violences faites aux femmes. Le bilan de Macron n’est donc pas en la faveur du candidat potentiel…

Le collectif « Féminicides par conjoint ou ex-conjoint » a recensé 113 féminicides pour l’année 2021 en France. L’an dernier, elles étaient 102, selon ce même collectif et le ministère de l’Intérieur. 156 en 2019, 120 en 2018. Des chiffres insoutenables : il y a, en France, plus d’une victime tous les trois jours.

La 113e de cette année 2021, s’appelait Corinne, avait 56 ans, et a été égorgée et poignardée, à 9 reprises, par son mari Philippe, 61 ans, à leur domicile. La 112e était Guyanaise, se prénommait Mary, avait la cinquantaine et a été abattue avec un fusil de chasse, elle-aussi par son mari Jean-Marie Thecua, 59 ans, à leur domicile. Sans compter celles poussées au suicide…

De marbre, les comptables associatifs dressent la liste glaçante des victimes et des records annuels. Un chiffre qui ne prend pas en compte les violences psychologiques qui, chaque année, sont poussées au suicide en France. Selon un rapport rendu à la Commission européenne, elles étaient 209, en France, en 2017. L’étude souligne que les victimes des violences sur des femmes sont bien plus nombreuses que celles comptabilisées dans les seuls féminicides.

« Les violences envers les femmes ne s’arrêtent pas avec la nouvelle année. Ce qu’il faut bien comprendre c’est que les féminicides sont seulement le haut de l’iceberg et qu’il y a énormément de violences psychologiques et physiques qui arrivent avant le fait de tuer cette femme », avait dénoncé samedi Marylie Breuil, membre de #NousToutes, sur Franceinfo.

Le collectif Noustoutes interpelle directement le président Macron sur Twitter : « @emmanuelmacron 3 féminicides en 24h et aucune réaction. C’est atroce… »

Un numéro vert, c’est fait ! Macron va donc se décharger sur les féministes, qui vont prendre du poil de la bête et faire monter la pression et peser son emprise : pourvu qu’ils aient bientôt un bilan positif à se disputer.

1er mai 2021: des manifestations moins syndicales qu’associatives

Des rassemblements annonciateurs de luttes sociales où les associations prennent de plus en plus de place

Cette année, malgré les restrictions sanitaires, les manifestations étaient autorisées pour le 1er mai, à la différence de l’année dernière, quand le rendez-vous annuel des syndicats en recul et des associations en pleine expansion s’était heurté au principe de précaution du fait du confinement lié à l’épidémie empêchant le défilé de cortèges partout dans les villes, entre 100 et 300.

Un appel intersyndical à manifester

Plusieurs syndicats, associations et collectifs appellaient aux rassemblements pour la défense des droits des travailleurs, mais aussi des intérêts sociétaux, notamment féministes.

Les syndicats FO, CGT, FSU et Solidaires ont appelé, la semaine dernière dans un communiqué commun, à faire du 1er mai une « journée de mobilisation et de manifestation », « pour l’emploi, les salaires, les services publics, la protection sociale, les libertés et la paix dans le monde ». Cette manifestation unitaire de convergence des luttes (sociales, écologiques et féministes) devrait être rejointe par les Gilets jaunes. Elle demarre à 14h de la place de la République, pour se rendre jusqu’à la place de la Nation, un parcours traditionnel des manifestations parisiennes.

Une défense des intérêts de tous les travailleurs

Si l’appel de l’intersyndicale concerne l’ensemble des travailleurs, certains professionnels peuvent manifester pour défendre leurs intérêts corporatistes : cinq syndicats de la fonction publique ont appelé, ce lundi, à la mobilisation de tous les fonctionnaires. L’ensemble des syndicats de La Poste a également invité les postiers à se mobiliser.

Les syndicats, qui s’unissent rarement dans ce secteur, appellent aussi à une semaine d’actions politiques pour protester contre « la dégradation des conditions de travail ». La coordination « Stop loi sécurité globale,» a annoncé qu’elle allait continuer à s’opposer à cette loi qu’elle juge liberticide, en traquant les drones des forces de l’ordre. 

D’autres revendications ont été mises en avant pour cette journée. Avant la grande manifestation unitaire, Yves Veyrier, secrétaire général de Force ouvrière, a commémoré les 150 ans de la Commune de Paris en se rendant devant le Mur des Fédérés.

