« Soyez maudit ! »: R. Glucksmann encaisse la malédiction d’une passante, en ricanant

Avec Faure, Hollande ou Jospin, les socialistes ont perdu leur âme

O. Faure (poing levé)
et R. Glücksmann

Tête de liste PS-Place publique, Raphaël Glucksmann a décidé de s’allier à La France Insoumise comme si il ne savait pas depuis longtemps que ce parti est révolutionnaire, wokiste et islamo-gauchiste et que son projet politique est le chaos, dont son comportement à l’Assemblée nationale est la préfiguration.

Blasé, « même quand j’achète mon pain à la boulangerie, des gens me disent : on déteste LFI« , a lancé l’avaleur de couleuvres R. Glucksmann, sans en tirer de conclusions.

Son peu intelligible (pour plus de respect, écouter ci-dessous)

Les partisans de Raphaël Glucksmann ne sont pas d’accord avec ses choix

D’ailleurs, Raphaël Glucksmann non plus ne porte pas dans son cœur le parti mené par Mélenchon alors qu’une partie l’a qualifié de « sioniste » durant la campagne des européennes, mais Glucksmann bourre ses poches des insultes de LFI et met son mouchoir par-dessus, faute de colonne vertébrale et pour sauver quelques misérables sièges à l’Assemblée. Ainsi, il comprend la réticence de ceux qui ont cru en lui. « Bien sûr que je les comprends. Leur trouble m’affecte« , a lâché la tête de gondole de la gauche molle. Mais il assure qu’il n’a pas, pour autant, nié ses valeurs. « Je ne me suis pas trahi car deux principes éthiques s’affrontaient en moi. Le premier : tout faire pour que l’extrême droite ne gagne pas. Le deuxième : ne pas s’associer à des gens – la direction Insoumise – dont je combats les idées et les pratiques.

Autre malédiction, dans les mêmes termes, celle de Macron par… Mélenchon, façon de ce révolutionnaire de l’appeler à renoncer à sa réforme des retraites: