Plus anti-islam radical que le député LFI Eric Coquerel, tu meurs !

Le député LFI se déclare « plutôt en phase avec les propos » va-t-en-guerre de Macron

Point commun à Coquerel et Macron, le cynisme

Coquerel va devoir expliquer ça à ses camarades du Hamas… Ce député islamo-gauchiste de Seine-Saint-Denis les a en fait déjà rassuré sur la constance de son soutien: pour lui, la législation actuelle est suffisante pour agir contre les réseaux islamistes.

« Je me sens plutôt en phase avec les propos » d’Emmanuel Macron qui veut intensifier les actions contre l’islam radical, a réagi mardi 20 octobre sur franceinfo le député LFI. « Les actions s’intensifieront » contre l’islam radical a pourtant déclaré mardi soir le chef de l’Etat, quatre jours après l’assassinat islamiste de Samuel Paty.

« En même temps », Éric Coquerel estime que la législation actuelle est suffisante« Les lois actuelles permettent de fermer des écoles clandestines, des établissements suspects, dont il faut à la fois ne pas sous-estimer l’existence et ne pas amplifier non plus l’importance, pour ne pas jeter l’opprobre sur toute une communauté qui est celle de nos concitoyens de religion musulmane », a expliqué cet adepte du double langage élevé au rang d’art par le cynique Macron. On attend toujours d’Alexis Corbière, député LFI et ancien professeur, les mots de compassion qui s’impose: or, il met en garde contre « le piège qui est tendu de se déchirer » quand un policier ou un enseignant… « perd la vie » ! La décapitation d’un innocent, par un réfugié fanatique qui n’avait rien à faire en France, ne change rien à l’idéologie problématique du politicien qui ne remet rien en cause de son engagement idéologique. Peut-être ne tient-il pas à retourner au casse-pipe.

Eviter l’amalgame et la division

Coquerel au rassemblement place de la République en soutien au peuple Palestinien avec AFPS Officiel
Association France Palestine Solidarité

Macron propose « des choses ciblées par rapport à ceux qui, dit-il, sont soit dans des activités terroristes, soit pratiquent une forme d’islam politique qui veut s’attaquer à la République », a détaillé Eric Coquerel, citant la dissolution du collectif Cheikh Yassine annoncée par le chef de l’Etat. Ce collectif fut fondé par Abdelhakim Sefrioui, activiste venu du Maroc, connu en France depuis vingt ans pour son islamisme et commanditaire présumé de l’assassinat du professeur-martyr de Conflans.

« Définies ainsi, je trouve que les choses évitent l’amalgame et qu’on reste dans une situation qui ne prête pas flanc à ce que veulent faire les terroristes, c’est-à-dire nous amener à nous diviser », a poursuivi le député, dont on découvre une face cachée profond, celle du fédérateur.