Un cortège « social et climatique » partira également à 11h du Panthéon vers Montparnasse.

Enfin, la manifestation « syndicaliste révolutionnaire pour l’égalité et la transformation sociale » a débuté à 12h sur la Place des Fêtes. 

Ces rassemblements doivent ensuite rejoindre le cortège de la manifestation intersyndicale du 1er mai à 14h, place de la République.

Concernant les partis politiques, les mobilisations du 1er mai sont fortement entravées par les mesures sanitaires, et beaucoup ont opté pour des meetings en ligne. Certains partis prévoient tout de même des rassemblements, comme notamment Florian Philippot qui a invité ses partisans à se rassembler à 15h place de la Bourse, pour un cortège en direction de la place Pierre Laroque. Jean-Luc Mélenchon a également prévu de s’agréger à un rassemblement à Lille, à Porte des Postes.

La manifestation « Ensemble pour les libertés » regroupant un grand nombre de collectifs, autorisée, s’est concentrée sur l’esplanade des Invalides à Paris, de 11h à 16h.

La manifestation organisée par le collectif « Paris pour la liberté » est interdite et une action en référé en cours. Par arrêté du 27 avril 2021, le Préfet de police a interdit la manifestation du mouvement « Paris pour la liberté », estimant « qu’il existe des risques sérieux pour que des éléments radicaux et à haute potentialité violente soient susceptibles de venir se greffer à ce rassemblement », qu’il existe des risques pour les « forces de l’ordre » et qu’ils « commettent des dégradations du mobilier urbain et de commerces ». Face à ce déficit de confiance, le collectif se défend en affirmant que les précédentes manifestations se sont toutes déroulées sans encombre, malgré l’intervention des forces de police. Il souligne également que les membres du collectif entendent se comporter pacifiquement et le revendiquent à l’appui d’attestation sur l’honneur. Constitué de différents groupes et associations, le collectif avait prévu de se rassembler à 10h place Charles-de-Gaulle et de se disperser devant l’esplanade des Invalides à 18h45. Le collectif a demandé́ l’annulation de l’arrêté préfectoral dans toutes ses dispositions, et leur requête en référé était audiencée ce matin.

Cette année, la fête du travail ne s’annonce donc pas de tout repos: elle est sur le mode défensif, mais aussi de la dénonciation.

Arrestations de clandestins à la sortie de l’ASE : «inacceptable»?

Libération relaie des associations en faveur de l’illégalité

Sur la promenade des Anglais, à Nice, le 13 novembre dernier, les forces de police sont sur le terrain:
la gauche le réclamait; désormais elle s’en plaint…

Pour les anti-républicains, les lois votées par le Parlement sont faites pour être contestées, combattues: ça a ça qu’on reconnaît actuellement la gauche radicale et libertaire qui a abandonné les luttes sociales, un territoire abandonné aux islamistes par les partis et syndicats révolutionnaires ou qui se disent de progrès. Des collectifs dénoncent des interpellations de jeunes étrangers à la sortie des bureaux de l’Aide à l’enfance des Alpes-Maritimes (qui assure le suivi de 9% de la population des 0-21 ans des Alpes-Maritimes), une pratique qu’ils considèrent comme «contraire au modèle social français». Les ASE seraient-elles des sanctuaires, au même titre que les églises?

La lettre inspire confiance, mais préoccupe ceux qui savent pertinemment que nombre de mineurs ne sont pas des mineurs! Sous le logo tout en rondeur du département des Alpes-Maritimes, le responsable de la section des mineurs non-accompagnés «propose» de «rencontrer» Mohamed, prénom typique, comme Pierre, lequel existe « en dehors des livres » et des quartiers. LIEN PaSiDupes

Pas de quoi inquiéter ce migrant bangladais : sa «minorité n’est pas avérée» et il discutera de sa situation. Des mots rassurants qui ne rassurent pas les professionnels de la suspicion politique. Ne jamais rien accepter qui est voté, c’est la base de toute stratégie de subversion, car les minorités s’octroient des droits qu’elles n’ont pas en démocratie: seule l’anarchie en confère à chacun, ce qui en fait une utopie et seulement une arme de déstabilisation. A sa sortie du bureau, ‘Mohamed’ est interpellé par la police, à la loyale et selon les règles de droit qui fondent l’Etat. Il ressortira de la retenue administrative avec une obligation de quitter le territoire (OQTF), car tout corps, qu’il soit social ou physique apprend à se défendre des attaques ennemies, qu’elles soient virus, tel le coronavirus, ou politiques, tel l’islamisme ou l’islamo-gauchisme.

Sept mois plus tard, des associations complotistes niçoises dénoncent ces arrestations de pseudo-mineurs à leur sortie des locaux de l’Aide sociale à l’enfance

Ces activistes associatifs soupçonnent un accord de l’ASE avec la police.

Les autorités ont veillé à agir en toute légalité. Mohamed était pris en charge par l’ASE, une structure gérée par le département. Il a «accepté de participer à un entretien au vu d’évaluer une évaluation de sa minorité» réelleUn savant mélange de tests osseux – une pratique contestée, notamment dans… Libération, parce que révélateurs – et d’analyse du parcours personnel pour déterminer son âge, puisque leur état civil est plus que flou et permet d’en jouer, sur les conseils des avocats militants des associations. S’il est évalué mineur, la protection de l’ASE continue.

Si la tricherie est avérée, des démarches l’attendent pour une régularisation. «Sauf que là, entre le moment où le jeune est [déclaré] majeur et l’interpellation, il se passe cinq minutes. A considérer qu’il est majeur, on le prive de son droit à déposer un titre de séjour, pointe maître Laure Pons, du Syndicat des avocats de France. On ne lui donne pas non plus les moyens d’exercer un recours. Il est laissé à l’air libre avec une OQTF.» En deux mois, Laure Pons a défendu deux personnes dans cette situation. «C’est une coalition entre le département, la préfecture et la PAF [la police aux frontières, ndlr] qui orchestre le fait que le jeune ne puisse pas être libre, affirme l’avocate. Ils font tout pour l’empêcher de déposer une demande de séjour.» Mais cette avocate militante du SAF est partisane.

L’activisme de l’un des présidents (novembre 2012-novembre 2014 ) de ce syndicat donne une idée de son orientation: Jean-Jacques Gandini, 73 ans, est journaliste et militant anarchiste, familier du mouvement anarchiste chinois, membre de la Ligue française pour la défense des droits de l’homme et du citoyen. Une indication que le quotidien Libération occulte… Quant à l’actuelle présidente du SAF, depuis novembre 2019, Estellia Araez, avocate à Bordeaux, elle publie sur Le Figaro Mediapart… Pendant le quinquennat de Hollande, elle y publia un article qui, dès l’introduction, donne un aperçu de ses a priori : « Si l’ancienne majorité [de droite] n’avait de cesse que de critiquer les magistrats, qualifiés par l’ancien président de la République [Sarkozy] de petits pois, la majorité actuelle [socialiste] semble pour sa part avoir des difficultés à apprécier la réalité de la profession d’avocat, sa fonction dans la société. » Ni la droite, ni les socialistes ne trouvent grâce aux yeux à oeillères du SAF.

«Plus efficace»

Pour la directrice de l’enfance au département, Annie Seksik, cette démarche est dans la «complète légalité». «Lorsqu’il y a des majeurs, nous mettons fin à la prise en charge [par le contribuable]. Dans le cadre d’un protocole signé avec les services de la préfecture, on demande à la PAF [Police de l’Air et des Frontières] de venir récupérer ces personnes qui sont des migrants majeurs [et des tricheurs qui exploitent notre confiance, notre humanité et notre aide sociale] . On les remet aux autorités, confirme la responsable, ce qui garantit leur sécurité contre de possibles actions de représailles de la part de Français exploités et en colère. Ce sont des services avec lesquels on travaille tous les jours.» Ce que confirme un procès-verbal qu’une fuite militante aurait fait atterrir entre les mains de Libération et daté de janvier, dans lequel il est indiqué que la police a été informée d’un cas par l’ASE. Quoi de plus normal et légal?

La pratique est justifiée par un décret du gouvernement de Macron, en date du 30 janvier 2019, rappelle Libération qui fait des textes un usage bien peu républicain. La préfecture des Alpes-Maritimes souligne que ce texte introduit des nouveautés dans la procédure «en vue de la rendre plus efficace dans un contexte marqué par un accroissement significatif des demandes» en «autorisant les départements à solliciter, s’ils le souhaitent, les préfectures». Rappelons qu’un décret précise les moyens techniques d’application d’une loi. «Un protocole signé en décembre 2019 entre l’Etat, le conseil départemental et les procureurs de la République de Nice et Grasse prévoit la possibilité pour les services du département [et donc pour l’ASE] d’adresser à ceux de la PAF les documents d’identité qui peuvent être détenus par les intéressés, rappelle la préfecture à LibérationLes services de la PAF vérifient alors l’authenticité des documents. En cas de fraude, sous l’autorité du procureur de la République, une procédure judiciaire est établie. La personne dont la majorité a été établie, dépourvue de titre de séjour, est alors placée sous le régime de la retenue administrative. Elle bénéficie donc de tous les droits qui en résultent.» A savoir : les conseils d’un avocat au choix des associations militantes et une possibilité de demande d’asile. La préfecture des Alpes-Maritimes a déjà été condamnée à plusieurs reprises pour atteinte au droit d’asile. C’était après une procédure administrative initiée par Cédric Herrou, « agriculteur » (!) dans la vallée de la Roya, à la frontière franco-italienne, lui-même condamné au pénal pour aide à l’immigration illégale. Et Laure Pons a été avocate stagiaire dans les Alpes-Maritimes, à Cagnes-sur-Mer, au cabinet d’avocats Delage-Arena-Dan-Larribeau, officiellement spécialisé dans le contentieux du droit de la construction et du droit des Assurances… 

Un discrédit sur l’ensemble des associations respectueuses de la légalité

En 2020, 2.683 personnes migrants illégaux sont entrés sur le territoire des Alpes-Maritimes se présentant comme mineurs et isolés. Les hypocrites et les menteurs assurent que 80% ont… fugué: on peut être majeur et fuguer ! En 2021, 439 jeunes ont été évalués : 159 se sont révélés majeurs: à la louche, 1 sur 3. 

«En 2020, on a dû en remettre une dizaine à la PAF, estime Annie Seksik, qui avoue un laxisme de l’administration que les associations ne récompensent pas… Comme ils savent pourquoi ils sont convoqués, très peu se rendent à l’entretien  C’est ce que les gauches et les associations militantes encouragent. Un chiffre que confirment la préfecture et les associations.

David Nakache, en plein activisme anti-républicain

La pratique n’aurait plus cours ces dernières semaines, les jeunes, mieux coachés à l’esquive, ne se rendant plus aux entretiens, fait savoir Michel Seonnet, bénévole à ‘Tous Citoyens’, association (créée en 2016) qui dénonce cette procédure, mais dont l’intitulé suffit à confirmer son combat contre l’Etat. Pour elle, comme pour d’autre « Aider, c’est résister » à l’état de droit . «Mohamed est un garçon nerveux et ils lui ont mis les menottes aux mains. C’est inacceptable», juge-t-il. «Ce procédé jette un discrédit sur l’ensemble de l’action sociale et est contraire au modèle social français», maintient le collectif, qui a saisi la défenseuse des droits. Selon l’association, les jeunes migrants sont «très réticents à parler, par peur» ou ont «repris leur migration». Après plusieurs mois de procédures et d’accompagnement par cette association, Mohamed a finalement été reconnu mineur par des tests osseux. Il a le droit à une prise en charge de l’ASE, jusqu’à sa majorité.

‘Tous citoyens’ est présidé à Nice par David Nakache. Son credo universaliste, c’est  » penser que nous sommes tous égaux devant la loi sans distinction d’origine, de race, de religion ou de genre. Cette égalité de droit fonde la lutte contre toute forme de discrimination. On peut ainsi être blanc et lutter contre le racisme, être athée et lutter contre l’islamophobie, être juif et lutter pour Gaza, être hétérosexuel et lutter contre l’homophobie et la transphobie, être un homme et se battre pour les droits des femmes, etc.«  Une retape avec un râteau ultra large, mais typiquement islamo-gauchiste. Cerise sur le gâteau, il publie lui aussi sur le site révolutionnaire trotskiste Mediapart. Il est aussi membre de Génération.s. de Benoît Hamon, un peu socialiste, mais à la mode bolchévique. Libération est au courant, mais ne partage pas ces infos !